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La vraie Métropole toulousaine est surement là.
S'il y a plusieurs EPCI au sein de l'agglo, autant aussi grouper avec les EPCI de l'espace métropolitain et de créer un "groupement d'intéret général" ou un syndicat intercommunal ou inter EPCI susceptible de créer une synergie.
Par là meme celà peut aussi permettre d'ancrer Carcassonne et l'Ouest de l'Aude à Toulouse et Midi-Pyrénées.
Confirmation de la création d'une association du "dialogue métropolitain" :
http://www.toulouseinfos.fr/index.php/d … louse.html
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On retrouve la création de l'Association du Dialogue Métropolitain Toulousain dans le site de Toulouse-Métropole http://www.toulouse-metropole.fr/-/crea … direct=%2F qui concerne 1 281 865 habitants en 2009.
Les EPCI concernés :
Toulouse Métropole 700 292 habitants en 2009
SICOVAL 66 933 habitants
CAM 71 047 habitants
CA Montauban 68 742 habitants
CA Cahors 37 479 habitants
CA Rodez 52 760 habitants
CA Albi 79 927 habitants
CA Castres-Mazamet 79 849 habitants
CA Carcassonne 72 996 habitants
CC Saint-Gaudens 21 228 habitants
CA Auch 30 612 habitants
Manquent CA Pamiers - Foix, Castelnaudary, Revel.
Dialogue Métropolitain : la porte est également ouverte à Agen.
La ville de Carcassonne et le Carcassonnais ont rejoint hier l'association du Dialogue métropolitain de Toulouse, qui rassemble les principales capitales régionales de Midi-Pyrénées.
«On ne demande la permission à personne» martèle Jean-Claude Pérez, indifférent aux critiques de ceux qui voudraient voir Carcassonne pencher un peu plus vers l'Aude, le Languedoc-Roussillon et Montpellier.
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Si Pierre Cohen considère que «Carcassonne, c'est Toulouse», Jean-Claude Pérez ne dit pas autre chose : «Il ne s'agit pas d'un caprice d'élu mais d'une identité. Quand on a une urgence médicale où va-t-on ? Quand on emprunte un moyen de transport où va-t-on ? Notre capitale naturelle, c'est Toulouse !»
«C'est tellement évident; il faut dépasser les frontières institutionnelles» ajoute Alain Tarlier lequel en 2001, lors de la campagne des municipales, avait déjà amorcé un rapprochement avec François Simon, candidat malheureux à la mairie de Toulouse
Si possibilité plus tard avec la réforme des collectivités, le pays Carcassonnais et le Lauragais (Castelnaudary) se raprocheraient-ils de Midi-Pyrénées ?
ça serait intéressant, en effet, d'autant que Carcassonne et l'ouest de l'Aude en général ont toujours été tournés vers Toulouse. Comme Millau et l'est de l'Aveyron sont tournés vers Montpellier. Cette réforme pourrait permettre de remodeler le paysage administratif de la région, en "récupérant" certains territoires et en "donnant" d'autres.
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Tu fais ton marché ?
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Dans ce contexte, le département n'existe plus alors.
Historiquement ça peut s'expliquer, il me semble que jusqu'au redécoupage administratif des années 60 le département de l'Aude faisait partie de l'actuelle région Midi-Pyrénées - qui du coup possédait une façade maritime.
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A la base, dans les premières esquisses de la constitution des régions administratives, la région Midi-Pyrénées comprenait les 8 départements actuels + L'Aude + Les PO + Les Basses Pyrénées (aujourd'hui Pyrénées Atlantiques).
En fait c'est la grande zone d'influence toulousaine (en y ajoutant Agen).
C'est dans cette vaste zone que Toulouse doit maîtriser son influence directe locale en créant cet espace de dialogue métropolitain.
La LGV vers Barcelone devrait aussi permettre d'accroître les liens avec Perpignan et les PO.
Pau et Tarbes ne sont pas dans le dialogue métropolitain toulousain car elles jouent ensemble de leur propre chef.
Ptiloulou a écrit:
Tu fais ton marché ?
C'est très idéaliste, c'est vrai
Mais des redécoupages pourraient bien se faire avec cette réforme, la disparition des départements, à terme, et donc le renforcement des pays et communautés de communes ou d'agglo, qui "choisiraient" leur régions (je ne sais pas si ça peut se passer comme ça, mais bon...)
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Si les interco prenaient le dessus sur les communes, on pourrait avoir une région toulousaine (aire urbaine) avec des collectivités de poids plus important par rapport aux poids des communes.
Pour l'aire urbaine toulousaine on passerait de 450 communes à 29 collectivités.
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Boussens : industrialisation. Réflexion engagée pour le SCOT Sud-Toulousain
La mise en œuvre du Schéma de Cohérence Territoriale du Sud toulousain, outil de planification pour les 20 années à venir, était au cœur de la discussion.
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Quel est l’objectif de cette démarche ?
Favoriser la création d’emplois de proximité afin de réduire les déplacements quotidiens domicile - travail. Une large majorité des actifs du territoire sud toulousain travaille sur Toulouse ou sa proche banlieue avec les effets en termes de déplacements routiers (difficultés d’accès à Toulouse aux heures de pointe), donc d’émanation de gaz à effets de serre.
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Il est nécessaire de rendre attractif le territoire et ses zones d’activités mais aussi répondre à l’attente des industriels qui voudraient s’installer ou développer leur activité ailleurs que dans la métropole. Le syndicat mixte, pour son projet industriel, a choisi de porter l’effort sur le site de Boussens.
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Démarche intéressante pour renforcer l'attractivité industrielle du secteur de Boussens-St Martory atour du pôle Continental, BASF, Lafarge Ciment, et Antargaz notamment.
Forte croissance de l'emploi en périurbain
L'emploi s'est fortement développé ses 10 dernières années dans la couronne péri-urbaine toulousaine et surtout le long des grands axes menant aux principales villes moyennes de l'armature régionale.
Le développement économique intervient dans le cadre d'un désseremment du développement économique de la métropole toulousaine le long des grands axes.
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étude sur la croissance de l'emploi est à mettre aussi en parallèle avec une nouvelle étude de l'insee intitulée Dans le sillage de Toulouse, les villes moyennes proches renforcent leur attractivité
Les contours de l'attractivité toulousaine s'élargissent
la couronne périurbaine en profite autant que l'agglomération toulousaine
Aires moyennes : un excédent migratoire à presque tous les âges
Montauban et St Gaudens sont les principales aires urbaines réceptrices du déversement toulousain.
Les agglos non inclues dans l'unité urbaine de Toulouse mais aux franges de celle-ci tout en étant dans la couronne péri-urbaine sont aussi les principales bénéficiaires (exple : Fonsorbes, Castelnau, Auterive ...)
Une des conclusions :
Affaire à suivre donc pour vérifier si le SCOT est respecté avec recentralisation d ela croissance sur le coeur de Métropole et les villes concernées. Sinon, le développement difus continuera au rsuqe de créer une agglo tentaculaire de Carbonne (31) à Moissac (82) et de L'Isle Jourdain (32) à St Sulpice (81).
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Un effet du desserement de Toulouse sur les villes moyennes voisines.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/01 … udary.html
http://www.ladepeche.fr/article/2014/01 … gagne.html
Cestelnaudary rentre totalement dans l'aire métropolitaine toulousaine en accueillant le desserement industriel et entrepôts de Toulouse qui sature.
Même St Jory et Montgiscard n'ont pas séduit la Socamil qui mise sur Castelnaudarye moins saturée pour les transports.
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Conférence du Grand Bassin toulousain
Le 2 décembre 2013, à l’initiative de l’InterSCoT de l’aire urbaine de Toulouse, s’est tenue la 3ème Conférence du Grand Bassin Toulousain. La précédente s’était réunie en décembre 2011.
Cette rencontre a réuni une centaine de participants qui ont débattu des initiatives et travaux en cours sur Grand Bassin Toulousain, qui réunit 19 territoires engagés dans des réflexions de SCoT, à l’échelle de l’aire métropolitaine.
A cette occasion, le Président de Toulouse Métropole a présenté les objectifs de l’Association Dialogue Métropolitain, apportant ainsi un éclairage nouveau sur la coopération entre agglomérations.
Trois interventions relatives aux dynamiques à l’œuvre dans le Grand Bassin Toulousain ont été proposées. La première sur l’attractivité de ce territoire, présentée par l’Insee Midi-Pyrénées, a mis en avant le dynamisme des villes moyennes et de leurs aires urbaines.
L’aua/T a présenté une première approche sur l’accueil et la régulation de l’offre économique, proposant une analyse de l’offre en zones d’activité économique et soulignant les capacités importantes en foncier disponible dans ces zones dédiées, au regard des besoins.
Pour terminer, le développement territorial du Grand Bassin Toulousain a été abordé au travers de la hiérarchisation des centralités au sein des différents territoires, sur la base de travaux menés par l’ATD.
Cette conférence a aussi permis de faire le point avec les services de l’Etat sur les travaux législatifs en cours en matière de décentralisation et de planification.
De cette conférence ressort une volonté renouvelée des territoires voisins de l’InterSCoT de partager et poursuivre les réflexions et travaux menés à cette large échelle.
Le prémice du pôle métropolitain ?
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http://www.aua-toulouse.org/spip.php?article644
5 169
C’est le chiffre de croissance annuelle de la population des aires urbaines proches de Toulouse sur les cinq dernières années (2006 – 2011). Elles contribuent ainsi pour un quart à la croissance de l’espace urbain métropolitain de Toulouse et des aires urbaines proches.
Il s’agit d’un changement net, en rupture avec une longue période de moindre croissance qui a atteint son point bas dans les années 90, avec seulement 800 habitants supplémentaires par an.
Ces aires urbaines retrouvent même leur haut niveau de croissance des années 60, période où l’exode rural alimentait un fort flux migratoire vers ces villes.
Mais aujourd’hui, ce sont d’autres moteurs qui sont à l’œuvre, en relation directe avec le renouveau de l’attractivité des villes moyennes et leur insertion dans les processus de métropolisation.
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Conférence Grand Bassin Toulousain
Cette conférence regroupe les SCOT du Pôle Métropolitain Toulousain
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Déplacemlents domicile-Travail au sein du Pôle Métropolitain toulousain
Un système monocentrique
La structure hiérarchique dégagée par les principaux flux de salariés place Toulouse au sommet de la pyramide.
376 communes lui envoient directement leur plus important flux de migrants, ce qui représente un tiers des communes du champ de l’étude. À une autre échelle, ce schéma de dépendance à la ville-centre rappelle celui de la capitale francilienne sur son bassin d’emploi.
L’influence de la commune de Toulouse rayonne bien au-delà de son aire urbaine. En témoigne la situation des villes de Montauban, Albi et même Auch, dont les déplacements majeurs de salariés se font en direction de la métropole toulousaine. Ce n’est qu’à plus de 80 kilomètres de la ville-centre que d’autres pôles principaux émergent. Ils sont 7 à attirer majoritairement 224 communes, dont les pôles de Carcassonne, Castres et Foix pour les plus importants.
Aux niveaux inférieurs de la structure hiérarchique, 47 communes polarisent, à leur échelle, l’espace métropolitain toulousain. Des liens émergent entre elles, offrant une lecture hiérarchique du système urbain.
Par exemple dans le sud-ouest du département de la Haute-Garonne, la ville de Saint-Gaudens, liée majoritairement au pôle principal de Toulouse (soit de niveau 1), polarise elle-même les communes de Lannemezan, Aurignac et Montréjeau (niveau 2), elles aussi captant des flux majeurs de salariés dans leur environnement proche. Ce constat d’organisation hiérarchisée est le même dans les autres départements de l’espace métropolitain.
Dernière modification par urbatoulousain31 (02-08-2014 17:39:01)
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La fin des périphéries urbaines
Modes de vie et recompositions territoriales aux marges de l’aire urbaine toulousaine.
Le nouveau visage des périphéries toulousaines en voie de périurbanisation.
Un dynamisme démographique toujours à l’œuvre.
Affichant le taux de variation annuelle le plus important des agglomérations de plus de 300 000 habitants entre 1999 et 2006, l’aire urbaine de Toulouse voit s’étendre son aire d’influence dans des espaces toujours plus lointains (INSEE, 2009). Sa croissance démographique, débutée dans les années 1960 (au recensement de 1962, le pôle urbain ne compte encore que deux communes), n’a cessé de se poursuivre depuis, à un rythme encore plus soutenu depuis 1999. Comme on le voit sur la carte ci-dessous, entre 1999 et 2006, la croissance se poursuit dans les limites de l’aire urbaine en 1999 (+ 1,9 % par an), s’accélère dans la couronne périurbaine (+ 3,1 % par an) et déborde même ses limites : si la population augmente surtout, en nombre absolu, dans le pôle urbain et autour de celui-ci puisque les taux d’évolution annuels, quoique plus faibles, portent sur un effectif de base plus important, les taux d’évolution annuels les plus forts se concentrent à la fois dans la couronne périurbaine et autour de cette dernière, certains secteurs paraissant privilégiés, vers le Gers à l’ouest, Montauban au Nord ou Albi au Nord-Est. La densification de l’aire urbaine va alors de pair avec une extension territoriale confirmée par le nouveau zonage en aire urbaine qui voit 111 nouvelles communes, essentiellement gagnées sur les départements limitrophes de la Haute-Garonne, rejoindre la couronne périurbaine toulousaine.
La nouvelle vie des territoires périurbains toulousains : un polycentrisme émergent.
Alors que les espaces périurbains ont toujours été pensés comme « sous contrôle d’une ville centre gardant en son sein la presque totalité des services, des équipements et de l’emploi » (Jaillet, 2004, p. 41), ces évolutions des modes d’habiter périurbains sont concomitantes de l’émergence de polarités, sur le plan de l’emploi comme de la vie quotidienne. Si la remise en cause du modèle centre/périphérie pour analyser le fait métropolitain n’est pas nouvelle (Jaillet, 2006) et si la tendance au polycentrisme a été identifiée dans d’autres métropoles, dont Paris (Larceneux, Boiteux-Orain, 2006), elle apparaît relativement nouvelle dans le cas toulousain.
Une logique centre/périphérie moins prégnante sur le plan de l’emploi.
C’est d’abord sur le plan de l’emploi que se renforcent de petits pôles périurbains. Bien sûr, la prééminence du pôle d’emploi central, constitué de Toulouse et de quelques communes du pôle urbain, est toujours forte : l’Agence d’Urbanisme parle ainsi de « système monocentrique » relayé par des « pôles secondaires à l’ombre de Toulouse » : si la déconcentration de l’emploi est avérée à grande échelle (de Toulouse vers sa première couronne), on ne peut que constater la poursuite de la concentration à petite échelle (celle du pôle urbain) (AUAT, 2009). Malgré tout, au-delà de cette réalité, une nouvelle logique de moindre dépendance à ce seul pôle d’emploi semble se développer.
La carte suivante met ainsi bien en évidence les progressions supérieures, voire très supérieures à la moyenne5, de l’emploi dans le pôle urbain lui-même bien sûr, mais également au-delà de celui-ci, des frontières du pôle urbain jusqu’aux limites de l’aire urbaine. Ainsi, en plus du binôme Castelnau d’Estretefonds/Villeneuve-les-Bouloc au nord, dont l’augmentation de l’emploi, portée par la zone logistique d’Eurocentre, est très supérieure à la moyenne (évolution de plus de 12 % par an), de nombreuses autres communes affichent une croissance conséquente, que ce soit dans le sud (linéaire Bérat/Saint-Sulpice-sur-Lèze), le sud-est (Baziège en limite du pôle urbain ou Nailloux plus excentré) ou encore le nord-est (Bessières et Saint-Sulpice-sur-Tarn).
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La région toulousaine de nuit depuis les Pyrénées :
Lannemezan en bas à gauche, début de St-Gaudens en bas à droite et agglo toulousaine au fond.
c'est impressionnant de voir le halo lumineux depuis les Pyrénées.
Sur cette image on voit bien le "vide" sud gersois entre Lannemezan et Toulouse.
On voit bien aussi l'étendue de l'agglo toulousaine
L'angle de vue est orienté Sud-Ouest / Nord-Est
On voit bien sur la droite le corridor d'urbanisation le long de la Garonne et A64, de plus en plus intense jusqu'à Toulouse.
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SITE INTERNET du Dialogue Métropolitain
LA REVUE TERRITORIALE METROPOLITAINE DE TOULOUSE
Pour répondre à cette trajectoire de dimension européenne et combler les marges de progrès qui séparent l’agglomération toulousaine des métropoles caractérisées en Europe, une stratégie volontariste doit être mise en œuvre d’ici à 2030.
Depuis 20 ans, la DATAR met en lumière le fait que les réponses à apporter en matière de renforcement de la compétitivité et de la solidarité nationale ne pourront pas se situer exclusivement à l’échelle des seules agglomérations françaises.
Cette affirmation renvoie à la nature du fonctionnement monocentrique de la France polarisée par la région capitale. Elle contribue à son développement par les relations d’interdépendances qu’elle exerce avec la grande majorité des aires urbaines françaises.
Cependant, ces aires urbaines, hors Paris, entretiennent également des relations entre elles. Ces liens obligent à chercher les clefs du développement des grandes agglomérations françaises, dont celle de Toulouse, dans une échelle d’action pertinente et de projet.
Cette échelle a été caractérisée, dès 2008, par les services locaux de l'Etat à travers l'étude menée sur les systèmes territoriaux de l'aire métropolitaine de Toulouse puis en 2010 par l'étude relative aux conditions permettant un desserrement des activités économiques.
Elle fut précisée au niveau national par la DATAR en 2013. Elle met en évidence un système territorial toulousain interrégional :
structuré, par les aires urbaines (INSEE, 1999) de Toulouse, Montauban, Albi, Castres, Mazamet, Auch, Carcassonne, Saint-Gaudens, Saint-Girons, Foix, Pamiers, Castelnaudary et Limoux ;
interconnecté à l’aire urbaine de Cahors et à un espace urbain composé des aires urbaines de Rodez,Villefranche-de-Rouergue et Figeac.
Ce système territorial métropolitain apparaît, ainsi, comme l’échelle de référence pour bâtir la métropole européenne de demain.
Cependant, cette vision en « système » ne saurait être exclusive des autres territoires présents dans cette métropole en construction.
En effet, cette approche systémique ne permet pas de disposer d’un espace d’un seul tenant et sans enclave qui intègre les espaces périphériques à ces aires urbaines et leurs espaces interstitiels à dominante rurale.
Pour répondre à cette problématique centrale, il a été pris en compte les EPCI appartenant pour tout ou partie aux aires urbaines qui composent cet espace.
Sur cette base, il a été caractérisé, au 1er janvier 2013, un espace métropolitain de Toulouse couvert par 90 EPCI et 22 communes isolées avec un poids démographique de 2,25 millions d’habitants en 2009.
Dernière modification par urbatoulousain31 (20-03-2015 19:08:40)
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