Angers Loire Métropole - Tramway, transports en commun et modes doux

Ouest-France, 17/01/2005

lundi 17 janvier 2005
Les commerçants boudent le tramway
Seulement 50 présents sur 3 000 professionnels invités à la réunion du maire

La réunion, vendredi soir, des élus avec les professionnels locaux, concernant le tramway, n'a pas rassemblé.
 
Un bide, la réunion tramway des commerçants, artisans et professions libérales, organisée par Jean-Claude Antonini, maire et président d'Angers Loire Métropole, vendredi soir. Sur les 3 000 personnes invitées, seule une cinquantaine d'entre-elles s'est déplacée.

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Seuls quelques commerçants des halles ont fait part de leur perplexité : « Nous vivons actuellement le chantier des Halles. Notre crainte est que le tramway donne le coup de grâce à certains. »


Yves LAUNAY.

Un peu plus de détails sur le tramway avec ce PDF à télécharger ici :

http://www.agglo-angers.fr/tramway/espa … co-com.pdf

Ouest-France, 11/02/2005

Sans surprise, les délégués de l'agglomération ont entériné hier soir le choix du fer pour le tramway à Angers.

« Il n'existe plus qu'une seule entreprise, Lohr, à fabriquer le tramway sur pneus, a rappelé Jean-Claude Antonini. En face, huit sociétés européennes (1) sont sur le marché du fer. On peut donc espérer faire jouer la concurrence pour baisser les prix. » Voilà l'un des arguments qui ont fait pencher la balance du côté de l'option rails pour le tramway d'Angers.

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L'argument majeur en faveur du rail reste la fiabilité. « Je n'ai pas envie que le tramway d'Angers serve d'expérimentation... » Caen et Nancy ont déjà donné. C'est l'avantage d'avoir attendu un peu plus longtemps que les autres métropoles.

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Pas de caténaires en centre-ville

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Pas question non plus de faire passer des fils suspendus au coeur de ces deux communes, comme l'a répété Marc Laffineur, le maire d'Avrillé. Dans ses rues, mais aussi place du Ralliement, rue de la Roë et rue d'Alsace, l'alimentation par les caténaires sera remplacée par un autre système : soit celui de Bordeaux, avec une alimentation par un rail central ; soit des batteries autonomes embarquées. Le choix n'est pas défini. Il dépendra des propositions des constructeurs. « Attention au surcoût », a remarqué Bernard Witasse, le maire de Montreuil-Juigné. « J'espère que cela ne nuira pas à un prolongement du tramway vers les communes de la deuxième couronne. »

L'appel d'offres sera lancé en mars. Le candidat sera retenu début 2006. Il aura deux ans pour construire les rames angevines. Les travaux sur la chaussée seront lancés au second semestre 2006, à l'issue de la Déclaration d'utilité publique. Ils s'étaleront jusqu'à fin 2008. Les premiers essais roulants sont programmés début 2009.

(1) Alstom (France), Bombardier (Canada, Allemagne, Belgique, Grande-Bretagne), Siemens (Allemagne), Stadler (Suisse), Ansaldo (Italie), CAF (Espagne), Skoda (République tchèque) et Lod (Pologne).

Ouest-France, 19/05/2005

jeudi 19 mai 2005
Tram en centre-ville : un débat apaisé

Le tracé de la ligne du tram ne fait plus débat.

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En revanche, la rue de la Roé est revenue, à plusieurs reprises, sur le tapis. « Mais quelle idée d'y faire passer le tram, et en voie unique. Comment feront les riverains avec leurs courses ? Et les gens qui déménagent ? Sans compter les vibrations qui vont provoquer des fissures à nos maisons... » Remarque du maire : « Vous, vous habitez rue de la Roé ! » Jean-Claude Antonini a donné toutes les assurances : « Nous ferons tout pour que votre vie ne soit pas trop perturbée, votre confort meilleur. L'agglo est responsable des dégâts éventuels dus aux travaux. »

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Enfin, il a été question du bruit, notamment des fameux grincements. Selon une étude menée par la ville, le bruit de la circulation peut atteindre, actuellement, 70 décibels en centre-ville, « limite dépassée de l'inconfort ». Le tram ne devrait dégager que 55 décibels au maximum. « Nous serons attentifs aux grincements. »

Au fil de la soirée, la salle n'a cessé de se vider. Il ne restait plus qu'une centaine de personnes pour le mot de la fin. Ultime réunion, consacrée au centre-ville, avant l'enquête d'utilité publique prévue en fin d'année.
Jean-Michel HANSEN.

Ahhhhhh ! Enfin, ils virent cet immonde hangar à bâteau place du Ralliement. Ce truc était une grossière erreur, c'est une bonne chose 

Vendredi 20 Mai 2005
Maine-et-loire Actualité

Pourquoi le tramway va bouleverser les Angevins ? ( 20/05/2005 )
Élus, architectes et urbanistes ont sillonné, hier, à Angers, le tracé de la première ligne du tramway à bord… d'un autobus. Une ligne de 12 km qui reliera Avrillé, au nord, au quartier de La Roseraie, au sud, et dont la mise en chantier, prévue pour 2006, accompagnera les plans de rénovation urbaine déjà enclenchés dans les quartiers.   Raymond Perron, vice-président d'Angers Loire Métropole, Luc Davy, architecte de l'AUP de Nantes et Jacques Landreau, directeur du projet, hier, devant la future station tramway de la gare SNCF.

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Un cinquième pont sur la Maine Autre chantier d'envergure : un cinquième pont, dressé entre la rue Larrey – qui donne sur l'Hôpital – et le multiplex Gaumont, enjambera la Maine et constituera « une voie de passage adéquate » avant l'entame du Plateau des Capucins, au nord du centre-ville. Il sera, dans un premier temps, entièrement voué au tramway mais devrait « s'ouvrir, par la suite, aux piétons et aux cyclos ». Aux dires de Raymond Perron, le nouveau pont angevin « sera livré à l'automne 2008 ». Au sud et au nord de l'agglomération, deux parkings-relais de 200 places minimum seront aménagés à hauteur des deux terminus. L'ensemble de la ligne comptera vingt-trois stations. Le coût total du projet avoisine, pour la première ligne – mais une seconde est déjà envisagée – quelque 200 millions d'euros. - Corr. NR Jérôme ALBERT

Ouest-FRance, 8/07/2005

vendredi 8 juillet 2005
Un centre de maintenance pour le tram
Première concrétisation en lien avec le tramway , en 2008

Le centre de maintenance des tramways sera visible de la future autoroute.
Le projet d'un centre de maintenance pour le futur tramway a été accepté, hier soir, lors du conseil de la communauté d'agglomération Angers Loire métropole. Les travaux devraient débuter en septembre 2006 et s'achever en février 2008. Coût du projet : 20 millions d'euros.

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Le centre sera construit sur le plateau de la Mayenne, sur une surface de 6 ha. Il sera proche de la première ligne de tramway, ce qui évitera des détours. En plus de la maintenance, le centre servira également de garage de nuit pour les trams.

Centre de maintenance_tramway


Trois projets d’architecture ont été étudiés pour la construction du centre de maintenance du futur tramway angevin. Celui qui a retenu l’attention des élus communautaires est l’½uvre de l’architecte Frédéric Rolland. Pour l’occasion, il s’est associé à une société belge (Tractebel) qui a pris en charge le plan ferroviaire des installations, et avec une autre entreprise angevine (Noble), chargée elle, de la gestion des flux et des signaux du futur tramway.


. Architecture du site

Convaincue des enjeux liés au développement durable, Angers Loire Métropole porte cette démarche comme un axe stratégique dans son développement. Afin de penser les déplacements autrement, Angers, capitale européenne du développement durable, se dirige vers une approche globale qui, au delà du « moyen de transport », privilégie l’outil « aménagements urbains ». La construction du centre de maintenance doit ainsi marquer l’engagement de l'agglomération dans cette politique. Le projet de l’architecte Frédéric Rolland a été retenu dans cette démarche et répond à plusieurs objectifs :


Une architecture pensée pour dialoguer avec son environnement.
Proche du contournement de l’A11 et de part son architecture forte et identifiable, le centre de maintenance est un outil de valorisation de l’aménagement urbain. Son implantation est un point stratégique dans l’organisation fonctionnelle de celui-ci. Lorsque nous arriverons de Paris par l’A11, nous verrons l’île Saint Aubin, le lycée Jean Moulin, le centre de maintenance, et le futur parc d’activité tertiaire des Capucins, qui s’inscriront tel un « mirage » dans ce paysage. L’île Saint Aubin, qui est d’ailleurs un espace naturel protégé et reconnu par le label Natura 2000, est en effet cette année, l’objet de toutes les attentions, puisqu’elle a été présentée à l’exposition universelle du Japon comme modèle pour le développement durable.

Il s’agit donc de faire du centre de maintenance, un équipement phare donnant une image fugitive et identitaire à Angers Loire Métropole.


Une réponse HQE – Haute Qualité Environnementale.
Dans une logique de développement durable, l’adoption du tramway, privilégiant la circulation à l’échelle de l’agglomération et la préservation de la qualité de vie, nécessite la création de structures techniques adaptées, soutenant la modernisation des transports, et participant à long terme à un aménagement solidaire et maîtrisé de l’environnement.

De ce fait, le projet retenu répond aux critères HQE en terme de gestion de ressources, de choix techniques, et par une bonne maîtrise des investissements.

- le photovoltaïque et l ’éclairage naturel est privilégié afin d’offrir une qualité d’éclairement tout en maîtrisant la gestion des apports thermiques ;

- le traitement du confort acoustique fera l’objet d’une étude attentionnée ;
Dans les bâtiments de maintenance, le critère principal est celui du confort de travail et de l’ergonomie des postes ;

- le site sera bordé par un alignement d’arbres, accompagnant le traitement paysager de la voie inter quartier, et faisant face au futur parc du végétal  ;

- le bassin de rétention des eaux de ruissellement, implanté logiquement au point bas du terrain, permet de mettre en scène l’architecture des ateliers de maintenance sur la façade Sud Est.


Le centre de maintenance correspond à un équipement fonctionnel.
L’architecture du site permet une optimisation de la gestion des flux et des circulations par une exploitation des différents équipements : ensemble unique pour la maintenance, ensemble unique pour les accès, et ensemble unique pour le remisage.

L’enveloppe protégeant les ateliers de maintenance se rapproche, dans son élaboration et dans ses détails constructifs, du design industriel employé pour concevoir un tramway.

L’architecture initiale du site permet des extensions pour les aires de remisage et de maintenance : le plan de circulation des tramways permet de prévoir un doublement de la capacité de remisage ne perturbant en rien l’exploitation des lignes pendant les travaux.

http://www.agglo-angers.fr/tramway/cent … centre.pdf

. Un architecte angevin construira le centre de maintenance

Depuis 2000, Frédéric Rolland est Président Directeur Général de la société Selas Frédéric Rolland située à Angers. L’atelier est à la fois présent à Angers et à Shanghai.

Ses dernières références en France :

le siège social de la mutualité agricole – Maine et Loire – 12 millions d’investissement -9 200 m2 de surface ;

Institut national d’horticulture d’Angers - 6 millions d’investissement – 5 800 m2 de surface ;
Collège Molière à Beaufort en Vallée – Maine et Loire – 8 millions d’investissement – 4 364 m2 de surface.
Ses dernières références en Chine :

Stade de Suzhou – 60 millions d’investissement – 4 700 m2 ;
Opéra de Ningbo – 60 millions d’investissement – 58 000 m2 ;

Dongsheng à Nankin – 70 000m2 – 35 étages.

Site internet
www.frederic-rolland.com

Architecte DPLG (ENSBA de Paris)
1 er grand prix d’architecture de l’académie des Beaux Arts de Paris.
Maîtrise en Urbanisme et Architecture à l’université de Columbia à New York (USA).

Source :
http://www.angersloiremetropole.fr/

Ouest-France, 13/09/2005

mardi 13 septembre 2005
Le tramway sur la voie de l'enquête publique
Cliquez pour agrandir la photo
Les travaux du centre de maintenance du tramway, sur les plateaux de la Mayenne, seront lancés début 2006.

La phase préalable de concertation sur le tramway vient de s'achever. Place maintenant à l'enquête d'utilité publique.



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La DUP permettra notamment de régler les cas épineux. Le tracé de la première ligne mordra sur des jardins et des terrasses de restaurants à Avrillé. Il entraînera aussi huit expropriations à Angers, essentiellement derrière le CHU, aux Capucins. « Comme ils ne sont pas nombreux, nous nous engageons à traiter les relogements au cas par cas, a assuré Jean-Claude Antonini. Ce sera du travail de suture chirurgicale ! »

Les travaux ne débuteront pas avant 2007. Pour ne pas se télescoper avec le calendrier électoral ? « On commencera par le nouveau pont sur la Maine. » Dans le prolongement du CHU et du Gaumont Multiplexe, à Saint-Serge. Et la ligne passera au-dessus des voies de circulation.

Première réalisation : le centre de maintenance

Les déplacements de réseaux seront réalisés en 2007-2008. Les gros chantiers sur la voirie publique seront d'abord lancés sur les zones urbaines à restructurer, comme les Capucins ou la Roseraie. Le reste du tracé suivra, pour une mise en service fin 2009.

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La seconde ligne n'est pour l'instant qu'au stade de la faisabilité. Le tracé ouest ne fait aucun doute jusqu'à la gare : départ de Beaucouzé et passage par Belle-Beille, pour desservir l'université. La partie est garde tout son suspense : Les Ponts-de-Cé, Trélazé, Saint-Barthélémy ou Saint-Sylvain ? Les tractations vont bon tram...

Ouest-FRance, 1/10/2005

samedi 1 octobre 2005
Une pétition sur le tramway
L'opposition municipale demande un référendum pour lancer les débats

L'opposition n'est pas « forcément » contre le futur tramway. Mais elle aimerait que les habitants soient consultés.
L'opposition municipale arpente les marchés, ce samedi, pour recueillir des signatures. Les élus du groupe « Servir Angers » lancent une pétition sur le tramway. Ils souhaitent que les habitants de l'agglomération, pour ou contre, puissent débattre à l'occasion d'une consultation locale.

« Êtes-vous favorable à la réalisation d'une première ligne de tramway sur rail, reliant Avrillé au quartier de la Roseraie, via la place du Ralliement ? » La question pourrait être posée lors d'un référendum d'initiative locale, à l'échelle de l'agglomération. L'opposition municipale l'appelle de ses voeux.

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Et la 2e ligne ?

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Le débat pourrait permettre de répondre à d'autres questions. Par exemple sur le tracé de la 2e ligne. « Il est anormal d'avoir fait le choix de la 1re ligne sans l'associer à celui de la 2e. Résultat, on ne connaît pas le plan de financement global. Comment l'agglo compte-t-elle régler les 450 millions que coûteront les deux lignes ? »

Qu'en pensent les Angevins ? Ils seront de toute façon consultés. Peut-être pas dans un référendum, mais lors des prochaines élections municipales.

Guillaume BALLARD.

Voilà le type même d'initiative absurde, à laquelle il fallait penser il y a trois ans... Maintenant, c'est mille fois trop tard, eu égard aux fonds engagés.

Actualités

Infos tram 
   
. Le projet tramway subventionné 
La somme de 5 millions d’euros a été attribuée à la communauté d’agglomération d’Angers pour son projet de tramway par le Comité Interministériel d’Aménagement de Compétitivité des Territoires (CIACT) réuni le 14 octobre dernier.

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Ouest-France, 28/11/2005

Angers
lundi 28 novembre 2005
« Le tramway le moins onéreux de France »
Les lecteurs ont la parole
Michel Harouy, d'Angers, tient à féliciter l'équipe d'Angers Loire Métropole pour avoir conçu un bon projet de tramway et le moins onéreux de France.

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Ouest-France, 18/01/2006

mercredi 18 janvier 2006
Tramway : le pont sera plus haut que prévu

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Un rond-point en septembre. Un pont surélevé en janvier. Le dossier du tramway vient de connaître du changement. Ponctuel, mais pas négligeable. Et pour un surcoût d'au moins deux millions d'euros. Au point qu'on pourrait se demander si, d'ici l'enquête publique prévue en juin, n'apparaîtront pas d'autres surprises de dernière minute.

Pour franchir la Maine entre l'hôpital et le quartier Saint-Serge, près du complexe de cinéma, le tramway empruntera un pont à construire, dans l'axe de la chapelle du CHU.

Le dossier présenté aux Angevins au cours de la concertation, terminée en septembre 2005, prévoyait que ce pont débouche sur un grand rond-point, au carrefour de la voie sur berge.

Or, l'État et le Conseil général, qui devient propriétaire de la voie (tronçon de la route nationale 23 Paris-Nantes), ont fait observer que le rond-point risquait de trop couper la circulation des voitures sur cet axe. Ceci, même s'il sera soulagé en partie, après l'ouverture du contournement autoroutier en construction au nord de la ville. Etat et Département craignent des embouteillages au rond-point et un report de la circulation qui pourrait encombrer d'autres voies de l'agglomération.

Il est vrai qu'on attend encore, après l'ouverture de l'autoroute, 50 000 ou 60 000 voitures par jour, sur la voie sur berge (qui sera réduite à deux voies au lieu de quatre). Le trafic actuel oscille entre 60 000 et 100 000 véhicules, selon les jours. Le rond-point, de plus, paraissait difficile à franchir, sinon dangereux, pour les cyclistes et les piétons.

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L'AUVA pose tout-de-même une vraie question. Le nouvel aménagement, contrairement au rond-point, ne va pas briser la circulation des voitures. Il ne va donc pas en diminuer le flux.


Alain BODY.