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Franchement, DUF, tu n'aurais pas des commentaires plus intéressants que le nom des pavillons ?
Ce sont tes commentaires ici qui n'ont aucun sens !!!!!!!!!!!!!
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urbatoulousain31 a écrit:
Franchement, DUF, tu n'aurais pas des commentaires plus intéressants que le nom des pavillons ?
Ce sont tes commentaires ici qui n'ont aucun sens !!!!!!!!!!!!!
Si le nom de ce que l'on réalise n'a pas de sens dans un forum d'urbanisme, c'est à se poser des questions ?
Disons que ce n'est pas votre Centre d'Intérêt, pas la peine de faire un post pour dire cela.
Pour ma part Riquet à Purpan, c'est de la confusion et je préférerais Debré.
Puel à Rangueil pour le pavillon en avant en construction, c'est exagéré ce n'est pas lui qui a construit le CHU ...
Sinon, mon post était pour rapporter l'article de la Dépêche du Midi sur la construction du nouveau bâtiment du CHU, c'est le journaliste qui introduit le débat sur le nom, j'y rajoute mon commentaires pas la peine de sur réagir façon SPA, l'époque du scandale des Chiens au CHU est passé depuis longtemps.
http://www.ladepeche.fr/article/2008/10 … gueil.html
Dernière modification par DUF (23-10-2008 14:04:11)
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Pour illustrer les comentaires de DUF, voici une photo prise le week-end dernier.
Le batiment va etre imposant !
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Hier en avion, j'ai pu remarquer que la construction de la clinique Riquet à Purpan a débutée, j'ai au l'impression (évidemment d'assez loin en avion) que les fondations sont déjà coulées. Dobnc 1, 2 ou 3 grues devraient rapidement s'éléver
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Après l'extension du CHU Rangueil, retour à l'extension du CHU Purpan.
Extension R+6 sur 106 000m² en cours par Cardete & Huet. Pour 2011/2012
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à voir comme ça, ça fait pas mal du tout pour un hôpital.
faudrait qu'un de nous trouve le temps d'aller prendre des photos du chantier.
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@ chéricutz
A propos de Lemaresquier, un PDF de l'histoire du CHU Rangueil, architecte Paul Desnoyers et Noel Lemaresquier.
http://www.internatdetoulouse.com/index … &id=65
Internat de médecine de Toulouse - Association des Internes de Toulouse
CHU Rangueil
Soumis par Anne
02-03-2008
Histoire de Rangueil Le projet de construction d'un nouvel hôpital pour Toulouse
De 1954 à 1958, l'expansion démographique de la population toulousaine et de la Région Midi-Pyrénées laissait entrevoir l'arrivée de profondes mutations :
- nouveaux projets d'urbanisme en 1962 ; arrivée de 100 000
Rapatriés d'Algérie ; exode rural important etc...
- depuis le début des années 1960, les régions du Midi ont
gagné 3,5 millions d'habitants, soit une augmentation de 40% de la population, laquelle va se « redistribuer » sur
l'ensemble du territoire (les géographes parlent alors de France inverse) grâce aux mutations industrielles.
- la décentralisation de 1963 allait provoquer l'installation de nombreuses écoles d'ingénieurs et la création
d'un complexe de 170 hectares à Rangueil.
- avec Sud Aviation en 1957 la dynamique aéronautique est créée ; en
1973 le CNES (Centre National des Etudes Spatiales) est ouvert drainant avec lui de grandes industries du secteur
spatial.
Toutes ces transformations ont fait que peu à peu, la capacité d'hospitalisation à Toulouse (comme dans
toutes les grandes villes du pays) était devenue insuffisante...
Les raisons d'un nouveau complexe hospitalier L'Histoire de l'Hôpital de Rangueil commence en 1959.
C'est à cette date que le Doyen Guy Lazorthes soumet au Conseil de la Faculté de Médecine et à la Commission Administrative un rapport dans lequel la construction d'un nouvel hôpital et d'une nouvelle Faculté de médecine liés l'un à l'autre est présentée comme indispensable pour faire face à la progression croissante des besoins sanitaires et du nombre d'étudiants en médecine.
La structure de l'établissement en projet se conforme aux exigences de la réforme hospitalo-universitaire mise en application en 1961. Elle satisfait aux règles fixées par l'ordonnance de 1958 : association de locaux à vocation hospitalière universitaire et de recherche dans un même ensemble architectural ; humanisation ; fusion des fonctions hospitalières et universitaires ; plein-temps du personnel médical ; intégration plus
poussée des étudiants à l'hôpital.
Cette réalisation a permis de moderniser et d'agrandir de façon notable la capacité du Centre Hospitalier de
Toulouse, en l'adaptant aux impératifs de la réforme hospitalière. Le cheminement du projet Celui-ci s'est
échelonné de 1960 à 1967.
L'achat du terrain de Pouvourville-Rangueil par l'Education Nationale a lieu le 24 décembre 1963 après que ce nouveau complexe ait été déclaré d'utilité publique au Journal Officiel le 1eroctobre.
L'avant-projet concernant le lieu d'implantation choisi par M. Michel Debré, alors Premier Ministre, a été
approuvé en 1967 : le nouvel établissement va être édifié sur les derniers escarpements des coteaux qui descendentvers la route Narbonnaise.
Ce projet a été jalonné par de nombreuses missions, des études diverses, des enquêtes de toute sorte mais aussi
plusieurs ralentissements et controverses.
M. Paul Desnoyers et M. Noël Lemaresquier sont les architectes de l'ensemble de l'établissement
hospitalier dont la réalisation s'est élevée à 213 millions de francs.
La construction en chiffres
Les travaux de terrassement ont débuté en 1969 moyennant 3000 plans, l'emploi de 90 280 m2 de béton, 2310 tonnes d'acier.
Au total, 500 000 tonnes de terre vont être déplacées. 1200 Km de câbles ont été tirés pour
l'installation électrique, 650 Km de tuyauteries, 8000 bouches de soufflage ou d'extraction etc...
Puis sont établies la voirie, les routes d'accès ;
quant aux fondations, elles descendent jusqu'à 18 mètres de profondeur.
La construction des bâtiments commence le 3 août 1970.
Le délai contractuel fixé à 42 mois augmenté de 4 mois pour cause d'intempéries, a amené la livraison des bâtiments le 11 juillet 1974.
L'édification verticale de ce nouveau complexe hospitalier s'oppose à la structure pavillonnaire de l'Hôpital Purpan, jugée à l'époque dépassée.
La livraison du matériel s'achève en janvier 1975 et l'ouverture progressive de l'établissement se fait à compter du 1er avril 1975...12 ans se sont écoulés entre le projet initial et l'ouverture, contre 40 pour l'Hôpital Purpan !
L'accueil des premiers malades a lieu en mai 1975 dans le service de neurologie du bâtiment H1 et le 12 mai, 1400 lits sont disponibles.
Madame Simone Veil, Ministre de la Santé et de la Sécurité Sociale, inaugure l'établissement le 27 octobre 1975 en présence de Pierre Baudis, maire de Toulouse et M. Méau, Directeur Général du CHU.
Les services vont être ouverts progressivement jusqu'en 1976, date à laquelle l'établissement atteint son rythme de croisière.
Implantation et accès Le CHU de Rangueil est implanté sur un terrain de 35 hectares environ sur les coteaux de Pech-David, dans le quartier de Rangueil, à 230 mètres d'altitude.
Cette situation procure aux malades, outre bien sûr les équipements médico-techniques les plus
modernes et performants, une vue panoramique sur la ville de Toulouse. Ils peuvent même par beau temps voir la
chaîne des Pyrénées.
L'accès du public au nouvel hôpital s'est fait au moyen d'un réseau de voies modernisées grâce à la création de l'échangeur de Rangueil et l'élargissement du chemin de Pouvourville.
Le Chemin des Canalets va en faciliter encore l'accès.
Importance du Centre Hospitalier Au stade final d'aménagements, le CHU de Rangueil va comporter 130 000 m2 de planchers et 1400 lits répartis en plusieurs ensembles distincts mais reliés par des galeries permettant une liaison très facile entre eux.
Rangueil présentait comme avantages de regrouper sur un même site les structures de soin, les amphithéâtres
d'enseignement et les laboratoires de recherche.
Mais encore faut-il aussi convaincre les Toulousains ( et le personnel infirmier !) de la pertinence de ce nouveau site géographique d'hospitalisation, eux qui sont habitués depuis des siècles à des hôpitaux en centre-ville ! La multidisciplinarité de ce nouvel hôpital ne tarde pas à convaincre les réticents.
Amélioration des conditions d'hospitalisation et humanisation de l'Hôpital Lors de leur visite de ce
nouvel Hôpital de Rangueil le 27 novembre 1976, accompagnés par les architectes Desnoyers et Le Maresquier, des
membres de l'Association des Toulousains de Toulouse relatent leurs impressions sur les conditions
d'hospitalisation des malades à cette époque :« [...] tout a été étudié pour que le malade se sente chez lui tout en
bénéficiant d'un maximum de sécurité pour les soins médicaux. Ainsi, les chambres comportent toutes une
loggia qui, outre l'agrément, procure une protection solaire très efficace ; le sanitaire comprend, pour chaque
chambre, WC et lavabos. Chaque malade dispose d'un placard individuel, d'une table et
d'étagères-bibliothèques, le tout regroupé dans un ensemble de menuiserie rappelant, dans la chambre, la
chaleur d'un mobilier d'appartement [...] Chaque chambre est dotée de la distribution des gaz médicaux
(oxygène, vide, air comprimé) et d'une signalisation hospitalière de la conception la plus récente.
Les malades et visiteurs sont accueillis dans un hall de grandes dimensions, dans lequel ils peuvent trouver, outre le
bureau des entrées, nécessaire à une bonne exploitation de l'Hôpital, les services propres à lui rendre le séjour plus
agréable dans la mesure où cela est possible ; boutiques de journaux et de fleurs, bureau des PTT, auberge de jour
avec cafétéria, salle de télévision, bibliothèque.
Dans chaque service, malades, consultants et visiteurs disposent de locaux d'accueil et d'attente confortables. Mais, par ailleurs, les techniques les plus modernes sont retenues pour faciliter le travail du personnel, donc le service des malades : réseau de tubes pneumatiques permettant la diffusion rapide des documents et des médicaments urgents [système abandonné peu après], réseau téléphonique intérieur, transport du linge sale permettant d'éviter la véhiculation, toujours désagréable, à travers les couloirs, des sacs de linge sale et de déchets divers ; ascenseurs rapides et à services spécialisés, etc...
Ainsi, la ville de Toulouse est dotée d'un ensemble hospitalo-universitaire lui permettant de ne rien envier aux autres grandes métropoles de France. » Source : « l'Auta » janvier 1977, pp. 14-18/...
Cette médecin interne a vraiment fait une excellente synthèse du sujet.
http://www.chu-toulouse.fr/-histoire-de-rangueil-
Paul Desnoyers Architecte toulousain est un des fondateurs de Cobaty international
Dernière modification par Diagonal (18-06-2009 07:41:12)
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http://www.envols-poesie.com/Musique/De … Ponsan.htm
Originaire du Midi toulousain, la famille Debat-Ponsan a donné plusieurs générations d'artistes : musiciens, peintres, architectes, ainsi que des hommes politiques de premier plan./...
.../Olivier Debré et les 'Signes Musiciens'
Quant au frère de Michel Debré, Olivier (1920-1999), après avoir étudié l'architecture, il s'adonnera avec succès à la peinture, un moment influencé par Picasso avant de suivre les avant-gardistes Nicolas de Staël ou Hartung. Dès 1949 était apparu dans ses créations son concept original des 'signes musiciens'. Il reviendra à Carolyn Carlson de les intégrer à son ballet 'Signes'. En osmose avec le plasticien qui réalise décors et costumes, la chorégraphe américaine règlera là, sur une musique de René Aubry, l'une de ses meilleures créations. 'Signes' a été donné en 1999 à l'Opéra -Bastille, repris l'année suivante, à nouveau à l'affiche en juin et juillet 2008. Et pour honorer encore la muse du Théâtre que son grand-père Edouard a fait tournoyer au plafond du Capitole, sous son pinceau vont naître dans les années 80 les rideaux de scène de la Comédie-Française et de l'Opéra de Hong Kong.
A Toulouse où il avait rejoint le maquis en 1944, se déploie sur un mur de la nouvelle Faculté de Médecine une de ses amples compositions, tout près du CHU : l'initiateur en France de ces hôpitaux universitaires n'est-il pas son père Robert qui donna son nom à la 'réforme Debré' en 1968 ? Et c'est son frère Michel qui choisira l'emplacement du CHU de Toulouse-Rangueil sur les derniers escarpements des coteaux, au sud de la ville.
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au fait quelqu'un a pu faire des photos du chantier de celui de purpan?
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http://www.ladepeche.fr/article/2009/07 … amway.html
Purpan se transforme pour l'arrivée du tramway
Urbanisme. L'hôpital est en pleine mutation avec la clinique Pierre-Paul Riquet, un chantier monumental. Les urgences seront aussi reconstruites pour fin 2012.
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http://www.ladepeche.fr/article/2009/10 … -2012.html
Clinique Sarrus : Exclusif. 15 000 m2 de plus pour 2012
...Cet établissement, propriété du groupe Sarnis, dont l'actionnaire principal est le Docteur Gausserand, lancera les travaux d'agrandissement au 1er trimestre 2010.
Au programme : 5 000 m² de sous-sol, qui accueilleront 5 niveaux de parking pour 167 places de stationnement et
10 000 m² en surface, sur 10 étages. Ils accueilleront des blocs opératoires et des locaux de consultation externe...
...Le nouvel établissement devrait être livré au 1er trimestre 2012. Les travaux, évalués à 44 M euros, seront réalisés sous la direction de Michel Coucoureux, du cabinet d'architecture toulousain Brunel-Coucoureux...
Cette extension s'accompagnera de la création d'une soixantaine d'emplois et permettra d'augmenter de 10% le nombre de patients reçus.
En 2012 les lits de maternité passeront ainsi de 47 à 56, la surface d'activité médicale à 35 m² pour environ 260 lits, 11 blocs opératoires et 7 salles d'accouchement.
Rappel de la modif du PLU : 10 étages 33m.
Dernière modification par urbatoulousain31 (21-11-2009 20:14:34)
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Je suis passé sur les Allées CDF cette semaine, il me semble ne pas avoir vu de panneau montrant l'image du projet. On ne trouve pas encore d'images d'esquisse du projet par les architectes Brunel-Coucoureux.
Panneaux des travaux à surveiller si l'image apparait à côté du panneau du PC.
Je pense que l'ensemble de 10 étages va avoir une certaine allure imposant à l'angle de la rue de Cugnaux et des Allées CDF. Il me tarde de voir le projet et le chantier.
Le CHU toulousain, meilleur hôpital public de France......
......
Candidat pour un Institut Hospitalo-Universitaire (IHU).....
.....Le CHU cLe siège de l'IHU devrait être accueilli dans un 1er temps dans un pavillon de 600 m² sur le site de La Grave, avant d'y bénéficier de locaux supplémentaires, d'ici 2013, une fois ce site totalement réorganisé autour de la santé publique.
http://www.ladepeche.fr/article/2010/09 … rance.html
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Toulouse : plus grands chantiers des hôpitaux français
4 è position : Un des plus grands hôpitaux. Le centre hospitalier universitaire (CHU) de Toulouse est le 4e de France en terme d'activité.
Sûrement après Paris, Marseille et Lyon.
.../...
1. Le nouveau plateau technique de Rangueil (H3), qui ouvrira à la fin de l'année, regroupera tous les blocs opératoires, de réanimation, le service des brûlés… On y trouvera les équipements les plus pointus comme le robot chirurgical. La chirurgie oncologique deviendra une spécialisation de Rangueil. Coût : 62,7 M€.
2. C'est sans doute le plus gros chantier en France : la construction à Purpan, face à l'hôpital des enfants, de la clinique Pierre-Paul-Riquet avec ses 600 lits d'hospitalisation. Elle accueillera le pôle neurosciences ; le pôle céphalique (ORL, ophtalmo…) ; et l'institut locomoteur (la rééducation…) On y trouvera un plateau technique. Bientôt traversé par le tramway, Purpan sera alors méconnaissable. Coût : 302 M€. Ouverture fin 2013.
3. Le CHU projette de construire, à côté de la future clinique Riquet, un bâtiment pour les urgences, la réanimation et la médecine.
4. L'hôpital public est partie prenante dans le projet de clinique universitaire du cancer sur le Cancéropôle qui associe l'institut Claudius-Régaud et le secteur privé. On y retrouvera le service hématologie de Purpan, des laboratoires, la banque de tissus… Ouverture 2013.
5. À La Grave, une fois Claudius-Régaud parti, le CHU envisage de développer le secteur de santé publique.
N'oublions pas qu'en juin, a été ouvert l'hôpital Garonne qui jouxte Purpan, dans le quartier Casselardit. Cet hôpital de 180 lits regroupe les services de gériatrie installés précédemment à La Grave. Coût : 35,7 M€.
Que je me souvienne, l'extension de Purpan est sur 78 000m², Claudus-Régaud sur la clinique universitaire du Cancer c'est aussi 65 000m².
Sans compter également les 15 000m² d'extension de la clinique Sarrus Teinturiers sur les Allées Charles de Fitte (4 messages au dessus) même si là, ce n'est plus les hôpitaux publics de Toulouse mais un établissement privé.
on l'oublie souvent, mais la réaorganisation et le redéploiement du CHU de Toulouse implique un total d'investissement dépassant nettement le milliard d'euro (plus de deux ?).
Il faut aussi compter sur :
- l'excellence nationale (on peut dire européenne, à ce niveau du classement) de ce pôle qu'il faut absolument maintenir,
- la poussée démographique de toute la région.
Petite question : si l'IHU concerne bien les locaux de La Grave, cela risque peut-être de grêver les projets actuels de la mairie sur le site (il me semble qu'elle en avait) ?
J'ai de grands espoirs qu'elle décroche cet IHU, mais s'il n'y en as que 5 dans l'Hexagone, cela risque d'être moins facile que pour les cancéropoles, car nous avons moins de relais rue de Ségur...
Pour résumé :
1) étape 1 : nous décrochons le cancéropole
2) étape 2 : Bordeaux lance l'idée d'un neuropole (très bon concept)
3) étape 3 : Toulouse propose un pole de gérontologie (annoncé depuis au moins 3 ans).
Dernière modification par Philippe (24-09-2010 03:57:13)
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Pour illustrer le post de invité01, une petite photo depuis le pont des Catalans en direction du complexe de Purpan :
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hé bé surperbe photo, j'ai même pas remarqué qu'on le voyait depuis le pont en question.
En tout cas merci rock in your mind
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Effectivement l'extension de Purpan est impressionnante. C'est quand même un R+8.
Pour répondre à Philippe, La Grave a toujours été proposée pour conserver un pôle médical avec en parallèle un espace d'art dédié à la danse.
Ne connaissant pas l'agencement des immeubles (très complexe me semble t-il) je ne dais pas quelle partie de la Grave sera dédié au pôle médical et quelle partie deviendra un pôle de la danse.
En parallèle du CHU qui se développe à Purpan mais aussi sur l'Oncopôle, un nouveau projet va naître en banlieue Est à Quint-Fonsegrives avec à la clé un nouvel échangeur sur le périph.
Quint-Fonsegrives. Une clinique géante dans l'Est toulousain
Le regroupement des cliniques du Parc et Saint-Jean Languedoc va donner naissance à une nouvelle structure médicale de 420 lits face à la Cité de l'Espace sur la commune de Quint-Fonsegrives. Début des travaux l'an prochain.../...
Pour faciliter l'accès à ce nouveau pôle médical, une sortie de rocade 17 bis vient d'être décidée par les élus du Grand Toulouse.
Avec 420 lits, cette clinique sera plus grande que la CUC (Clinique Universitaire du Cancer de l'Oncopôle, ses 320 lits et 65 000m²).
Quand on pense que la clinique de l'Union à Saint Jean est presque dans le même secteur géographique ...
invité01 a écrit:
Avec 420 lits, cette clinique sera plus grande que la CUC (Clinique Universitaire du Cancer de l'Oncopôle, ses 320 lits et 65 000m²).
Quand on pense que la clinique de l'Union à Saint Jean est presque dans le même secteur géographique ...
Oui, le projet est important, mais toujours pas de prise en compte de l'étalement urbain, de la necessité de construire ce type de grands équipements au plus prés de la population et non déconcentré en peripherie dans des communes à faible population comme Quint.
Deplacer ces cliniques du Parc et du Languedoc dans le secteur de la piste de Montaudran aurait eu du sens, l'argent immobilisé pour l'échangeur 17 bis qui n'a rien d'urgent aurait pu servir à ameliorer la desserte du Campus Montaudran par tramway, metro etc.
La clinique du sport a mieux pensé son démenagement en choisissant la route d'Espagne en participant ainsi activement à l'amenagement d'un pole majeur de la ville.
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Deux gros fonciers dans des secteurs de la ville (Saint-Michel et La Terrasse) seront de fait libérés. A suivre...
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la clinique saint jean du languedoc, c'est pas vraiment la terrasse mais l'ormeau, donc montaudran.
Par contre je ne comprends ce déménagement de cette clinique de 300lits , ces bâtiments sont assez récents, et les immeubles paraissent peu réutilisables si ce n'est en établissement de santé. Je me demande si cette opération est rentable pour le propriétaire capio
Dernière modification par midi.31 (14-10-2010 12:31:54)
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invité01 : de quelle clinique parles-tu de Saint-Jean à l'Union ou as-tu confondu avec Saint-Jean de La Terrasse (j'ai moi-même une confusion sur les noms) qui se trouve effectivement dans le coin ?
On peut envisager une configuration un peu comme Ambroise Paré et Pasteur autour des Arènes. Or toutes les deux fonctionnent bien me semble-t-il.
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