Biennale de Venise

“French Touche,” : Un hold-up parfait !!!
ARCHICOOL - 17/03/2008

L’annonce de la nomination de Francis Rambert, ancien journaliste au Figaro, au poste de commissaire du pavillon français à la prochaine biennale d’architecture de Venise, est en soi finalement assez prévisible, mais tout de même franchement décevant. Pour l’heure il est annoncé que notre nouveau commissaire, a invité0101010101 le collectif d’architecture “french touche,” pour meubler notre petit pavillon national.

Mais au fait ou en sont-ils ? Une visite rapide sur leur site nous donne quelques indications sur leur devenir : Citation : (...)

[...]/cgi-bin/presse/pg-newspro.cgi?id_news=4113

Lunettes noires pour teints pâles

Archicool 02/09/2008

Le site du ministère de la culture et de la communication, nous propose les videos autopromotionnelles de la DAPA pour l’opération “ pavillon français à la Biennale d’architecture internationale de Venise. ), sur titrées ( par archicool.com,) : “ Les gens d’art de Saint-Toupet.” en attendant " “ Les bronzés font de l’architecture”

Sur fond de monuments parisiens, nos “monuments ; meilleurs de nous mêmes” nous révèlent leur épaisseur.
A voir, regarder et entendre sur :
http://www.culture.gouv.fr/culture/actu … ndex-9.htm

[...]/cgi-bin/presse/pg-newspro.cgi?id_news=4611

Le Pavillon de la France à Venise sous la bannière de la GénéroCité (+portfolio)

La réponse apportée à une thématique aussi vaste que celle proposée cette année par la Biennale de Venise ("l'architecture au delà des bâtiments), peut être d'ordre conceptuel - de nombreuses installations en témoignent dans la corderie de l'Arsenal) - ou bien ancrée dans le réel et le concret : c'est le choix effectué par le Pavillon de la France, les architectes du collectif French Touch et Francis Rambert, commissaire du Pavillon, sous la bannière GeneroCite.

(...)
http://www.lemoniteur.fr/actualite/arch … FFF436.htm

Batiactu, 15/12/2009

[...]

Nicolas Sarkozy a indiqué qu’il retenait le thème « Metropolis » pour le pavillon français de la biennale d’architecture de 2010, dont le commissaire sera Dominique Perrault.

http://www.batiactu.com/edito/grand-par … -24784.php

Edit
Le Moniteur, 16/12/2009

Perrault à la tête du pavillon français à Venise

[...]

http://www.lemoniteur.fr/159-culture/ar … s-a-venise

Dernière modification par micou (16-12-2009 17:54:14)

Bonsoir! un petit post rapide pour vous faire par de mon expérience de la Biennale d'Architecture de Venise.

Il se trouve que j'ai eut la chance de visiter Venise pour la première fois il y a un mois. Je ne m'étendrais par sur la beauté et la magie de cette ville incroyable, improbable, qui semble sortie d'une imagination débordante d'un enfant.

En bon étudiant passioné d'archi, je me devait une visite au site de la Biennale. Evidement la Biennale c'est en septembre et j'y étais en avril. Mais rapellons rapidement que le site de la Biennale, au sein des Giardinis (le jardin public de Venise) acceuille depuis 1894 divers pavillons permanents construit au fil du temps par certains des plus grands architectes du XX siecle (Aalto, Hoffmann, Rietveld, Scarpa, Stirling) afin d'accueillir les expositions des différents pays. Ce sont des architectures exceptionelles, en lien avec le lieu, avec des grandes parois de verre pour certains, des pans suspendus, des facades millimétrées... C'est l'un des lieux ou s'imagine l'architecture et le monde de demain, la ville, le design, le futur.

C'est donc hors biennale que j'ai traversé les giardinis pour découvrir mes premiers Aalto, Striling, Rietveld et Scarpa, avec une grande émotion je doit bien dire, celle qui envahi celui qui connait des batiments sans les avoir jamais vu. Et là surprise: hors biennale, le site est comme abandonné. Les parois de verre et les facades suspendues, les dispositifs faisant communiquer les espaces intérieurs et extérieurs sont recouverts de plaques de bois agglomérés mal appareillés, visant à protéger les pavillons. Ces pans de bois amovibles remonte sur 3 à 4 metres de haut et emballent le bas de tout les batiments, les rendant totalement méconnaissable notaments les plus modernes d'entre eux. Pire, le sol entier du jardins et jonché de papiers, de plastiques, de pieds de parasols, de vielles chaises, de lanieres, de tout ce bordel qui sert a emballer les ouevres d'arts ou à faire des pavillons temporaires lors des foires. Le tout laissé là abandonné au milieu d'un jardin défiguré, entouré de chez d'ouvre de l'architecture eux aussi insultés et altéré par des panneaux de bois. Comme un grand monument à l'inutilité du débat architectural, à la bétise du language éllitiste, comme si l'architecture moderne c'était bien pendant un mois, que le renouvellment urbain ou le dévelopment durable c'est bien pendant l'expo, mais que à la fin on laisse tout ça là en plan, et puis merde on vas pas ranger quand même, on emballe rapidement les batiments pour la prochaine fois, comme on mets une vielle bâche grise autour du joli canoë jusqu'a l'été prochain.
   En sortant de là je me suis demandé à quoi pouvait bien servir tout cela. Comment un tel endroit d'un telle qualité peut-il etre abandonné à son sort la plupart du temps. Comment le débat architectural peut bien crée un espace que je qualifierais de décharge d'art comtemporain?

Dernière modification par invité05 (02-06-2010 02:12:16)

Le Moniteur, 16/07/2010

Rem Koolhaas et Kazuo Shinohara, Lions d'Or

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http://www.lemoniteur.fr/157-realisatio … lions-d-or

Le Moniteur, 2/09/2010

12e Biennale d'architecture de Venise : une édition élégante et convaincante

Sous l'impulsion de Kazuyo Sejima, Venise propose actuellement une de ses meilleures Biennales d'architecture. L'idée de l'architecte japonaise, directrice de cette 12e Mostra, était de créer les conditions d'une rencontre personnelle avec l'architecture. Frédéric Lenne, directeur du département Architecture du Groupe Moniteur, estime qu'elle a abouti de manière très fluide à de multiples présentations où la grâce est souvent présente.

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http://www.lemoniteur.fr/159-culture/ar … nvaincante

Quand les architectes redécouvrent la sobriété
CATHERINE SABBAH    Le 08/06 à 07:00

Après vingt ans de projets iconiques et sur fond de disette publique, l'architecture repart en quête de sens. A Venise, la Biennale met en avant les initiatives modestes et désigne l'ennemi : les mètres carrés inutiles.

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http://www.lesechos.fr/idees-debats/edi … tor=CS1-33