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Je crée ce sujet de façon opportuniste, pour héberger cet article, mais il peut devenir le lieu de discussion sur l'agriculture périurbaine, sujet à la mode ces derniers temps...
ANNE-LAURE ABRAHAM - Le Parisien - 25.02.2011
Les maraîchers s’en sortent mieux que les horticulteurs
Le nombre d’exploitations agricoles ne cesse de baisser depuis des années dans le département. Malgré ce déclin, les producteurs de fruits et légumes arrivent à tirer leur épingle du jeu.
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La Communauté d'Agglomération Grenoble Alpes Métropole (La Métro) vient de lancer un appel à candidature pour exploiter 10 parcelles agricoles sur son territoire (contreforts du Vercors).
Appel à candidature parcelles agricoles Vouillants
La Métro propose des contrats de prêts à usage à des agriculteurs sur 10 parcelles agricoles, situées sur le site des Vouillants, communes de Fontaine et de Seyssinet-Pariset.
Les agriculteurs intéressés pourront obtenir toutes informations auprès Mme BERNARD : 04 76 59 40 16
Les dossiers de candidatures sont à retirer à la Métro auprès de Mme RIFFARD : 04 76 59 40 19
Critères d'éligibilité : statut de l'exploitant (agriculteur à temps plein) - utilisation des parcelles et importance économique pour l'exploitation - localisation de l'exploitation
Date limite de dépose des candidatures par écrit : mardi 1er mars 2011
La Métro
Je ne sais pas où se situent exactement ces parcelles mais a priori c'est par là. On voit bien que l'on est à 2 pas (mais un peu en hauteur) de la ville...
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Presqu'île : des champs à sauver
A l'heure où les terres agricoles disparaissent, le territoire de la presqu'île ne fait pas figure d'exception. La spéculation foncière est même très forte sur ces parcelles agricoles.
http://www.labaule.maville.com/actu/act … 0_actu.Htm
L'agriculture aidée pour résister à la pression
Difficile pour les 246 exploitations agricoles de Cap Atlantique de résister à la pression immobilière.Un partenariat va permettre de limiter le mitage des terres et définir des orientations.
[...]
« Notre inquiétude concerne le foncier et aussi le loisir comme les terrains de golf, grands consommateurs d'espace. »
http://www.labaule.maville.com/actu/act … 9_actu.Htm
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L'Association pour le Développement de l'Agriculture dans l'Y Grenoblois a été créée en 1984 par les collectivités intercommunales et les organismes consulaires pour définir et mettre en œuvre la politique agricole et forestière sur l’Y grenoblois.
L’ADAYG et ses membres mènent cette mission de développement agricole et forestier en :
- développant une agriculture et une filière bois à réelle dimension économique offrant des produits de qualité pour le marché local comme pour le marché extérieur,
- en gérant un environnement de qualité combinant les besoins de la production et les autres usages de l’espace agricole et forestier,
- en favorisant une agriculture et une filière bois reconnues par tous, prenant en compte les demandes des citadins.
L'ADAYG intervient sur 115 communes situées dans l'Agglomération Grenobloise, le Voironnais, le Grésivaudan, le Balcon sud de Chartreuse et le secteur sud. 79 de ces communes comportent une zone de montagne. On totalise sur ce périmètre 1600 exploitations pour une surface agricole utilisée (SAU) de 31 000 hectares.
[...]
L’Y Grenoblois, c’est d’abord un territoire qui doit son nom à la figure que dessinent les vallées de l’Isère et du Drac, entouré par les massifs de Chartreuse, Belledonne et du Vercors.
L’Y Grenoblois, c'est enfin trois types d'espaces agricoles caractéristiques.
- Une plaine agricole très riche grâce à une terre limoneuse et une nappe phréatique à moins de 3 mètres de profondeur. C'est la zone de la grande culture et du maraîchage.
- Des coteaux : les coteaux spécialisés dans le Grésivaudan et le Voironnais accueillent de l’élevage, de l’arboriculture et de la viticulture.
- La montagne où subsiste encore de l’élevage et quelques petits bassins laitiers, alors que la déprise agricole a gagné le reste.
[...]
Depuis 2002, les produits locaux et les fermes d'accueil de l'Y grenoblois ont leur signature : "Terres d'ici, agriculteurs de l'Y grenoblois".
Depuis près d'une dizaine d'années déjà, cette marque identifie les produits du terroir et les fermes d'accueil qui respectent un cahier des charges strict, dont les quatre engagements essentiels sont :
1. le respect de l'environnement,
2. la garantie de l'origine "Y grenoblois",
3. la qualité de l'accueil, l'information et les services,
4. la transparence de la démarche.
[...]
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J'en profite pour signaler le vignole du domaine de candie sur la commune de Toulouse
http://www.toulouse.fr/tourisme/actuali … 28/3122756
http://www.bienvenue-a-la-ferme.com/hau … 661-136507
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Projet d'étudiants en architecture qui invente l'agriculture sur dalle comme moyen de faire des sutures en ville.
Au delà des nombreuses fautes d'orthographe, je ne suis pas qualifié pour évaluer un projet diplômant d'architecture. Mais en tant qu'ingénieur, je ne suis pas convaincu de la pertinence économique (coût du foncier, coût d'entretien des structures en comparaison aux revenus directs - production - et indirects - espaces verts - de la chose) et agricole (possibilité de cultiver sur dalle, résolution de la pénurie alimentaire à venir par de telles interventions) du projet.
Le Courrier de l'Architecte
L’agriculture urbaine pour construire la ville
Construire la ville sur la ville c'est prendre en compte ses blessures, "penser" ses plaies. Les artères ferroviaires sont les plaies ouvertes du grand Paris, elles sont des ruptures urbaines sous optimisées traversant ou formant des limites. L’ambition est de formuler un site exemplaire en matière d'environnement.
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Exemple d'agriculture périurbaine...
L'année dernière (juin à octobre 2010), la Ville de Grenoble (entre autres) avait mis en place un projet intitulé "Bouillon de cultures" dont le but principal était d'accueillir un potager hors-sol sur le toit de la bibliothèque municipale du centre ville. Il me semble que cette année, cette expérience sera renouvelée...
Bouillon de cultures
Cet été, la terrasse de la Bibliothèque Centre ville accueille un potager biologique hors sol : un projet original mariant développement durable, écocitoyenneté et technologies innovantes.
Entièrement autonome du point de vue énergétique, ce jardin montre qu'il est possible de produire des fruits et légumes en ville à partir de graines et d’engrais biologiques, sans avoir recours à des pesticides et des herbicides, tout en apportant une solution esthétique à la gestion climatique d’un bâtiment.
[...]
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Christophe Bayle - Metropolitiques - le 20/04/2011
Les lisières, territoires d’innovation pour le Grand Paris
Comment aménager les franges agricoles de l’agglomération parisienne ? Alors que l’engouement pour l’agriculture de proximité suscite parfois des réserves, Christophe Bayle propose une vision ménageant à la fois les grandes cultures et l’agriculture urbaine. S’inspirant de l’approche de l’entre-ville développée par Thomas Sieverts, il esquisse des pistes pour le « projet périurbain » appelé de ses vœux par Martin Vanier.
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Roland Vidal - Metropolitiques - 18/04/2011
Entre ville et agriculture, une proximité à reconstruire
Mais lorsqu’on délocalise des cultures à faible rendement pour les produire dans des régions situées à quelques centaines de kilomètres et où les sols et les climats sont plus favorables, l’énergie dépensée en transport est largement compensée par celle économisée à la production. C’est le cas de nombreux fruits et légumes produits dans l’Ouest ou dans le Sud de la France et consommés à Paris. Ici, l’efficacité économique, qui a motivé nombre de délocalisations agricoles depuis plus d’un siècle, se double d’une efficacité écologique : l’écologie d’échelle rejoint l’économie d’échelle (Schlich et al. 2006). Pourtant, la mode des locavores s’installe de plus en plus dans les discours et transparaît dans de nombreux projets d’aménagement. On pourra s’interroger, d’ailleurs, sur le fait que les locavores s’intéressent à ce qu’ils mangent mais ne prêtent guère d’attention aux productions industrielles qui, pourtant, représentent 70 % des marchandises transportées alors qu’elles sont indépendantes des sols et des climats…
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Message de Djakk sur le sujet "L'urbanisation et le territoire (étalement urbain)":
djakk a écrit:
à Mouans-Sartoux (au-dessus de Cannes, pas loin de Sophia-Antipolis) la ville a préempté 4 hectares de terrain (contre des promoteurs) pour produire des légumes destinés à la cantine de l'école municipale.
http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet … 8_actu.Htm…
Arboricultrice quinquagénaire, elle a été embauchée, en mars, pour cultiver les 4 ha du Domaine de Haute-Combe. Dans cette région où le terrain vaut de l'or, la municipalité a préempté ces terres, les arrachant à un promoteur.
1 200 repas par jour
Quinze tonnes de légumes certifiés bio : c'est l'objectif fixé, pour la première année d'exploitation. « Ça permettra de couvrir la moitié des besoins des cantines, explique Gilles Perole, adjoint au maire chargé de l'éducation. En 2012, on essaiera d'assurer 100 %. »Un projet entre urbanisme (la commune choisit d'avoir des champs) et développement durable, j'adore <3
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À Nice, les futurs aménagements de l'OIN Eco-Vallée, dans la plaine du Var, sont l'occasion de repenser la façon dont s'insère et s’insérera l'agriculture dans un milieu urbain ou semi-urbain. La plaine du Var était à l'origine une terre maraîchère et horticole, mais ces espaces ont petit à petit été grignotés par des activités diverses (bureaux, casses autos, centres commerciaux, routes, etc.) notamment à partir des années 70. Aujourd'hui c'est un mille-feuilles où les terres agricoles sont réduites au minimum, beaucoup des exploitations restantes étant en fait abandonnées... Il n'y a bientôt plus qu'au nord de l'autoroute A8 que l'agriculture est réellement présente.
À ce sujet, un article de Nice-Matin paru le 04/10/2011 :
L'horticulture niçoise peut-elle survivre à la poussée urbaine?
Une vingtaine d’exploitants cultivent encore renoncules, mufliers ou œillets. Ils étaient trois fois plus nombreux dans les années 80. Malgré ce déclin, des projets s’apprêtent à germer dans la plaine du Var.
(...)
Pour répondre à la demande et préserver la floriculture niçoise, des pôles sont prévus dans le cadre de l'Opération d'intérêt national (OIN). Les jeunes exploitants pourront y louer des terrains et ainsi cultiver à leur tour renoncules, gerberas ou œillets made in Nice. Des fleurs très prisées qu'on retrouve au marché aux fleurs du cours Saleya. La vitrine privilégiée de l'horticulture niçoise.
http://www.nicematin.com/article/nice/l … ee-urbaine
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et encore il y a l'énorme zone industrielle de Carros qui a dû bouffer au moins 1/3 des terrains agricoles de la plaine du Var :\
Au moins la ville de Nice protège son "patrimoine économique floral" … hein Antibes !
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Sybille Vincendon - Grand Paris et Petits Détours - 15/11/11
A Paris en 2030, la campagne à la ville?
A quoi ressemblera Paris en 2030? Vendredi 18 novembre, la ville de Paris présentera une série de recherches sur ce thème au cours d'une journée de colloque dont on trouvera le programme ici. Cette semaine, Libération, partenaire de cet événement, met un coup de projecteur sur une sélection d'études issues du programme Paris 2030. A suivre aussi sur Twitter avec le hashtag #paris2030.
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Anne Lenormand, Localtis.info, 2 décembre 2011
Terres agricoles périurbaines : les Safer appellent les collectivités à agir contre le gaspillage
Réunies en congrès le 1er décembre à Paris sur le thème de l'aménagement durable dans les zones périurbaines, les Safer ont une nouvelle fois alerté sur la nécessité de maîtriser le foncier pour préserver le potentiel agricole et l'environnement face à l'urbanisation galopante.
(...)
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"L’Adayg est sacrifiée sur l’autel de l’économie et de la politique"
C’est fini. Fini après près de 30 ans de bons et loyaux services rendus à la politique agricole périurbaine. L’Adayg (Association pour le développement de l’agriculture dans l’Y grenoblois) rendra l’âme le 31 décembre.
[...]
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Certaines pratiques agricoles réconcilient nature et agriculture : cultiver sans labour : vers de terre conservés, cultures compagnes (luzerne + blé)
http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-C … filDMA.Htm
Je pense que c'est un article intéressant à poster pour PSS : de nos jours on intègre dans l'aménagement du territoire la sauvegarde des terres agricoles … mais les terres agricoles ressemblent à des usines, les haies sont réduites à une bande d'herbe, plus de place à la nature : pas très vendeur !
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Un débat avait été organisé sur ce sujet en Octobre dans l'émission "CO2 mon amour", sur France Inter. On peut l'écouter ici : http://www.franceinter.fr/emission-co2- … rizon-2050
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Intervention intéressante de Florence Leray sur l'agriculture (péri)urbaine, dans l'émission "Les villes demain" (sur France Inter) citée par le renard dans un autre sujet.
En France
Il existe un outil légilsatif pour la Protection des Espaces Naturels Agricoles Périurbains (PENAP), créé dans le cadre de la loi du 23 février 2005. Il a un double rôle :
> il permet de sanctuariser les terres autour des villes, en les déclarant inconstructibles et en les destinant à la seule production agricole
> il permet aux agriculteurs de se projeter sur le long terme (80 % des exploitants agricoles ne sont pas propriétaires de leur terrain).
Les PENAP sont particulièrement utilisés en Rhône-Alpes (2 autres expériences à des échelles plus réduites existent également en France) : 3200 ha ont ainsi été protégés à Saint Étienne et 9000 ha dans le Grand Lyon.
+ mentionne l'association "Terre de liens" qui crée de l'épargne solidaire pour l'installation des agriculteurs.
L'agriculture urbaine dans le monde
800 millions de personnes concernées, 1/3 de la nourriture consommée en ville
Europe de l'est : 80% des urbains pratiquent l'agriculture intra ou péri-urbaine
Suisse : 21% des ventes agricoles se font à la ferme
Londres : 1000 jardins communautaires sur des terrains publics (1200 à New-York)
Tokyo : 2% de la surface totale de la ville consacrée à l'agriculture
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Un projet à Montevrain signalé par Sinha :
Epa-Marne
Le cœur agro-urbain
Le projet de cœur agro-urbain repose sur l’idée que l’agriculture doit renouer un contact direct et privilégié avec la ville. Il ne s’agit plus de voir la parcelle de l’agriculteur comme un terrain irrémédiablement disponible à l’urbanisation, mais plutôt de considérer celle-ci comme un élément remarquable de l’environnement et participant au fonctionnement de la ville.
Comprendre l’histoire et la géographie du lieu constitue le point de départ d’une démarche souhaitant impulser un projet ancré dans son territoire. Il s’agit alors de considérer la situation de basculement entre la vallée de la Marne et le plateau de Ferrières comme une donnée fondamentale du futur aménagement. De la même façon, la présence historique d’une activité agricole constitue une clé de lecture indispensable à la bonne compréhension du site.
Représentant une surface d’une vingtaine d’hectares, le projet de cœur agro-urbain aura donc vocation à accueillir une agriculture de proximité pour les Montévrinois(es), Chanteloupiens (nes) et autres habitants alentours. Cueillette à la ferme, vente en direct ou par l’intermédiaire d’une Association pour le Maintien de l’Agriculture Paysanne, le contact ne sera pas que spatial mais aussi social et économique. Ainsi, l’installation progressive d’une agriculture biologique se traduira notamment par la mise en place d’une activité de maraîchage et permettra de développer des emplois agricoles. L’activité de plein champ alliée à quelques cultures sous serres seront en mesure de nourrir un grand nombre de ménages déjà présents ou s’installant prochainement dans l’écoquartier. L’installation de jardins familiaux, communautaires et partagés donnera davantage d’épaisseur à la lisière urbaine.
Par ce projet, il s’agit de diversifier l’économie locale pour ainsi renforcer l’économie générale, la rendre plus résiliente. Ce n’est que lorsque le cœur agro-urbain prendra une réalité sociale, environnementale et économique que l’on pourra considérer que l’ancrage du projet, la greffe sera effective. A terme, le cœur agro-urbain pourra constituer le point de départ d’un véritable pôle agricole durable pour la ville nouvelle de Marne-la-Vallée. Il deviendrait alors le pendant du pôle « ville durable » qui se constitue actuellement dans le secteur de la cité Descartes.
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Michel Tendil, Localtis.info, 9 avril 2013
Quand l'agriculture "sert à tenir la ville"
(...)
C'est un travail de dentellière. Depuis quelques années, Nantes Métropole a entrepris de recenser toutes les friches agricoles sur son territoire dans l'espoir de les voir exploitées. Le territoire, qui regroupe 24 communes pour 600.000 habitants, compte encore 244 exploitations employant 14.000 personnes. Mais comme ailleurs, il connaît une disparition du nombre d'exploitants : -28% entre 2004 et 2012. Seulement, la surface agricole utile a été maintenue et n'a subi qu'une érosion de 3,5% sur la même période, grâce, notamment à des groupements d'agricultures sous forme de Gaec (groupements agricoles d'exploitation en commun).
(...)
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Pour illustrer l'article, qui parle de l'expérience new-yorkaise : http://inhabitat.com/nyc/top-5-urban-fa … /?extend=1
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Aurélie Cardona, « Participer à la transition écologique de l’agriculture », Métropolitiques, 10 juin 2013. URL : http://www.metropolitiques.eu/Participe … ition.html
Participer à la transition écologique de l’agriculture
Comment soutenir la transition de l’agriculture vers des formes plus respectueuses de l’environnement ? Aurélie Cardona montre le rôle moteur que peuvent prendre les mobilisations d’acteurs extérieurs au monde agricole. La transition écologique de l’agriculture devient ainsi l’affaire de tous.
(...)
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LE MONDE | 20.09.2013 à 12h12 • Mis à jour le 20.09.2013 à 13h11 |
Par Gilles van Kote
En Bretagne, le pari de l'économie circulaire
(...)
Comme une trentaine de ses confrères, il enrichit ses terres avec le compost riche en matière organique qu'il achète à l'usine de Lantic, nichée dans la campagne costarmoricaine, à trente kilomètres de là vers le sud, en direction de Saint-Brieuc.
Le compost est produit à partir des déchets ménagers collectés auprès des 40 000 habitants – et autant de touristes en été – de 34 communes rassemblées au sein du Syndicat mixte intercommunal de traitement des ordures ménagères (Smitom) de Launay-Lantic.
(...)
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P. Aiquel, La Gazette.fr, 15/11/2013
Une association nationale créée pour promouvoir la relation directe entre producteurs locaux et acheteurs publics
(...)
« L’idée était de rapprocher les marchés de la restauration collective des producteurs agricoles locaux. Pour cela, il fallait que toute la question de la commande publique soit prise en charge par le dispositif », explique le directeur du développement territorial de la Drôme, Francis Aynaud, inventeur du concept.
(...)
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