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ANDRE a écrit:
Le sud du massif central, la Lozère, l'Aveyron & co est bien connu pour son dynamisme économique.
J'espère que tu t'es rendu compte, après coup, des limites de ton raisonnement.
Le taux de chômage en NPDC et LR est sensiblement identique. La situation économique et démographique est tout aussi différente.
Tu fais un lien entre deux paragraphes de mon message que je ne fais pas et que je n'ai pas fait.
Je remets mon message pour bien enfoncer le clou :
En fait le nombre de création d'emplois et l'évolution démographique d'un endroit sont liés. Le dynamisme économique est une autre chose comme le montre cette carte. On remarque que l'IdF malgré sont relativement faible nombre d'emplois créés a un taux de chômage bas. On remarque bien aussi sur cette carte le "poumon économique" méditerranéen et la "dynamique économique Française (hors IDF)"avec le "delta du Rhône (Montpellier, Marseille)".
Les principales zones où le taux de chômage est le plus bas sont : l'IdF, la région lyonnaise, les 2 Savoie, la frontière suisse, le Bas-Rhin, le Massif Central (Sud) et une zone diffuse dans le Grand Ouest mais à l'intérieur des terres.
Il est indéniable qu'une des régions de France où le chômage est le plus élevé est "l'arc méditerranéen" de Perpignan à Fréjus (en gros) en passant par Montpellier et Marseille.
Dans mon deuxième paragraphe je citais les régions de France où le chômage est le plus faible et en aucun cas je n'ai parlé de dynamisme économique.
Toi par contre, tu semble faire un parallèle sur le taux de chômage de la région Languedoc-Roussillon et la région Nord-Pas-de-Calais. Il me semble que ces deux régions ont des histoires industrielles différentes.
Dernière modification par sdr51 (27-02-2015 10:04:26)
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La proportion d'emploi tertiaire non marchand dans l'emploi départemental au 1er janvier 2014 en France métropolitaine. J'ai traité l'Île-de-France comme UN département. J'ajoute quelques régions espagnoles pour comparaison (notez que la classification d'emploi espagnole est strictement la même que la classification française, puisqu'il s'agit d'une classification européenne uniforme).
Part de l'emploi tertiaire non marchand dans l'emploi total du département (lieu de travail) au 1er janvier 2014 :
- Lozère : 41,9%
- Corse-du-Sud : 41,1%
- Meuse : 39,2%
- Var : 39,2%
- Creuse : 39,1%
- Ariège : 38,7%
- Aude : 38,6%
- Meurthe-et-Moselle : 38,4%
- Hautes-Pyrénées : 37,6%
- Haute-Vienne : 37,2%
- Hautes-Alpes : 36,7%
- Somme : 36,5%
- Vienne : 36,5%
- Finistère : 36,4%
- Territoire de Belfort : 36,4%
...
- Hérault : 35,1%
- Pas-de-Calais : 35,1%
...
- Nord : 34,6%
...
- Bouches-du-Rhône : 33,3%
...
France de province : 32,6%
- Seine-Maritime : 32,5%
...
- Ille-et-Vilaine : 32,3%
...
- Gironde : 31,8%
...
France métropolitaine : 31,0%
...
...
- Isère : 30,7%
- Alpes-Maritimes : 30,6%
...
- Haute-Garonne : 30,4%
- Loiret : 30,4%
- Sarthe : 29,9%
- Bas-Rhin : 29,6%
- Savoie : 29,2%
- Loire-Atlantique : 29,1%
- Loir-et-Cher : 29,0%
- Rhône : 28,6%
- Deux-Sèvres : 28,5%
- Ain : 28,1%
- Drôme : 28,1%
- Mayenne : 27,9%
- Haute-Savoie : 27,8%
- Estrémadure : 27,1%
- Île-de-France : 25,8%
- Vendée : 25,6%
- Andalousie : 24,3%
- Pays basque : 22,4%
Espagne : 21,4%
- Communauté de Madrid : 21,2%
- Communauté valencienne : 19,3%
- Catalogne : 18,6%
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Par zone d'emploi
http://www.insee.fr/fr/themes/detail.as … -zone-2008
La crise depuis 2008 frappe partout, certaines villes plus que d'autres.
Je ne fais pas de commentaires, pour ne pas vexer certains.
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Effectivement, aucune gloriole à tirer pour aucune zone d'emploi. Ces chiffres sont stupéfiants.
Pratiquement partout les créations d'emplois sur la période 2007-2012 ont été divisées par deux voire plus par rapport à la période 2002-2007.
Une seule zone d'emploi en "progression" : Lille mais le chiffre est tellement bas, 10 000 emplois créés sur 5 ans, 2000 par an, c'est quasiment insignifiant pour une métropole de cette taille.
Des résultas très surprenants : Grenoble, Nantes, Rennes.
Strasbourg et Lille sont très bas, mais ces zones d'emploi n'ont pas une dynamique démographique qui nécessite la création de nombreux emplois. C'est plus inquiétant pour Montpellier, Toulouse, Nantes et Rennes.
En 2013 et 2014, tout le monde en négatif ?
Si on prend la moyenne annuelle 2002-2007 et qu'on l'applique à 2007 (année avant crise) et qu'on regarde ce qui reste pour 2008-2012, et qu'on divise par 4...
Et encore, il faut se rappeler que la période choisie 2002-2007, n'est pas "optimale", c'est pas une période où les créations d'emplois étaient très importantes car elle comprend la crise de 2001-2003 où le chômage a augmenté jusqu'en 2006.
Dernière modification par sdr51 (28-02-2015 00:31:42)
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Forcément les chiffres traduisent la période de crise économique. Cependant, je ne partage pas toutes vos conclusions. Par exemple, les chiffres sont particulièrement inquiétant pour la zone Aix-Marseille. La mauvaise performance persistante de Strasbourg est assez inquiétante. La chute pour Nice ou Grenoble est très sévère également.
Dans ce contexte peu de territoires résistent : Toulouse, Nantes ou Bordeaux surnagent encore un peu (merci l'industrie aéronautique). Lyon, Rennes ou Montpellier ne s'en sortent pas si mal. Et Lille connaît une très belle évolution ... une renaissance durable probablement
Dernière modification par Ptiloulou (02-03-2015 16:57:44)
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Je me suis amusé à comparer les taux de chômage de certaines zones d'emploi au 3ème trimestre de 2008, 2012 et 2014.
Le chômage s'est moins accru dans les zones où il était fort :
Accroissement (arrondi) du taux de 2008 à 2014 :
Nice 49 %
Rennes 40 %
Lyon 31 %
Toulouse, Bordeaux, Strasbourg, Montpellier 30 %
Nantes 28 %
Grenoble 27 %
Roubaix-Tourcoing 18 %
Lille 15 %
Marseille-Aubagne 12 %
Plus forts accroissements 2008-2012 :
Rennes 32 %
Nice 31 %
Lyon 26 %
Montpellier 23 %
Toulouse, Strasbourg 22 %
Plus forts accroissements 2012-2014 :
Nice 14 %
Nantes, Toulouse 8 %
Strasbourg 7 %
Taux de chômage au 3ème trimestre 2014 :
Roubaix-Tourcoing 14,6 %
Montpellier 13,7 %
Marseille-Aubagne 12,7 %
Lille 10,9 %
Nice 10,6 %
Strasbourg, Toulouse 10,3 %
Bordeaux 10 %
Lyon 9,2 %
Nantes 8,2 %
Grenoble 8,1 %
Rennes 8 %
Du plus fort au plus faible taux 2008 :
Roubaix-Tourcoing, Marseille-Aubagne, Montpellier, Lille, Toulouse = Strasbourg, Bordeaux, Nice, Lyon, Grenoble = Nantes, Rennes
Du plus fort au plus faible taux 2014 :
Roubaix-Tourcoing, Montpellier, Marseille-Aubagne, Lille, Nice, Toulouse = Strasbourg, Bordeaux, Lyon, Nantes, Grenoble, Rennes
Entre 2008 et 2014 :
- Montpellier désormais chôme plus que Marseille-Aubagne.
- Nice dépasse le surprenant binôme Strasbourg-Toulouse.
- Toulouse ne s'en sort pas si bien, sans doute à cause de son attractivité.
- Secoués, Rennes et Grenoble resistent, pour l'instant...
Dernière modification par Samuel S (02-03-2015 22:25:58)
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Oui c'est tout à fait ça et finalement l'écart entre les villes les plus touchées et les moins touchées s'est réduit. Merci pour ton analyse :)
Je pense que Nantes, Rennes, Grenoble ont vocation à repasser sous la barre des 8% voire 7%, quand ça ira mieux..
Dernière modification par Floch PC 11 (02-03-2015 22:24:59)
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Concernant la future métropole Aix-Marseille-Provence, le taux de chômage s'élève à 9,4% pour la zone d'emploi d'Aix-en-Provence, à 11,6% pour celle d'Istres-Martigues et à 12,9% pour celle de Salon-de-Provence.
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Voici l'évolution de l'emploi dans les zones d'emploi françaises depuis le début de la crise mondiale.
J'ai opéré plusieurs retraitements pour coller au plus près de la réalité des aires urbaines : je considère l'Île-de-France comme UNE zone d'emploi unique ; j'ai agrégé les zones d'emploi de Lyon, Villefranche-sur-Saône, Bourgoin-Jallieu et Ambérieu-en-Bugey sous le nom de "Lyon" ; j'ai agrégé les zones d'emploi de Marseille - Aubagne, Aix-en-Provence et Istres - Martigues sous le nom de "Marseille" ; j'ai agrégé les zones d'emploi de Nice et Cannes - Antibes sous le nom de "Nice" ; j'ai agrégé les zones d'emploi de Lille et Roubaix - Tourcoing sous le nom de "Lille" ; j'ai agrégé les zones d'emploi de Strasbourg et Molsheim - Obernai sous le nom de "Strasbourg".
Evolution de l'emploi total entre janvier 2008 et janvier 2013 :
- ZE de Toulouse : +39.018 emplois
- ZE de Lyon : +27.464
- ZE de Bordeaux : +25.378
- Île-de-France : +23.305
- ZE de Nantes : +22.635
- ZE de Marseille : +14.152
- ZE de Rennes : +12.266
- ZE de Montpellier : +10.497
- ZE de Lille : +10.428
- ZE d'Ajaccio : +5.727
- ZE d'Avignon : +5.696
- ZE de Toulon : +5.044
- ZE de Bayonne : +5.042
...
...
...
- ZE de Grenoble : +1.634
...
- ZE de Nice : -352
...
- ZE de Strasbourg : -1.854
...
...
...
- ZE de Valenciennes : -5.071
- ZE de Charleville-Mézières : -5.110
- ZE de Rouen : -5.575
- ZE de Cambrai : -5.945
- ZE de Mulhouse : -6.171
- ZE du Mans : -6.384
- ZE de Saint-Étienne : -6.396
- ZE de Limoges : -6.456
- ZE du Havre : -8.300
- ZE de Metz : -8.500
- ZE de Belfort - Montbéliard : -8.600
On constate que même si le département du Nord a enregistré une perte nette d'emplois, l'aire urbaine de Lille par contre a connu une hausse du nombre d'emplois.
Parmi les grandes aires urbaines françaises, Strasbourg est la seule à afficher un chiffre très mauvais avec une perte nette de 1.854 emplois. L'économie alsacienne est vraiment complètement déglinguée depuis une quinzaine d'années.
Dernière modification par Brisa (04-03-2015 01:20:14)
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D'ailleurs, tu avais annoncé une croissance cumulée d'emploi de 13,2% en Corse, soit +14 542 emplois. Et là je vois +5 727 emplois à Ajaccio. Que se passe-t-il en Corse pour que les chiffres soient si bons ?
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Brisa a écrit:
Voici l'évolution de l'emploi dans les zones d'emploi françaises depuis le début de la crise mondiale.
J'ai opéré plusieurs retraitements pour coller au plus près de la réalité des aires urbaines : je considère l'Île-de-France comme UNE zone d'emploi unique ; j'ai agrégé les zones d'emploi de Lyon, Villefranche-sur-Saône, Bourgoin-Jallieu et Ambérieu-en-Bugey sous le nom de "Lyon" ; j'ai agrégé les zones d'emploi de Marseille - Aubagne, Aix-en-Provence et Istres - Martigues sous le nom de "Marseille" ; j'ai agrégé les zones d'emploi de Nice et Cannes - Antibes sous le nom de "Nice" ; j'ai agrégé les zones d'emploi de Lille et Roubaix - Tourcoing sous le nom de "Lille" ; j'ai agrégé les zones d'emploi de Strasbourg et Molsheim - Obernai sous le nom de "Strasbourg".
...
Merci pour toutes ces données Brisa. J’essaie de déterminer les chiffres pour la ZE de Nancy, mais je n'arrive pas à trouver celles de 2013. Les aurais-tu par hasard ? merci
Pour l'instant je n'ai trouvé que -0.9% entre 2007 et 2011.
http://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/E … _ZE_OR.pdf
Dernière modification par stef54 (04-03-2015 10:03:57)
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Lambig a écrit:
D'ailleurs, tu avais annoncé une croissance cumulée d'emploi de 13,2% en Corse, soit +14 542 emplois. Et là je vois +5 727 emplois à Ajaccio. Que se passe-t-il en Corse pour que les chiffres soient si bons ?
Pour paraphraser Churchill : "Corsica is a riddle, wrapped in a mystery, inside an enigma."
PS : On peut aussi noter que malgré sa démographie galopante, la Corse a fait depuis le début de la crise mondiale une spectaculaire remontée dans le classement des régions en PIB par habitant. En 2007, le PIB par habitant de la Corse était le plus bas de toutes les régions de France métropolitaine. En 2013, la Corse est montée au 10è rang (sur 22 régions) !! En 2007, le PIB par habitant de la Corse était à 86,8% de la moyenne des régions de province. En 2013, il est monté à 96,5% de la moyenne des régions de province. Si ça continue comme ça, la Corse va finir par avoir un PIB par habitant plus élevé que la moyenne des régions de province.
Dernière modification par Brisa (04-03-2015 14:43:16)
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stef54 a écrit:
Merci pour toutes ces données Brisa. J’essaie de déterminer les chiffres pour la ZE de Nancy, mais je n'arrive pas à trouver celles de 2013.
Pour la ZE de Nancy on a -3.484 emplois de janvier 2008 à janvier 2013, soit -1,6%.
Pour la ZE de Metz c'est -8.500 emplois de janvier 2008 à janvier 2013, soit -3,9%.
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Merci pour ces chiffres. Est-il possible de les pondérer par l'évolution de la population durant cette même période ?
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Tout dépend de l'évolution de quelle population on parle. Population totale ? Population des 15-64 ans ? Population des 25-54 ans ?
PS : On peut aussi considérer que si une zone a une faible augmentation de la population, c'est parce que la croissance de l'emploi y est faible, donc c'est un peu l'histoire de la poule et de l’œuf... C'est la croissance de la population qui entraine la croissance de l'emploi (perspective très administrative française), ou c'est la croissance de l'emploi qui entraine la croissance de la population (perspective anglo-saxonne) ?
Dernière modification par Brisa (04-03-2015 21:15:49)
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Brisa a écrit:
stef54 a écrit:
Merci pour toutes ces données Brisa. J’essaie de déterminer les chiffres pour la ZE de Nancy, mais je n'arrive pas à trouver celles de 2013.
Pour la ZE de Nancy on a -3.484 emplois de janvier 2008 à janvier 2013, soit -1,6%.
Pour la ZE de Metz c'est -8.500 emplois de janvier 2008 à janvier 2013, soit -3,9%.
merci
Brisa a écrit:
PS : On peut aussi considérer que si une zone a une faible augmentation de la population, c'est parce que la croissance de l'emploi y est faible, donc c'est un peu l'histoire de la poule et de l’œuf... C'est la croissance de la population qui entraine la croissance de l'emploi (perspective très administrative française), ou c'est la croissance de l'emploi qui entraine la croissance de la population (perspective anglo-saxonne) ?
C'est le même dilemme que faire une politique de relance par la demande ou par l'offre.
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Aïe ça a l'air dur aussi pour Limoges. Cette grande ville est vraiment bizarre, personne n'en parle, personne ne la défend, personne ne la critique, pas trop connu en dehors de sa porcelaine et de son basket. Et puis, au niveau dynamique actuelle (économie, culture, université, grands projets), pas la joie...bref, elle laisse complètement indifférente.
Et j'ai traversé la ville une fois, je sais qu'on ne se fait pas des idées aussi vite, mais j'ai fais un bon de 30 ans en arrière...
Dernière modification par Floch PC 11 (05-03-2015 14:04:02)
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^^ C'est la fameuse diagonale du vide. Ça me fait cet effet là aussi quand je prends l'intercité entre Lyon et Nantes (vers Roanne, Moulins, Bourges et Vierzon).
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Sans doute y avait-il pour Limoges et le Limousin une autre voie, dans un Massif central ou Centre-Ouest, que ce redécoupage régional, arrivé trop tard, a définitivement fermée.
C'est vrai que le taux de chômage y a augmenté de 41,55 % entre 2003 et 2012 mais il était en 2012 à 9,2 %, soit à peu près le taux toulousain (9,1 %) et bien moindre qu'à Montpellier (12,9 %).
Dernière modification par Samuel S (05-03-2015 23:48:21)
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Floch PC 11 a écrit:
Aïe ça a l'air dur aussi pour Limoges. Cette grande ville est vraiment bizarre, personne n'en parle, personne ne la défend, personne ne la critique, pas trop connu en dehors de sa porcelaine et de son basket. Et puis, au niveau dynamique actuelle (économie, culture, université, grands projets), pas la joie...bref, elle laisse complètement indifférente.
Et j'ai traversé la ville une fois, je sais qu'on ne se fait pas des idées aussi vite, mais j'ai fais un bon de 30 ans en arrière...
Enfin Limoges attire des habitants, elle. On ne peut pas en dire autant de tout le monde...
Aire urbaine de Limoges : taux net de migration de presque +0,5% par an entre 2006 et 2011 (l'INSEE ne donne pas la 2è décimale, mais de mémoire quand j'avais fait le calcul c'était entre +0,45% et +0,50%).
Dernière modification par Brisa (05-03-2015 20:35:03)
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Je n'ai pas dis qu'elle a une démographie déclinante. Mais c'est une ville bizarre et étonnante à la fois. Malgré mes critiques, Samuel souligne le faible taux de chômage, tu soulignes une démographie positive...
Ceci dit, je pense que Limoges gagne un peu d'habitants par ce qu'elle a la chance d'être là ou elle est...c'est à dire à l'ouest d'un axe Rennes > Annecy.
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Floch PC 11 a écrit:
Je n'ai pas dis qu'elle a une démographie déclinante. Mais c'est une ville bizarre et étonnante à la fois. Malgré mes critiques, Samuel souligne le faible taux de chômage, tu soulignes une démographie positive...
Ceci dit, je pense que Limoges gagne un peu d'habitants par ce qu'elle a la chance d'être là ou elle est...c'est à dire à l'ouest d'un axe Rennes > Annecy.
C'est vrai qu'à fréquenter des métropoles où pululent les grues on s'étonne de l'apparent calme du centre du pays.
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Clermont est au centre et n'est pas "léthargique" ;)
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Floch PC 11 a écrit:
Clermont est au centre et n'est pas "léthargique" ;)
Une région centrale lui aurait peut-être permis d'exister plus.
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Rappelons que le Limousin devait être rattaché à la région Centre et que ce sont ses élus qui ont demandé à être rattachés à l' Aquitaine qui n'était pas demandeuse d'autant que le Limousin est la région la plus pauvre de France. Cela dit, Limoges n'est pas une ville désagréable , elle mérite mieux que sa réputation et est le siége d'une grande entreprise : Legrand.
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