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Une formation numérique européenne à Rennes
Accompagner la transformation numérique
Cette formation d’excellence académique - pas tout à fait comme les autres - est portée par une association internationale à but non lucratif, basée à Bruxelles. L’organisation EIT Digital milite pour accompagner la transformation numérique au service de la croissance en Europe. Elle connecte l’éducation, la recherche et le monde de l’entreprise pour accélérer l’innovation de l’économie numérique dans les domaines de l’industrie, de la ville ou de la santé.
De la technique et du business
À cheval sur huit pays, le master et l’école doctorale EIT Digital présentent un autre trait singulier. Celui d’apprendre à leurs élèves à raisonner comme des chefs d’entreprise pour faire éclore les jeunes pousses, en mixant les enseignements techniques et les compétences en affaires. « J’ai appris à construire un business sur la base de mes résultats de thèse. Ce n’est pas très fréquent dans une école doctorale classique », commente Wilfried Dron, jeune PDG de start-up, spécialisée dans l’autonomie des batteries.
A Rennes 1 depuis quatre ans
L’université de Rennes 1 accueille la « master school » EIT Digital pour la quatrième année consécutive. Professeur à l’ISTIC (unité de formation en informatique et en électronique de Rennes1), Guillaume Pierre est ravi : « Nos étudiants suivent certains des cours du master en anglais. C’est du très haut niveau. Ce genre de formation crée une émulation positive ». Taux de chômage à la sortie ? Proche de zéro, assure EIT Digital.
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Je suis passé vite fait, trop vite fait devant une affiche de Giboire avenue Charles Tilllon promouvant la réalisation d'un "Campus 4" . Si quelqu'un a plus d'information.
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Non c est pour rennes 1 ou rennes 2
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Une école de film d'animation va aussi voir le jour à Cesson rue de Paris : Creative Seeds
Manque plus qu'Ubisoft pour les stages
Dernière modification par Floch PC 11 (09-02-2017 19:56:31)
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Rénovation de l’amphithéâtre Renan au Campus de Villejean
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Selon la dernière enquête de l'AUDIAR , Rennes est le 8 ème pôle d'enseignement supérieur en France et le 1er pôle d'enseignement supérieur et de recherche du Grand Ouest .
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Charles Tillon
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Fonds pour la recherche. Les universités Rennaises à nouveau recalées
Les Rennais ont défendu un projet axé sur le numérique et le développement durable. Il n’a finalement pas été retenu. Les raisons de cet échec ? Manifestement le contenu des projets Rennais n’est pas en cause. Il faut plutôt regarder du côté de l’échec de la fusion des universités Rennes 1 et Rennes 2.
2010, 2011, 2015
Un coup dur pour le monde universitaire Rennais qui se fait recaler pour la quatrième fois : 2010, 2011, 2015 et 2017). En mai 2015, après avoir échoué pour l’obtention du fonds Idex, Guy Cathelineau, alors président de Rennes 1, avait expliqué que ce label « aurait permis de recruter des chercheurs et d’obtenir une reconnaissance internationale. Cette valeur ajoutée se décline aussi en postes, en contrats industriels et en plus forte attractivité du territoire ».
Les élus Rennais, Nathalie Appéré, maire de Rennes, et Emmanuel Couet, président de Rennes métropole, avaient aussi apporté leur soutien au projet.
Pour autant, les Rennais ne baissent pas les bras. Le travail réalisé en commun pour défendre le projet numérique et développement durable a eu le mérite de faire travailler tout le monde ensemble. Les universités espèrent postuler à nouveau aux futurs appels à projet.
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Aie aie aie, mais est-ce vraiment si surprenant ?
Les universités de Nancy, Dijon, Clermont, Pau, Nantes ont été labellisées en plus de Grenoble ou Montpellier. Les universités rennaises ne font maintenant plus vraiment partie du top20 nationale. Comment pourrait-on peser en Europe si nous n'obtenons même pas la reconnaissance française.
Le seul projet recalé...Encore un échec de la volonté d'internationalisation de Rennes.
Autre article
Rennes, seul recalé
Seul le projet de Rennes est recalé. L'IsiteForUniv n'a pas convaincu. Après la fusion avortée entre Rennes 1 et Rennes 2, le site se dirige vers un rapprochement inédit, mêlant les deux universités, l'ENS, Chimie Rennes, l'Insa et Sciences po. Objectif annoncé : la création, dès 2019, d'une nouvelle université intégrée "de type expérimental".
"Outre les compétences propres à une université qui se mettront progressivement en place jusqu'à la création [de la structure]en 2019, [les universités et écoles impliquées] ont également adopté le principe de la mise en œuvre, dès 2017, d'une signature unique des publications scientifiques", indiquaient les établissements dans un communiqué commun, le 10 février 2017. Pour le moment, les porteurs de projet ne souhaitent pas s'exprimer sur la décision du jury.
20 primés depuis 2011
Symboliquement, ces résultats marquent la fin de la sélection des Idex/Isite portés par le Programme d'investissements d'avenir annoncé en 2009 par Nicolas Sarkozy, alors président de la République. Depuis 2011, date de l'annonce des tout premiers résultats, 20 dossiers auront finalement obtenu le label : neuf ont aujourd'hui un Idex (Strasbourg, Aix-Marseille, Bordeaux, PSL, Sorbonne Universités, Saclay, Nice, Grenoble et Lyon), neuf un Isite (Lorraine, Bourgogne-Franche-Comté et Montpellier, Clermont, Nantes, Pau, Lille, Cergy et Paris-Est).
Nous payons évidemment l'échec de la non fusion.
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Sans vouloir déterrer la polémique, le problème de la fusion Rennes 1/2 rappelle tout à fait les problèmes de fusions communales. L'université Rennes 2 ne voulait pas perdre son "indépendance" et craignait de devenir une institution bis dans la nouvelle grande université. De plus, feu le conseil d'admin (ils ont démissionné, il ne sont pas morts ) craignait aussi de devenir minoritaire dans le futur CA de la grande université. Bref, des intérêts personnels, de la politique de bas étage et des querelles de clochers. Quand bien même, parce qu'apparemment ça ressemblait à cela, la fusion prenait plus la forme d'une annexion de Rennes 2 par Rennes 1, je ne vois pas comment ça peut empêcher les institutions de prendre en considération tous les avantages de la fusion.
*HS
D'ailleurs, je ne comprends pas qu'on assume pas les politiques d'extension des villes (encore faudrait-il qu'elles existent vous me direz) et qu'on parle de "fusions" là où il faudrait annexer tout bonnement, et où en pratique il y aurait, des annexions pures et simples. Le problème du mode actuel de fusion, même s'il offre un compromis permettant enfin de faire passer le pas à certaines communes, c'est qu'on garde le spectre des anciennes communes dans les communes nouvelles, en gardant souvent beaucoup trop d'élus, et pour ce qui est des communes urbaines, ça donne trop de pouvoir et de poids aux communes périphériques par rapport à la commune centre. Imaginez, une "fusion" de Rennes et sa banlieue, avec tout un tas de "maires délégués", là ou une annexion réglerait pas mal de problèmes potentiels et effectifs.
/HS*
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Oui , on ne va pas généraliser la qualité universitaire d'une ville à un simple label. D'autant plus que c'est davantage une question de forme que de fond comme il est précisé dans l'article.
Je ne vois pas vraiment où est ici le prestige sachant que pratiquement tous les candidats obtiennent le label y compris des petites universités .
Si on veut parler prestige, Rennes figure tout de même dans le classement de Shanghai et parmi toutes les villes que tu as citées , c'est quand-même Rennes qui as le plus grand nombre d'étudiants y compris étrangers et qui en attirent le plus chaque année.
N'est-ce pas aussi ça la meilleure reconnaissance nationale ?
De toute façon , les universités françaises font pâle figure à l'échelle mondiale comparé à d'autres établissements étrangers.
Dernière modification par zichiqou35200 (24-02-2017 23:55:27)
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Mouais, l'avantage n'est pas prestigieux, mais tout simplement pécunier. Quelques millions d'€ en plus pour la recherche, on ne crache pas dessus, surtout dans la recherche publique. Je ne suis pas sûr que les chercheurs rennais dédaignent tant cette labellisation manquée (et le chèque qui allait avec) parce que leur université est citée dans un classement parmi des centaines d'autres universités par ailleurs. Ça ne sert donc à rien d'essayer de relativiser la perte de cette subvention par des atouts et des chiffres qui n'ont rien à voir (Rennes a plus d'étudiants, ça ne la dispense pas de subvention, bien au contraire). Pour le coup, c'est une de perdue... une de perdue. Le classement de Shanghaï, le nombre d'étudiants étrangers, etc. ça ne finance pas la recherche. Les universités rennaises ne sont sûrement pas "trop bonnes" pour recevoir ce label et cette subvention, elles en ont besoin, au moins autant que les autres.
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Ah non, je n'essaye pas de relativiser la perte de la subvention . Si c'était superflu , la Ville ne se serait pas représentée autant de fois. Je dis juste que ce label mesure peu ou prou la notoriété internationale des villes.
Dernière modification par zichiqou35200 (25-02-2017 00:21:56)
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Communiqué de Jean-Yves Le Drian, Nathalie Appéré et Emmanuel Couet
Au-delà de la qualité scientifique du dossier rennais, qui n'est pas remise en cause, il semble que ce soit l'évaluation par le jury de la gouvernance d'ensemble qui s'est révélée pénalisante pour le projet.
Cette évaluation défavorable du système de gouvernance proposé par les acteurs de l'enseignement supérieur et de la recherche doit conduire chacun, grandes écoles comme universités, à travailler à un rapprochement plus étroit entre les différents établissements universitaires.
Dernière modification par zichiqou35200 (27-02-2017 11:28:37)
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Mouais mouais mouais...
C'est surtout ridicule de la part de l'État en fait. Rennes 2, pour des raisons tout à fait valables, n'a pas souhaité fusionner en 2015. Cependant les partenariats entre les deux universités existent depuis toujours. Elles montent un dossier, qui d'après tout le monde est très solide pour recevoir ces fonds d'État, et comme par hasard, Rennes est la seule refusée dès le départ. Du coup, ça relance obligatoirement la nécessité de fusionner.
Mais cette nécessité est basée sur du vide, sur une création étatique de toute pièce. Vous ne trouvez pas ça bizarre que ce soit Daniel Delaveau et Jean-Yves Le Drian qui soient interviewés pour évoquer les universités rennaises ?????? Sans crier au complot, vous n'arrivez pas à imaginer une seule seconde, que ce refus de financement était déjà préparé, les interventions médiatiques déjà organisées, tout ça pour mettre pression sur Rennes 2 ?
C'est Olivier David, actuel président de Rennes 2 qu'il faut interroger. Il fut élu sur la base de son refus de fusionner.
PS : Refuser des fonds de recherche aussi importants à un dossier qui le méritait, uniquement parce que le modèle suivi par les deux universités n'est pas celui souhaité par l'État, c'est selon moi extrêmement grave. On est très loin d'un modèle décentralisé où le local s'organise à sa vitesse et selon ses envies. Là on est dans un régime autoritaire qui en a rien à faire du fond (et des fonds du coup) et qui se base uniquement sur la forme. C'est vraiment enfantin et ridicule comme façon de faire. C'est du chantage vraiment mal placé qui met en danger des postes et affaiblit des unités de recherche.
Dernière modification par Paquito (28-02-2017 11:53:59)
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Exact, en réalité qui dit fusion dit menaces indirectes sur les financements de certaines filières et bien évidemment cela n'est jamais évoqué.
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On pourrait relancer un débat sur la fusion des deux universités. Deux ans après l'échec et le changement de présidence à Rennes 2, de nouvelles modalités pourraient être portées et les enjeux seraient alors modifiés.
Cependant, la question fondamentale qui se cache derrière l'échec de l'obtention de ce fonds étatique pour les universités rennaises peut être portée à l'ensemble des financements étatiques vers les collectivités ou les établissement publics telles que les universités. Le moyen de pression utilisé par l'État est scandaleux et questionne réellement la politique de décentralisation du pays. Vous me direz que c'est une pratique courante et vous aurez tout à fait raison. Néanmoins, ce cas précis est un modèle d'école pour comprendre tous les liens existant entre monde politique et monde de l'information. À ce niveau là, on peut en rire. Sauf que les conséquences peuvent être dramatiques. Ça me donne encore moins envie de lancer des discussions sur la fusion des universités en fait.
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On peut comprendre un des arguments de Rennes 2 : quel intérêt de fusionner si c'est pour courir après des fonds surtout fléchés vers les "sciences dures", filière traditionnelle de Rennes 1 ? Non seulement ils ne gagneraient pas au change, mais les sciences humaines se retrouveraient minoritaires dans la nouvelle université "fusionnée".
C'est d'ailleurs le point où les négociations achoppent : Rennes 2 veut autant de pouvoir décisionnel que Rennes 1 dans la nouvelle université. Mais Rennes 2 est plus petite que Rennes 1, donc no way.
Ajoutez à cela une défiance entre certains membres des deux entités, défiance qui remonte à la séparation pendant les années 70...
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Et l'État va venir pleurer ensuite car des manifestations perturbent le fonctionnement de Rennes 2 voire du centre-ville rennais
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walden35 a écrit:
Mais Rennes 2 est plus petite que Rennes 1, donc no way.
Effectivement, mais c'est de moins en moins vrai, quand on voit depuis le creux de la vague en 2008, les effectifs à Rennes 2 ont explosés (+46%) alors que ceux de Rennes 1 sont plutôt stables.
Par ailleurs je trouve ça un peu simpliste de parler de Rennes 1 la scientifique et de Rennes 2 la littéraire, après tout l'UFR (fac) de philosophie est à Beaulieu et dépend de Rennes 1, quand dans le même temps l'UFR APS (fac de sport) est rattachée à Rennes 2 et délivre par ce biais des master domaine sciences, santé, technologie. Rennes 2 dispose aussi d'un département de mathématiques / sciences sociales.
Par ailleurs les gens ont aussi tendance à réduire Rennes 1 au campus de Beaulieu, effectivement largement dominant en terme de superficie, mais le campus Centre accueille autant d'étudiants (8000 chacun) avec des disciplines à dominante sciences humaines et sociales.
Dernière modification par Lekt (01-03-2017 15:22:18)
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D'ailleurs précisons que des subventions de recherche manqueront probablement plus à Rennes 1 qu'à Rennes 2, les activités de recherche de la première étant plus importantes que celles de la seconde, et en recherche de nouveaux partenariats (notamment internationaux). Mais de l'autre côté, on peut faire une lecture inverse, en comparant les budgets des deux univ. D'après wiki, en 2013 le budget de R2 était de 106M€, là où celui de R1 (l'année n'est pas marquée) était de 286M€. Pour rappel, les derniers chiffres donnent environ 28000 étudiants pour R1 et 24000 pour R2, soit pas une si grand différence que ça. Donc peut-être qu'au final, les chercheurs de R2 auraient aussi pu profiter de la bourse.
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Paquito a écrit:
C'est surtout ridicule de la part de l'État en fait. Rennes 2, pour des raisons tout à fait valables, n'a pas souhaité fusionner en 2015.
Quelles raisons valables? Rennes 2 voulait la moitié des sièges au CA alors qu'elle comptait, à l'époque, pour bien moins de la moitié des effectifs de l'ensemble...
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