Montpellier Métropole - Vers le retour du Languedoc-Roussillon ?

"Accord : Un pacte à la santé de Montpellier"

(Communiqués de presse : 3M)

Source : 3M

Dernière modification par Chrispic (06-01-2017 19:00:26)

http://www.lagazettedescommunes.com/472 … -publique/

.Faut-il revoir la carte des régions ?
On ne peut que regretter le charcutage des régions et l’amateurisme avec lequel les choix ont été faits, plus souvent pour ménager des personnalités politiques que par cohérence historique et territoriale. Néanmoins, il serait irresponsable de revenir dessus trop rapidement et systématiquement, au risque d’engendrer des coûts et des bouleversements supplémentaires pour nos concitoyens et les fonctionnaires territoriaux. Il faut examiner les choses de façon beaucoup plus globale, mettre fin à la décentralisation désordonnée dans un souci d’efficacité et d’autonomie des collectivités territoriales. Il faut surtout travailler à une véritable simplification de notre organisation territoriale.

.    La réforme du Conseiller territorial était une bonne réforme. On ne peut pas d’un côté prôner la fin du millefeuille territorial et de l’autre se positionner contre ce qui relevait de la fusion entre conseiller départemental et régional. J’y suis donc favorable.

Ne rêvez pas trop! A la base il voulait alléger le processus de scission de certains départements à la marge des plus grandes régions. Apparemment il devrait choisir le retour des conseillers territoriaux.

Bienvenue à Montpellier !  

Source : La Gazette de Montpellier

Document très intéressant. Il manque néanmoins plusieurs points: la superficie, les déplacements etc...
Bientôt?

- Des EPCI à scalité propre qui forment, à la date de la création de la métropole, un ensemble de 400 000 habitants et dans le périmètre duquel se trouve le chef-lieu de région ; cela concernait Montpellier. (n°29)

=> ici

Cyr34 a écrit:

Frédéric Bort s’interroge sur l’utilité de la réforme des fusions des régions : «il n’y a eu aucune compensation pour Montpellier. Aucune aide pour construire une grande intercommunalité et l’étendre jusqu’à Nîmes. L’État ne fait rien. Il faut se réveiller pour les élections législatives pour rattraper ce retard».

=> Frédéric Bort : «Montpellier maltraitée par Paris»

Source : e-Métropolitain

Je ne suis pas convaincu que l'Etat veuille faire ca ni aujourd'hui ni plus tard...

Faire ca, ca serait creer un mastodonte de plus d'un million d'habitants qui viendrait remettre en question tous les equilibres du sud de la France.

"Philippe Saurel garde un oeil sur l’hôtel de Région"   

Sur la quartier d’Antigone, Philippe Saurel anticipe «car il y a là toute une série d’administrations qui peuvent laisser leurs locaux en désuétude à cause du transfert des administrations à Toulouse et à cause de la réforme territoriale qui donne à Toulouse le titre de capitale régionale. Donc un certain nombre d’administrations risquent de partir de Montpellier vers Toulouse. Nous avons anticipé cela et nous avons positionné un périmètre d’étude qui passe le Lez et englobe l’Hôtel de Région».

Le maire de Montpellier estime «qu’à terme il n’y aura pas deux Hôtels de Région à Toulouse et à Montpellier. Sinon cela veut dire que la réforme territoriale est un fiasco. Ce que je pense mais bon… Cela veut dire deux lieux, deux administrations alors que la réforme territoriale a été faite pour simplifier et réformer l’État». Philippe Saurel a ainsi souhaité que le périmètre d’étude passe derrière l’Hôtel de Région «comme ça si un jour l’État vend, nous pourrons préempter et nous aurons une possibilité d’intervention».

=> ici

Source : e-Métropolitain

http://www.toutmontpellier.fr/le-festiv … 34924.html

Le Festival Radio France… s’éloigne de Montpellier !

Le festival s’appelle désormais Festival Radio France Occitanie Montpellier, c’est la première année que le nom de la ville passe en second depuis sa création. Autre annonce, la Première du Festival n’aura plus lieu à Montpellier mais dans une commune du nom de Pibrac), le lundi 10 juillet 2017

Le festival s’étend désormais sur différentes communes de toute la région, mais il y aura moins de manifestations à Montpellier.

PETIT RAPPEL : 

14ème législature

Question N° 1924 - de M. Edouard Philippe (Les Républicains - Seine-Maritime ) - Question au gouvernement

Question publiée au JO le : 05/06/2014
Réponse publiée au JO le : 05/06/2014 - page : 3745

RÉFORME TERRITORIALE => <=

Edouard Philippe est nommé Premier ministre 

Source : Assemblée Nationale / Le Gouvernement

"Carole Delga promet un Big Bang des agences régionales"

La présidente du Conseil régional Occitanie, Carole Delga, lors d'un Petit déj organisé par La Lettre M le 15 juin, a procédé à une revue de détail de son plan d'actions sur les années à venir sur de nombreux sujets : investissement, infrastructures, transports, entreprises, formation, etc. Louant le duo formé avec l'État, elle a néanmoins appelé à un renforcement de la décentralisation et des compétences régionales...
Les agences régionales : « Les agences économiques que sont Madeeli, Transferts, Sud de France Développement, Invest Sud de France et LR SET vont fusionner au 1er janvier 2018. Cette agence unique sera donc compétente sur des sujets tels que l'innovation ou l'attractivité, et disposera d'antennes territoriales positionnées dans les Maisons de la Région (dans chaque département, NDLR) pour accompagner les entreprises dans leurs projets de développement, d'export, etc. De la même façon, nous aurons un seul comité régional du tourisme, une seule agence de l'aménagement, et nous allons créer une agence de l'énergie par effet de réorganisation. Certaines d'entre elles auront leur siège à Montpellier. Nous arrêterons ce nouveau schéma à la rentrée »...
Les Maisons de la Région : « C'est un dispositif qui existait dans l'ex-Languedoc-Roussillon, et que nous étendons à l'ex-Midi-Pyrénées. Elles interviennent dans le développement économique, pour l'accompagnement des entreprises, et ce en partenariat avec les intercommunalités et les acteurs consulaires : il n'y aura pas de concurrence entre nous. Elles auront aussi des compétences sur la formation et l'emploi, ainsi que les transports - le Conseil départemental de l'Hérault vient d'ailleurs de nous transférer 30 agents sur cette thématique. Nous allons construire une Maison à Nîmes sur la zone du Triangle. À Montpellier, elle sera installée dans la future Cité de l'économie nouvelle. Et à Béziers, nous venons d'acquérir du foncier. »...
Les Cités du numérique : « Nous travaillons sur deux projets, qui ne seront pas du copier/coller. À Toulouse, nous allons créer, dans les Halles Latécoère, un campus autour de l'innovation, qui disposera d'une pépinière, d'un FabLab, et accueillera des mentors. À Montpellier, cette Cité de l'économie nouvelle sera plus orientée vers les métiers de demain. Nous veillerons à sa complémentarité avec des structures qui ont fait leur preuve comme le BIC. Le lieu reste à définir. La mise en service est prévue pour 2019. »...

Anthony Rey

Objectif L.R 15/06/2017

(Hors sujet) Futur : "Languedoc-Roussillon - Population" (2013 -> 2050)

Hérault :  1 092 300 -> 1 383 500
Gard : 733 200 -> 844 700
Pyrénées-Orientales : 462 700 -> 549 500
Aude : 364 900 -> 439 000
Lozère : 76 600 -> 87 000

Languedoc-Roussillon : 2 729 700 -> 3 303 700 

"Gard : un territoire autour du Rhône ?"

Trois villes et seize intercommunalités d'Alès à Avignon en passant par Nîmes et Arles discutent coopération.

Au-delà du Rhône, la création récente de la grande métropole autour de Marseille provoque un véritable séisme territorial. à terme, la probable évolution du département des Bouches-du-Rhône poussera inévitablement les territoires autour d'Avignon et Arles à repenser leur avenir.

Ce n'est sans doute pas un hasard si depuis de long mois, en toute discrétion jusqu'ici, une réflexion commune à dix-neuf collectivités vauclusiennes, bucco-rhodaniennes mais également gardoises, s'est engagée à l'initiative du Grand Avignon. Cette réflexion, jusqu'ici technique, a consisté à évaluer les intérêts communs à ces territoires autour du Rhône et les éventuels bénéfices à retirer d'une coopération.

Le chiffre : 1,15

C’est en million d’habitants, ce que représente le territoire des 16 intercommunalités. Atout : il se hisse au 5e rang des métropoles françaises avant Bordeaux et Toulouse. Inconvénient : il est assis sur deux régions distinctes : Paca et Occitanie. Anecdote : Les Agglos de Nîmes et Alès ont appris à travailler ensemble par la voie associative puis en 2012, elles ont été parmi les premières en France à créer un pôle métropolitain...

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"Ce n'est pas la préfiguration d'un pôle métropolitain mais il paraît logique que nous travaillons ensemble, que nous échangions", confie Juan Martinez, président de la communauté de communes Beaucaire-Terre d'Argence. Ce dernier souligne toutefois ses limites : "Nous ne sommes pas une île, nos concitoyens vont à Arles, à Nîmes ou à Avignon mais si nous avions voulu fusionner avec l'Agglo de Nîmes ou une autre, on l'aurait fait. Notre démarche n'est donc pas d'intégrer un grand truc".

Du côté des agglomérations de Nîmes et d'Alès qui participent également aux discussions, la démarche est également très cadrée. "Je n'ai aucune objection à travailler avec Avignon et Arles, au contraire, je trouve que ça a du sens notamment au niveau touristique. Mais je ne veux aucune architecture qui alourdirait le millefeuille territorial actuel", souligne le président de Nîmes métropole Yvan Lachaud.

Lequel confie que la coopération engagée avec les intercommunalités d'Alès, Montpellier et Sète sur les thématiques de la santé, de l'économie et de l'enseignement supérieur est indépendante et répond à un tout autre objectif : "La grande région Occitanie nous oblige à travailler de pair avec Montpellier et Sète. Face à Toulouse, on pèse davantage et c'est important dans la perspective du schéma régional".

Christophe Rivenq, directeur de cabinet du président d'Alès Agglomération, complète : "Avec Avignon, nous devons lier des coopérations qui ne soient pas concurrentes mais complémentaires à celles avec Montpellier et Sète. On voit bien qu'au niveau culturel et touristique, nous pèserions plus lourd. Mais on ne veut pas créer une structure pour une structure. Et imaginer aujourd'hui que le pôle Nîmes-Alès pourrait s'étendre sur un autre territoire n'est pas non plus d'actualité".

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Source : Midi Libre (Gard)