Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

Boris_F · 04-01-2005 16:52:34

En 2003, 301 000 établissements sont implantés à Paris. Ils se répartissent à 7% dans l'industrie, 19% dans le commerce, 47% dans les services et 21% dans les autres secteurs d'activité.

Au 31/12/2001, près de 122 300 établissements employaient au moins un salarié. Une des caractéristiques de l'économie parisienne tient à la forte présence, à côté des grands sièges sociaux, des petites entreprises de 1à 10 salariés qui emploient plus d'un salarié sur 4. Cette importance des petits établissements est encore renforcée si l'on tient compte des établissements n'employant aucun salarié, très nombreux à Paris (178 700 sur un total de 300 963 fin 2001).

Au total Paris accueille 1 675 000 emplois salariés, répartis à 7% dans l'industrie, 2% dans la construction, 10% dans le commerce, 55% dans les services et 26% dans l'administration.

Selon l'enquête régionale emploi, de 1994 à 2000, 134 000 emplois (tous secteurs confondus) ont été créés dans la capitale. Mais, le solde net d'emplois sur la période 1990-2000 est négatif de près de 86 000, car Paris a connu de lourdes pertes d'emplois sur la période 1990-1994 (220 000 emplois ont disparu en 4 ans dont 130 000 localisables à l'arrondissement).

Ces mouvements n'ont que peu affecté la structure du tissu économique parisien : les plus gros secteurs employeurs en 1994 (l'administration publique, les activités financières, le secteur du conseil et de l'assistance, ainsi que celui des services opérationnels ) sont aussi les plus gros employeurs parisiens en 2000 même si leur position respective a été légèrement modifiée.

De même la localisation géographique des activités économiques n'a que peu évolué dans la période 1994-2000, certains arrondissements ont cependant profité de cette phase de croissance en terme de création d'emploi.

Localisation des principaux secteurs employeur au 31/12/2000 :

Les activités financières : elles emploient 157 000 personnes fin 2000 et sont spécifiquement localisées dans 3 arrondissements (8ème, 9ème, 2ème) qui regroupent 60% des emplois.

Le secteur du conseil et de l'assistance emploie 220 000 personnes fin 2000. Ce secteur est très nettement localisé dans les arrondissements de l'ouest parisien.

Les services opérationnels regroupent les secteurs du travail temporaire, des enquêtes et sécurité, du nettoyage, de l'assainissement la voirie et la gestion des déchets. L'emploi dans le secteur des services opérationnels se localise à plus de 40% dans les 10ème (20 000 personnes), 8èmes (15 000), 9ème (14 800) et 17ème arrondissements.
Au total plus de 1407 000 personnes exercent une activité dans ce secteur.

UrbaM · 09-01-2005 13:12:37

TENDANCES ET DYNAMIQUES ECONOMIQUES EN ILE-DE-FRANCE
Synthèse cartographique

> Sommaire
• Tendances et dynamiques en Ile-de-France • Dynamique des pôles d'emploi • Marché du travail et pôles d'emploi • Marchés de l'immobilier d'entreprise • Spécialisations de l'économie •

Ce dossier propose une image de l’économie de l’Île-de-France dans ses principales caractéristiques et dynamiques spatiales, à travers quatre cartes de synthèse régionales : Dynamique des pôles d’emploi, Marché du travail et pôles d’emploi, Marchés de l’immobilier d’entreprise, Spécialisations de l’économie. Ces cartes sont accompagnées d’un commentaire, présentant la démarche et les principaux constats, et d’une sélection de cartes de travail.

Parmi les nombreux éclairages apportés et les questions soulevées, la carte Dynamique des pôles d’emploi montre la structuration en pôles économiques majeurs et secondaires, la double fonction (économique et résidentielle) d’une partie du tissu urbain, la diffusion des emplois au-delà des limites de l’agglomération économique, le rôle des villes traditionnelles de grande couronne.

En regard, la carte Marché du travail et pôles d’emploi propose une traduction spatiale de la croissance du chômage, de la précarisation des actifs, mais aussi de la hausse des qualifications. Elle met en évidence deux principaux types d’espaces: une «zone de carence d’emploi» et la présence «de zones à fort potentiel de main d’½uvre qualifiée».

La carte Marchés de l’immobilier d’entreprise montre la relative diffusion vers l’est d’un immobilier à dominante tertiaire, traditionnellement concentré à l’ouest, l’existence d’un tissu à dominante mixte et les implantations d’une logistique en plein essor. Elle fait aussi ressortir les déséquilibres persistants entre le centre et la périphérie, et le risque de dispersion des projets de zone d’activité.

Enfin, la carte Spécialisations de l’économie souligne les dominantes fonctionnelles des territoires et la spécialisation dans certaines activités. Elle montre que les grandes fonctions dominantes structurent une partie seulement de l’agglomération économique, qu’elles sont moins présentes en grande couronne, que Paris est très spécialisé et que les territoires où le tissu économique est avant tout diversifié sont nombreux.

Les PDF de l'IAURIF (cartes et commentaires) :

Tendances générales
http://www.iaurif.org/fr/savoirfaire/et … /index.htm

http://www.iaurif.org/fr/savoirfaire/et … arteco.pdf

Poles d'emplois
http://www.iaurif.org/fr/savoirfaire/et … h_empl.pdf

Marché du travail
http://www.iaurif.org/fr/savoirfaire/et … marche.pdf

Marché de l'immobilier d'entreprises
http://www.iaurif.org/fr/savoirfaire/et … _immob.pdf

Spécialisations éco
http://www.iaurif.org/fr/savoirfaire/et … nction.pdf

Boris_F · 12-01-2005 07:56:01

Paris reste numéro un mondial du tourisme
L'événement

PARIS devant Londres et New York : le symbole n'a pas échappé à tous ceux qui rêvent de voir la capitale obtenir l'organisation des JO 2012 aux dépens (entre autres) de ces deux villes. Comme l'a révélé hier l'Office de tourisme et des congrès (OTC) lors de l'inauguration de ses nouveaux locaux, Paris reste la ville la plus visitée au monde avec 25 millions de touristes en 2004, soit 500 000 de plus que l'an dernier. Présent lors de cette cérémonie, Bertrand Delanoë ne se prive d'ailleurs pas de rappeler que « le tourisme reste le premier secteur économique avec 140 000 emplois parisiens ».
Les Américains débarquent. Fin décembre 2004, le nombre de touristes originaires des Etats-Unis qui ont sillonné la capitale devrait avoisiner les 1,7 million de visiteurs. Une hausse d'environ 15 % qui marque le retour des Américains dans la capitale « même si la croissance tient surtout aux Français », rappelle Paul Roll, le directeur de l'OTC. En 2003, la guerre en Irak et la polémique avec la France avaient fait chuter de 21 % le nombre d'Américains. Mais la campagne de promotion menée par la Maison de la France aux Etats-Unis et les cérémonies du 60 e anniversaire du Débarquement ont porté leurs fruits. « Mais il faut noter que la faiblesse du dollar continue de nous desservir car la masse de visiteurs américains aurait pu être plus importante », souligne Catherine Avigno, directrice de l'office régional de tourisme. La tour Eiffel en pointe. La Dame de Fer reste le monument parisien préféré des touristes étrangers. En 2004, 6 230 050 visiteurs ont gravi tout ou partie des 1 665 marches, contre un peu moins de 5 900 000 un an auparavant. Et si les estimations placent Notre-Dame (10 millions de visiteurs) et le Sacré-Coeur (8 millions) aux premiers rangs, ces deux sites sont en accès gratuit. Retrouver le niveau de l'an 2000. Pour tous les acteurs du tourisme à Paris, 2000 reste l'année de référence. C'est pour retrouver ces niveaux records et maintenir la croissance que la capitale s'est doté d'outils flambant neufs. Portail Internet en treize langues, Passeport Paris pour faciliter les visites, Bureau des congrès pour dynamiser le tourisme d'affaires... « Tout notre travail de promotion vise à ce que les gens aient envie de visiter Paris en urgence », explique Paul Roll. Et pour que les touristes ne s'égarent pas dans la capitale, trois nouveaux bureaux d'accueil vont s'ajouter cette année aux sept déjà existant dans la capitale. Paris a même prévu de se doter d'un label « chambres d'hôtes », une forme de tourisme qui fait l'objet de demandes de plus en plus fréquentes de la part des visiteurs étrangers.

Boris_F · 20-01-2005 13:57:02

Les Echos, 14/01/2005

Investissement

Paris sur le devant de la Seine

Chics ou pas, les quais de Seine deviennent inabordables tant le ticket d'entrée y est élevé. Balade dans le Paris historique, le Paris futuriste et dans le vieux Paname.
Publicité

Avec ses treize kilomètres de Seine, on peut dire que la plus grande avenue de la capitale, c'est son fleuve. La Seine serpente le long des plus beaux monuments de Paris et de ses quais prestigieux tels Branly, Orsay, Voltaire, Tuileries, Tournelle, Bourbon, mais la Seine ou ses assistants, les canaux, paressent aussi le long de quartiers plus populaires et des quais de Valmy, Jemmapes, de la Loire ou de la Marne. Les touristes ne se lassent pas d'arpenter les quais à tel point que ceux qui veulent un pied-à-terre à Paris cherchent un appartement avec vue sur Seine et de préférence dans l'île Saint-Louis. Les Parisiens les plus fortunés chassent sur les mêmes quais et les moins argentés ou les plus bucoliques lorgnent le long du canal Saint-Martin (10e) ou de l'Ourcq (19e). Enfin, ceux qui parient sur l'avenir, prennent pied dans le 13e en pleine ébullition côté quais de la Gare ou Panhard-Levassor. Mais si les sites sont nombreux et variés, les biens disponibles à l'achat avec vue directe sur le fleuve sont rarissimes. Avec, pour conséquence inéluctable, des prix tirés vers le haut quel que soit le quartier.[...]

ÉLISABETH LELOGEAIS

Boris_F · 21-01-2005 09:37:42

Batiactu, 21/01/2005

Paris retrouve son dynamisme

Deux bonnes nouvelles pour la capitale. Alors que pour la première fois depuis 1921, la ville cesse de perdre des habitants, un rapport de l’Urban Land Institute (Uli) et PricewaterhouseCoopers place Paris en tête des projets d'investissements européens, devant Milan, Londres et Lyon.

"Paris reprend des couleurs" déclarait à l’occasion de ses voeux Bertrand Delanoë, le maire de Paris. Si la citation faisait référence à l'espoir de voir la ville accueillir les Jeux Olympiques en 2012, elle s'appuyait aussi sur une excellente nouvelle apportée par le dernier recensement de l’Insee : entre 1999 et 2004, la ville a vu sa population s’accroître de 17.554 personnes, soit une hausse de 0,8%. Cela semble peu - dans le même temps Asnières-sur-Seine, située dans le banlieue parisienne a gagné 9.000 habitants ! - mais pour l’Insee il s’agit d’un renversement historique.
Depuis 1921, la capitale - qui comptait à l’époque 2,9 millions d’habitants - ne cessait de se dépeupler. Ce déclin démographique a été particulièrement marquant à partir de 1954 avec un véritable exode des classes ouvrières vers les grands ensembles de la banlieue. En dépit de ce léger retour à la croissance, ce phénomène est toujours aussi fort, principalement en raison de la flambée des prix. Selon l'Institut d'aménagement et d'urbanisme d'Ile-de-France (Iaurif), en 1999, il y avait autant de cadres que d'employés et d'ouvriers réunis. Aujourd’hui, les cadres sont majoritaires et la tendance s’accentue.[...]

J-P D.

Boris_F · 25-01-2005 08:26:25

Le Parisien, 25/01/2005

Essonne : immobilier : le département champion de la hausse
L'événement

DES LOGEMENTS qui « partent parfois en une matinée », des prix de vente « qui atteignent des sommets » : jamais l'Essonne n'avait connu pareille flambée immobilière qu'en ce début d'année 2005. Signe des temps : les élus du conseil général votent aujourd'hui le budget du département en prévoyant 128 millions d'euros de recettes grâce aux taxes sur l'immobilier que la collectivité touche à chaque transaction. C'est environ 25 % de plus que lors du budget précédent ! Autre signe qui ne trompe pas : avec près de 20 % d'augmentation en 2004, l'Essonne décroche la palme du département francilien où la hausse des prix est la plus importante (voir infographie).
Le mètre carré d'un logement ancien se négocie désormais en moyenne autour de 1 800 ¤. C'est peu comparé au 4 465 ¤ de Paris mais l'écart est considérable avec les prix qui se pratiquaient encore en Essonne en 2003 (1 541 ¤ le m 2 ) ou en 2002 (environ 1 300 ¤) ! « C'est simple : pour un logement, nous avons une vingtaine de clients potentiels », résume un agent immobilier qui travaille sur le canton d'Etréchy. « Et ce chiffre augmente encore plus quand il s'agit de trouver de vieilles maisons en pierre. C'est de la folie. »[...]

Boris_F · 18-02-2005 13:39:59

AFP

18 février, 13h21

Plus de 40% des actifs d'Essonne quittent chaque jour ce département

Plus de 40% des actifs habitant l'Essonne quittent chaque jour ce département pour travailler, surtout à Paris, indique vendredi une étude de l'INSEE selon laquelle "ce déséquilibre habitat-emploi" s'observe "dans l'ensemble de l'Ile-de-France".
Ce déséquilibre engendre de nombreux déplacements quotidiens d'actifs dans cette région de près de 12 millions d'habitants qui souffre d'un déficit de transports collectifs notamment de banlieue à banlieue.
Paris est la principale destination des actifs de l'Essonne, avec 38% des "navetteurs" du département. Cependant les déplacements d'actifs vers la capitale ont baissé entre 1990 et 1999, le recul de l'emploi à Paris sur cette période (-215.000 emplois) étant une des explications de ce repli.
Limitrophe, le Val-de-Marne accueille 23% des travailleurs essonniens, les Hauts-de-Seine et les Yvelines en recevant respectivement 19% et 6%.
L'INSEE note que la déconnexion entre le lieu de résidence et le lieu de travail est très marquée pour les cadres qui n'hésitent pas à s'éloigner de leur domicile pour s'adapter au marché du travail.
L'Essonne attire par ailleurs chaque jour 105.000 actifs venus en majorité de Paris, ainsi que des Hauts-de-Seine et des Yvelines. Les cadres travaillent essentiellement dans la communauté d'agglomération d'Evry Centre et du plateau de Saclay.
Un emploi sur quatre en Essonne est occupé par un actif venant d'un autre département, remarque encore l'étude qui souligne que cette situation en termes de navettes domicile-travail est à l'image de la grande couronne (Seine-et-Marne, Essonne, Yvelines et Val d'Oise) dans laquelle 42% des actifs travaillent en-dehors de leur département de résidence et 27% des emplois sont occupés par des non-résidents.
Les actifs de la petite couronne (Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne) sont plus mobiles : un sur deux quitte son département de résidence tandis que 30% seulement des actifs parisiens ne travaillent pas dans Paris intra-muros.

Boris_F · 03-03-2005 08:20:58

20 minutes, 3/03/2005

Le tourisme augmente en Ile-de-France
Jeudi 03 mars 2005

Le ministère du Tourisme et l’observatoire régional du tourisme en Ile-de-France ont annoncé hier que 13,2 % de touristes internationaux en plus avait visité la région entre 2003 et 2004. La hausse nationale moyenne n’est que de 0,1 %. L’Ile-de-France conserve ainsi son statut de première région française d’accueil de touristes internationaux, au détriment des autres régions, presque toutes en recul. Pour le ministère, il s’agit d’« un rebond après une année 2003 très morose ». A titre d’exemple, il y a eu 200 000 Américains de plus qu’en 2003, soit une progression de 12,7 %, malgré un euro fort. Les Allemands, eux, ont été 26,3 % de plus à visiter la région en 2004.

Boris_F · 14-03-2005 08:47:52

Le Parisien, 14/03/2005

Un coup de pouce pour les créateurs de jeux vidéo
L'événement

LES CRÉATEURS de jeux vidéo ont besoin d'aide ! En Ile-de-France, où se concentre 65 % de l'industrie, une trentaine de sociétés se sont regroupées dans le collectif Capital Games pour mieux se défendre. « Ces entreprises d'une quinzaine d'employés en moyenne, ont un petit capital et dépensent entre 1 et 4 millions d'euros pour fabriquer un jeu vidéo : un échec et c'est la faillite », explique Frédéric Weil, membre de ce collectif subventionné par la Ville de Paris et la région. Pour soutenir encore mieux ces entreprises, le conseil régional d'Ile-de-France vient de présenter au gouvernement un dossier baptisé « Image, multimédia et vie numérique » pour concourir au label Pôle de compétitivité...
et obtenir des subsides. Si, en juin, ce projet est sélectionné, les studios de cinéma, de dessins animés et de jeux vidéo franciliens travailleront en collaboration avec des chercheurs et des centres de formation et verront leurs projets financés par l'Etat. Un coup de pouce bien utile aux sociétés françaises qui battent de l'aile depuis quelques années face aux géants japonais et américains.[...]

Géraldine Doutriaux
Le Parisien , lundi 14 mars 2005

Boris_F · 12-04-2005 08:46:15

20 minutes, 11/04/2005

Une étude de l’Iaurif analyse les écarts de salaires entre province et Ile-de-France
Lundi 11 avril 2005

Mariette Sagot

Démographe à l’Iaurif (Institut d’aménagement et d’urbanisme de la région Ile-de-France).

Les salaires franciliens sont-ils réellement plus élevés que dans le reste de la France ?

Le salaire brut horaire moyen, base de référence, est de 18,60 euros en Ile-de-France, soit 25 % au-dessus de la moyenne nationale. Ceci est essentiellement lié à des effets de structure : 38 % des cadres français travaillent en Ile-de-France, de plus la région regroupe énormément d’activités financières, de conseil et assistance, de pharmacie, où les salaires sont plus élevés qu’ailleurs.

Cet écart se renforce-t-il ?

D’une manière générale, l’Ile-de-France réagit beaucoup plus vite que la province aux soubresauts de l’économie mondiale, en raison de secteurs d’activités davantage exposés à ce qui se passe à l’étranger. Ainsi, lors d’une dégradation de l’économie, comme c’est le cas depuis 2000-2001, les écarts se resserrent entre Ile-de-France et province, lorsqu’il y a une embellie, comme ce fut le cas entre 1997 et 2000, ils s’accroissent.

Cette différence ne concerne- t-elle que les gros salaires ?

Les salaires des 10 % les plus pauvres en Ile-de-France ne sont pas plus élevés que ceux des 10 % les plus pauvres en province. Or, si l’on tient compte du prix du logement – supérieur de 40 % en Ile-de-France à la location –, il reste aux Franciliens un revenu inférieur pour vivre. Nous sommes dans une région certes riche, mais où subsistent de fortes disparités.

Faut-il bien gagner sa vie pour pouvoir vivre en Ile-de-France ?

Il existe un filtrage social aux portes de l’Ile-de-France : on voit bien que ceux qui quittent la région sont ceux qui gagnent la même chose en province ou en Ile-de-France. Globalement, ce sont les ouvriers, les commerçants-artisans et les professions intermédiaires qui partent, tandis que les arrivées concernent essentiellement les cadres.

Recueilli par Mickaël Bosredon

Diffusion-vente : 01 53 85 79 38.

Etude en ligne sur www.iaurif.org.

A savoir :
L’Ile-de-France est certes riche, mais de fortes disparités subsistent.

Boris_F · 19-04-2005 14:14:10

La carte des demandeurs du RMI en France : l'IDF est parmi les régions les plus concernées.

Le Monde, 19/04/2005

Boris_F · 21-04-2005 08:56:01

20 minutes, 21/04/2005

Paris rejoint Londres dans le coeur des chefs d’entreprise étrangers
Jeudi 21 avril 2005

Paris et l’Ile-de-France sont désormais aussi attractifs que Londres aux yeux des chefs d’entreprises étrangers en quête d’un nouveau pied-à-terre européen. Pour la première fois, les deux villes font résultat égal dans l’étude Ipsos menée auprès de 500 dirigeants étrangers. Francfort est en troisième position.

En Ile-de-France, ils apprécient les infrastructures de transports, de logistique et la présence d’une main-d’oeuvre qualifiée.

Stickyesman · 11-05-2005 14:43:28

L'Ile-de-France en tête pour les investissements étrangers

LE MONDE | 11.05.05 |

Avec 137 projets d'investissement en 2004, contre 119 en 2003, "l'Ile-de-France conforte sa position de leader en matière d'accueil des investisseurs étrangers en France" , constate l'Agence française pour les investisseurs internationaux (AFII), qui devait rendre public, mercredi 11 mai, son bilan pour 2004.

Ces investissements, qui sont les plus importants depuis cinq ans, devraient entraîner la création de près de 5 000 emplois, contre à peine 4 000 en 2003. Soit une progression de 25 % par rapport à 2000. "Le fort accroissement des emplois concerne principalement des emplois menacés et sauvegardés à la suite d'un rachat par une entreprise étrangère" , note l'agence. 22 % du total sont des emplois sauvegardés.

En dépit d'un recul qui s'est poursuivi en 2004, les investissements américains se maintiennent largement en tête, avec 32 % des investissements. Ils sont suivis par l'Allemagne (13,9 %), la Grande-Bretagne (10,2 %) et le Japon, qui progresse, de 6,7 % à 9,5 %. La part des emplois commerciaux, qui reste forte, régresse au profit des postes créés dans des "structures plus pérennes" , du type quartiers généraux ou dans les centres de recherche et de développement.

Un tiers des projets concernent dix emplois au maximum. Les sociétés de services et de logiciels conservent la première place, suivies par le secteur des équipements électriques, informatiques, médicaux ; les entreprises de services commerciaux et financiers ; le conseil aux entreprises ; la construction automobile.

Deux tiers de ces projets étrangers ont été accompagnés par l'Agence régionale de développement (ARD), créée en 2001 par la région, et qui sert de relais à l'AFII sur le territoire francilien.

Rhône-Alpes arrive en deuxième position pour les investissements internationaux.

Béatrice Jérôme
Article paru dans l'édition du 12.05.05

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0 … 782,0.html

Boris_F · 11-05-2005 14:44:22

Pour ceux qui disent que la L'Ile de France est catastrophique en ce moment, et toc

Stickyesman · 11-05-2005 14:50:03

L'île de France en tête des investissements étrangers en France.
Faudrait comparer ça avec d'autres régions dynamiques en Europe comme Londres et sa région.

Boris_F · 17-05-2005 08:42:58

20 minutes, 17/05/2005

Nouveaux soutiens pour les futurs entrepreneurs
Mardi 17 mai 2005

La création d’entreprises, un parcours de mieux en mieux balisé. La preuve, cette année, la Foire de Paris ouvre pour la première fois la Caravane des entrepreneurs, un stand pour tous ceux qui rêvent de se lancer à leur compte, soit un quart des Français selon plusieurs études.

Le conseil général des Hauts-de-Seine, lui, fête ces jours-ci le premier anniversaire d’Allô création, dispositif d’accompagnement des porteurs de projet (0 810 792 792, prix d’un appel local). « Alors qu’il existe en France une bonne centaine de dispositifs d’aide à la création, ce numéro permet de guider les futurs créateurs », déclare Louis-Charles Bary, vice-président du conseil général et maire de Neuilly-sur-Seine. En un an, Allô création a reçu plus de 3 000 appels. A 54,2 %, il s’agit de demandeurs d’emploi et, à 29,6 % de salariés. Les projets portent essentiellement sur le commerce de proximité (25,2 %) et le service à l’entreprise (24,4 %).

La Caravane des entrepreneurs est présente à la Foire de Paris jusqu’au 22 mai, face au hall 5, stand 33.

Boris_F · 20-05-2005 10:21:11

20 minutes, 20/05/2005

L’Ile-de-France veut créer sa Silicon Valley
Vendredi 20 mai 2005

Peut-on doter l’Ile-de-France d’un pôle de haute technologie comparable à la Silicon Valley ? Les éditeurs numériques le croient. Une trentaine d’entre eux se réunit aujourd’hui à la Maison de la Villette pour lancer un « pôle vie numérique, image et multimédia », dans le cadre des pôles de compétitivité voulus par l’Etat.

Leur but : mettre les compétences de ces entreprises en commun pour affronter le marché international, et cesser de se concentrer sur le marché français. « Nous avons déjà perdu la bataille de la construction de machines informatiques, indique-t-on à la Mairie de Paris. Mais nous sommes de bons producteurs de jeux. Seulement, pour pouvoir rivaliser avec les Américains, il faut que les entreprises travaillent main dans la main. » « Il est plus intéressant d’aller chasser en meute, ironise Henri Verdier, membre de l’association Canal numérique du savoir. Il faut créer un bouillon de culture, entre les chercheurs, les entreprises et les universités. 90 % des industries culturelles se trouvent en Ile-de-France. Les éditeurs sont à Paris, les télécommunications dans les Hauts-de-Seine et l’image en Plaine-Saint-Denis. » Aujourd’hui, si les entreprises cherchent à lier de nouveaux accords, leur projet phare reste la création d’un Google européen, pour briser la suprématie du moteur de recherche américain. M. G.

Boris_F · 01-06-2005 09:13:11

20 minutes, 1/06/2005

Immobilier de bureaux: le Val-de-Marne veut grandir
Mercredi 01 juin 2005

Le Val-de-Marne est à la traîne dans le domaine de l’immobilier de bureaux. C’est l’avis de l’Observatoire départemental de l’immobilier d’entreprise (Odime 94), qui présentait hier un rapport. « Le département n’a pas développé son offre au bon moment, en privilégiant le résidentiel et l’industriel », estime Caroline Marty, de la chambre de commerce de Paris-Val-de-Marne. D’ici à cinq ans, 320 000 m2 de bureaux vont donc sortir de terre.

Selon elle, le département possède plusieurs atouts pour attirer les entreprises: la proximité avec Paris, un réseau de transport développé, de nombreux sites « valorisables », mais surtout des loyers accessibles: le mètre carré est à 250 e/an, contre 390 e dans les Hauts-de-Seine, et 540 e à Paris. « Pour l’instant, on attire surtout des PME, mais Orange à Arcueil et Danone à Rungis montrent l’intérêt des grandes entreprises pour le 94. » T. L.

Boris_F · 01-06-2005 17:41:57

Le Monde, 1/06/2005

Le Val-de-Marne se donne les moyens de séduire les entreprises
LE MONDE | 01.06.05 | 13h49 • Mis à jour le 01.06.05 | 13h49

Le 17 mai, l'Imprimerie nationale, qui a quitté son site historique du 15e arrondissement parisien, a inauguré ses nouveaux ateliers de Choisy-le-Roi, dans le Val-de-Marne, en bordure de Seine. L'installation, dans ce département au sud-est de la capitale, de cette institution et de ses 160 salariés, a valeur de symbole, d'autant qu'un certain nombre d'entreprises importantes l'ont précédée ces derniers mois et que d'autres sont annoncées.

L'Oréal s'agrandit, Air France quitte Orly
La société L'Oréal envisage d'agrandir son site de recherche de Chevilly-Larue, qui deviendrait ainsi le plus grand de la société en Europe. L'Institut Pasteur, de son côté, devrait décider, courant juin, du transfert de certains de ses services à Fresnes.

Non seulement de grandes entreprises viennent s'installer dans le Val-de-Marne, mais celles qui y sont déjà implantées y restent. C'est le cas d'Air France Industrie (AFI), qui a fait un saut de puce d'Orly-Nord à Villeneuve-le-Roi, où 850 personnes assurent une partie de la maintenance de 550 avions d'Air France et de compagnies clientes. "Le maintien d'AFI sur le territoire du Val-de-Marne était loin d'être acquis" , a rappelé Christian Favier, président (PCF) du conseil général, lors de l'inauguration de l'usine en mars.[...]

Dominique Meunier
Article paru dans l'édition du 02.06.05

Boris_F · 02-06-2005 08:31:12

20 minutes, 2/06/2005

Paris, capitale de l’innovation technologique
Jeudi 02 juin 2005

Paris, réputée pour la mode et la gastronomie, voudrait aussi être un pôle majeur du high-tech. Pour preuve, deux événements organisés à partir de demain, à destination des professionnels et du grand public.

Le Parc des Expositions de la Porte de Versailles accueille demain et tout le week-end le premier Salon européen de la recherche et de l’innovation. L’idée de ce rendez-vous est née au sein d’un groupe d’entrepreneurs et de scientifiques animés par l’envie de « créer des passerelles entre le public et le privé », et de favoriser une « synergie citoyenne ». En plus des entreprises, laboratoires, universités présents au salon, des stands seront dédiés aux passionnés de science. Un prototype de la sonde Huygens partie explorer Titan, la plus vaste lune de Saturne, sera exposée, et des images seront retransmises depuis le plus grand observatoire astronomique du monde basé au Chili.

Lundi, Paris Développement organise les Circuits de l’Innovation. Cette opération de charme à destination des investisseurs étrangers est axée autour de trois pôles d’excellence régionaux : le numérique, la santé et le design. Il s’agira de démontrer qu’avec 68 000 chercheurs et 7% des brevets européens, la région parisienne rivalise avec les grandes capitales mondiales.

Boris_F · 03-06-2005 09:01:55

Le Figaro, 2/06/2005

INNOVATION Démarrage demain de ce forum pour les chercheurs, les entreprises et le public
Salon de la recherche : une première à Paris

Yves Miserey
[02 juin 2005]

C'est la première fois qu'un Salon grand public consacré à la recherche et à l'innovation est organisé en France (1). Il va rassembler pendant trois jours, à partir de demain, de nombreux acteurs de la recherche publique et privée : 130 exposants parmi lesquels on trouve des entreprises, des organismes publics, des universités, des collectivités locales et tous ceux qui transfèrent les résultats des travaux de recherche vers le monde économique : fonds de capital-risque, consultants, «incubateurs», technopoles. Un grand nombre de conférences consacrées aux principaux problèmes de notre temps, sur lesquels la science apporte bien souvent un éclairage décisif, seront proposées aux visiteurs.[...]

(1) Salon européen de la recherche et de l'innovation : les 3, 4 et 5 juin de 10 h à 19 h, hall 7.1 de Paris-Expo, porte de Versailles. Tarif : 10 ¤, 5 ¤ pour les étudiants, les chercheurs et les moins de 18 ans. http://www.salon-de-la-recherche.com

Boris_F · 14-07-2005 17:48:03

Libé, 14/07/2005

Emploi
A Evry, l'emploi s'arrête aux portes des Pyramides

Par Jacky DURAND

jeudi 14 juillet 2005 (Liberation - 06:00)

A vol d'oiseau, guère plus d'un kilomètre et demi sépare le quartier sensible des Pyramides à Evry et la portion de cette ville nouvelle, bâtie il y a trente ans, où sont rassemblées la préfecture de l'Essonne et la mairie. Pourtant, ce sont deux mondes qui semblent bien éloignés quand il s'agit de se mobiliser contre le chômage. Au point qu'aujourd'hui, l'idée d'une «Marche pour l'emploi» commence à faire son chemin aux Pyramides. Trop d'attentes, d'espoirs déçus disent les jeunes au bas des cages d'escalier. Une trentaine d'entre eux comptaient démarrer au début de ce mois un contrat d'accompagnement vers l'emploi (CAE) dans des emplois de médiation, d'aides à la personne. Mais le projet baptisé Inser-Pyramides et porté depuis plus d'un an par l'association Europe-Afrique, installée au coeur des Pyramides, est en panne. «Ces emplois aidés ne démarreront pas en l'état», indiquait au début du mois à Libération Stéphane Grauvogel, sous-préfet de Corbeil. Le représentant de l'Etat estime que ce projet est «beaucoup trop ambitieux» pour une association de quartier et il n'entend pas engager les deniers publics «dans une fuite en avant financière». «Pourtant, la préfecture était d'accord sur le principe de faire quelque chose pour l'emploi aux Pyramides, affirme André Decroix, le président d'Europe-Afrique. Nous avons travaillé main dans la main avec l'ANPE et nous avons revu le montage financier à la baisse à la demande du sous-préfet. Le budget annuel devrait tourner autour de 400 000 euros.»

[...]

Sylvain · 15-07-2005 12:25:43

Le Figaro 15 juillet 2005

Cinq sites franciliens évalués pour accueillir le «MIT à la française»
Marc Mennessier
15 juillet 2005

Alors que le président de la République, Jacques Chirac, a réaffirmé à plusieurs reprises, hier, lors de la traditionnelle interview du 14 Juillet (lire aussi page 5), l'importance qu'il accorde à la recherche, le Conseil stratégique de l'innovation (CSI) avait remis, la veille, au premier ministre, Dominique de Villepin, une étude comparative de quatre ou cinq sites franciliens susceptibles d'accueillir le futur Institut européen de technologie (IET) dont la création avait été évoquée le mois dernier par le chef du gouvernement.[...]

source : http://www.lefigaro.fr/sciences/2005071 … tml?112641

Boris_F · 16-07-2005 11:20:27

20 minutes, 13/07/2005

Le mode de vie des Franciliens laisse des traces
Environnement L’Ile-de-France utilise trop d’espace pour ses besoins quotidiens, selon une étude de la région
Mercredi 13 juillet 2005

Pour faire face à ses besoins quotidiens, le Francilien consomme beaucoup trop d’espace. 5,58 hectares par an et par habitant précisément, vient de calculer une société spécialisée, mandatée par le conseil régional d’Ile-de-France pour établir la première empreinte écologique des Franciliens. 5,58 hectares, c’est trois fois plus que la surface disponible par habitant au niveau mondial – calculée à partir de la productivité moyenne de la terre –, établie à 1,9 hectare par an. En d’autres termes, « si tout le monde sur la planète avait le mode de vie des Franciliens, près de trois planètes seraient nécessaires pour assurer ces conditions de vie », conclut cette étude.

L’empreinte écologique évalue la surface nécessaire à une population pour satisfaire sa consommation de ressources et ses besoins d’absorption de déchets. Selon WWF, l’empreinte écologique de l’humanité est estimée à 2,3 hectares par habitant et celle des Français à 5,20 hectares par habitant.

Pour Christian Thibault, de l’Iaurif (Institut d’aménagement et d’urbanisme de la région Ile-de-France), « le niveau de vie en région parisienne » est le principal responsable du mauvais résultat francilien. La production et l’utilisation de biens représentent ainsi 45 % de l’empreinte francilienne, et l’alimentation 30 %. Les transports (12 %) et le logement (9 %) n’arrivent qu’ensuite, car, contrairement à une idée reçue, un réseau de transport développé et un habitat dense « induisent des modes de vie plutôt performants d’un point de vue environnemental », soulignent les auteurs de l’étude. Mais l’ancienneté du parc de logements collectifs, et la présence de deux aéroports internationaux, davantage consommateurs d’énergie, viennent aggraver la situation de l’Ile-de-France.

Stickyesman · 18-07-2005 13:15:43

LE MONITEUR 18-07-2005 a écrit:
Le plateau de Saclay bien placé pour accueillir l'Institut européen de technologie

Dans un rapport remis au Premier ministre, le Conseil stratégique de l'innovation (CSI) préfère ce site à 4 autres, dont l’île Seguin à Boulogne-Billancourt.

Au terme d'une étude de sites potentiels pour la localisation, près de Paris, du campus de cet institut, le CSI est arrivé à la conclusion que c'est le plateau de Saclay qui réunit "le plus de critères favorables" pour pouvoir accueillir cet établissement.
La création de cet institut, qui "rassemblerait les meilleurs chercheurs de France et d'Europe, des PME innovantes et des centres de recherche de grands groupes industriels", avait été évoquée par le Premier ministre français Dominique de Villepin lors du récent Salon aéronautique du Bourget.
[...]

http://www.lemoniteur-expert.com/depech … amp;mode=0

Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

#1 04-01-2005 16:52:34

Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

#2 09-01-2005 13:12:37

Re: Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

#3 12-01-2005 07:56:01

Re: Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

#4 20-01-2005 13:57:02

Re: Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

#5 21-01-2005 09:37:42

Re: Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

#6 25-01-2005 08:26:25

Re: Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

#7 18-02-2005 13:39:59

Re: Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

#8 03-03-2005 08:20:58

Re: Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

#9 14-03-2005 08:47:52

Re: Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

#10 12-04-2005 08:46:15

Re: Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

#11 19-04-2005 14:14:10

Re: Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

#12 21-04-2005 08:56:01

Re: Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

#13 11-05-2005 14:43:28

Re: Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

#14 11-05-2005 14:44:22

Re: Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

#15 11-05-2005 14:50:03

Re: Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

#16 17-05-2005 08:42:58

Re: Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

#17 20-05-2005 10:21:11

Re: Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

#18 01-06-2005 09:13:11

Re: Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

#19 01-06-2005 17:41:57

Re: Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

#20 02-06-2005 08:31:12

Re: Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

#21 03-06-2005 09:01:55

Re: Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

#22 14-07-2005 17:48:03

Re: Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

#23 15-07-2005 12:25:43

Re: Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

#24 16-07-2005 11:20:27

Re: Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

#25 18-07-2005 13:15:43

Re: Île-de-France - Economie, Attractivité, Compétitivité

LE MONITEUR 18-07-2005 a écrit:

Pied de page du Forum