Grenoble - Discussion générale

C'est sur qu'un petit ravalement le rajeunirait quelque peu

40ème anniversaire des Jeux Olympiques de Grenoble

Février 1968, Grenoble accueillait la 10ème Olympiade d'hiver. Treize jours de liesse qui ont scellé le destin de Grenoble.

La ville connaît en effet une véritable métamorphose : une nouvelle gare, l'hopital sud, le village olympique, le quartier Malherbe... Grâce aux Jeux, Grenoble accède au statut de grande agglomération française.

Ville internationale, ville du sport et de la jeunesse, Grenoble s'incarne bien dans ces valeurs de l'Olympisme. Alors, pour fêter avec tous les grenoblois ce quarantième anniversaire des Jeux, la Ville, en partenariat avec les associations, avec le concours des enfants grenoblois, le COLJOG*, les unions de quartier et de grandes personnalités du sport, a composé un programme de manifestations fort en émotions.

Un programme jalonné de rencontres entre début février et fin mars 2008.

Ne manquez pas, tout d'abord, le spectacle du 6 février 2008, un spectacle exceptionnel en son et lumière à l'anneau de vitesse à partir de 18h30 en présence de Jean-Claude Killy, Peggy Fleming, Alain Calmat ainsi que de grands médaillés olympiques : Carole Montillet, Isabelle Blanc, Gwendal Peizerat, Raphaël Poirée, Florence Masnada ... autour d'une reconstitution de la rampe Olympique qu'Alain Calmat gravit en 68 devant 65 000 spectateurs émus.



Quinze sites, trente et une images à découvrir sur l’espace public

De février à fin mars, la Ville de Grenoble rend hommage aux champions mais aussi aux anonymes qui ont fait le succès des J.O de 1968 en exposant 31 photos d’époque aux quatre coins de la ville : place de Verdun, au pied de la vasque olympique, place de la gare...

Autre temps fort de ces festivités, le gala de partinage artistique "Stars sur glace" à la patinoire Pôle Sud le 31 janvier 2008 en présence notamment de Peggy Flemming et de Brian Joubert.

Une exposition de photos organisée par le Musée Olympique de Lausanne et le CDOSI** retraçant les Olympiades d'hiver, des objets à la Bastille et une matinée de films réalisés par Jack Lesage autour de la philosophie et de l'esprit Olympique à la Cinémathèque de Grenoble le 6 février 2008, le jour anniversaire du 40ème. Jack Lesage, le réalisateur de ces J.O de 68 qui fûrent, rappelons-le, les premiers J.O de l'histoire diffusés en images couleurs.

http://www.grenoble.fr/download/pgm_40_anniv_jo.pdf

http://www.grenoble.fr/jsp/site/Portal. … let_id=826

Dernière modification par marco (16-01-2008 11:27:30)

Citaro a écrit:

J'ai apperçu tout à l'heure au niveau de la place Mistral, là où avait eu lieu l'ouverture des JO...

En fait la cérémonie d'ouverture a eu lieu près du Village Olympique à l'emplacement actuel de la Villeneuve...











Sur cette photo, on voit à gauche la Tour de la CPAM, au centre la MC2 et à droite le centre de presse (actuellement quartier Malherbe):

Dernière modification par marco (18-01-2008 17:35:13)

Le projet d'aménagement du palais du parlemement du Dauphiné:

Le projet ambitionne de faire de l’Ancien Palais du Parlement de Grenoble, un lieu de vie, d’urbanité, d’animation touristique et culturelle, un outil prestigieux en termes d’accueil et d’image renvoyée.
Il s’agit, aujourd’hui, de recréer une attractivité sur ce site, de favoriser son ouverture aux habitants afin qu’ils puissent se réapproprier un lieu patrimonial fort de GRENOBLE.
La réanimation du Parlement permettra de recréer une vitalité urbaine dans le quartier dans ses dimensions économiques, culturelles et sociales.

Ainsi, le projet se propose de mettre, au service de la revalorisation architecturale et urbaine, le regroupement de sept structures dans une logique de complémentarité, de mutualisation de moyens dans le cadre d’un projet dicté par une logique de rendement à l’échelle du site.

Ainsi, il ne s’agit pas d’une addition de structures, mais d’une mise en osmose de chaque composante : tourisme, économie, culture, permettant :
•    d’attirer des publics variés : touristes, habitants, élèves de l’Institut d’Etudes Politiques, clients de la brasserie…
•    de favoriser leur croisement dans un cadre architectural permettant les échanges : la cour devient espace d’animation, le Palais assume sa porosité avec son environnement.
•    de permettre des montages variables pour l’exploitation future de certaines entités, notamment en ce qui concerne les salons prestiges qui peuvent être gérés par l’hôtel ou la Maison du Tourisme et offrir des espaces mutualisables et utilisables par l’Institut d’Etudes Politiques et le Musée.

L’équipe

Architectes : Groupe 6, Olivier Félix-Faure, Denis Bouvier et David Naudon
Associé à Andrea Bruno, architecte, Turin
Programmiste : Pro développement, Véronique Granger
Ingénierie technique : Cotéba, Sonia Lugassy

www.groupe6.fr

A propos de la future "salle de musiques actuelles" de 800 places qui devrait ouvrir en 2010 sur le site Bouchayer-Viallet...


http://www.herault-arnod.fr/news_smag.html

Musiques actuelles: enfin la salle

L’architecte a été choisie. Des associations aux grands gestionnaires, les candidats se sont déclarés. L’occasion de faire le point sur le dossier de la salle qui ouvrira en 2010 à Bouchayer-Viallet. Mais aussi sur l’univers salles en général : le Zénith, le Summum ou encore La Bobine.

Il fallait une salle moyenne. Plus petite que le Summum, mais plus grande que L’Entrepôt, à l’époque la référence café-concert, fermé depuis 2003. De tables rondes en groupes de réflexion, les associations et les intervenants culturels ont donc porté le projet sur le terrain politique. Et la mairie a dit oui. Depuis 2006, on sait que la salle fera maximum 800 places. Elle ouvrira en 2010, sur le site Bouchayer-Viallet.

[...]

... et de la construction éventuelle d'un Zénith

Summum: le tournant des 20 ans

Le projet d’un Zénith menace-t-il l’équipement de 5 000 places ? L’adjoint au maire dit “non”, le directeur de la salle, en revanche, se pose sérieusement des questions.

[...]

Agrandir ou pas ?
“On a dans les cartons un projet d’agrandissement pour passer la capacité à 6 500 places, ce qui, je pense, nous permettrait d’avoir Ben Harper ou Vanessa Paradis”. Très bien. Sauf que d’autres cartons, commence à sortir leprojet d’un Zénith d’agglo (8 000 places), évoqué par ailleurs par Jérôme Safar. “Le Summum doit continuer à évoluer, mais je ne vois pas pourquoi il faudrait l’agrandir si on construit un Zénith”, estime l’adjoint à la Culture grenoblois. Dominique Mouraille, de son côté, pense qu’il faut “qu’on se mette tous autour d’une table pour discuter de l’avenir. Mais si la salle type Zénith se fait, à mon avis, il y aura un équipement en trop pour l’agglo. Et il faudra, alors, raser le Summum”

[...]

Projet d’un Zénith : “Le dernier maillon de la chaîne”
Après la patinoire et le stade, le Zénith pourrait être le prochain grand équipement Métro. “S’il se faisait dans une autre ville de l’agglo que Grenoble, il n’y aurait pas de quoi hurler au scandale”, glisse l’élu grenoblois Jérôme
Safar. Qui voit dans ce dossier, “le dernière maillon de la chaîne”, et une manière de compléter l’existant. Il explique: “avec la Chaufferie, le Ciel, la Bobine, la salle de musiques actuelles, le Summum, le Palais des Sports, mais aussi la MC2 ou le stade et ce qui est proposé à Voiron, Meylan ou Saint-Martin-d’Hères, nous aurions une offre culturelle de très grande qualité”

http://www.grenews.com/images/couv/grenews.pdf

Etat actuel pour recevoir des spectacles/concerts sur l'agglomération grenobloise (au sens large):
- Stade des Alpes: 25 000 places
- Palais des Sports: 12 000 places (un peu vieux, accoustique ?)
- Le Summun: entre 3 000 et 5 000 places
- Le Grand Angle de Voiron: entre 1 900 et 2 400 places
- MC2: 1 000 places
- salle musique actuelles: 800 places

A mon avis, il est clair qu'il faut une salle modulable (type Zénith) jusqu'à 8 000 places et qui remplacerait avantageusement à la fois le Summun (à "détruire" et réutiliser l'espace pour Alpexo, voir ci-dessous) et le Palais des Sports (pour les concerts). Par contre où le construire ? 

Dernière modification par marco (20-02-2008 15:16:16)

J'ai du mal à imaginer deux grandes salles de 5000 et 8000 places pour les mêmes concerts. Il est déjà difficile pour tous les artistes de remplir un zénith entier, alors ceux-ci ne vont surement pas faire deux tournées dans deux structures différentes pour Grenoble.

A Saint-Etienne, la prochaine inauguration du zénith a nécessité une réflexion sur l'avenir du palais des spectacles (équivalent du Summum). Celui-ci va finalement rejoindre le Parc Expo mitoyen en devenant "l'espace Congrès" du complexe.

Votre SMAC a en tout cas sur les rendus (provisoires ?) une belle allure. Nul doute qu'elle sera très sollicitée dans une ville étudiante de premier plan. Le Fil qui vient d'être inauguré à Sainté fait le plein sans problème, la jauge maximale atteint 1200 place. 800 me paraissent limite...

Un label "Patrimoine en Isère" décerné par le Conseil général pour la Maison Joya à Grenoble

La maison Joya (chaudronnerie industrielle) a longtemps « régné » sur le quartier Berriat, au même titre que Bouchayer-Viallet, Lustucru ou Raymond-Boutons. Cette grande entreprise a laissé sa marque dans le paysage urbain, mais aussi et surtout dans la mémoire des anciens du quartier.

[...]

Reste Joya, dont le devenir inquiète les amateurs de patrimoine. Que la Fédération des Oeuvres laïques soit obligée de le vendre, qu’un promoteur soit tenu de rentabiliser cet espace, on peut le comprendre. Il serait pourtant
dommageable de perdre ce très bel édifice, construit au lendemain de la Première Guerre mondiale, à la fois élégant et témoin d’une histoire industrielle prestigieuse.

A l’initiative de Madame Christine Crifo, conseillère générale du canton et présidente de la commission de la Culture et du Patrimoine au Conseil général, ce bâtiment a été présenté à la Commission départementale du patrimoine en Isère, créée en 2006 et présidée par Claude Bertrand, vice-président du CGI, chargé de la culture. A l’unanimité, la commission lui a donné le label « Patrimoine en Isère » : à défaut d’interdire sa démolition, ce label attire l’intérêt du public et du propriétaire sur la haute valeur patrimoniale de l’édifice, mais surtout permet à son propriétaire de bénéficier de substantielles aides publiques s’il restaure ou rénove son bien.

http://www.cg38.fr/uploads/Document/6f/ … 043353.pdf

Un bâtiment avec une architecture interessante et aussi une histoire particulière

Ce bâtiment date de 1920 avec une architecture de la fin du 19ème. Il est en bon état général, avec deux étages hauts sous plafonds et un étage de mansardes sous le toît, pour une surface totale de 1800 m2. Il est riche en ornements, il a de beaux volumes et fait partie de la qualité de l'espace public du quartier Chorier-Berriat. Il a été le siège administratif des usines Joya, qui occupaient alors les surfaces actuelles de la piscine, du gymnase et du centre social Chorier Berriat. C'est dans ce bâtiment qu'Emile Romanet, directeur des usines Joya, a inventé dans les années 30 les premières allocations familiales en France versées par un employeur à ses ouvriers.

Grenoble a été le berceau de bien des innovations sociales et ce bâtiment en est un symbole historique important.

Ce bâtiment a plus qu'un prix : il a une valeur !

http://vivaberriat.canalblog.com/

Dernière modification par marco (03-03-2008 14:08:54)

2èmes assises de la construction passive - 4 et 5 avril à Grenoble

Les 2èmes Assises Nationales de la Construction Passive se tiendront à Grenoble les 4 et 5 avril 08 et feront le point sur l’habitat du futur.
Le but de ces Assises est de faire le point une fois par an sur le développement de la construction passive – ou construction à très basse consommation d’énergie- en France, sur ses avantages mais aussi sur les contraintes qu’elle impose et les manières de les traiter.
Dans un bâtiment passif, la consommation d’énergie finale qui permet d’assurer le confort thermique est inférieure à 15 kWh/m2/an (la moyenne française est de 180 kWh/m2/an)

http://www.salondubois.com/deuxiemes-as … assive.php

http://www.village.tm.fr/index.php?Menu … ;idn3=2303


Ces assises se tiennent dans le cadre du salon du bois (3-6 avril à Grenoble)

Le rendez-vous de référence de la construction bois et de l'habitat durable

Le salon rassemble chaque année à Grenoble plus de 300 exposants dans les domaines de la maison bois, de la construction passive, des éco-matériaux, des énergies renouvelables et du travail du bois. Présentation de maisons grandeur nature, espaces d'informations, conférences thématiques, expositions de projets et de réalisations d'architectes. l'édition 2008 mettra particulièrement l'accent sur l'habitat durable, la construction bioclimatique et le concept de maison passive. S'appuyant sur son identité « culture bois » très marquée, le salon a accueilli en avril 2007 pour sa 5è édition plus de 32 000 visiteurs, grand public et professionnels français et étrangers.

http://www.salondubois.com/actualites.php

Habitat durable: socle d'une ville pérenne

Grenoble, ville au milieu des montagnes alpines, organise la Biennale de l’habitat durable, deuxième édition, du 22 mai au 19 juin prochain. Cet événement, espace de réflexion et de débat sur nos « manières d’habiter » a pour objectif la promotion d’un habitat durable adapté au territoire alpin. Manifestation grand public, cette biennale sensibilise aux enjeux actuels du développement durable en milieu urbain.

Une biennale à Grenoble ?

Une biennale…
Comment ne pas étouffer dans la pollution et la population urbaine toujours croissante ? Comment assurer un habitat décent pour tous en consommant moins d’énergie, en limitant les émissions de gaz à effet de serre ? ce sont les questions sur lesquels l’homme doit s’attarder pour continuer à vivre durablement dans la cité car l’on prévoit d’ici 40 ans une augmentation sans précédent de la population mondiale urbaine (80% en 2050 contre 50% aujourd’hui). C’est pour cette raison que cet événement promeut une réorganisation de l’architecture globale des villes auprès de tous les publics.

… à Grenoble
Non loin du toit de l’Europe, Grenoble, ville alpine située au pied du Vercors et de la Chartreuse, au carrefour de plusieurs pays est donc sujette à la problématique urbanisme et environnement. Par ailleurs, elle est au cœur de l’innovation technologique avec ses pôles de compétitivité Tenerrdis et Minalogic, composé d’acteurs incontournables de l’environnement et des nanotechnologies. Grenoble, qui se veut la ville de l’innovation au service du développement durable, a été la première agglomération à avoir signé un Plan Climat Local en s’engageant à réduire ses émissions de CO2 de 25% d’ici 2020 « La ville de demain s’invente et s’invite à Grenoble »… pour l’innovation écologique.

[...]

http://www.developpementdurablelejourna … rticle2373

Dernière modification par marco (07-04-2008 10:01:20)

Faut il vraiment avoir déjà tout (hôtels, village olympique, stade olympique...) pour proposer sa candidature. Il me semblait que justement que les JO permettaient à une ville de se "développer". Dans ce cas Annecy et Gap n'ont vraiment aucune chance...
Si en 1964 on avait dit à Grenoble, désolé mais vous n'aurez pas les JO parce qu'il n'y a rien, la ville ne serait pas ce qu'elle est aujourd'hui et serait restée une petite ville de province bien tranquille...

Pour info le domaine "alpin" de Krasnaïa Poliana à 60km de Sotchi (station balnéaire) et qui accueillera les JO d'hiver en 2014 à pour le moment 12km de pistes et ressemble à cela:


Le CNOSF n'aurait il toujours pas digéré la défaite de Paris pour 2012...
En tout cas Jean Claude Killy n'est pas très chaud pour une candidature française (hors Paris ?)... 


PS: Nice qui accueille les JO d'hiver mouais, certes l'offre hotellière est déjà là mais pour les stations (Valberg, Isola 2000, Auron) c'est un peu limité, non ?
Sinon Genève est également candidate et aurait sans doute besoin de quelques "soutiens" français comme pour la piste de bobsleigh (La Plagne) ou peut être le tremplin à Courchevel...

Dernière modification par marco (17-04-2008 11:31:12)

Lorsqu'on connait ses prises de positions politiques, on ne pouvait pas attendre autre chose de Marielle Goitschel...

Sinon de toute façon il y aura forcément des sites olympiques qui seront utilisés quelle que soit la ville candidate. Il n'est, par exemple, pas concevable/raisonable de reconstruire un tremplin olympique ou une piste de bobsleigh...

Pour info:
Annecy-La Plagne: 100km, 1h50
Grenoble-La Plagne: 140km, 1h45
Genève-La Plagne: 200km, 2h20 (plus rapide avec la future A41), au cas où la Suisse n'ait pas de piste de bob...
Gap-La Plagne: 270km, 3h30 (3h avec l'hypothétique A51)
Nice-La Plagne: 500km, 5h40

Pour Courchevel c'est un peu moins loin donc un peu plus rapide...

Les rencontres nationales de la communication et de l'urbanisme à Grenoble 12 et 13 juin 2008

Fabriquer la ville ensemble
Permettre aux professionnels de la communication publique, de la concertation et de l'urbanisme, de se rencontrer autour d'une volonté commune d'associer la communication au projet urbain : c'est l'objectif des
Rencontres nationales Communication et Urbanisme.

Deux jours concrets et pratiques pour que les différents acteurs partagent enjeux, expériences, méthodes et pistes de réflexions sur les évolutions de leurs pratiques professionnelles, dans une démarche de « formation-action ».

Cette rencontre proposée par Cap' Com permettra de réfléchir à :
- L'évolution des métiers et des pratiques, le partage d'un langage et d'un savoir entre communicants publics, urbanistes, chargés de concertation, chefs de projet politique de la ville, bailleurs sociaux... autour d'un projet urbain.
- Les rôles de la communication et de la concertation dans un projet d'urbanisme.
- La place et l'utilisation des TIC au service de la concertation...
Ces rencontres s'articuleront autour :
- De conférences,
- De tables rondes,
- De visites professionnelles,
- Et d'ateliers pratiques

© News Press

Dernière modification par marco (07-05-2008 11:30:00)

Dossier très intéressant dans l'Express de cette semaine intitulé "Grenoble dans 10 ans".   
Si la plupart des projets ont déjà été montré sur ce site (surtout grâce à Marco ), tels la requalification de l'ancien palais de justice, ou encore la rocade nord, Bouchayer-Viallet ou de Bonne, il y a des images qui présentent plus en détail le mystérieux projet Giant. Les voicis ci-dessous:

Vue globale, avec la rocade Nord.


Les tours "jalons", devant servir de portes d'entrées et de repères visuels destinés à "donner la mesure du site". Elles pourraient acceuillir des bureaux, des logements étudiants, des hôtels...


Le "ruban photovoltaïque" long de 2 kilomètres et haut de 25 mètres, qui produirait 10% des besoins en électricité de site et...


... qui pourrait abriter une rue couverte avec cafés, restaurants, commerces...


Mais comme le souligne l'Express, ce projet a un coût estimé assez colossal d'environ 1,5 milliards d'euros !!! 
Avec les autres projets présentés, on dépasse les 2,5 milliards....