Toulouse - Patrimoine architectural et monuments

Pistolero · 10-11-2012 09:26:23

Ici mon guide annonçait une maison en corondage. Elle est partie...

Dernière modification par Pistolero (10-11-2012 09:27:26)

Pistolero · 10-11-2012 09:36:17

Le nom de la rue des Paradoux vient des pareurs de draps qui y habitaient : les paradors.

Au 34, maison du capitoul Pierre Arquier (17ème s) :

Sa devise est marquée sur la clef d'arc : SPERA ET TIME, "Espère et crains".

Pistolero · 10-11-2012 09:39:29

Au 32, maison du 17ème s avec portail orné et jolie cour intérieure :

Pistolero · 10-11-2012 09:42:08

Le 45 :

Pistolero · 10-11-2012 09:45:32

Façades de brique :

Pistolero · 10-11-2012 09:49:54

Au 28, hôtel Castaing (17ème s) où vécut l'historien toulousain Jules Chalande (1854-1930) :

Cour intérieure :

Pistolero · 10-11-2012 09:54:31

Au 27, belle façade aux balcons décorés d'objets hétéroclites. Je crois qu'un peu plus haut dans ce fil Chéricutz l'avait qualifié de "Dadaïsme en saillie" :

Le 21 :

Dernière modification par Pistolero (10-11-2012 09:55:23)

Pistolero · 10-11-2012 09:57:43

Le n°6 :

Pistolero · 10-11-2012 10:23:15

La rue Maletache tire son nom de la préparation utilisée par les fripiers pour dégraisser "la male tache". C'est d'une boulangerie de cette rue que partit le grand incendie de 1463 qui détruisit 7000 maisons et les deux tiers de Toulouse. Un mal pour un bien, peut-être, car cela détermina les autorités à imposer des murs de brique plus aptes à résister aux incendies et fit de la place pour les hôtels particuliers du siècle d'or du Pastel sur le point de commencer.

Au n°12 se tenait l'atelier d'un sculpteur, orné d'un médaillon décoratif :

Au n°3, portail monumental :

Dernière modification par Pistolero (24-12-2012 16:33:30)

Pistolero · 10-11-2012 10:30:57

La rue Joutx-Aigues :

Pistolero · 10-11-2012 10:32:09

Pistolero · 10-11-2012 10:37:43

Avec la rue des Filatiers, nous retrouvons le secteur "piétonnier". Evidemment elle doit son nom aux artisans travaillant le tissu qui y exerçaient.
C'est une jolie rue, sans hôtels particuliers mais au charme bien mis en valeur.

Pistolero · 10-11-2012 10:39:57

Restes de fenêtres à meneaux sculptés :

Pistolero · 10-11-2012 10:41:11

Dernière modification par Pistolero (10-11-2012 10:41:49)

Pistolero · 10-11-2012 10:42:41

Dernière modification par Pistolero (16-11-2012 13:05:30)

Pistolero · 10-11-2012 10:46:08

Demandez le plan de la ville !

Au n°50, la maison de Jean Calas dont je vous ai déjà parlé lors de notre passage place Saint Georges. Il s'agit de ce protestant condamné expéditivement pour le meurtre de son fils et dont le sort avait ému Voltaire :

Pistolero · 10-11-2012 10:47:53

Pistolero · 10-11-2012 10:50:51

La rue du coq d'Inde :

Pistolero · 10-11-2012 10:54:10

La rue des Marchands a de jolies façades néo-classiques du 19ème siècle :

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Pistolero · 10-11-2012 10:55:37

Pistolero · 10-11-2012 10:59:39

Cette façade que nous avons déjà croisée dans la première partie de ce fil est l’œuvre d'Auguste Virebent, qui la fit en 1840 pour orner l'immeuble de sa belle-famille. Il s'agit de cariatides en terre cuite inspirées de celles du Louvre de Jean Goujon. On reparlera plus en détail de la famille Virebent un peu plus loin...

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Pistolero · 10-11-2012 11:04:38

La place et la rue de la Trinité tirent leur nom d'un couvent de religieux de la Trinité qui s'installa dans cette rue en 1399. C'est vraiment un endroit très agréable avec ses façades du 19ème siècle.

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Pistolero · 10-11-2012 11:07:27

La fontaine qui orne le centre de la place est l’œuvre d'Urbain Vitry (1823) qui fut l'architecte en chef de la ville et faisait lui aussi partie de la famille Virebent :