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Oui, j'y vais étudier l'année prochaine en plus dans ce bâtiment B mais à mon avis j'aurai fini mon cursus que le bâtiment sera toujours dans cet état.
Dernière modification par zichiqou35200 (09-12-2015 19:33:32)
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COP 21 : les universités rennaises s'engagent pour la transition énergétique
AVEC UN PATRIMOINE BÂTI DE PLUS DE 450 000 M2 PRINCIPALEMENT CONSTRUIT À LA FIN DES ANNÉES 60, LES UNIVERSITÉS DE RENNES 1 ET RENNES 2 ONT FORT À FAIRE POUR RÉNOVER LEURS INSTALLATIONS ET FAIRE DIMINUER LEUR FACTURE ÉNERGÉTIQUE. ELLES VIENNENT POURTANT DE S'ENGAGER À VISER UNE RÉDUCTION PAR QUATRE D'ICI 2025.
Pour autant, la rénovation des bâtiments demeure la clé des économies qui pourront être réalisées. « C'est un véritable défi économique, poursuit Guy Cathelineau, président de Rennes 1. La rénovation complète des bâtiments pourrait s'élever à 300 millions d'euros. Ce sont des sommes colossales que les universités ne possèdent pas. La maintenance de base des bâtiments actuels est déjà parfois un problème.
On va avoir un problème là
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Objectif de développement durable à Rennes 1
En attendant la rénovation des infrastructures universitaires de la Ville.
Plan quinquennal
Dans son contrat quinquennal 2012-2016, l’université s’est fixée trois objectifs : renforcer l’attractivité et la lisibilité de l’université, mener une stratégie de partenariats et d’alliances, assurer un pilotage de qualité. Elle s’est ainsi engagée à intégrer développement durable et responsabilité sociétale dans sa stratégie globale. L’université de Rennes 1 a mis en place un comité de pilotage Agenda 21 réunissant personnels, étudiants, enseignants et représentants des différents conseils. Il est conduit par le chargé de mission développement durable, chef de projet Agenda 21.
L’université fait ainsi le choix de renforcer son offre de formation en matière de développement durable et d’accompagner le développement des compétences des personnels dans ce domaine.
Enfin, Rennes 1 met en œuvre une politique environnementale forte de réduction des émissions de gaz à effet de serre et de consommation de ressources et de protection de la biodiversité.
Pour l’année 2009, le Bilan Carbone® de l’université était de plus de 15 000 tonnes équivalent carbone (soit environ 5 000 années de chauffage au gaz d’un studio). Les émissions de GES de l’université se partagent, majoritairement, entre la consommation énergétique des bâtiments, les déplacements professionnels et personnels et les achats liés aux activités de l’université. Les déchets, une thématique pourtant bien plus visible, représentent moins de 1 % de ces GES. En faisant de l’année 2009 un point de référence, le Bilan Carbone® permet de suivre précisément l’évolution de la consommation énergétique et d’évaluer les émissions de gaz à effet de serre.
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Avancement des objectifs au 12 Janvier
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Un important soutien au site universitaire rennais
17,298 M€ sur six ans
Durant les six années du CPER, sur le site rennais, 62 opérations vont être financées. Pour un montant total de plus de 138 M€. Sur cette somme, la métropole apportera 17,298 M€. Le site universitaire rennais est le premier pôle de l'enseignement supérieur et de la recherche sur le Grand ouest, avec 64 500 étudiants et 5 800 personnes dédiées à la recherche.
L'excellence de la recherche est, à la fois, un moyen de faire reconnaître le territoire au niveau international et de générer de nouveaux débouchés économiques. C'est ainsi, pour la métropole, un enjeu d'attractivité du territoire.
Vie étudiante, rénovations, labos
27 opérations relèvent de l'immobilier et la structuration du site rennais. Elles sont financées pour un total de 86,6 M€, ce qui représente 55 % des financements du CPER sur cet axe en Bretagne. Quelques projets : la rénovation de cités U, de bâtiments et d'amphithéâtres à Villejean et à Beaulieu, ou encore la poursuite de la rénovation de la bibliothèque Droit-économie-gestion en centre-ville.
Super bonne nouvelle, c'est pas du luxe dans ces secteurs là.
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Sauf que Rennes n'aura c'est sûr jamais le fond IDEX...Grenoble et Nice viennent de remporter la 2ème vague d'appels à projet : il n'y a aucune université sélectionnée en dehors de Paris à l'ouest d'une ligne Strasbourg > Bordeaux Et les dotations ne sont pas les mêmes !
Le demi tour de Rennes 2 a couté très cher, tout comme cet assemblage fédéral désordonné et quelque peu forcé entre Rennes, Nantes, Brest, Angers, Le Mans, Lorient, etc....Quoiqu'on en dise, ce n'est pas le bon exemple. Les exemples à suivre pour ne pas que l'ouest soit relégué en 2ème division nationale ? Grenoble ou Strasbourg ! Il ne sont pas en train d'essayer de s'entendre avec d'autres régions mais déjà dans la ville elle-même (fusions). Pas gagné pour l'ouest apparemment...Et je n'y crois pas du tout pour la dernière vague de 2016. D'autres territoires universitaires plus dynamiques comme Montpellier, Lille ou Paris Est auront sans doute ce fond d'initiative à notre place...
Pour rappel, en 2011-2012, 8 site IDEX ont été sélectionné dont Aix-Marseille, Bordeaux, Toulouse, Strasbourg et Paris x 4 pour 7,7 milliard d'€.
L'action IDEX/I-SITE sélectionne des universités de recherche de rayonnement mondial disposant d'une puissance et d'un impact scientifique de tout premier plan dans de larges champs de la connaissance.
On en est loin à Rennes non ? D'ailleurs l'université BL qui visait l'IDEX va sans doute baisser son ambition et viser 3 "I-Site" (avec Rennes, Nantes, Brest).
Rennes 8ème ville universitaire en effectif mais pas en qualité, ça c'est sûr ! Une montagne sépare Rennes de Grenoble par exemple. Commençons donc par faire une seule université rennaise avant de vouloir faire (semblant) copain copain avec Nantes ou Le Mans !
Plus d'infos ici avec le commentaire qui va avec...
Dernière modification par Floch PC 11 (24-01-2016 23:31:44)
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La fusion avortée Rennes 1 - Rennes 2 a certainement envoyé un message négatif, mais c'est surtout le côté "alliage de circonstance" des université de l'ouest qui a plombé le dossier Idex. Difficile d'imaginer une structure efficace quand elle est répartie sur autant de sites différents et éloignés les uns des autres.
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Floch, c'est justement contre cette mise en concurrence des étudiant-e-s et des universités et donc contre la privatisation de l'enseignement que l'université Rennes 2, étudiant-e-s et administration, ont refusé la fusion avec Rennes 1.
Il est bien beau ton discours sur les classements des meilleures universités en France, basés sur des critères totalement orientés. Seulement, il est à des années lumière de la pensée et de l'envie d'une majorité à Rennes 2. L'intérêt d'avoir deux universités, c'est de ne pas voir certaines disciplines se faire bouffer au nom de la rentabilité économique.
En fait, dès le départ, c'est encore idéologique. Sans tomber dans un discours bisounours, il me semble nécessaire que l'enseignement supérieur et l'enseignement en général, ne doivent pas seulement être perçus et utilisés comme des moyens d'intégrer le marché économique et du travail. L'enseignement doit surtout être perçu comme un facteur d'émancipation, même pour l'enseignement supérieur.
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"mise en concurrence" de Rennes I et Rennes II : Comment était-ce possible ? Que des disciplines naissent et meurent ne seraient-ce pas la saine nature des choses de l'esprit ? Si l'une est mieux enseignée à Vannes et à Nantes qu'à Rennes II, ne serait-ce pas plus intéressant de ne plus enseigner à Rennes ?
Les universités qui dispensent des formations proches ne sont-elles pas en revanche en concurrence, et ce, depuis le Moyen-Age ?
Si l'enseignement supérieur doit rester (dans la mesure où il le serait, ce qui me semble faux dans la plupart des cas, mais bon...) l'un des facteurs d'émancipation des individus, il n'a pas les moyens d'émanciper certains de ses propres services.
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Bientôt 10 000 ! Sais-tu l'année de ces chiffres ?
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Chiffres de l'Observatoire Métropolitain de l'enseignement supérieur, de la recherche , de l'innovation et de la Vie étudiante (2013-2014)
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Chiffres 2014/2015 relatifs aux effectifs universitaires des académies Françaises. *
* Ministère de l'éducation
A noter le passage de la population universitaire de Lille en dessous de la barre des 100000 étudiants.
Un très belle progression à Lyon avec un passage de + 1,5% (2012-2013)/(2013-2014) à 3,8% (2013-2014)/ (2014-2015).
Rennes confirme sa bonne santé avec une tendance à la hausse . Nantes également malgré une tendance à la baisse.
Dernière modification par zichiqou35200 (05-02-2016 17:31:25)
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Restructuration du bâtiment 15 du CFR Agrocampus: Ouest :
Dernière modification par zichiqou35200 (06-02-2016 21:11:23)
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Nouveau bâtiment pour la Rennes school of business
Situé sur le même site que les trois bâtiments déjà existants, le campus 4 offrira 4 000 m² de surface supplémentaire entièrement dédiée aux activités pédagogiques. Prendront aussi place des espaces de co-working, des amphithéâtres, des salles de cours et d’un réseau informatique avec écrans performant.
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Ille-et-Vilaine. Quatre nouveaux collèges publics d’ici 2021
Près de 54 000 collégiens sont attendus jeudi, jour de la rentrée, dans les collèges du département (60 publics et 45 privés). Un chiffre en hausse. « Ils étaient 47 000 il y a dix ans, mais notre département est l’un de ceux qui affichent la plus forte vitalité démographique en France, avec 11 000 à 12 000 nouveaux habitants chaque année », explique Jean-Luc Chenut, le président du conseil départemental.
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Jeudi dernier j'ai fait un petit tour par Villejean, j'étais étonnée d'y voir autant de monde, surtout sur la partie Rennes 2 du campus (sur le campus santé c'est moins visible quand les PACES sont en cours). Moi qui pensais que les rentrées des fac étaient étalées, apparemment non.
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55 000 étudiants sur les 2 campus. 65 000 étudiants en tout = pas de soucis au niveau qualitatif. Mais l'ouest est relégué au 2nd plan voire au 3eme depuis plusieurd années maintenant. Pas de visibilité internationale, pas de fond Idex synonyme de budget supplémentaire, infrastructures saturées, pas de plan campus pour le futur. 8eme ville en nombre d'étudiants, certes, mais loin très loin du niveau des universités de Strasbourg, Lorraine, Nice, Grenoble, Aix-Marseille, Montpellier etc.
Attention à ne pas se reposer sur ses lauriers au risque de louper le train en marche...
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Paquito35000 a écrit:
En fait, dès le départ, c'est encore idéologique. Sans tomber dans un discours bisounours, il me semble nécessaire que l'enseignement supérieur et l'enseignement en général, ne doivent pas seulement être perçus et utilisés comme des moyens d'intégrer le marché économique et du travail. L'enseignement doit surtout être perçu comme un facteur d'émancipation, même pour l'enseignement supérieur.
J'ai failli tomber de ma chaise en lisant ça ...
Naïvement j'avais toujours pensé qu'on faisait des études supérieures avant tout pour se préparer à entrer sur le marché du travail.
En quoi consiste l'émancipation si on n'a pas de travail ?
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Je trouve que la terminologie de campus est utilisée à mauvais escient. Les journalistes parlent de campus dans le sens "université" hors chacun sait qu'une université est souvent implantée dans plusieurs campus, eux-mêmes peuvent être dans différentes villes. Les 55000 étudiants des deux universités rennaises ne sont pas tous à Rennes : une partie non négligeable est implantée dans d'autres villes de Bretagne.
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Surtout qu'il y a bien plus que deux campus à Rennes (4 en intra-muros, plus ker lann, plus le centre-ville qui n'est pas vraiment un campus) et qu'ils ne sont pas occupés que par les facs. Mais au final en rajoutant les étudiants des autres structures d'enseignement présents sur ces campus (EHESP, Insa, autres écoles plus ou moins rattachées aux universités) on doit facilement arriver dans les 55000.
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Je me demandais comment étaient comptés les étudiants dans la population de la ville : à Rennes on aurait 50 000 étudiants sur 210 000 habitants ? ou alors peu de ces étudiants sont domiciliés fiscalement à Rennes et ne rentrent pas dans les stats de population résidente ?
car 1 habitant sur 4 étudiant ça parait vraiment énorme. Je suppose que dans les villes >100 000hab on est pas loin du plus fort % (avec Montpellier Grenoble Tours)
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Rennes a effectivement un des plus hauts taux d'étudiant (je ne sais pas si ça se dit) dans sa population avec pas loin de 25%, juste derrière quelques autres villes, notamment Poitiers. Les étudiants forment une population très mobile, on peut très bien être enregistré dans un établissement rennais mais aller étudier hors de France, ou être étudiant autre part et venir faire un stage ou une partie de ses études à Rennes et donc y prendre un logement pour un semestre (ou moins), tout en restant inscrit sur la liste électorale de sa commune d'origine.
Toutefois, pour ce qui est de la population résidente, même s'il est difficile de s'imaginer 50000 étudiants sur l'ensemble de la population rennaise, on doit effectivement se retrouver avec des chiffres comme ça, peu importe les situations que j'ai décrites ci-dessus.
Voir ce classement qui donne une idée des proportions dans les populations communales.
http://www.toutes-les-villes.com/villes-etudiantes.html
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En effet c'est complexe Lekt. Il y a le nombre total d'étudiants dans une ville, les effectifs universitaires sur une ville mais aussi au total, les effectifs sur les campus par ville, etc. Mais dans ce cas il faut bien comprendre 55 000 étudiants inscrits à Rennes 1 & 2, St-Brieuc, Lannion, St-Malo compris.
A mon avis, aujourd'hui on doit être à 65-66 000 étudiants au total dans l'UU rennaise, dont 50 000 dans les universités (le reste dans les autres villes de Bretagne). Mais sur ces 50 000 rattachés à la fac, peut-être qu'il y en a seulement 35 000 qui sont sur les 2 principaux campus. Les autres étudiants à la fac sont à La Harpe, Hoche. Et d'autres étudiants d'écoles sont aussi dans les gros campus.
Sinon, pour le taux d'étudiant dans l'UU, je pense que Rennes est parmi le top 5 des grosses viles étudiantes avec Poitiers, Nancy ou Montpellier. Après tout dépend si les étudiants logent principalement dans la ville centre. Je pense que c'est le cas à Rennes. Dans d'autres villes par exemple, il y a des grosses villes étudiantes de banlieue avec une proximité vers les campus (Talence, Pessac, St-Martin d'Hères, Villeneuve d'Ascq) et peut-être qu'ils logent plus facilement dans ces villes. A Rennes, il peut-y avoir Cesson et Bruz, mais c'est bien Rennes qui capte à 90% des infras étudiants et donc sur les 65 000 étudiants dans l'UU, il doit bien y avoir 50 à 55 000 étudiants dans Rennes.
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