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Comme un air de déjà vu. Il va falloir qu'ils songent à recruter de vrais spécialistes dans le domaine du transport.
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Timelapse du montage d'une éolienne : http://www.stuff.co.nz/dominion-post/ne … nd-turbine
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Vieillissement des réacteurs, risque terroriste, etc : la France est-elle menacée d’une catastrophe nucléaire ?
MIS À JOUR : 25-04-2016 22:21 - CRÉÉ : 25-04-2016 12:03
ENVIRONNEMENT – Depuis l’accident de Fukushima au Japon en mars 2011, les normes de sûreté des centrales nucléaires françaises ont été revues à la hausse pour diminuer les risques et l’ampleur d’un éventuel accident. Des risques que les autorités du nucléaire ne nient plus en raison du vieillissement du parc nucléaire, cumulé à la mauvaise santé financière des entreprises exploitantes (EDF, Areva, etc.) et aux menaces terroristes. Explications.
Un Tchernobyl (ou un Fukushima) à la française est-il envisageable ? Trente ans après la catastrophe nucléaire du 26 avril 1986 qui a fortement marqué les imaginaires collectifs, des conséquences de la contamination à la controverse sur le nuage radioactif, l’éventualité d’un accident nucléaire sur le territoire français n’est plus une chimère de militants antinucléaires – peut-être d’ailleurs ne l’a-t-elle jamais été.
"Imaginer l’inimaginable"
Pour preuve, depuis janvier dernier, le président de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), Pierre Franck Chevet, qu’on ne peut pas accuser de partialité antinucléaire répète qu’un accident dans un réacteur est tout à fait possible. Lorsqu’on le rencontre dans son bureau de Montrouge le 20 avril, le "gendarme" en chef du nucléaire insiste : "un accident majeur ne peut pas être exclu aussi bien au Japon qu’en Europe".
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Avez-vous entendu parler de ça ? :
http://www.tedxparis.com/andre-gennesseaux/
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La "route solaire" entre en phase de développement
Par Loïc Chauveau
Publié le 05-06-2016 à 12h00
Wattway, l’innovation de l’entreprise de BTP Colas, vient d’être installée sur un parking de Vendée. Un industriel est désormais prêt à produire des kilomètres de ces dalles solaires.
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Le 2 juin, l’entreprise Colas a inauguré à Mouilleron-le-Captif (Vendée) sur le site du complexe sportif et culturel Vendéspace un parking solaire où les batteries des voitures électriques seront rechargées par le sol.
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Colas a par ailleurs trouvé un industriel prêt à produire Wattway en masse. SCNA solar est une société coopérative appartenant à 100% à ses salariés basée dans l’Orne. L’entreprise fabrique déjà des panneaux solaires intégrés aux bâtiments. SCNA produira en sous-traitance 5000m² d’ici 2017 pour fournir les sites d’expérimentation. La capacité de production est déjà estimée à 150000m² par an. Mais il faudra produire encore beaucoup plus pour voir les coûts de Wattway baisser. Actuellement, la technique sort le watt-crête (l'optimum de fonctionnement du panneau photovoltaïque) à 6 euros, soit six fois plus cher qu'une centrale solaire au sol classique.
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Antonio630 a écrit:
Énergie marine. Geps, start-up révolutionnaire, crée une bouée intelligente
2011. Deux ingénieurs des chantiers navals STX, à Saint-Nazaire, décident de monter leur propre boîte. L'idée ? Développer une grosse bouée intelligente et autonome « capable de capter l'énergie des vagues, du soleil, des courants et du vent », explique Jean-Luc Longeroche, qui dirige aujourd'hui Geps Techno avec Philippe Magaldi.
Cette station flottante appelée MLiner doit voir le jour en 2019 et produire un mégawatt (MW) d'électricité, soit la consommation moyenne de 1 000 maisons d'habitation. Pour en arriver là, les deux hommes et leur équipe ont travaillé sur des technologies inventives qui ont attiré l'attention de la Banque publique d'investissement (BPI) lors d'un appel à projets national.
Économiquement, l'entreprise est en plein essor. « Nous sommes passés de sept salariés en septembre à quinze aujourd'hui, se réjouit Jean-Luc Longeroche. Notre chiffre d'affaires, de 200 000 € en 2015, devrait atteindre deux millions d'euros cette année. » Dix fois plus ! Les plus importantes retombées commerciales sont attendues dès 2017 et des financeurs privés ont rejoint le projet.
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Centrale hydroélectrique Romanche Gavet: il était une fois un chantier colossal qui avance doucement
Le chantier EDF Romanche Gavet est le plus grand chantier de construction d'aménagement hydroélectrique actuellement en France. Il s'agit de créer une énorme centrale encastrée dans la montagne. Elle ne fournira pas ses premiers kilowattheures (kWh) avant 2020.
Le long de la route menant à la station de l'Alpe d'Huez, cet aménagement en partie souterrain doit remplacer 6 centrales et 5 barrages dans la vallée de la Romanche. A terme, la nouvelle centrale produira annuellement 155 millions de kWh supplémentaires, soit la consommation d'une ville de 60.000 habitants.
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Hydrogène-énergie: la filière de Grenoble prometteuse mais la France en retard
Grâce à l'opération HyWay, premier déploiement d'une flotte de véhicules électriques avec prolongateur d'autonomie à hydrogène, Grenoble fait figure de poste d'avant-garde en matière d'expérimentation. L'agglo compte aussi de fervents défenseurs de cette énergie. Mais la France cumule les retards.
La 4e édition des Journées Hydrogène s'est tenue à Grenoble, les 29 et 30 juin. 300 chercheurs, entrepreneurs et poliques se sont réunis autour d'une cause: améliorer cette technologie et surtout permettre son déploiement.
La France dispose d'acteurs de poids et d'entreprises bien positionnées dans les nouvelles applications de l'hydrogène (mobilité, stockage d'électricité, etc.) mais le déploiement reste "faible" sur le territoire, selon une étude publiée par le cabinet Sia Partners. "Les quatre prochaines années pourraient constituer une période décisive tant pour l'émergence d'une production propre et décarbonée d'hydrogène que pour le développement de nouvelles applications de l'hydrogène-énergie", estime Sia Partners.
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marco a écrit:
Hydrogène-énergie: la filière de Grenoble prometteuse mais la France en retard
Grâce à l'opération HyWay, premier déploiement d'une flotte de véhicules électriques avec prolongateur d'autonomie à hydrogène, Grenoble fait figure de poste d'avant-garde en matière d'expérimentation. L'agglo compte aussi de fervents défenseurs de cette énergie. Mais la France cumule les retards.
La 4e édition des Journées Hydrogène s'est tenue à Grenoble, les 29 et 30 juin. 300 chercheurs, entrepreneurs et poliques se sont réunis autour d'une cause: améliorer cette technologie et surtout permettre son déploiement.
La France dispose d'acteurs de poids et d'entreprises bien positionnées dans les nouvelles applications de l'hydrogène (mobilité, stockage d'électricité, etc.) mais le déploiement reste "faible" sur le territoire, selon une étude publiée par le cabinet Sia Partners. "Les quatre prochaines années pourraient constituer une période décisive tant pour l'émergence d'une production propre et décarbonée d'hydrogène que pour le développement de nouvelles applications de l'hydrogène-énergie", estime Sia Partners.
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Je crois beaucoup à l'économie de l'hydrogène mais c'est vrai que tant qu'on a pas trouvé une technique de production à un coût acceptable, cela sera difficile de décoller. On peut espérer de nouvelles sources d'énergies avec des projets comme ITER ou Wendelstein7x mais leur mise au point industrielle n'est pas prévu avant 40 ans .....mais pouvons nous encore attendre??????
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bigorre a écrit:
]
Je crois beaucoup à l'économie de l'hydrogène mais c'est vrai que tant qu'on a pas trouvé une technique de production à un coût acceptable, cela sera difficile de décoller. On peut espérer de nouvelles sources d'énergies avec des projets comme ITER ou Wendelstein7x mais leur mise au point industrielle n'est pas prévu avant 40 ans .....mais pouvons nous encore attendre??????
J'ai lu quelque part que la production d'hydrogène par électrolyse a un rendement tellement faible qu'il faudrait que le baril de pétrole soit à 200$ pour que ce soit rentable à grande échelle.
C'est pour ça que dans la pratique, quasiment toute l'hydrogène produite actuellement dans le monde se fait à partir du gaz naturel. Un combustible fossile, donc.
AU moins, on peut capter le C02. Air Liquide fait ça : en entrée du méthane, en sortie du H² pour l'industrie chimique et du CO² pour une usine de soda.
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Ce panneau solaire fonctionne aussi quand il pleut
ACTUALITÉ Classé sous :PHYSIQUE , ÉNERGIE RENOUVELABLE , PANNEAU SOLAIRE
Pour produire de l'énergie propre, le photovoltaïque, c'est bien. Mais uniquement... lorsque le soleil brille. À moins que l'idée de chercheurs chinois de développer des panneaux solaires qui exploitent aussi l'énergie des gouttes de pluie ne devienne réalité.
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Go-Met:
Port-de-Bouc mise sur l’énergie solaire et d’eau de mer pour construire un réseau de chaleur collectif
Dans le cadre d’une vaste opération de rénovation urbaine et énergétique de Port-de-Bouc et du programme Flexgrid, le projet Seanergies vise à créer un réseau de chaleur collectif, grâce au photovoltaïque et à la boucle d’eau de mer.
http://www.go-met.com/port-bouc-mise-le … collectif/
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Nucléaire : la Cour des comptes émet trois mises en garde sur d'éventuels nouveaux projets d'EPR
"Le retour d'expérience des chantiers menés et la planification du mix énergétique à horizon 2050 sont nécessaires avant de décider de construire ou non de nouveaux réacteurs électronucléaires", a estimé Pierre Moscovici en évoquant l'avenir, alors que la programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE), qui sert de feuille de route au gouvernement, a aujourd'hui pour horizon 2028 seulement.
La décision de construire ou non de nouveaux réacteurs engagera la France "jusqu'au XXIIe siècle", souligne la Cour des comptes. Les enjeux financiers sont énormes : construire trois paires de réacteurs EPR2 (la version améliorée sur laquelle travaille EDF) coûterait 46 milliards d'euros. C'est sur ce scénario de six nouveaux réacteurs que l'électricien travaille actuellement à la demande du gouvernement.
Les magistrats alertent en outre sur le fait qu'EDF ne pourra plus assurer seul à l'avenir le financement des chantiers, qui nécessitera donc une forme de soutien public, tout en notant que les difficultés "ne doivent pas conduire à disqualifier cette technologie". Cependant, "il faut constater des difficultés passées considérables qui peuvent orienter les choix futurs", a conclu Pierre Moscovici.
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SEINE-ET-MARNE: À NONVILLE, HABITANTS ET ASSOCIATIONS OPPOSÉS AU FORAGE DE 10 NOUVEAUX PUITS DE PÉTROLE
https://www.bfmtv.com/paris/seine-et-ma … 60152.html
J’espère moi aussi que ça ne se fera.
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N'y a-t-il pas un moratoire sur l'ouverture de nouvelles plate-formes d'extraction d'hydrocarbures en France ? Alors peut-être que ça ne concerne par les extensions de sites existants, mais ce serait un peu bête.
De manière générale, j'aurais plutôt tendance à dire qu'il faudrait au contraire encourager l'extraction d'hydrocarbures en France, en imposant par contre un raffinage et une consommation locale des produits extraits (ce qui ne devrait pas être compliqué en IdF). Réduire la production française de pétrole (déjà ridicule, même dans les années 1970) ne réduit pas sa consommation. Partant de ce constat, il vaut mieux consommer autant que l'on peut de pétrole produit localement, qui bénéficie à l'économie locale, produit avec un tant soit peu de normes environnementales et surtout ne pas financer des régimes pas très fréquentables (gros euphémisme) en leur achetant du pétrole/gaz. Je trouve coquasse qu'à l'ère du "consommer et produire local" on veuille privilégier l'importation de pétrole d'Arabie, de gaz russe ou de charbon d'Amérique. Le moindre mètre cube produit en France n'est pas acheté à des pays étrangers. Pour rappel, le fameux déficit commercial de la France qu'on rabâche chaque année comme argument d'auto-flagellation, est à peu de choses près égal au déficit énergétique de la France.
Une remarque plus spécifique, c'est la mention dans l'article de l'implication de la Mairie de Paris qui, sauf incompréhension de ma part, n'a pas mot à dire sur ce projet. Ça ne fait que remettre en lumière la disparité entre les périmètres géographique et de compétence d'une commune, aussi grande soit-elle, et ses problématiques de politique ou d'aménagement. De la même manière qu'une modification tombant sous le coup de la circulation communale interne peut affecter, directement ou non, la vie de millions de personnes n'habitant pas la commune de Paris, il est intéressant de voir une commune extravertir sa politique hors de son territoire (quand bien même ce ne serait que de la communication).
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Tu as tout à fait raison. Je me suis emballé trop vite à la lecture de l’article.
Une surveillance accrue et des eaux de Paris me semble quand même indispensable.
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rerefr a écrit:
Une surveillance accrue et des eaux de Paris me semble quand même indispensable.
Il y avait tout le brouhaha comme quoi on pourrait nager dans la Seine en 2024 pour les JO... je ne sais pas où ça en est.
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Je voulais dire la société Eau de Paris. (eau potable)
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ziegfried a écrit:
De manière générale, j'aurais plutôt tendance à dire qu'il faudrait au contraire encourager l'extraction d'hydrocarbures en France, en imposant par contre un raffinage et une consommation locale des produits extraits (ce qui ne devrait pas être compliqué en IdF)..
Ben moi je pense qu'on devrait conserver précieusement ces rares réserves pour une éventuelle crise grave qui nous empêcherait d'importer du pétrole. Donc prospecter, oui, mais ensuite sanctuariser les gisements trouvés en tant que réserves stratégiques.
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yb a écrit:
ziegfried a écrit:
De manière générale, j'aurais plutôt tendance à dire qu'il faudrait au contraire encourager l'extraction d'hydrocarbures en France, en imposant par contre un raffinage et une consommation locale des produits extraits (ce qui ne devrait pas être compliqué en IdF)..
Ben moi je pense qu'on devrait conserver précieusement ces rares réserves pour une éventuelle crise grave qui nous empêcherait d'importer du pétrole. Donc prospecter, oui, mais ensuite sanctuariser les gisements trouvés en tant que réserves stratégiques.
Ca pourrait être une bonne idée, mais il y a un délai relativement important entre la découverte d'un gisement et le début de son exploitation. Dans le cas d'une crise d'importation aigüe et subite, il faudrait tout de même un certain temps pour (re-)construire les infrastructures de forage, un temps probablement trop long pour avoir un quelconque impact sur l'offre, sans même compter, encore une fois il faut le rappeler, les volumes dérisoires présents dans le sous-sol français. La production actuelle couvre à peine 1% de la consommation. Même avec de nouveaux gisements, il n'y aurait pas de quoi pallier à un arrêt net des importations. Le seul gisement prometteur était celui au large de la Guyane, mais aux dernières nouvelles, les forages n'ont rien donné.
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Top 6 des départements FR en termes de puissance photovoltaïque au 30 septembre 2020 :
— Paul Neau (@PaulNeau) November 29, 2020
Gironde : 770 MW
Landes : 563 MW
Bouches-du-Rhône : 400 MW
Var : 351 MW
Alpes-de-Haute-Prov. : 335 MW
Hérault : 322 MW
Total FR : 10 600 MW pic.twitter.com/lC03qhO6Ux
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En termes de production on a une idée de ce que ça donne par département ?
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10600 MW pour la France. C’est ce que produisait Fessenheim. Par, vu que le solaire est de l’énergie intermittente, je ne sais pas si leurs données inclut la production d’énergie directement perdue.
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C’était la tout le fond de ma question.
D’après EDF en 2017, la puissance installée en photovoltaïque était de 7660MW, pour une production de 9,2TWh.
Pour le nucléaire on a une puissance de 61,4GW, pour une production de 379TWh.
Le nucléaire est donc 6 fois plus performant, et plus écologique également que le solaire photovoltaïque.
Dernière modification par hugosbrr (30-11-2020 09:55:13)
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Il me semble que votre dernière phrase mérite débat, lorsque vous affirmez que le nucléaire est "écologique".
Pour toute production énergétique pour faire le bilan écologique, il faudrait voir l'impact écologique amont (coût écologique de création et installation des composants de production), le coût écologique lors de la production énergétique et le coût écologique aval (démantèlement des installations, recyclage, déchets ...).
Je rappellerais également que l'impact environnemental ne se limite pas à un impact CO2 et d'émission de gaz à effet de serre.
Actuellement, je ne vois aucune solution idéale, même si j'ai l'impression que l'énergie hydraulique apparaît comme la plus intéressante si on privilégie des unités de taille modeste, aménagées de sorte à ne pas trop impacter les milieux aquatiques et leur mobilité. En tout cas, je dirais, au doigt mouillé, que le nucléaire a certainement le pire bilan (avec le pétrole) au regard de la gestion des déchets et des risques qu'ils font peser sur l'ensemble de l'écosystème planétaire.
Dernière modification par Ptiloulou (30-11-2020 11:29:20)
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