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D'accord je modifie ça. Pas évident votre réseau les Grenoblois :D
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L'Interconnexion n'est plus assurée - 21 septembre 2016
Le Vélib’ coûte cher. Des alternatives existent
Bien sûr, et même si le bénéficiaire fait souvent mine de ne pas s’en rendre compte, toutes les infrastructures de transports coûtent cher. Le Vélib’ comme le tramway. Mais d’autres outils, bien moins coûteux que le vélo en libre-service, se révèlent tout aussi efficaces, sinon davantage. Autrement dit, à budget égal, il est possible de faire beaucoup plus. C’est une conclusion que l’on peut tirer d’une étude (téléchargeable ici) consacrée par l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) aux « services vélo ».
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Mobilicites - 20 octobre 2017 |
Le grand débarquement des vélos partagés en free-floating
Après les scooters électriques, c'est au tour des vélos partagés en free-floating de déferler dans les agglomérations françaises. Plusieurs acteurs vont se disputer les marché dans les prochains mois : Indigo Wheel, Ofo et oBike annoncent leur implantation après Gobee.bike. Des offres complémentaires ou concurrentes des vélos en libre-service type Vélib' ?
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TRANSPORTS
Gobee.bike annonce son départ de Reims, Lille et Bruxelles
Après des semaines de flou, et alors que des centaines de vélos ont été vandalisés, l’entreprise annonce qu’elle se retire de Reims, deux mois après son arrivée. Elle quitte aussi Lille et Bruxelles.
Par Guillaume Lévy | Publié le 09/01/2018 à 13h54
Près de 380 vélos hors d’usage sur 400 mis en circulation début novembre ; 80 plaintes déposées. Voici le triste bilan de la bicyclette vert pomme à Reims.
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Quand on sait qu'ily a des Vélib dans le canal St Martin, je ne serai pas étonné de la même chose à Paris
Bien dommage d'en arriver là, mais en même temps, le système reposé sur la confiance des utilisateurs, et la naïveté de la confiance de la société a été fatale, il y a surement des choses à améliorer pour le rendre moins vandalisé
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greg59 a écrit:
Quand on sait qu'ily a des Vélib dans le canal St Martin, je ne serai pas étonné de la même chose à Paris
Apparemment, un de ces vélos a été baptisé dans un des lacs du Bois de Boulogne...
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C'est bien ce que je pense, le système a été mal pensé dès le départ, car ils se sont fier à la confiance des usagers sans pensé que ces mêmes personnes en profiterai pour s'acharner sur des vélos.
Le modèle est à revoir, en tout cas le vélo en libre service a de beaux jours devant lui !
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Voilà c'est fait :
L'entreprise Gobee.bike quitte la France après la "destruction en masse" de ses vélos en libre-service
En quatre mois, "plus d'un millier de vélos ont été volés ou privatisés" et "près de 3 400 endommagés", selon un communiqué de l'entreprise.
"Gobee-bye !" L'entreprise de vélos en libre-service Gobee.bike annonce, samedi 24 février, qu'elle quitte la France. Cette décision, "prenant effet immédiat" a été "extrêmement difficile à prendre", selon un communiqué publié dans la soirée.
[...]
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Que l'on se rassure, le phénomène des vélos abîmés et dégradés, n'est pas que Français, c'est un phénomène mondial :
https://www.20minutes.fr/societe/222737 … -gobeebike
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Les entreprises se doivent aussi de proposer des vélos plus solides.
Pour le moment, si certains semble robustes, d'autres sont clairement des vélos bas de gamme simplement équipés de visserie antivol (entendu dans un JT, le prix de revient de certains modèles est inférieur à 18€).
Par exemple - sans faire de la pub - Mobike semble le plus impliqué sur le sujet tout en communiquant sur une image innovante. Un de ses modèles semble indestructible (jantes monobloc, transmission et câbles dans le cadre, ...).
https://commons.wikimedia.org/wiki/File … public.jpg
Ça ne l’empêchera pas de finir au fond de l'eau, mais ça doit fortement limiter la casse.
Dernière modification par Garbougnat (27-02-2018 14:00:13)
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Il-y-a une forme d'impréparation (voire d'amateurisme), qui s'explique sans-doute par le contexte chinois de concurrence féroce entre startups pour s'imposer sur ce marché mondial émergeant. Cf. la faillite du numéro 3 chinois de ce secteur, Bluegogo, qui a fait l'objet d'un article du Guardian illustré par des photos plutôt spectaculaires :
Du coup, je me souviens de cette photo incroyable de cimetières de vélos en partage à Xiamen pic.twitter.com/14sldZUxbj
— Johan Hufnagel (@johanhufnagel) February 25, 2018
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Une autre analyse allant dans le sens d'un accident industriel :
Gobee : Vandalisme massif ou manipulation ?
L’information fait la une de la presse française, mais également internationale, ici ou là : Gobee, la start’up venue de Honk-Kong spécialisée dans la mise à disposition de vélos en libre service a décidé de quitter la France, les vélos ayant été vandalisés en nombre au-delà du raisonnable, rendant le maintient du service impossible, selon les dirigeants de l’entreprise.
Oui, selon les dirigeants de l’entreprise, car aucune preuve n’est apportée à ces allégations, aucun élément de vérification n’est offert, la presse et les commentateurs n’ayant pas d’autre choix de les croire sur parole.
Sauf que moi, je ne crois pas un seul instant à cette version.
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A l’heure où le moindre retard de RER provoque une avalanche de tweets, où un accroc dans une livraison provoque les foudres des internautes, il est surprenant pour ne pas dire suspect que des centaines de vélos vandalisés n’aient généré aucune manifestation sur les réseaux.
Non, la seule explication que je crois plausible est que nous assistons à un gigantesque plantage industriel d’une start’up qui a mis sur le marché un produit bas de gamme inapproprié, qui n’a pas mis en place les moyens pour assurer un service de qualité et qui, pour éviter de perdre la face, invoque le vandalisme en manipulant honteusement les observateurs.
C’est de la pure communication mais ça fonctionne : les médias semblent être tombés dans le panneau.
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Lyon: Pourquoi Indigo est persuadé de réussir là où Gobee.Bike s'est planté
VÉLOS EN LIBRE SERVICE Après l'échec de Gobee.bike, Indigo tente le pari de développer à Lyon dès lundi, une nouvelle flotte de vélos partagés en libre service et sans station...
Caroline Girardon | Publié le 12/03/18 à 17h35 — Mis à jour le 12/03/18 à 17h57
- Après l’échec de Gobee.bike, Indigo tente le pari de développer à Lyon dès lundi, une nouvelle flotte de vélos partagés en libre-service et sans station.
- Les responsables disent avoir appris des erreurs de leurs prédécesseurs.
- Le règlement sera plus strict pour les utilisateurs.
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Indigo à l'air de bien marcher a Bordeaux, avec "peu" de vandalisme selon eux.
Ils prevoyent de déployer 600 vélos de plus.
Aussi, ouverture de leur service sur Toulouse lundi prochain.
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Lyonmag fait aussi un premier bilan : https://www.lyonmag.com/article/94670/u … eel-a-lyon
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