Lyon 5ème - Fourvière, Vieux-Lyon

56 millions d'euros quand même 

La grue c'est pour le palais de justice.

Après 10 ans de travaux, le musée d'Histoire de Lyon rouvre ses portes

Après 10 ans de travaux pharaoniques, dont le percement de la colline de Fourvière, le musée Gadagne dans le Vieux Lyon, regroupant le musée d'Histoire de la ville et celui des marionnettes du monde, rouvrira le 12 juin dans un écrin Renaissance jusqu'alors inconnu du public.

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http://www.google.com/hostednews/afp/ar … cZ-ax-ialA

Après 10 ans de travaux, le musée d'Histoire de Lyon rouvre ses portes

Après 10 ans de travaux pharaoniques, dont le percement de la colline de Fourvière, le musée Gadagne dans le Vieux Lyon, regroupant le musée d'Histoire de la ville et celui des marionnettes du monde, rouvrira le 12 juin dans un écrin Renaissance jusqu'alors inconnu du public.

Lorsqu'il franchit la lourde porte de bois, le visiteur pénètre dans un espace gagné sur la colline: 7.000 m3 de terre ont été évacués et quatre tiges d'acier de 15 mètres de long sont ancrées dans la paroi pour rendre le bâtiment "autoporteur", explique Suzanne Blazy, la conservatrice. (...)

http://www.lepoint.fr/culture/2009-04-3 … 9/0/339344

Je suis bien d'accord avec toi, une visite dès son ouverture s'impose!

Je fait écho d'un post d'Antho sur le forum Lyon-urbanisme.superforum parce qu'il est riche de liens très intéressent  :

Voir et lire absolument le bulletin de Décembre 2009

Antho a écrit:

Voila quelques liens au sujet de la restauration du palais de justice:

Le dernier bulletin (décembre 2009):
http://www.ca-lyon.justice.fr/fichiers/ … col_08.pdf

Un reportage photo de Février 2009:
http://picasaweb.google.fr/courappel/Tr … edwebsite#

Tous les bulletins depuis 2003:
http://www.ca-lyon.justice.fr/index.php … Itemid=585

Une nouvelle traboule ouverte au public à Saint-Georges

Lyonnais et touristes peuvent désormais découvrir la magnifique cour intérieure des n° 10 et 12 de la rue Saint-Georges grâce à la signature d'une convention cour-traboule entre la Ville, le Grand-Lyon et le Groupe Amallia. La 47e depuis 1991

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Le Progrès, 07/07/10
http://www.leprogres.fr/fr/permalien/ar … orges.html
(article réservé aux abonnés)

Quai des Étroits (au 10-11), construction de 29 logements en accession et de 7 logements sociaux, livraison prévisionnelle en 2014 :


© Insolites architectures

Quai Fulchiron au 35, construction de 41 logements intergénérationnels et de locaux d’activités en lieu et place de l'école maternelle Pauline Kergomard :


© Insolites architectures

Dernière modification par Stéphanois42 (12-12-2012 14:43:43)

Lugdunum
par Sud Architectes.

«Lugdunum», programme de logements haute couture, situé sur les hauteurs de Fourvière, au coeur d’un parc boisé. Implanté sur 1 hectare il prévoit 56 logements haut de gamme et 25 logements sociaux, tous répartis dans des bâtiments à taille humaine pour une surface totale de 6.159 m². Conçu comme un écrin dédié à l’art de vivre et au vivre ensemble, le programme dialogue entre le style Art déco, l’architecture classique, l’environnement naturel et patrimonial.

21/07/2015

Résidence Universitaire Magnin   

http://www.pss-archi.eu/immeubles/FR-69123-51742.html


© HamsterRusse


© HamsterRusse

Dernière modification par HamsterRusse (22-07-2015 08:32:52)

Lyon: La maison du Chamarier prête pour une seconde Renaissance
PATRIMOINE La bâtisse, joyau architectural du 15ème siècle, située dans le Vieux-Lyon va faire l’objet d’une vaste restauration…

Aujourd’hui, la plupart des passants ne lèvent plus les yeux pour regarder la beauté et la spécificité de ses façades même si certains prennent le temps de s’installer à la terrasse du salon de thé, situé au rez-de-chaussée.
La « Maison du chamarier », qui fait partie des maisons Renaissance les mieux conservées de la ville de Lyon, va faire l’objet d’une rénovation. Une délibération sera soumise au conseil municipal au mois de décembre.

La bâtisse de 1.000 mètres carrés, composée de quatre niveaux, se situe en plein cœur du Vieux-Lyon, à l’angle des rues de la Bombarde et Saint-Jean. L’objectif est de lui redonner son lustre d’antan tout en se « projetant dans l’avenir ».

« Cette maison a accueilli les plus hauts dignitaires pendant des siècles », rappelle Didier Repellin, architecte en chef des monuments historiques. Au 15ème siècle, la ville de Lyon était entourée d’une enceinte canoniale, dotée d’une porte Froc. La maison était ainsi endossée à cette muraille.
Le chamarier, en charge de la sécurité, de la justice et de la voirie, qui avait sous ses ordres douze agents de surveillance, détenait ainsi les clés des six portes des fortifications de la ville. « C’est la première personne qui accueillait les visiteurs », poursuit l’architecte.

D’une vaste demeure à une maison pauvre
« Il avait des moyens financiers considérables et avait réorganisé l’espace en transformant cet habitat morcelé en une vaste demeure », ajoute Jean-Dominique Durand, adjoint déléguée au patrimoine. Mais la demeure a évolué au fil des siècles, perdant son rôle officiel sous la révolution française.
« Elle a ensuite été découpée en logements populaires, des appartements minuscules, séparés par une fine cloison. L’ensemble est devenu vétuste et assez sordide », raconte l’élu. A l’image de l’ensemble du quartier Saint-Jean, la maison s’est paupérisée. Inoccupée depuis la fin des années 80, elle s’apprête à retrouver une seconde jeunesse.

Le projet prévoit de construire neuf logements « sur mesure et valorisant les éléments architecturaux de l’époque ». Une partie, la cour intérieure principalement, a été déjà été restaurée en 2005. Mais le chantier va se poursuivre.

Un caviste devrait s’installer à terme dans l’ancienne cuisine, située le long de la rue de la Bombarde. Le bâtiment accueillera également une « Fab Lab », dédiée au patrimoine. Le sous-sol abritera un atelier de fabrication numérique, ouvert aux habitants du quartier « et ceux qui veulent venir travailler ». Des imprimantes 3D, des scanners et des découpes laser sont mis à leur disposition.

Au premier étage, les concepteurs du projet entendent ériger une maquette interactive du quartier, une bibliothèque et un laboratoire. « Il s’agira d’un espace de conférence, de formation et un lieu de résidence pour les start-up qui auront pour mission de concevoir des applications en connexion directe avec le patrimoine », précise la ville de Lyon.

Enfin, le public pourra davantage accéder à la cour intérieure de la bâtisse, véritable joyau architectural. La ville, propriétaire des lieux, a confié la réalisation des travaux au groupement promoteur Vista-Immogal et au cabinet de Didier Reppelin, qui se sont engagés à livrer le projet pour 2019.

https://www.youtube.com/watch?v=JYu6rBTYQkc

http://www.20minutes.fr/lyon/1966443-20 … enaissance

Dernière modification par POOL (23-11-2016 13:46:14)

https://actu.fr/auvergne-rhone-alpes/ly … 16278.html

Le saviez-vous ? Le Vieux Lyon a failli être rasé pour y construire... une autoroute

Le quartier du Vieux Lyon visité aujourd'hui par des millions de touristes chaque année a bien failli être détruit dans les années 60. Voici l'histoire de son sauvetage.

Par Nicolas Zaugra le 20 Août 22

extraits

Nous sommes dans les années 60. Lyon est en plein développement et le maire de l’époque, Louis Pradel, a des grandes ambitions pour sa ville pour entrer en compétition avec des villes européennes comme Milan et Francfort.

A l’époque, ce quartier du 5e arrondissement est insalubre. Les logements ne sont pas aux normes et le quartier a la réputation de « coupe gorge ». Louis Pradel fait alors pression pour raser le quartier et y édifier une voie rapide, reliant la montée du chemin neuf et le futur pont maréchal Juin.

Ce quartier que vous voulez défendre, moi je veux le détruire. Le complexe actuel asphyxie littéralement le centre de Lyon. Il est possible de concevoir un projet qui ne serait pas aussi monstrueux qu’on veut bien le présenter. Il vaut mieux faire du sport que d’aller à l’hôpital ou de mourir lentement dans des immeubles insalubres.
    Louis Pradel, ancien maire de Lyon à propos du Vieux Lyon

Le projet date de son prédécesseur Edouard Herriot. L’idée est de débarrasser la ville d’un de ses quartiers les plus vieux et mal famés, situé entre Saint-Paul, Saint-Jean et Saint-Georges, le long de la rive droite de la Saône.

Face à ce projet de modernisme qui prévoit autoroutes et immeubles dans le style de ceux bâtis le long de la Seine à Paris (secteur de Beaugrenelle), des habitants de Lyon se mobilisent.

[Cela] débouche sur la création par André Malraux, alors ministre de la Culture en 1964, du secteur sauvegardé empêchant toute destruction dans le Vieux Lyon. Le quartier est alors sauvé des projets du maire Louis Pradel.