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Votre dernier commentaire malsain et n'apportant toujours pas de réponse me conforte dans mon message précédent.
Vos interventions depuis de nombreux mois démontrent de votre côté une défiance du fait métropolitain plutôt toulousain que le reste.
Je tiens à vous rassurer, d'ici peu vous pourrez voir vos Pyrénées encore mieux depuis le sommet de la tour d'Occitanie.
Vous pourrez ainsi méditer et embrasser d'un seul coup le fait métropolitain, le fait rural, le fait montagnard et le fait occitan.
Dernière modification par oc31 (29-04-2017 14:46:43)
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oc31 a écrit:
Votre dernier commentaire malsain et n'apportant toujours pas de réponse me conforte dans mon message précédent.
Vos interventions depuis de nombreux mois démontrent de votre côté une défiance du fait métropolitain plutôt toulousain que le reste.
Je tiens à vous rassurer, d'ici peu vous pourrez voir vos Pyrénées encore mieux depuis le sommet de la tour d'Occitanie.
Vous pourrez ainsi méditer et embrasser d'un seul coup le fait métropolitain, le fait rural, le fait montagnard et le fait occitan.
Ah cela fait du bien de rire! Merci oc31!
"Vos interventions depuis de nombreux mois démontrent de votre côté une défiance du fait métropolitain" , il faut que tu appelles les milices pro Toulousaine, c'est sûr.... Je dois être châtié sur la place du Capitole ...
Sans dec', je sais pas si tu te rends compte de ce que tu écris mais c'est trop bon....
Allez va, bientôt, on ira sur la tour Occitane contempler l’Occitanie de l'Atlantique à la méditerranée...
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http://www.ladepeche.fr/article/2017/05 … ojets.html
L'Occitanie continue d'attirer les projets
La compétition entre les territoires européens n'a jamais été aussi forte. Aussi, plusieurs métropoles du Vieux continent ont fait la grimace quand, en janvier dernier, Toulouse a annoncé qu'Hyperloop TT avait choisi la Ville rose pour implanter son centre de recherches européen
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http://www.touleco.fr/Le-nombre-d-entre … e-en,22251
Le nombre d’entreprises artisanales en hausse en Occitanie en 2016
C’est la Haute-Garonne qui connait la progression la plus large avec +9,2% en 2016, suivi par le Tarn-et-Garonne (+7,6%) et le Lot (7,6%).
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CROISSANCE ECONOMIQUE EN OCCITANIE entre 2008 et 2014
Source : travail personnel réalisé avec les données d'Eurostat
Voici une rétrospective des performances économiques au sein de la région Occitanie durant la période 2008-2014 (dernière année disponible sur Eurostat), marquée par une crise exceptionnelle suivie d'une reprise poussive et très inégale.
J'ai extrai les données brutes de PIB d'Eurostat pour les Nuts3 (départements) et je partage avec vous cet état des lieux un peu déprimant, mais qui a le mérite de nous renseigner sur les dynamiques comparatives des territoires qui composent la région, au regard des moyennes régionale et nationale.
Les chiffres de la croissance du PIB sont en valeur, donc avec l'inflation (nulle ou quasi en 2009 et 2014, modérée à 1/1,5% en 2010, 2012 et 2013 et normale à 2% en 2011, soit 7,3% sur la période), afin d'obtenir des chiffres réels du niveau de la production économique il faut donc déflater (enlever l'inflation).
Figure également la croissance démographique, puis en dernière colonne, une estimation de l'évolution du PIB/habitant.
Quelques constats :
- En valeur brute, les départements qui ont été les plus affectés par la crise économique sont l'Aveyron, l'Ariège et la Lozère, mais si on retranche l'inflation seuls quatre départements sur treize ont connu une croissance de leur PIB entre 2008 et 2014, soit six longues années...
Par ordre décroissant, le 31, le 34, le 11 et le 32 ont été les départements dont l'activité économique réelle a crue sur la période. Ce constat est inquiétant, car tirée par le 31 et le 34, la croissance économique de la région fait partie des plus élevées en France... Le 31 n'a connu qu'une baisse modérée de son PIB en 2010, et non en 2009. De nombreux départements ont connu deux années consécutives de récession, voire une retombée en récession...
- Alors, quand on calcule l'évolution du niveau de "richesses crées" par tête, les résultats sont très mauvais, d'autant plus que la croissance démographique est forte, soutenant "artificiellement" la croissance économique. On constate que l'évolution du PIB/habitant en Occitanie a été égale à la moyenne nationale.
Comme il figure dans la dernière colonne de droite, seul le 31 a connu une croissance du PIB/habitant, mais extrêmement faible (0,3% par an...), partout ailleurs, entre 2008 et 2014 le PIB/habitant a chuté... même dans le 34 qui a pourtant connu la deuxième meilleure (moins pire ?) croissance économique dans la région.
La situation est préoccupante dans le 30, qui a cumulé une baisse générale du PIB sur la période (-3%) et une croissance démographique soutenue, causant une chute de 8% du PIB/habitant en valeur constante...
Mais c'est dans le 12 que la chute a été la plus importante...
Le 31 est le seul département à être plus "riche" que la moyenne nationale, et le 31 et le 34 sont les deux seuls départements à l'être en rapport à la moyenne régionale... c'est d'ailleurs dans ces deux départements que la reprise économique a été la plus vive en 2015 et 2016 (d'après les chiffres de créations d'emplois), ce sont donc les deux seuls territoires de la région Occitanie, ceux qui accueillent les deux métropoles, qui ont semblablement aujourd'hui dépassé le niveau de richesse par habitant qui était atteint il y a déjà dix ans !
Les inégalités territoriales ont fait un bond monstrueux en quelques années, et la reprise étant plus vive dans les métropoles, elle ne se résorberont probablement jamais...
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A présent une évaluation de la trajectoire économique à une échelle plus fine, celle des zones d'emplois, sous le prisme du taux de croissance de l'emploi.
L'INSEE ne donne les chiffres que jusqu'en 2014, sont donc absentes les années 2015 et 2016, fortement pourvoyeuses de nouveaux emplois dans le 31 (+1,9% puis +4%) et dans le 34 (+2,5% puis +2%), beaucoup plus que dans le reste des départements (+1% par an en moyenne pour le 11,le 30, le 66 et le 82, moins ou décroissance pour les autres...)
Dernière modification par stoker (23-06-2017 00:42:37)
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Une croissance solide de l’emploi
Note de conjoncture régionale - 1er trimestre 2017 - INSEE Occitanie
Au 1er trimestre 2017, l’emploi salarié progresse le plus dans le département de l’Hérault (+ 2 600 emplois, soit + 1,1 %). Il augmente dans une moindre mesure en Haute-Garonne (1 300 créations nettes, soit + 0,3 %). L’emploi croît dans tous les autres départements de la région, à l’exception du Tarn-et-Garonne, du Gers et de l’Aveyron.
Au 1er trimestre 2017, le taux de chômage diminue de 0,5 point en Occitanie, soit la plus forte baisse des régions métropolitaines. La part de la population active à la recherche d’un emploi s’établit à 11,2 %. Ce taux demeure néanmoins le 2e plus élevé des régions de métropole, après les Hauts-de-France. Le taux de chômage recule dans tous les départements de la région. Il baisse de façon plus marquée dans les départements les plus touchés par le chômage : - 0,6 point dans le Gard, - 0,5 point dans les Pyrénées-Orientales, l’Hérault et l’Aude.
Insee
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L'emploi progresse beaucoup plus rapidement dans les deux plus grandes aires urbaines que dans les autres grandes aires d'Occitanie : + 2,1 % par an à Toulouse (+ 276 000 emplois) et + 2,3 % à Montpellier (+ 124 000 emplois), contre + 1,5 % en moyenne sur la période dans l'ensemble des grandes aires urbaines de la
région.
Source : INSEE Occitanie Septembre 2017
Tableau de bord de la conjoncture - INSEE Occitanie 29/09/2017
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https://www.insee.fr/fr/statistiques/30 … re-bloc-21
Plus d'un quart des emplois dans l'aire urbaine de Toulouse
Parfaite illustration de la concentration des emplois dans les grandes aires urbaines, celle de Toulouse abrite désormais 27 % des emplois de la région, contre 20 % en 1982. Le poids de l'aire montpelliéraine, bien qu'en progression, reste plus réduit : 11 % en 2013 (+ 3 points en 30 ans).
Les évolutions relatives de l'emploi par fonction sont comparables entre les aires de Toulouse et Montpellier, mais les volumes d'emplois concernés sont bien plus importants à Toulouse. En conséquence, le poids de l’aire urbaine toulousaine dans l’emploi régional total se renforce encore et l'écart se creuse avec celle de Montpellier.
En volume d'emplois, deux fonctions ont un poids plus important dans l'aire urbaine de Toulouse que dans l’ensemble de la région : d’abord les fonctions intellectuelles supérieures qui concernent 150 000 emplois en 2013, soit 26 % des emplois de l'aire (18 % en moyenne régionale), mais aussi les fonctions d'intermédiation, avec 67 000 emplois (11,5 % contre 10 %). L’aire urbaine toulousaine concentre ainsi à elle seule 38 % des emplois des fonctions intellectuelles supérieures et 30 % des emplois des fonctions d’intermédiation de l’ensemble de la région, alors qu’elle pèse pour 27 % de l’emploi régional total. Dans l'aire urbaine de Montpellier, l'emploi est quant à lui moins spécifique. Seules les fonctions intellectuelles supérieures y sont légèrement surreprésentées au regard de la moyenne régionale (57 000 emplois soit 23,5 %)
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http://www.lalettrem.fr/actualites/freq … -progresse
Fréquentation hôtelière : Montpellier dévisse, Toulouse progresse
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https://www.usinenouvelle.com/article/o … ux.N600958
Impossible de chiffrer le nombre de structures dédiées aux start-up du numérique en Occitanie, tant sont nombreuses les initiatives publiques et privées. Dernières en date : La Cantine et son Starter, installés au Quai des Savoirs, le bâtiment totem de l’écosystème numérique toulousain, la création de deux Villages by CA à Toulouse et à Montpellier, l’ouverture du Numa Montpellier et du Numa Toulouse, l’extension de l’accélérateur Connected Camp de l’IoT Valley, près de Toulouse, l’installation d’un accélérateur au sein de Météo France, à Toulouse, après celui d’Airbus… Sans oublier trois grands projets : le futur campus de l’IoT Valley [photo] à Labège, une Cité des start-up à Toulouse, portée par la région, et une Halle French Tech, à Montpellier.
On peut dire que l'économie numérique se développe fortement en Occitanie et notamment dans ses deux métropoles.
Toulouse et Montpellier deviennent deux hauts lieux de l'économie numérique et des startups.
Le titre de l'article Toulouse et Montpellier plus forts à deux. Une nouvelle économie permettant de tisser des liens entre les deux metropoles occitanes.
Dernière modification par oc311 (20-10-2017 14:00:52)
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http://www.ladepeche.fr/article/2017/10 … pante.html
Le dynamisme de l'Occitanie, région continentale avec le plus fort taux de croissance démographique, intégrant des industries de pointe dans l'aéronautique, la santé ou le numérique, masque une autre réalité : la région a également le deuxième taux de chômage le plus élevé de France, et par-delà une pauvreté et une précarité importante. La région se classe au 4e rang des régions les plus pauvres, après la Corse, les Hauts-de-France et Paca, avec 17 % de notre population qui vit sous le seuil de pauvreté.
La région présente en effet de nombreuses disparités entre ses 13 départements. Ainsi, le taux de pauvreté est supérieur à 19 % pour les départements du littoral, alors qu'en Haute-Garonne, par exemple, il n'est que de 12,4 %. À l'échelon des villes, Nîmes et Montpellier sont, dans la catégorie des 20 villes les plus peuplées de France métropolitaine, les deux qui affichent le plus fort taux de pauvreté Pour compléter le tableau, ajoutons Béziers et Perpignan qui, pour la première, affiche un taux de 33,2 % d'habitants vivant sous le seuil de pauvreté, et la seconde, 30,7 %. Ce qui place ces deux villes dans les 10 premières des 100 plus grandes communes de France métropolitaine.
Toulouse, la ville la moins pauvre
Du fait de son poids démographique, Toulouse est la ville d'Occitanie qui compte le plus de personnes vivant sous le seuil de pauvreté : 106 600 habitants (27,1 % de la population). Parmi eux, 29,2 % vivent seuls et 51,2 % en familles. 20 % des Toulousains pauvres vivent également au sein de jeunes ménages. Et pourtant, il s'agit bien de la ville la moins pauvre d'Occitanie. Elle fait mieux que Montauban (28,5 %), Montpellier (36,3 %) et Perpignan (42,3 %).
Avec un taux de pauvreté de 43,7 % soit 32 600 habitants, Béziers est la commune la plus pauvre de la nouvelle région
Dernière modification par Thomas3 (21-10-2017 16:59:47)
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Petite info légère mais qui fait toujours plaisir : l'université de Toulouse Paul Sabatier figure dans le palmarès thématique publié par l’Université nationale de Taiwan (NTU). Elle se classe onzième au classement général des établissements français et 296e du classement mondial. Encore une belle promo pour la ville rose, qui est l'une des plus grandes cités étudiantes de France.
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https://www.ladepeche.fr/article/2017/1 … astee.html
L'Occitanie, région dynamique mais contrastée
La région Occitanie, quatrième de France en nombre d'emplois, est l'une de celles qui en créent le plus. Mais il subsiste de forts déséquilibres entre zones urbaines et rurales
La moitié des employeurs se trouve à Toulouse
Seuls cinq gagnent des emplois sur la période», détaillent les auteurs de la note de synthèse. Il s'agit de «la Haute-Garonne (59 % des gains d'emploi de la région), l'Hérault (33 %), le Tarn et Garonne, les Pyrénées Orientales et le Lot». La moitié des principaux employeurs du secteur marchand se concentrent sur l'aire urbaine de Toulouse, tout comme les emplois dits «productifs», c'est-à-dire tournés vers des marchés extérieurs au territoire sur lequel ils sont implantés. Le déficit d'emplois productifs «est particulièrement marqué dans les zones d'emploi du sud-est de la région, note Pôle emploi.
«À l'inverse, la sphère productive est surreprésentée au nord-est», c'est-à-dire dans la ville Rose.
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"La future Agence économique régionale se dévoile enfin"
Lors de l’AG d’Invest Sud de France, le 29 novembre à Montpellier, les contours de la future Agence de développement économique, d’innovation, d’attractivité et d’export ont été dévoilés. Une seule bannière et une seule direction seront créées à terme, chacun des satellites existants - Sud de France Développement, Invest Sud de France, Transferts, LR SET, Synersud, Madeeli - conservant ses missions et ses moyens...
Depuis la fusion des anciennes régions Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées et l'avènement de la nouvelle région Occitanie, les milieux économiques étaient dans l'attente de savoir comment les différentes agences économiques existant seraient restructurées, la présidente de Région Carole Delga ayant annoncé leur fusion pour 2018.
À l'occasion de l'assemblée générale d'Invest Sud de France, l'agence régionale de Développement économique-Attractivité (porte d'entrée du territoire de l'ex-Languedoc-Roussillon pour les investissements nationaux et internationaux), le 29 novembre, un sujet principal était inscrit à l'ordre du jour : le vote sur la création et l'adhésion d'Invest Sud de France au GIE « L'Agence Régionale ».
Fabrice Salemi, directeur délégué de l'économie et de l'innovation au Conseil régional Occitanie était présent pour expliquer le montage juridique du back office. Le premier acte sera la création de ce GIE de moyens, baptisé pour l'heure GIE « L'Agence Régionale ».
Une SEM et une SPL
L'ensemble des satellites existants avant la fusion en seront membres : la SEML Sud de France Développement (tourisme/export, basée à Pérols) dont la Région est l'actionnaire majoritaire, et les cinq associations Invest Sud de France (attractivité, basée à Montpellier), LR Set (innovation sport/loisirs/tourisme, basée à Montpellier), Madeeli (innovation/attractivité/filières, basée à Toulouse), Synersud (réseau de pépinières d'entreprises, basée à Montpellier) et Transferts (innovation/filières, basée à Montpellier).
Le GIE chapeautera une société d'économie mixte (SEM) pour les métiers « Conquête des marchés », « Attractivité » et « Démarches collectives de filières et réseaux » (SEM), et une société publique locale (SPL) pour les métiers « Innovation » et « Création, croissance, transmission et prévention ».
« Actuellement, les six structures adhèrent au fur et à mesure au GIE, précise Fabrice Salemi. En termes de représentation, sur un total de 90 parts, chaque structure en disposera de 10, à l'exception de Madeeli qui en aura 30 mais qui en cèdera ensuite 20 à la SPL quand elle sera créée, et de la SEM Sud de France Développement qui en aura 20. »
Déménagement
Le GIE sera créé en décembre 2017 et le transferts des personnels, à effectifs constants, se fera au 1e janvier 2018. La création de la SPL et la transformation de la SEM interviendront lors de l'Assemblée permanente de la Région le 21 décembre. Tout devrait être en ordre de marche au 2e trimestre 2018.
La future agence, qui sera vraisemblablement présidée par Carole Delga, comptera 170 personnes et disposera d'un budget de 29 M€ en consolidé (soit l'addition des budgets de chaque satellite). Une même bannière et une seule direction, dont on ignore encore tout, l'organigramme n'ayant pas été encore dévoilé.
Sur le terrain, toutes les agences basées à Montpellier, à l'exception de Sud de France Développement qui restera dans ses locaux, déménageront le 1e mars 2018 dans un même lieu : l'immeuble Le Triade sur le parc du Millénaire à Montpellier (transaction accompagnée par BNP Paribas Real Estate Montpellier). Soit 1 800 m2 pour une soixantaine de personnes.
Le Triade sera ainsi le siège social du site montpelliérain de l'agence régionale, mais aussi du GIE...
Objectif L.R 29/11/2017
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https://toulouse.latribune.fr/decideurs … 59993.html
[Thomas Bascaules prend la tête de la nouvelle agence régionale économique/
Thomas Bascaules, directeur Sud-Ouest d'Altran est sur le point d'être nommé directeur général de la nouvelle agence régionale économique unique.
Le siège de la future agence sera situé à terme au sein de la cité des startups a Toulouse, un espace de 10 000 m2 dans les anciennes halles Latécoère achetées par la Région et dont la livraison est prévue pour 2020
Dernière modification par Thomas3 (06-12-2017 18:37:27)
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Le palmarès des régions où l’emploi a le plus progressé en 2016 vient d’être dévoilé par l’Insee. Un constat : toutes les régions ont créé des jobs l’an passé, mais la région Occitanie -Pyrénées-Méditerranée- occupe la première place sur le podium. L’emploi progresse ainsi de manière forte en Occitanie : plus 1,6%, devant les Pays de Loire et la Corse.
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https://e-metropolitain.fr/2017/12/07/i … de-france/
la région Occitanie est la plus dynamique de France
L’emploi progresse ainsi de manière forte en Occitanie : plus 1,6%, devant les Pays de Loire et la Corse.
La progression est plus modérée dans la filière industrielle : plus 0,5% chez nous, mais l’Occitanie sort son épingle du jeu par rapport à d’autres régions bien mal en point. Merci Airbus, le premier employeur à Toulouse, la capitale régionale.
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http://www.toulemploi.fr/Emploi-l-Occit … rait,23559
Selon le « Baromètre 2017 de l’emploi » réalisé par Jobijoba, l’Occitanie se situe en 5e position au palmarès des régions françaises en termes d’offres d’emploi enregistrées par le site l’année dernière (482.963), contre une 3e place en 2016.
63% d’entre-elles étaient situées en ex Midi-Pyrénées et 37% en ex Languedoc-Roussillon. Toulouse est la ville qui a concentré le plus d’opportunités (86.550 offres), loin devant Montpellier (33.673 offres), Nîmes (12.445), Montauban (8913), Perpignan (8726), Béziers (7966), Tarbes (7023), Albi (6922), Colomiers (6881) et Blagnac (6640).
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https://www.ladepeche.fr/article/2018/0 … heurs.html
Suite au retrait des Etats-Unis du traité de Paris sur le climat, Emmanuel Macron avait lancé un appel aux chercheurs américains, à venir travailler sur l'environnement en France. Après études des candidatures, les premiers arrivent, notamment dans la région Occitanie, très attractive.
La France nouvel eldorado des chercheurs sur le climat et l'environnement, avec l'Occitanie en tête de proue ? C'est en tout cas ce qu'espèrent les pouvoirs publics, Etat et région en tête.
Fin 2017, 1822 candidatures formelles avaient été reçues, en provenance d'une centaine de pays au monde, mais dont la grande majorité émanait d'Américains. Un premier tri a permis de dégager 450 candidatures de qualité. Et ce sont au total dix-huit chercheurs de haut rang qui ont été sélectionnés dans une première vague, pour venir travailler en France. Une deuxième phase de sélection doit intervenir en ce début 2018.
Parmi les pionniers, sept vont être accueillis dans des laboratoires académiques d'Occitanie, en provenance de Californie, du Texas, de Hawaï, mais aussi d'Inde ou de Barcelone.
Quoi de plus normal, lorsqu'on sait que la région s'affiche comme la première française pour la recherche, avec notamment plus de 5,5 milliards d'euros investis dans la R & D
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https://actu.fr/occitanie/toulouse_3155 … 56403.html
Pourquoi la reprise économique est une réalité, à Toulouse et en Occitanie
L’Occitanie est ainsi la deuxième région la plus créatrice d’emplois en France, à égalité avec l’Ile-de-France et derrière la Corse. Au 3e trimestre 2017, l’emploi salarié en Occitanie concernait environ 1,36 million de personnes
Un dynamisme qui cache plusieurs disparités. Dans la région, les créations nettes se concentrent dans trois départements : la Haute-Garonne, l’Hérault et le Tarn-et-Garonne.Et la Haute-Garonne fait fort puisque le 31 a créé autant d’emplois dans son département que sur l’ensemble de la région, sur la même période.
Dernière modification par Thomas3 (28-01-2018 08:34:47)
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Toulouse entraîne dans son sillage Montauban et le Tarn et Garonne, même au niveau de la création d'emplois.
Dernière modification par oc311 (28-01-2018 09:52:13)
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Traitement des données statistiques fournies par l'ACOSS (Ursaff) concernant les principales zones d'emplois de notre région :
Données disponibles sur 5 années glissantes, du T3 2012 au T3 2017
Réalisation personnelle, Février 2018
Commentaire sur les données traitées :
- Il s'agit de l'emploi salarié privé, sont donc exclus les indépendants et emplois publics.
- Ces chiffres permettent de mieux cadrer la dynamique économique propre aux territoires.
Une reprise économique graduelle peut être constatée, très inégale selon les zones d'emplois. Sans surprise, les deux métropoles de la région sont les plus dynamiques sur l'ensemble de la période. Toulouse et Montpellier sont très dynamiques, avec un très léger avantage à Montpellier sur l'ensemble de la période (+9,3 % contre +9% à Toulouse), masquant une plus forte réactivité (volatilité) du bassin toulousain, d'avantage soumis à la conjoncture internationale (dépendance aux commandes engrangées par Airbus ?). Les deux métropoles sont les plus dynamiques de France du point de vue de leur croissance relative.
Les deux locomotives de la nouvelle Occitanie ne font pas partie du même réseau urbain, et les dynamiques respectives de ces réseaux sont ici mises en évidence.
- Le réseau urbain toulousain (Zones d'emploi de Toulouse, Montauban, Tarbes, Foix, Auch, Albi, Castres et Carcassonne) :
Toulouse renforce fortement son poids relatif et fonctionne intrinsèquement avec Montauban. Leurs dynamiques sont quasiment corrélées, même si Montauban est deux fois moins dynamique. Albi et Castres ont connu une maigre croissance, tandis que Carcassonne a stagné. La situation est préoccupante pour Foix, Tarbes et plus inattendu, pour Auch, dont le tissus économique ne semble pas profiter d'effet "diffusion" de l'aire toulousaine (contrairement à la dynamique résidentielle). En conclusion, l'aire toulousaine diffuse beaucoup moins les emplois que la population, ce qui conforte une certaine "centralisation", somme toute traditionnelle en ex Midi Pyrénées.
- Le réseau urbain montpelliérain (Zones d'emploi de Montpellier, Nîmes, Alès, Sète, Béziers, Narbonne et Perpignan) :
Montpellier renforce sont poids relatif mais dans une moindre mesure que Toulouse, de par la relative bonne tenue économique des autres zones d'emploi de l'arc méditerranéen de l'Occitanie. Béziers, Sète et Perpignan engrangent une croissance raisonnable sur la période, en tout cas nettement supérieure à la moyenne nationale. Nîmes signe une relative contreperformance, surtout en début de période, mais semble sur une meilleure trajectoire depuis la fin 2015. Alès et son bassin retombent dans la "sinistrose", signant la deuxième pire performance de l'Occitanie. Pourtant le bassin alésien avait connu une belle embellie économique et démographique entre 1995 et 2008, rompant avec deux décennies de déclin industriel. Le Gard a donc beaucoup souffert et pour l'instant la reprise y semble confinée au sud du département (Aire Nîmoise et littoral). Perpignan a connu une croissance en dents de scie, plutôt modeste sur l'ensemble de la période, mais la quatrième plus forte de l'ex L.R après Montpellier, Béziers et Sète et juste devant Narbonne. En conclusion, L'emploi se concentre de plus en plus dans les pôles urbains du littoral languedocien tandis que l'arrière pays et la vallée du Rhône décrochent. Ici aussi l'emploi se concentre, sur la ville linéaire, même si la population se diffuse vers l'arrière pays.
Synthèse à l'échelle de l'Occitanie :
La crise a renforcé les dynamiques de métropolisation et littoralisation des activités. Les deux conurbations en formation concentrent le développement sur les axes Montauban-Toulouse-Muret et Nîmes-Montpellier-Sète-Béziers-Narbonne.
Dernière modification par stoker (11-02-2018 16:00:14)
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