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Nom | Fonction(s) | Hauteur | Niveaux | Année |
---|---|---|---|---|
Maison Départementale des Personnes Handicapées de la Haute-Garonne | Administration | 21.00 m | R+5 | 2013 |
Palais des Sports | Autre | 18.00 m | R+2 | 2006 |
Dominique Perrault est une grosse signature qui a une vraie culture du végétal et des patrimoines locaux. On peut s'attendre à quelquechose de très bien. Voire de très très bien...
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Manifestement, les travaux ont démarré (démolitions de l'ancien) pour cet intéressant programme d'immobilier tertiaire :
http://www.foncieredesregions.fr/soluti … e_toulouse
Dernière modification par Ptiloulou (24-06-2016 10:07:20)
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Un article sur le même projet :
http://actu.cotetoulouse.fr/toulouse-l- … idi_40545/
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Ouverture progressive entre novembre 2016 et mars 2017 du centre commercial :
http://actu.cotetoulouse.fr/toulouse-no … ree_44406/
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Quelques infos sur la pré-commercialisation des baux commerciaux du CC Compans :
http://www.touleco.fr/Toulouse-Habitat- … s-en,19989
http://www.20minutes.fr/toulouse/193132 … -lethargie
Reste a priori à intéresser des enseignes pour des petites boutiques.
Dernière modification par Ptiloulou (27-09-2016 11:40:36)
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Toulouse. La place de l'Europe va accueillir un campus du numérique en 2020
Icade prévoit de conserver et de rénover l’ancienne caserne (elle était détruite dans le cadre de la première mouture du projet) pour y réaliser des logements à destination des étudiants. Celle-ci sera tout de même transformée puisque le projet présenté par l’architecte prévoit de la percer pour créer une trouée vers la rue Sébastopol, et donc ouvrir une perspective visuelle vers l’extérieur depuis la place.
Sur cette dernière, quatre bâtiments vont être construits. Ils ne dépasseront pas quatre étages à la demande des riverains (dans le second projet, Icade prévoyait le maintien de la caserne et deux immeubles de six et sept étages, ndlr). Deux seront positionnés du côté du jardin de Compans et deux autres, juste en face l’ancienne caserne. L’espace central sera conservé sous forme de place et restera accessible au public d’après les premières annonces de la mairie.
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La Place de l'Europe, c'est symbolique: une très grande place, aménagée dans les 80s, mais à la croisée d'aucuns chemins, un peu en cul de sac, une sorte de place-impasse à 1/4 d'h à pieds du Capitole. Un échec, aucun rassemblement d'envergure n'a lieu là bas.
Alors on peut choisir de réduire cet espace public qui ne sert à rien pour donner les clés du camion au promoteur, qui lui sait faire de la ville, et en plus ça fera des rentrées d'argent!
Ou alors on peut réfléchir à comment améliorer la situation: on est en train d'aménager les accès à la gallerie commerciale située à 4 mins à pieds, donc pourquoi pas là? Quelques arbres sur la place, une buvette, un bon skatepark - un peu sur le modèle des Ursulines en plein centre de Bruxelles - vu que les skates et rollers sont les seuls à venir sur cette place, et c'est déjà plus pareil.
Dernière modification par Kaneda (05-10-2016 16:32:36)
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Le principal problème de cette place, c'est qu'elle n'a jamais été un lieu fréquenté. C'est la continuité de ce qui se passe à Compans: un aménagement urbain mal conçu qui fait que le centre ville n'a jamais poussé jusqu'à ces quartiers. C'est dommage! Les aménageurs auraient du faire quelque chose pour rendre le Bd Lascrosses plus franchissable et susciter un intérêt pour avoir à traverser cette zone venant du centre ville. C'est d'autant plus stupide qu'ils auraient pu utiliser le Jardin Japonais pour faire un lien entre le centre ville et le canal du Midi. Bien entendu, il aurait fallu aménager ce dernier au niveau du Bd de la Marquette. Bref, Toulouse est une ville bien aménagé comme toujours....
Pour ce qui est du projet proposé sur la place de l'Europe, il ne semble pas terrible. J'attends de voir l'architecture proposée mais je m'attends pas à des lumières....
Ah là là, je vais encore me faire découper...mais il faut admettre que depuis quelques temps Toulouse est vraiment au fond du trou question architecture....Il faut vraiment être chauvin pour ne pas s'en rendre compte....C'est d'un fadasse ce qu'on nous propose.....mais bon il y aura toujours des rêveurs pour s'imaginer que les touristes du bout du monde vont venir à Toulouse pour voir çà.....Enfin...
Dernière modification par bigorre (05-10-2016 19:06:46)
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Ah, Bigorre, j'ai bien envie de t'accuser de "Toulouse bashing", tiens. Mais non, en fait.
Je suis d'accord avec toi, en particulier quand tu mentionnes les deux boulevards et le jardin japonais, qui sont pour moi trois éléments clés sur lesquels s'appuyer si on veut redonner un peu de vie à ce lieu. Pour le reste je n'attend rien non plus en termes d'architecture, que ce soit en R+4, R+8, R+12 ou R+26: à la fin le résultat est décevant.
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bigorre a écrit:
mais bon il y aura toujours des rêveurs pour s'imaginer que les touristes du bout du monde vont venir à Toulouse pour voir çà.....Enfin...
Du bout du monde ou pas, je ne pense pas que quiconque vienne à Toulouse pour voir l'architecture moderne
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Pistolero a écrit:
Du bout du monde ou pas, je ne pense pas que quiconque vienne à Toulouse pour voir l'architecture moderne
C'est vrai Pistolero.
Maintenant ce n'est pas pour les touristes que l'on construit la ville, on construit la ville pour ses habitants actuels et futurs, c'est quelque chose qui restera après nous..
Je suis passé par Francfort la semaine dernière, pas longtemps, une soirée. Ca a été une agréable surprise (j'avoue: j'avais bêtement des à priori sur les villes d'affaires): sortir de la gare, voir des bâtiments un peu "haussmaniens" au 1er plan, au second plan la skyline d'affaires, traverser tout ça et découvrir après la skyline la vieille ville, le tout entre les piétons, quelques voitures, le tram et les cyclistes, et bien finalement ça m'a plutôt plu. A un moment je suis tombé sur un chantier d'immeubles d'habitations, et j'ai pu constater que rien que dans les proportions, par exemple le rapport taille des fenêtres//façade, on fait beaucoup mieux qu'ici, on y accorde plus de soins.
On a des efforts à faire, de l'inspiration et de l'ambition à trouver pour faire mieux que ce que l'on produit aujourd'hui.
Dernière modification par Kaneda (06-10-2016 21:10:05)
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On peut nuancer un petit peu. Francfort, ça n'est pas tout à fait le même niveau de vie. Quand on peut vendre à 7000e le m², on a évidemment plus de latitudes dans les matériaux, dans les formes architecturales et dans ce qui coûte cher : les ouvrants et leur taille, et les effets de style.
Au delà de ça, on a besoin de Lumière en Allemagne du nord. Les ouvrants sont donc naturellement plus grand que dans une ville écrasée par la chaleur.
Mais oui, tu as raison Kaneda, un travail sur la forme est tout de même nécessaire et ne doit pas concerné seulement (paradoxalement) le logement social (bailleur public donc vrai volonté de livrer un produit de qualité sur fonds publiques) et le très haut de gamme.
Petit retour sur le poste #232 : ce ne sont pas les promoteurs qui savent faire la ville; ce sont les architectes et les urbanistes et malheureusement LES NORMES. Les promoteurs font de la spéculation immobilière. Au pire. Au mieux, ils vendent des produits.
Dernière modification par ACHILLE (07-10-2016 10:29:10)
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Pistolero a écrit:
bigorre a écrit:
mais bon il y aura toujours des rêveurs pour s'imaginer que les touristes du bout du monde vont venir à Toulouse pour voir çà.....Enfin...
Du bout du monde ou pas, je ne pense pas que quiconque vienne à Toulouse pour voir l'architecture moderne
A Toulouse non. Mais ailleurs oui. La patrimoine contemporain, les grandes signatures, les parti-pris forts, attirent les classes dites "créatives". Celles qui ont un peu d'argent et font ces "city break", cette façon de voyager et de visiter des villes auprès desquelles tous les offices du Tourisme court. Des gestes architecturaux qu'on trouve beaux sur une plaquette et qu'on est bien content de vendre après la visite de la 8e église et du 16e hôtel particulier, comme une ouverture non pas sur le futur, mais sur le présent ...
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Je vous rejoins sur la piètre qualité globale de l'architecture contemporaine sur la Ville, et en particulier sur l'absence d'opération véritablement symbolique et forte.
Heureusement que, par ailleurs, la Ville de Toulouse dispose d'un patrimoine historique qualitatif. D'ailleurs, les opérations récentes les plus réussies sont souvent des restructurations de bâtiments anciens.
Outre le côté industriel (efficacité et réduction des coût) de la construction, on a dans l'architecture contemporaine, et ce n'est pas vrai qu'à Toulouse, une tendance à céder aux effets de mode mais aussi une vraie problématique dans l'agencement des opérations entre elles et l'ordonnancement général. Chaque opération architecturale est trop conçue comme un objet symbolique unique (plus ou moins bien réussi). Or, à mon goût, les plus belles réussites urbaines le sont dans leur perception d'ensemble. Certaines ZAC sont assez symptomatiques de cette tendance, notamment Andromède ou la Cartoucherie.
Dernière modification par Ptiloulou (07-10-2016 09:50:52)
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La ville (celle là ou une autre) s'est toujours fait par "morceaux", c'est à dire par accolement d"objets d'époque plus ou moins différentes. Il ne faut pas oublier que dans une rue qu'on jugera "cohérente", comme par exemple la Rue d'Alsace Lorrraine, il n'y a en fait pas tant d'unité de style, parce qu'il y a plusieurs décennie. Et dans le détail, même si on resserre la fenêtre historique, l'oeil averti pour y voir du néoclassicisme, du néo roman, du néo gothique, de l'éclectisme égyptien. Mais le temps, la remise en perspective dans une échelle de temps de 100 ans, a lissé l'impression de diversité.
Je parie que dans 50 ans, on ne verra aucune différence entre les immeubles de la Cartoucherie, alors qu'entre le 1er et le dernier, il y aura presque 20 ans, et des différences de style qui nous paraissent aujourd'hui évidentes...
Pour autant, ça ne doit pas empêcher les pouvoirs publiques d'imposer un standard de qualité important en ayant une VRAIE EXIGENCE sur la forme architecturale. Parce que le patrimoine de demain, se construit aujourd'hui. Ici comme ailleurs, trop de cubes blancs simplistes, construit rapidement, vendu ou louer cher, parfois sans réelles qualités d'usages. On trouve trop normal aujourd'hui de considérer qu'un cube blanc soit notre quotidien. Dans le détail, un cube blanc composé de T3 de 56m² avec des chambres dortoirs de 10m², un couloir d'1m20 de large (prévu pour les PMR soit 8m² au lieu de 4), de toilettes de 6m² (merci les normes handicapées imposées à 100% des logements) dans lesquelles on ne peut même pas prévoir un plan B comme une buanderie, un salon de 18 m² (56 - 10 - 10 - 6 - 8 - - salle de bains - placards ...) dans lequel tout le monde trouve ça normal que vous deviez y faire cohabiter un salon, une salle à manger et une cuisine. Aaaaah la convivialité de la cuisine ouverte. Sauf que dans les faits, la plupart du temps, c'est pas une cuisine : c'est le mur du fond de la pièce principale avec 3 placards muraux et une hôte...*
Il est là le mal contemporain : les normes.
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Le groupe Ynov veut installer un campus numérique place de l'Europe à Toulouse
. le groupe Ynov (25 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2016 et 3 500 étudiants dans toute la France) a confié à l'architecte toulousain Jean-Romain Munvez la conception de ce campus numérique qui se déploiera sur plus de 17 000 m2 dans le quartier de Compans Caffarelli. "Le projet s'étendra sur les locaux existants de l'ancienne caserne à Compans et sera complété par des bâtiments neufs", indique Didier Beigbeder, le directeur territorial Sud-Ouest du groupe Icade.
"La partie campus ainsi que des espaces coworking se déploieront sur 7 400 m2, une résidence étudiante de 200 logements ainsi qu'un hôtel étudiant permettant une offre de logements modulables et de courte durée viendront compléter le tout sur 10 000 m2."
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http://www.starchitectes.com/actualites … louse.html
Chantier de réhabilitation de l'immeuble Pyrite qui va devenir le siège d'Habitat Toulouse avec rehaussement en équivalent R+10
Image architecte
Chantier 2017
Images : Blog - Drone Sud
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inauguration de l'immeuble de bureaux Riverside
Covivio (ex-Foncière des Régions) a inauguré « Riverside », dans le quartier Compans-Caffarelli, à Toulouse,
Cet ensemble, propriété de la foncière depuis 2001, a fait l’objet d’une « totale transformation » : 11 400 m2 de bureaux et services, des plateaux de bureaux flexibles de 2 100 m2, 2 halls d’accueil indépendants, parvis paysager et nombreux espaces verts, 146 places de parking… L’immeuble est doublement certifié HQE niveau Excellent et BREEAM niveau Very Good. Autre particularité : il s’agit de « l’un des seuls immeubles neufs livrés en 2018 dans le centre de Toulouse. Il devrait être loué en totalité d’ici la fin de l’année » avance Covivio.
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C'est une très bonne nouvelle. Apparemment 70% des surfaces sont déjà commercialisées. Cela confirme la forte demande pour une offre de bureaux de qualité dans le centre ville et ses abords immédiats.
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Le marché de l’immobilier de bureau explosera à Toulouse lorsque TESO va se construire .
Toulouse est déjà le 3e marché de bureau en France hors Paris ( sans quartier d’affaire ) .
Mais des surfaces il en manque énormément en plein centre-ville d’ailleurs il se murmure que les 11 000 m² de la tour d’Occitanie vont partir comme du petit pain .
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Quelques photos de l'immeuble Riverside qui est pratiquement fini (les riverains doivent au moins être soulagés!).
Du boulevard de la Marquette, on peut penser qu'il est modeste:
Mais il est en fait assez profond et développe ainsi plus de 11 000 m2:
Depuis l'arrière en remontant la rue Lucien Lafforgue:
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article très intéressant sur le Pyrite avec de belles photos de l'immeuble rénové et surélevé
L’Agence Taillandier Architectes Associés (TAA) a livré en mars 2018 la réhabilitation et surélévation d’un immeuble de bureaux dit «Le Pyrite», à Toulouse (Occitanie), situé dans le quartier Compans Cafarelli, à proximité du métro (ligne A) et du canal du midi. D’une surface de 6 740 m² pour un coût des travaux de 6,4 M€ HT il offre des espaces de travail agréables et modulables.
Il s’agit d’un immeuble des années 1990, occupé jusqu’à présent par différents locataires. De taille imposante, avoisinant les huit niveaux, ce bâtiment est doté d’une architecture emblématique de cette époque : des volumes massifs, sculptés, et plutôt largement vitrés.
Le programme consiste à redonner une cohérence globale à ce bâtiment, dans le but d’y implanter le siège social d’une seule et unique entreprise.
Ce principe se traduit par le réagencement complet des plateaux de bureaux, la création d’une extension aux niveaux RDC et R+1, ainsi qu’une surélévation pour compléter le R+8 et créer un R+9. L’extension et la surélévation s’intègrent dans l’esprit du bâtiment d’origine. Les interventions sont composées de façades mur-rideau, mêlant vitrage et menuiseries en aluminium. La trame de la façade crée un rythme vertical permettant une protection solaire efficace.
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Un article apportant quelques précisions supplémentaires au projet de réaffectation de locaux municipaux et de construction de nouveaux bâtiments autour de la place de l'Europe :
http://www.touleco.fr/The-Student-Hotel … e-et,24971
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le palais des sports © Biopolis |
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