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@Zichiquou, faut pas prendre la mouche comme ça, ce qu'il critique, ce n'est pas tes partages, c'est la rédaction des journalistes des articles que tu proposes.
Ici, quand il parle de la troisième ligne de métro, c'est pour la fin de l'article suivant :
Immobilier à Rennes. Le prix du m² s'envole au dessus de 3000 euros
Pour ce passage :
« Si l’hyper-centre reste une valeur sûre, le quartier de la gare devrait continuer à prendre rapidement de la valeur. De même, la ligne de métro qui devrait prochainement (d’ici 2019) le desservir fait de Villejean-Beauregard un autre quartier très prometteur », précise le baromètre LPI-Se Loger.
Or aucune ligne de métro ne va desservir ce quartier prochainement (à part la ligne déjà existante), à ce qu'on sache.
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Le problème de ces articles sur l'immobilier, ces que ce ne sont ni plus ni moins que des pubs pour les promoteurs qui espèrent allécher les investisseurs potentiels en faisant miroiter des prix en hausse vertigineuse et des stations de métro au pied de chaque immeuble. Quand on voit la logique pécuniaire derrière, on ne peut que prendre avec des pincettes XXL chaque info qui y est présentée.
Dernière modification par ziegfried (20-10-2017 14:28:18)
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CptGrignote a écrit:
@Zichiquou, faut pas prendre la mouche comme ça, ce qu'il critique, ce n'est pas tes partages, c'est la rédaction des journalistes des articles que tu proposes.
Ici, quand il parle de la troisième ligne de métro, c'est pour la fin de l'article suivant :
Immobilier à Rennes. Le prix du m² s'envole au dessus de 3000 euros
Pour ce passage :« Si l’hyper-centre reste une valeur sûre, le quartier de la gare devrait continuer à prendre rapidement de la valeur. De même, la ligne de métro qui devrait prochainement (d’ici 2019) le desservir fait de Villejean-Beauregard un autre quartier très prometteur », précise le baromètre LPI-Se Loger.
Or aucune ligne de métro ne va desservir ce quartier prochainement (à part la ligne déjà existante), à ce qu'on sache.
Oui j'avais déja alerté sur la qualité médiocre de tous les articles de presse actuels sur le sujet. Ici on en a un cas flagrant (sérieux Villejean-Beauregard, c'est vraiment THE quartier d'avenir de Rennes ! ). Clairement on cherche à faire des affaires juteuses avec cette arrivée de LGV à commencer par Ouest-France qui vend du papier en relayant ce genre d'études de mauvaise facture.
Je peux affirmer que les tendances décrites ne sont pas vérifiées. Il faudra attendre fin 2017-début 2018 pour avoir des études sérieuses avec un vrai recul sur le sujet, avec notamment Demande de Valeurs Foncières, seule source exhaustive en la matière. L'Audiar en principe est sur le coup...
PS : Zichiquou il n'y a pas de mal, je t'encourage à continuer à poster les articles de presse, comme le dit CptGrignote j'ai certainement un esprit critique (trop affirmé) mais il n'est vraiment pas dirigé contre toi pour le coup ;)
Dernière modification par turtle (20-10-2017 15:43:22)
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zichiqou35200 a écrit:
Pour revenir sur cette source, elle est en effet beaucoup plus sérieuse que celle de Se Loger. Cela étant pour assister chaque année à la présentation de cette étude à la chambre des notaires, les choses sont exprimées ainsi : quand les prix augmentent beaucoup c'est génial, si les prix augmentent peu ou restent stables c'est la catastrophe...
Autrement dit ils positionnent systématiquement leur discours du coté des vendeurs et non des acheteurs, ils ont beau être notaires et investis d'une mission légale, leur vision du logement reste clairement celle d'un business et non d'un besoin pour les habitants et la société.
Autre chose : les chiffres sont publiés et présentés en début d'année civile. 2017 fait exception avec cette présentation en septembre, allez savoir pourquoi
Par ailleurs l'expression "et ce n'est pas prêt de s'arrêter", c'est celui qui a toujours précédé les krach immobilier. Sans offense c'est ce coté péremptoire qui m'a fait réagir Zichiquou -pas le fait que tu relayes l'article-. Dans ce domaine nul ne saurait prédire l'avenir et je me méfie toujours de la pensée magique omniprésente dans ce milieu
Dernière modification par turtle (20-10-2017 16:54:00)
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PS : Zichiquou il n'y a pas de mal, je t'encourage à continuer à poster les articles de presse, comme le dit CptGrignote j'ai certainement un esprit critique (trop affirmé) mais il n'est vraiment pas dirigé contre toi pour le coup ;)
Merci pour la précision Je ne critique pas le fait en soi de ne pas poster de news sur le forum . Je peux comprendre que tout le monde n'ait pas forcément le temps après il faut aussi rester mesuré quant à ce qui est proposé sur le forum mais si tu me dis que ce n'était pas dirigé contre moi alors tant mieux
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Adapter l'offre foncière à la demande des entreprises
Lancement des premières études
Le SAE distingue les zones d’activités productives, artisanales, d’une part, et logistique et industrielle, d’autre part, et les zones tertiaires, en diffus ou dans des parcs dédiés. Concernant les premières, « s’agissant des zones artisanales, ou zones de proximité, on constate un relatif équilibre entre offre et demande. En revanche, nous sommes en situation de pénurie de grandes parcelles pour accueillir des entreprises logistiques ou industrielles. »
Suite au diagnostic, et après concertation avec les communes, plusieurs zones d’activités potentielles ont été identifiées (cf. carte). Les premières études de faisabilité vont démarrer en 2018 pour cinq d’entre elles, dont deux de proximité – à Acigné et l’Hermitage – et trois structurantes - Haut-Rigné (Betton), La Petite Touche Aury (Cesson-Sévigné/Chantepie) et Pont-Péan/Saint-Erblon.
S’agissant du tertiaire, « Il convient d'ajuster en permanence le rythme des mises en marché pour équilibrer l'offre et la demande mais Rennes connaît une dynamique positive qui devrait permettre de commercialiser près de 50 000 m² par an de bureaux neufs. » Le SAE ne prévoit pas la création de nouveaux parcs tertiaires dédiés.
Sites qui pourront être proposés pour l'implantation des entreprises en violet.
Dernière modification par zichiqou35200 (22-10-2017 18:33:31)
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Sauces. Soreal investit pour agrandir son site près de Rennes
Près de Janzé, depuis 25 ans, Soreal fabrique des sauces pour les industriels de l'agroalimentaire. Et l'entreprise s'agrandit.
« On construit lorsqu'on a de la croissance », explique Gilles Bocabeille, fondateur de Soreal. Et la croissance de l'entreprise est au rendez-vous depuis vingt-cinq ans. En 1996, l'usine s'étendait sur 700 m2. Elle passe aujourd'hui de « 6 000 à 11 000 m2 ». Un investissement de plus de trois millions d'euros pour agrandir le site de production situé à Brie que le fondateur a fait visiter la semaine dernière.
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Emploi : Rennes, plus dynamique et attrayante que jamais
2 200 postes créés en 3 mois
La métropole rennaise a vu son taux de chômage baisser de 0,4 point entre janvier et juin 2017. Depuis l’été 2016, les créations nettes d’emploi s’accentuent : 2 200 postes supplémentaires ont été créés sur les trois premiers mois de l’année. Une première depuis 2001 ! « La dynamique de recrutements s’est encore accélérée ces six derniers mois dans les entreprises locales, plus rapidement qu’à l’échelle nationale » précise la dernière note d’information économique de l’AUDIAR, l’Agence d'Urbanisme et de Développement Intercommunal de l'Agglomération Rennaise.
Du côté de l’activité intérimaire, les effectifs battent également des records et dépassent pour la première fois la barre des 10 000 postes occupés.« Sur un an, tous les secteurs d’activité ont accru leurs effectifs intérimaires. La progression est particulièrement importante dans le transport-logistique, l’industrie agroalimentaire, les services aux entreprises et l’industrie automobile ».
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Rennes Métropole classé deuxième pôle d'emploi le plus dynamique de France en croissance du volume d'offre d'emploi derrière Paris avec +53 %
Dernière modification par zichiqou35200 (27-10-2017 11:56:03)
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Les bordelais sont en train de chasser les parisiens.
Vont-ils se tourner vers Rennes davantage ?
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« 10 ans pour faire de Rennes une métropole qui compte en Europe »
Faire de Rennes une destination qui rayonne sur son territoire
« L’enjeu, c’est le développement économique et social du territoire », insiste Jean-François Kerroc’h. Avant d’ajouter : « Aujourd’hui, toutes les conditions sont réunies pour que nous réussissions. La fenêtre de tir est ouverte. Nous avons 10 ans devant nous pour faire de Rennes une métropole qui compte à l’échelle européenne. »
Une à une les pièces du puzzle s’imbriquent. Il y a d’abord la grande vitesse, la nouvelle gare, ligne b du métro, le dynamisme économique, l’arrivée jamais démentie de nouveaux habitants, l’appétit des compagnies aériennes low cost, et, évidemment, la mise en service du Couvent des Jacobins début 2018.
Ce que je Jean-François Kerroc’h résume avec une punchline bien sentie : « Une destination c’est une identité, des légitimités, de l’accessibilité, une offre de services et, si possible, un guichet unique. Et c’est ce que nous avons réussi à faire à Rennes. »
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Confirmation de la hype gare-sud dans l'immobilier
http://www.20minutes.fr/rennes/2162723- … e-contenue
Métropole à taille humaine, jeune et dotée d’un marché de l’emploi en reprise, Rennes s’est dotée il y a quelques mois d’un atout supplémentaire. Comme Bordeaux, la capitale bretonne profite de l’effet LGV, qui la place à moins d’une heure trente de Paris en train. « Traditionnellement, le sud de la ville était plus populaire. Mais avec la nouvelle gare et le quartier EuroRennes, on voit que le sud gare comble son retard sur les quartiers les plus huppés du nord du centre-ville », poursuit le notaire.
La LGV a fait grimper les prix
Les prix de vente ont ainsi grimpé de 10 à 15 % en un an autour de Sainte-Thérèse où une maison de 100 m² et son petit terrain de 300 m² se vendent autour de 360.000 euros. Les abords des stations de la future ligne B du métro ont également gagné en attractivité, à l’image de Maurepas et des Gayeulles, qui voient le prix au mètre carré grimper de 3 à 5 %.
D’une manière plus globale, Rennes échappe pour l’heure à une flambée des prix. En 2017, la hausse devrait ainsi être contenue à 4 % et s’établir en moyenne à 2.400 euros du m² dans l’ancien et 3.900 euros dans le neuf. « C’est une hausse modérée, surtout dans cette période faste. Nous avons connu par le passé des marchés fous où le vendeur dictait son prix. Aujourd’hui, les acheteurs ne sont pas prêts à surpayer, ils restent prudents », analyse Geoffroy Emonnet.
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Nespresso recrute à Rennes en prévision de l'ouverture imminente de sa boutique rue Nationale (selon Le Télégramme http://www.letelegramme.fr/ille-et-vila … 31847.php# )
Les postes recherchés :
https://www.nespresso.com/carrieres/non … s-demploi/
Dernière modification par walden35 (08-11-2017 08:43:22)
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Investissement. La start-up Advalo lève cinq million d'euros
La start-up rennaise Adavalo, leader du marketing individualisé réalise une levée de fonds de cinq millions d'euros en partie auprès du fonds régional West web valley. Ojectifs recrutements et développement à l'international.
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MARCHÉ DE L’IMMOBILIER ENTREPRISE & TERTAIRE: À TOUTE VITESSE
Le marché de l’immobilier d’entreprises est en plein boom sur le bassin rennais ! La raison ? La dynamique aujourd’hui enclenchée via la LGV (Ligne à Grande Vitesse inaugurée le 2 juillet dernier) qui relie désormais Rennes à Paris en 1H25.
Dans les faits, 60 000 m2 de bureaux ont ainsi été placés cette année contre 44 000 m² comptabilisés l’an passé. 30 000 m2 sont dus à des investissements d’entreprises qui ont installé des sièges ou des locaux.
Environ 150 000 m² dont environ 50 000 m² d’offre neuve sont aujourd’hui disponibles sur le marché du bassin rennais.
Pour rappel, Euro Rennes (aujourd’hui hérissé de grues qui s’activent) est l’un des projets les plus ambitieux affichée par la capitale régionale: à l’horizon 2027, le futur quartier d’affaires comprendra plus de 155 000m2 de bureaux et de commerces (ainsi que 1 500 nouveaux logements). A noter que le désenclavement de certaines zones est aussi au programme.
Dans ce contexte, tous les observateurs s’accordent : Rennes se positionne comme une ville très active dont le marché commence à susciter l’intérêt d’investisseurs institutionnels séduits par une région dynamique économiquement et démographiquement .
Dernière modification par zichiqou35200 (30-11-2017 23:06:08)
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Rennes métropole. Le territoire confirme son attractivité
Chômage inférieur à la moyenne nationale
En 2030, elle devrait atteindre les 500 000 habitants. Derrière son attractivité, on trouve la proximité avec Paris, surtout depuis la mise en service en service de la LGV. Egalement ses atouts économiques, car Rennes a su se faire une place dans les domaines du numérique et de la cybersécurité, attirant du même coup des emplois qualifiés.
Le bassin rennais affiche un taux de chômage (7,1%) inférieur de 2 points à la moyenne nationale et se situe au 3e rang français pour le PIB. Rennes Métropole est la 2e agglomération en terme de part de population active occupée des 15 ans et plus (58,7%). Avec 66 000 étudiants et 5 000 chercheurs, elle est aussi le 8e pôle universitaire de France.
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Budget de la Ville : "Maintenir le niveau d'investissements"
La situation financière de la Ville
« Elle est confortable et très saine, ce qui nous permet d’affronter l’exercice 2018 de façon sereine », explique Marc Hervé, s’appuyant sur une épargne brute 2016 de 32 millions d’euros, contre 30 millions en 2015, dû notamment à la diminution des dépenses de fonctionnement.
« Cela va nous permettre de maintenir un haut niveau d’investissement, avec un objectif de 54 millions d’euros en 2018 », ajoute l’élu, précisant qu’entre 2012 et 2016, Rennes a investi plus que les autres villes-centres de métropoles, avec une moyenne par habitant de 323 euros, contre 307 euros.
Pour 2018, en fonctionnement, est également prévue une hausse des dépenses de personnel de 1,5%, une stabilisation des subventions (« Nous ne les avons jamais diminués, ce qui est notable et rend notre collectivité atypique ») et un maintien des taux d’imposition sur les ménages au même niveau, sur tout le mandat.
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