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Il est vrai que la forte poussée des constructions permet d'équilibrer les prix et d'éviter de fortes hausses.
Le prix toulousain peut être un atout par rapport à Bordeaux qui devient très, trop chère.
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Avancement du carré d'art à St-Cyprien (ex Chez Carmen). Pour une fois la rive gauche se densifie en respectant l'identité toulousaine, et cela se voit bien depuis les berges!
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oc31 a écrit:
https://zupimages.net/up/18/19/9t4p.jpg
De 2013 à 2017 inclus, quasi 20 000 logements neufs ont été livrés à Toulouse. 35% l'ont été sur le secteur 2 (secteur nord).
Cela fait une moyenne de 4000 livraisons par an.
Le secteur 2 c'est la rive gauche de St-Cyprien à la Cartoucherie
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En dehors des opérations isolées, dents creuses, un panel connu des grandes opérations, OAP en cours ou qui arrivent dans Toulouse intra-muros par secteur.
Quasiment 30 000 logements en projet connus en opérations OAP ou futures ZAC.
Le secteur 3 devrait voir plus de 10 000 logements d'ici 2030, le secteur 5 quasiment 10 000 et le secteur 4 plus de 5 000 logements neufs.
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500.000 habitants pour Toulouse intra-muros bientôt
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A elles seules, les OAP Paléficat et Malepère, sont l'équivalent de 4 OAP Cartoucherie en terme de logements
Incroyable
Dernière modification par Pingouin Toulousain (28-05-2018 20:45:32)
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À elles deux c'est un potentiel de 25 à 30 000 habitants.
De toute façon, ce sont sur ces secteurs 3, 5, 6 et secondairement les secteurs 2 et 4 déjà plus denses, que la densification va se faire.
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Des prix de loyers plutôt bas pour les petits logements mais aussi certainement un déséquilibre offre/demande (avec un délai important dans les mises en location ou relocation) :
https://actu.fr/occitanie/toulouse_3155 … 90809.html
http://www.leparisien.fr/economie/immob … 795887.php
Une partie de la réponse doit très probablement tenir à l'effet pervers des dispositifs défiscalisés, qui ont très bien fonctionné pour la construction sur l'agglomération toulousaine, mais qui conduisent à la construction massive de petits logements, pas toujours en rapport avec le niveau de la demande et pas toujours dans les quartiers souhaités (parfois en grande banlieue, ce qui, par exemple, pour un étudiant n'est pas vraiment attractif).
Néanmoins, j'ai du mal à m'expliquer la différence constatée avec d'autres agglomérations en termes de délais global de relocation, d'autant que cela ne saute pas aux yeux en cheminant dans l'agglo. Il n'y a d'ailleurs pas a priori d'effet mécanique entre les niveaux de prix / les délais / l'attractivité d'une ville.
Il faudrait disposer d'éléments de connaissance plus détaillés (types de logements, nombre de logements concernés, précisions par quartier ou secteur, ...) pour se faire une idée plus précise des dysfonctionnements éventuels, voire d'éléments d'appréciation plus qualitative : état du logement reloué (vétusté ?), niveau d'exigence du propriétaire (en rapport avec le marché local ?) ...
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Des prix à l'achat de logements anciens qui sont relativement bas et stable sur l'agglomération toulousaine, surtout comparé à Bordeaux (où franchement c'est devenu carrément excessif, en étant plus cher qu'à Nice ou Lyon) :
https://www.ladepeche.fr/article/2018/0 … louse.html
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Une évolution assez nette des formes de production de logements neufs :
http://www.touleco.fr/Face-a-la-rarete- … ison,24900
Moins de foncier disponible, plus de densité, plus de mixité de produits, voire franchement plus de logements collectifs, un moindre éloignement. C'est à la fois une évolution induite par les nouveaux documents d'urbanisme (PLU, SCOT), par l'évolution des aides à la pierre (recentrées sur les grandes agglomérations) et par des comportements d'achats différents désormais.
S'agissant toutefois de la maison individuelle, et que ne mesurent pas nécessairement les lotisseurs/aménageurs car ils ne sont pas impliqués dans ce processus, il y a une tendance très nette depuis 2 ans environ aux redécoupages parcellaires et à la construction en zone déjà urbanisée, ce qui a pas mal d'avantage (car ne consomme pas de terres agricoles ou naturelles) mais peut également présenter des inconvénients alors même que cette densification de certains tissus urbains n'avait pas été anticipée (réseaux et voirie insuffisants, densification de quartiers mal localisés, problématique de vis-à-vis pas toujours bien gérés, ...).
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Cela confirme une discussion sur l'autre forum concernant l'extension de l'unité urbaine toulousaine et de l'unité urbaine montalbanaise notamment dans le sud du Tarn Tarn-et-Garonne.
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Des prix de location de logements plutôt stables et inférieurs à la plupart des autres grandes agglomérations. Une tension assez forte, avec une pénurie d'offre en cette rentrée étudiante :
https://www.francebleu.fr/infos/economi … 1537127547
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Une politique accès sur la construction de nouveaux logements
Du côté de la mairie, on se félicite de ces bons chiffres permis grâce à une politique accès sur la construction de nouveaux logements.
Cependant, on reconnaît des progrès sont à faire notamment dans le logement étudiant mais aussi dans les grands appartements en cœur de ville. "Il manque du T4/T4 plus au centre-ville, reconnait Franck Biasotto. Il faut permettre aux primo-accédants, aux familles avec enfants de rester en cœur de ville pour éviter qu'elles partent vers le reste de l'agglomération."
Ce passage m'apparaît intéressant avec d'un côté la politique de création de logements pour équilibrer offre/demande, vu que la demande est forte pour garder un prix au m2 sans explosion comme à Bordeaux.
D'autre part, la prise de conscience de développer les grands appartements pour l'accueil de familles avec des T4.
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Quelques éléments de restitution d'une étude bilan des notaires sur les transactions de logement sur Toulouse (et en comparaison à d'autres marchés) :
https://www.ladepeche.fr/article/2018/1 … culer.html
Il semble que le marché se porte plutôt bien et reste sain avec un volume de transaction important mais des prix qui restent relativement sages, surtout en comparaison à Bordeaux qui connaît un niveau moyen de prix complètement déraisonnable.
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Il est intéressant de constater que le marché toulousain est moins spéculatif qu'ailleurs et plus sain de ce côté là. L'équilibre offre demande créé par une hausse du nombre de constructions permet ainsi de stabiliser la hausse des prix.
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Un constat suite au salon de l'immobilier du WE dernier
Pour cet automne, 45% des visiteurs du salon étaient des primo-accédants. Un constat qui confirme que ce profil d’acheteurs est particulièrement actif à Toulouse, comme le souligne le rapport annuel des notaires : « C’est à Toulouse que les moins de 40 ans sont les plus actifs sur le marché immobilier en France : 31% des acquéreurs ont entre 30 et 39 ans ».
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Un article concernant la volonté de certains de recenser et protéger un certain nombre de maisons "toulousaines" typiques :
https://actu.fr/occitanie/toulouse_3155 … 35140.html
Si on met de côté les derniers propos qui peuvent être discutés (surtout le lien de causalité entre constructions en cours et PLU métropolitain en cours d'élaboration), ce repérage et cette préservation peuvent être un exercice intéressant, si on reste raisonnables et objectifs, d'autant qu'il ne s'agit pas toujours de bâtiments d'une très grande qualité architecturale.
Par ailleurs, cet exercice me semble nécessairement à faire au regard de l'insertion du bâtiment dans son environnement (s'il est ceinturé d'immeubles de grandes hauteurs, ça n'a aucun sens, s'il participe de la lecture paysagère et patrimoniale d'un lieu, s'il s'agit d'un regroupement/ d'un ensemble à préserver c'est bien plus opportun) ou au regard de son histoire et de la charge émotionnelle qu'il représente.
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Douze appartements de grand luxe de 1,6 million d'euros vendus en quelques jours à Toulouse
Une douzaine d’appartements haut de gamme, des duplex T5 de 135 m², avec de vastes terrasses de 70 m² et une vue imprenable sur le dôme de la Grave tout proche et sur la Garonne, ont été réservés, quelques jours après le lancement de la commercialisation, pour 1,6 million d’euros chacun. Soit 9411 € le mètre carré si on tient compte de la surface de terrasse (on comptabilise généralement la moitié de la surface des balcons dans la surface habitable soit 170 m² ici) et même 11 852 € le mètre carré si on n’en tient pas compte ! Autour des 10 000 € le mètre carré...
« un produit rare, idéalement placé sur le cheminement piéton reliant Capitole et Abattoirs qui a séduit des Toulousains qui avaient de belles villas en périphérie et souhaitaient se rapprocher de l’hypercentre en toute sécurité et proximité »
Comme quoi, il y a une niche potentielle de logements de luxe à Toulouse.
De bon augure pour la commercialisation des logements dans la tour d'Occitanie, devant tourner aux alentours de 7000€/m2 contre 10000 ici...
Dernière modification par oc31 (09-11-2018 21:03:53)
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En effet
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Ptiloulou a écrit:
Un article concernant la volonté de certains de recenser et protéger un certain nombre de maisons "toulousaines" typiques :
https://actu.fr/occitanie/toulouse_3155 … 35140.html
Si on met de côté les derniers propos qui peuvent être discutés (surtout le lien de causalité entre constructions en cours et PLU métropolitain en cours d'élaboration), ce repérage et cette préservation peuvent être un exercice intéressant, si on reste raisonnables et objectifs, d'autant qu'il ne s'agit pas toujours de bâtiments d'une très grande qualité architecturale.
Par ailleurs, cet exercice me semble nécessairement à faire au regard de l'insertion du bâtiment dans son environnement (s'il est ceinturé d'immeubles de grandes hauteurs, ça n'a aucun sens, s'il participe de la lecture paysagère et patrimoniale d'un lieu, s'il s'agit d'un regroupement/ d'un ensemble à préserver c'est bien plus opportun) ou au regard de son histoire et de la charge émotionnelle qu'il représente.
A-t-on des bilans récents de l'EPFL de Toulouse Métropole? Budget annuel, taux de la taxe spéciale d'équipement, surfaces de foncier acquises, localisation, cartographie, projets d'urbanismes de la métro...
Silence radio impressionnant depuis 2013, avec un seul article de la tribune à se mettre sous la dent :
https://toulouse.latribune.fr/immobilie … e-30042013
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Pour rebondir sur l'article d'hier concernant la vente rapide d'une douzaine de logements de luxe à environ 10 000€/m2, un nouvel article qui met en avant ce besoin de logements de luxe, dont manque le centre de Toulouse et que la tour d'Occitanie pourra également amener un complément.
Du Grand hôtel à la tour d'Occitanie
Patrick Saint-Agne, président de la Fédération des promoteurs immobiliers : «Pas surprenant»
Vous êtes surpris par la vente de ces appartements à 1,60 M€ ?
Non, à partir du moment où il n'y a pas ce type de produit neuf, haut de gamme, en centre ville, avec une grande terrasse et une vue imprenable sur le pont Saint-Pierre et la Garonne. Le site est sans doute le plus beau de la Ville rose. On est là davantage dans un projet de vie pour gens fortunés, qui n'achètent pas pour revendre plus tard. ça accrédite aussi le projet de Tour Occitanie, exceptionnel pour sa rareté et son site avec vue sur les Pyrénées. Moi-même j'ai vendu un ensemble T5 et T2 de 120 m2avec trois terrasses (de 35 m2 au total) 1,20 M€ il y a trois quatre ans au Busca…
Dernière modification par oc31 (10-11-2018 11:11:03)
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