Publicité
http://maps.google.fr/maps?f=q&hl=f … k&om=1
y'a pas d'emplacement de disponible à cette endroit à moins qu'elles soient construites au dessus de l'autoroute A3
...Caen Capitale
Marrant :
'Freaks Tower à La Défense (92)'
(http://www.cyberarchi.com/actus&dos … icle=10411)
C'est un autre monstre qui s'élevera là
(et Freaks semble être un terme générique pour désigner les tours, chez eux ou : coquille ?)
*** Skyscraper Spirit Wonder Llama ***
Publicité
wynopino a écrit:
http://maps.google.fr/maps?f=q&hl=f … k&om=1
y'a pas d'emplacement de disponible à cette endroit à moins qu'elles soient construites au dessus de l'autoroute A3
ou alors sur le terrain occupé par l'immonde entrepôt magasin de la SERAP en face des tours Gallieni 1 et 2 c'est le seul emplacement qui pourrait convenir selon moi
...Caen Capitale
(Entre parenthèses, le site internet de Périphériques est encore un machin en Flash comme on les aime pour trouver de l'info : http://www.peripheriques-architectes.com/# )
Rien de trouvé sur le sujet qui nous occupe...
Visitez mon blog et mon album photos
Cette tour se situerait à Bagnolet, j'ai vérifié sur une carte précisément. donc PAS à Paris intra muros. Donc c'est ok elle va être construite
En effet le maire serait largement favorable à l implantation d'un IGH et d'un programme de rénovation générale qui a commencé avec la couverture de l'a3 (qui se termine fin décembre sacré chantier la aussi)franchement avec les Mercuriales et les tours aux environs on peut construire en hauteur et redonner du dynanisme à ce secteur.
Urbanisme
C'est là qu'on envisage de construire des tours
PETIT à petit l'idée fait son chemin dans la capitale : l'hypothèse de construire des tours de grande hauteur à Paris, rejetée par les Parisiens lors d'une consultation en 2005, enterrée en juin dernier par le nouveau règlement d'urbanisme (PLU) qui limite à 37 m la hauteur maximale des bâtiments, refait pourtant surface. Le groupe de travail chargé d'étudier la problématique des grandes hauteurs dans la capitale, créé l'été dernier sous la présidence de Jean-Pierre Caffet , l'adjoint (PS) de Bertrand Delanoë chargé de l'urbanisme, avance à grand pas : lors de sa dernière réunion, le 11 janvier, il a retenu 5 sites pour y étudier la possibilité d'y construire des immeubles de grande hauteur.
Des propositions avant l'été
Il s'agit de sites en périphérie (voir infographie) : le nord-est (porte de la Chapelle/porte de la Villette), la porte de Montreuil, la porte de Bercy, Masséna (quai d'Ivry) et la porte de Versailles, où un projet de grand hôtel de luxe est porté par Paris-Expo (voir encadré) .
« Attention, nous n'en sommes pas à annoncer des permis de construire pour l'année prochaine ! tempère Jean-Pierre Caffet. Il s'agissait d'abord de faire oeuvre de pédagogie, en sortant des clichés sur l'horreur des tours . Nous avons consulté beaucoup de gens, des spécialistes, des habitants. Nous avons regardé ce qui se fait ailleurs. A l'heure qu'il est, ce travail de déminage est bien engagé. » La semaine dernière, les architectes et les urbanistes ont présenté aux membres du groupe de travail les différentes possibilités de construction, et le type de bâtiments envisageables. Le 29 janvier, la prochaine réunion sélectionnera trois sites sur lesquels peut « se dégager un consensus », selon Jean-Pierre Caffet. Ensuite, le groupe de travail sera appuyé dans sa réflexion par une équipe de professionnels que la mairie de Paris désignera à la suite d'un appel d'offres lancé il y a quinze jours. « Nous comptons proposer des projets avant l'été », précise Jean-Pierre Caffet. Reste à savoir à quoi servira tout ce travail. Les Verts, dont l'équipe de Bertrand Delanoë a besoin pour prendre des décisions à la majorité, ont toujours rejeté les projets de tours. « Ce groupe de travail, qui tente de revenir à marche forcée sur le règlement d'urbanisme voté en juin est choquant, commente le conseiller écologiste Jean-François Blet. Nous ne comprenons pas cet acharnement à faire des tours dans Paris. » Le maire de la capitale, qui n'a jamais renoncé à franchir le plafond des 37 m pour doter la capitale française de « gestes architecturaux », peut trouver un appui à droite, où l'UMP, après avoir affiché son hostilité aux tours, a changé d'avis. « Mais pas à n'importe quelles conditions ! prévient Roxane Decorte, élue du XVIII e et participante du groupe de travail. Par exemple, on nous propose trois tours à la porte de la Chapelle. C'est impensable ! Cette partie de Paris, totalement enclavée, a besoin d'équipements publics, d'espaces verts, pas de grandes tours... » Le travail de « déminage » n'est pas fini. Et rien ne devrait être lancé avant les municipales de mars 2008.
Sébastien Ramnoux
Le Parisien , samedi 20 janvier 2007
http://www.leparisien.com/home/maville/ … =275969234
PSS - Architecture, Urbanisme, Aménagement du territoire
City Forum - Ville 3D
~ Ah tu Voi c pour sa ke Seul les pti bonhomme du Baby on ldroi dShooT - Chandler Friends s06-ep06 ~
source le parisien et SSC
Ah, ces verts...
Cela confirme ce qu'on disait dans le forum, même si Bercy n'était pas pressenti (je suis assez surpris). Mais enfin, pour le TGI, c'est un combat perdu d'avance, conditionné totalement par les prochaines élections présidentielles et l'équipe Delanoë doit miser sur un changement de majorité.
Visitez mon blog et mon album photos
coolos on sait deja qu'on aura peut etre un igh porte de versailles, la zac clichy/batignolles porte de clichy en esperant qu'il y aura des tours d'habitations de plus de 100m, dont les constructions debuteront 2009-10, plus ces projets aux portes d'ivry, la chapelle, et de bercy vont former une ceinture de gratte-ciel autour de paris, sans oublier tous les projets des villes limitrophes de paris comme levallois, issy, bagnolet, boulogne, neuilly, joinville le pont saint maurice, et des tours pressenties a clichy, aubervilliers, ivry, gentilly, malakoff, vanves, montrouge.
ouvrez les prisons. licenciez l'armee.
perso je suis convaincu qu'une entrée magistrale en arrivant de l' A4 avec des tours de chaque coté de la Seine entre la porte de Bercy et d Ivry donnerait une sacré image de Paris telle que pouvait autrefois donner les colonnes de Nation...mais bon il reste encore beaucoup de chemin .
Comme tout le monde ici je suis ravi de ces annonces, et d'une manière générale de tous les projets qui fleurissent un peu partout dans la proche couronne parisienne. Tout ce qui fait bouger les lignes hyper frileuses incarnées notamment par ces verts parisiens est bon à prendre.
Mais ces positions ne sont pas que celles des verts, le sentiment est sans doute bien ancré dans la population, qui majoritairement ne s'intéresse pas spécialement à ce qui se fait aujourd'hui et dans le monde. Comme tout est figé depuis quelques décennies, on reste dans l'imagerie caricaturale de l'architecture et (surtout) de l'urbanisme certe peu flatteur des années 60-70.
Donc, si on voit dans les années à venir des projets sortir de terre un peu partout, et que plus personne ne pourra ignorer le phénomène, on pourrait bien assister à un formidable retournement d'opinion par rapport à la perception des tours. Je suis un irréductible optimiste, et à mon avis un tel "déblocage" des esprits, serait extrêment prometteur pour l'avenir (plus lointain).
Mais, malgré tout, parce qu'il ya un mais, sur lequel je n'insisterais sans doute pas face à un public idéologiquement anti-tours mais que je veux dire ici :
En tant que farouche défenseur de l'idée d'un Grand Paris, la concurrence que se livrent actuellement les communes limitrophes de Paris pour avoir chacune "leur" tour, me parait un peu vaine. Ou est la logique d'aménagement la-dedans ? Sauf à se contenter de "gestes architecturaux" ça et là, la requalification et la densification nécessaires de certains quartiers devraient s'accompagner d'une réflexion en terme d'infrastructures qui dépasse largement ces petites communes. Quelle logique économique aussi ? Pour ceux qui reprochent à La Défense de concentrer les fleurons des entreprises et de l'emploi dans l'Ouest au détriment de l'Est, c'est pas la dispersion qui créera une image forte et attractive de l'est parisien. Enfin, l'idée de voir une ceinture d'IGH autour du Paris historique ne me plait pas tant que ça, je veux dire d'un point de vue "paysager". Un véritable plan d'urbanisme global et concerté à l'échelle métropolitaine devrait permettre de tenir compte des nécessités locales en terme de requalification urbaine, de densification, d'infrastructure, de redéploiement économique et j'en passe, mais aussi tenir compte de l'impact visuel : à mon avis l'urbanisation autour du Paris historique devrait ménager des points de fuites remarquables depuis les points hauts (naturels ou construits). Une ceinture d'IGH (on en est encore loin vous me direz), laissant un Paris haussmannien muséifié dans une cuvette, vision surprenante sans doute, mais une hérésie...
Tout ça pour dire que laisser ces multiples petites communes se faire la guerre, ne me parait pas laisser beaucoup de place à cette réflexion. Paris le mériterait bien : sa richesse viendra de ce que à côté d'une identité forte et prestigieuse construite les siècles passés elle trouvera les moyens de faire cohabiter sur son territoire métropolitain de nouvelles identités, tout aussi forte, mais tournées vers l'avenir et la modernité...
Tout un programme
(désolé si je vous est soulés )
Lavrendios a écrit:
mais aussi tenir compte de l'impact visuel : à mon avis l'urbanisation autour du Paris historique devrait ménager des points de fuites remarquables depuis les points hauts (naturels ou construits)
entièrement d'accord la dessus, les perspectives sont une des caractéristiques de paris, malheureusement je crois que dans l'immédiat ils ont zappé cet aspect, le meilleur exemple actuel étant l'opération seine arche... et sa grande courbe
Hey vous avez oublié cet article qui parle de tours de 200m pour Paris (!) :
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0 … 529,0.html
Réaménager la porte de Bercy est une très bonne idée. Avec ou sans tours. Le lieu ne manque pas d'attrait entre Bercy Village et Bercy 2, mais pour les piétons c'est une véritable horreur. C'est presque un no man's land tellement les bretelles sont tentaculaires. Evidemment, entre le périph, les voies sur berges et l'A4 c'est nécessaire, mais je suis sûr qu'en remettant un peu à plat tout ça, on peut trouver un concensus bien meilleur.
Voilà l'article du Monde :
A Paris, un groupe d'élus a sélectionné trois sites susceptibles d'accueillir des gratte-ciel
LE MONDE | 30.01.07 | 15h33 • Mis à jour le 30.01.07 | 15h33
Porte de la Chapelle, porte de Bercy et porte d'Ivry : trois sites en bordure du périphérique parisien ont été retenus, lundi 29 janvier, par un groupe de réflexion piloté par la Mairie de Paris, pour accueillir des immeubles de grande hauteur. Certains ne dépasseraient pas 50 mètres, soit environ 18 étages. D'autres culmineraient à 200 mètres, comme la tour Montparnasse (59 étages).
Dans les deux cas, ces bâtiments s'affranchiront du plafond des 37 mètres de hauteur instauré par Valéry Giscard d'Estaing en 1976. Depuis 2003, le maire de la capitale, Bertrand Delanoë, réaffirme sa volonté d'autoriser un "geste architectural" sur le pourtour de Paris pour compenser la pénurie de foncier constructible et développer l'activité économique.
Mais l'élan du maire a été freiné en 2003 par un questionnaire de la Ville aux Parisiens montrant que 63 % d'entre eux - sur 120 000 réponses - y étaient opposés. Surtout, les élus Verts de la majorité ont toujours été hostiles aux tours, contrairement aux communistes. Dans le plan local d'urbanisme, adopté en juin 2006, la Ville a donc maintenu le plafond des 37 mètres. Tout en se ménageant la possibilité, dans le même document, de déroger à la règle au vu de "projets concrets".
"LÀ OÙ IL Y A DE LA VILLE À REFAIRE"
En septembre 2006, elle a constitué un groupe de travail, composé de conseillers de la majorité et de l'opposition, pour auditionner architectes, urbanistes, habitants de tours et élus étrangers. Piloté par Jean-Pierre Caffet, adjoint (PS) à l'urbanisme, le groupe a dégagé des critères de choix des sites. Construire à la verticale se justifie "là où il y a de la ville à refaire", soutient Pierre Mansat, adjoint (PCF), qui invoque "l'efficacité" des immeubles de grande hauteur pour aménager et financer des zones traversées par des infrastructures lourdes.
C'est le cas porte de la Chapelle (18e arrondissement). Enserré dans des échangeurs routiers et des entrelacs de voies ferrées, ce site avait fait l'objet, en 2003, d'un projet de deux tours, présenté par le cabinet d'architectes Dusapin et Leclercq. La Ville n'avait pas donné suite. Aujourd'hui, Paris retient ce site comme prioritaire. D'autant qu'en face, Saint-Denis a aussi des projets de tours de bureaux. Sur le trajet de l'aéroport de Roissy, un tel immeuble marquerait symboliquement l'entrée dans Paris. Porte d'Ivry, sur le secteur Masséna-Bruneseau, sur la ZAC Paris Rive-Gauche (13e), l'architecte Yves Lion avait proposé, en 2002, "un ensemble de gratte-ciel modérés", contesté, à l'époque, par les associations de riverains. Le groupe de travail de la Ville a, cette fois, retenu la possibilité de construire des immeubles de 50 mètres sur le site pour créer une continuité urbaine entre Paris et Ivry.
Porte de Bercy (12e), la Ville envisagerait de construire une tour de 200 mètres pour abriter un hôtel de luxe près de la gare de Lyon. Les élus Verts rejettent le choix des sites et mettent en garde contre la surconsommation d'énergie de ces immeubles. "Il n'y a aucune raison d'avoir la religion de la tour si c'est uniquement pour montrer qu'on a le plus gros phallus dressé vers le ciel", critique Yves Contassot, adjoint (Verts) chargé de l'environnement.
Le groupe de travail doit désigner, le 5 février, plusieurs équipes d'architectes et un bureau d'experts chargés d'évaluer le coût énergétique de chaque site. En mai, chaque équipe devra rendre un "projet concret" selon un "cahier des charges" arrêté par le groupe de travail. Les premiers coups de pioche sont prévus après les élections municipales de 2008.
Béatrice Jérôme
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0 … 529,0.html
j'aime beaucoup l'oxymore...
*** Skyscraper Spirit Wonder Llama ***
Le groupe de travail doit désigner, le 5 février, plusieurs équipes d'architectes et un bureau d'experts chargés d'évaluer le coût énergétique de chaque site.
Ca va tordre le cou à ces satanés verts qui ne se basent que sur des a priori au lieu de se baser sur des faits concrets et eux réels!
PSS - Architecture, Urbanisme, Aménagement du territoire
City Forum - Ville 3D
~ Ah tu Voi c pour sa ke Seul les pti bonhomme du Baby on ldroi dShooT - Chandler Friends s06-ep06 ~
Porte de Bercy (12e), la Ville envisagerait de construire une tour de 200 mètres pour abriter un hôtel de luxe près de la gare de Lyon.
il y a quand meme du chemin entre la porte de Bercy et la gare de Lyon et autour de cette dernière les terrains sont rares ...Par contre un agrandissement de l'ensemble cours saint Emilion c'est largement faisable.
On apprend aussi que st-denis a des projets de tours.
Castres lameilhé football club
"Les Verts y sont défavorables" : c'est une ineptie qui me fait enrager par la bétise même de leur engagement, si il y'en a qui devrait être pour, ce sont bien eux, qu'il regarde ce que font leurs confrères hollandais (enfin ...) :
Depuis http://www.x-environnement.org/jr/JR97/fouchier.html
Influencées par les conclusions de P. Newman et J. Kenworthy, reprises ensuite par l'Union européenne, les autorités publiques locales et nationales britanniques, hollandaises, norvégiennes, etc., ont mis en place des politiques urbaines visant à limiter la mobilité automobile. Elles ont ainsi défini comme objectif prioritaire de la planification une certaine densification des tissus urbains, supposée éviter une banalisation excessive de l'automobile et donc une large part des nuisances en ville et au-delà.
Le Livre vert sur l'environnement urbain de la CEE (1990) synthétise ces principes : " Les stratégies qui préconisent des affectations mixtes et un développement plus dense sont les plus aptes à rapprocher les gens de leur lieu de travail et des services nécessaires à leur vie quotidienne. La voiture pourrait alors devenir un choix plus qu'une nécessité. " La séparation des fonctions et les faibles densités sont très clairement désignées comme responsables de la croissance de la mobilité automobile. Et la voiture est elle-même accusée de dégrader l'environnement ; il ne faut donc pas en rendre l'usage quasi obligatoire par un développement urbain inadapté.
Dans cet esprit, le gouvernement britannique a publié une directive nationale, la Planning Policy Guidance n°13 (mars 1994) : celle-ci fixe l'objectif national de limitation des déplacements automobiles et indique qu'un urbanisme dense et mixte autour des stations de transports publics permet de l'atteindre. Les autorités publiques de rangs inférieurs doivent respecter cette directive. Il s'agit ici d'un principe et non d'actions concrètes de la part du gouvernement.
Aux Pays-Bas, en revanche, le gouvernement ne s'arrête pas aux principes généraux, mais organise lui-même le développement urbain selon des principes identiques à ceux des Britanniques. Le plan d'aménagement du territoire de 1991 ambitionne de dissuader l'usage de l'automobile, en particulier pour les déplacements domicile-travail.
Plusieurs moyens sont mis en uvre pour atteindre cet objectif. Outre des mesures de réglementation du stationnement, de péage urbain, une politique de localisation des "générateurs de déplacements" a été lancée : la politique de l'ABC. Elle consiste à "placer la bonne entreprise au bon endroit". Les différentes parties du territoire sont classées en trois catégories, en fonction de leur accessibilité :
* profil A : activités tertiaires ou équipements ayant beaucoup d'employés ou attirant de nombreux visiteurs, dont la localisation sera de type centre-ville, bénéficiant de tous les transports publics ;
* profil B : activités attirant moins de personnes, mais qui doivent rester accessibles par automobile (production, distribution), dont la localisation devra combiner une double desserte automobile et transports publics, plus loin des centres ;
* profil C : activités dépendant uniquement du transport routier, dont la localisation sera périphérique.
Une démarche partenariale a été engagée, non seulement avec la participation de différents ministères, mais aussi avec des acteurs privés. C'est ainsi un ensemble de mesures convergentes qui doivent concourir à ce projet.
Visitez la partie de forum sur les villes d'Amérique latine :
- Santiago de Chile : http://www.paris-skyscrapers.fr/forum/v … 35&p=2
- Mexico City : http://www.paris-skyscrapers.fr/forum/v … 34&p=2
- Buenos Aires - Quartier Puerto Madero: http://www.paris-skyscrapers.fr/forum/v … p?id=30854
CyberArchi 25-01-2007
Quai Est, un gratte-ciel pour Paris
Roman Ducrohet est un jeune architecte parisien qui, dans le cadre de son diplôme, a tenté de sortir la problématique des tours à Paris du cadre émotionnel habituel pour l'inscrire dans un cadre programmatique et raisonné. "L’objectif de ce projet de diplôme est de montrer que les immeubles hauts ont leur place dans le paysage de Paris", dit-il. Démonstration.
publié le 25/01/2007
En première analyse le secteur de Paris Est apparaît comme un lieu particulier aujourd’hui. Depuis les années 60, plusieurs expériences ont été menées pour tenter d’équilibrer l’ouest parisien avec l’est. En effet l’ouest possède beaucoup plus de monuments et surtout un grand quartier d’affaire, la Défense. Le choix de l’emplacement de la BNF fut le début de cette grande opération. La mise en œuvre de la Zac Bercy, le prolongement, et aujourd’hui la Zac Rive Gauche l’aboutissement.
Par ailleurs une étude sur les formes urbaines montre que l’implantation d’un immeuble haut nécessite plusieurs caractéristiques. A savoir, un réseau de transports efficace, un contexte urbain et économique dynamique, des infrastructures en place, un site à la hauteur du projet.
Dans ce contexte j’ai choisi comme site le quai de Bercy. Situé en bord de Seine, il est à mi-chemin entre la Zac Bercy et celle de Paris Rive Gauche. Ce site offre des qualités d’ensoleillement exceptionnelles, et une vue magnifique de Paris et des bords de Seine.
Le programme de Quai Est est constitué de manière à combler le déficit programmatique de la Zac Bercy d’une part, et aussi, d'autre part, de façon à équilibrer les différentes fonctions du bâtiment. En effet Quai Est est doté d’un programme mixte. La question de la mixité des programmes de cette typologie d’immeuble est une préoccupation qui tente de réintroduire la proximité au cœur de ces édifices, associé à la réflexion sur les économies d’énergies dans le bâtiment, qui introduit des espaces intermédiaires dans l’ouvrage. La mixité programmatique permet de créer des espaces naturellement ventilés, occasionnant de petits jardins ou des espaces de repos, qui sont organisés afin d’être des lieux de rencontre, d’échange, de communication.
Le parti pris architectural provient de l’idée selon laquelle des volumes contenant des fonctions différentes seraient assemblés sur une super structure en acier, ce qui idéalement pourrait les rendre évolutifs dans le temps. Il permet également d’aller à l’encontre des idées reçues à propos des tours. Les choix de conception mettent en valeur des espaces intérieurs horizontaux, longs, ainsi que des proportions variées et plus proches de l’échelle humaine.
C’est au cours du travail d’étude que la nécessité d’implanter une passerelle, entre le futur pole universitaire de Paris VII et les jardins de Bercy est apparue. En effet pour désenclaver le secteur du Court St Emillion (qui est un cul de sac) et pour desservir le quai (rendu inaccessible par les voies de circulation automobile) une infrastructure nouvelle s’imposait. Son design dialogue avec celui du gratte-ciel. Le tablier (exclusivement piéton) serpente autour d’une super poutre (395m de long pour 7m de haut) qui repose sur quatre appuis. Celui-ci traverse la structure, s’en écarte, monte légèrement puis descend un peu. Offrant des formes courbes, la passerelle apporte un contraste avec les formes plus rationnelles du gratte-ciel.
Roman Ducrohet
Programme :
Bureaux : 25.000m²
Logements : 10.000m²
Hôtel : 5.000m²
Restaurant : 1.000m²
Crèche : 2.000m²
Skygarden : 2.000m²
Sport Center : 5.000m²
Au cours de ce travail, plusieurs entretiens ont enrichis le projet. Je tiens à remercier particulièrement Paul Andreu, Christian Devilers, Philippe Bourgeois (Nexity).
http://www.cyberarchi.com/dossier/tours … icle=10592
PSS - Architecture, Urbanisme, Aménagement du territoire
City Forum - Ville 3D
~ Ah tu Voi c pour sa ke Seul les pti bonhomme du Baby on ldroi dShooT - Chandler Friends s06-ep06 ~
en tout cette tour de la porte de bercy ferait 50 000m², de plus elle parait assez massive, avec cette surface combien pourrait elle faire en hauteur sachant que des tours assez fines comme adria ou egée qui sont assez fines font 60 000m² pour 155m
ouvrez les prisons. licenciez l'armee.
pris sur le Figaro
Actualité | France
Quatre projets pour Paris
La mairie de Paris souhaite construire des immeubles de grande hauteur, tous situés en bordure du périphérique, pour créer des quartiers mixtes, alliant logements et zones économiques.
En 2003, les Parisiens se sont prononcés contre le projet de grandes tours dans la capitale. Le PLU (Plan local d’urbanisme) a pris en compte leur position, la hauteur maximum des immeubles restant ainsi fixée à 37 mètres. Mais aujourd’hui, le maire de Paris relance le débat. Il pense que cette limite peut s’avérer contraignante dans certains secteurs pour développer le logement, les équipements et les emplois. « Mais aucune hauteur limite n’a été décidée pour l’instant, assure le service Urbanisme. En fixer une arbitrairement n’aurait aucun sens. »
Pourquoi des grandes tours ? Pour quels besoins ? La mairie n’a pas engagé une réflexion uniquement basée autour du terme « tour ». La question de départ : sur quels sites le dépassement des 37 mètres constituerait un atout ? Avec ses 100 km2, Paris est toute petite. Or, ses besoins sont multiples. Le Code de la construction impose des contraintes en terme de sécurité pour les bâtiments dépassant les 50 mètres, avec notamment des charges plus élevées, y compris pour les résidents. « Mais pourquoi ne pas aller jusqu’à 50 mètres tout en ne dépassant pas cette limite ? », s’interroge la municipalité.
Les sites privilégiés. La Ville étudie en priorité 3 sites. Bercy Poniatowski d’abord, entre Paris et Charenton (12e arrondissement). « Nous voulons créer un quartier mixte. Notre logique est simple : nous construisons des espaces de bureaux le long du périphérique. Puis ces derniers protègeront des nuisances les nouvelles habitations situées plus en retrait. » Autre site envisagé, celui de la Porte de La Chapelle, qui nécessite la suppres sion d’un énorme nœud urbain, en modifiant l’échangeur routier. Le lien Paris-Saint-Denis sera de facto favorisé. Enfin, dans le quartier Massena (13e arrondissement), la mairie défend le projet d’implantation du TGI (tribunal de grande instance) de Paris. Un bémol toutefois : ces lieux pollués à proximité des autoroutes et des voies ferrées peuvent-ils rebuter les futurs résidents ? La mairie se veut volontariste, en souhaitant « montrer que ces sites sont au cœur de l’agglomération parisienne. Nous avons une vision urbaine métropolitaine, qui se traduit notamment avec le tramway. »
L’hypothèse Porte de Versailles. D’après les informations recueillies par Le Figaro.fr, le quartier de la Porte de Versailles pourrait aussi être réaménagé. « La zone du Parc des expositions mérite d’être renouvelée, pourquoi pas avec la création de hauts immeubles, dont la hauteur sera variable », confie un des membres du service Urbanisme. Quant au centre de la ville, il n’est pas concerné, car il représente l’histoire et le patrimoine parisien.
L'image de Paris sera-t-elle dénaturée ? A l’Hôtel de Ville, on assure vouloir « construire aujourd’hui le patrimoine de demain. Paris ne doit pas uniquement se tourner vers le passé. Cette phase de transition devra être réalisée harmonieusement. »
A quand les premiers coups de pioche ? Pas avant le début de la prochaine mandature, en 2008. « Casser » cette barre des 37 mètres nécessiterait une modification du PLU. Les architectes rendront leurs copies en mai 2007. Elles serviront alors à enrichir le débat électoral lors des prochaines élections municipales.
Faut-il construire de nouvelles tours à Paris ?
.
* OUI
*
*
*
* 38%
* NON
*
*
*
* 62%
La mairie de Paris envisage la construction de nouveaux immeubles de grande hauteur, notamment en bordure du périphérique. Cette politique urbaine est-elle justifiée ? A vous de juger.
Le vote est clos. 8 304 votants.
NON, répondent 62% des lecteurs-internautes du figaro.fr, il ne faut pas construire de nouvelles tours à Paris. Un score aussi élevé que le pourcentage de Parisiens qui avaient été interrogés, sur ce thème, par la Ville en 2003. Le maire de la capitale, Bertrand Delanoë, venait alors de décider que pour compenser la pénurie de foncier constructible, il faudrait autoriser un «geste architectural». Faisant fi du plafond de 37 mètres de hauteur, imposé par le plan local d’urbanisme.
«Le problème ne se pose pas en termes de hauteur mais d’insertion urbaine», précisent un certain nombre d’entre vous, dont Francis, qui souligne: «Si les quartiers des tours existants, comme Beaugrenelle, les Olympiades ou la place des fêtes, sont si décriés, c’est que les dalles et les souterrains coupe gorges les déconnectent de la rue».
Or, c’est là que le bât blesse. Pourquoi diable aller s’installer au milieu des échangeurs d’autoroutes et de voies ferrées ? Les trois sites à l’étude sont en effet situés aux portes de la Chapelle, de Bercy et d’Ivry, en bordure du périphérique. Pierre Mansat, adjoint (PCF) justifie: «Construire à la verticale se justifie là où il y a une ville à refaire». La moutarde monte au nez d’un lecteur-internaute qui a choisi ce condiment en guise de pseudonyme : «Des tours à proximité du périph’alors que le maire veut réduire le trafic sur ce dernier ! Schizophrénique ! Et l’on va défigurer le paysage parisien avec ça. Pourquoi ne pas envisager plutôt un nouveau quartier en banlieue type Défense 2?»
Tout en se défendant «d’ériger des dogmes», tel qu’il le recommande lui-même, Pierre s’oppose lui aussi à la construction de nouveaux gratte ciels. «Il faut éviter de reproduire des monstres incongrus comme la Tour Zamansky de Jussieu ou la Tour Montparnasse, qui ont été le fruit de l’indifférence et du laisser-aller». Certains plaident pour des édifices «en cohérence avec le style parisien, c’est-à-dire haussmannien». D’autres y voient en outre un facteur d’«isolement supplémentaire » de Paris vis-à-vis de sa banlieue. De plus, de telles constructions seraient «dégradantes» pour le paysage, estime Paul, «en contradiction avec l’environnement ».
Ces argument désolent 38% des lecteurs-internautes qui soutiennent, au contraire, les projets de tels édifices à Paname. «Toutes les grandes capitales ont des tours de grande hauteur, qui symbolisent la puissance et le dynamisme économique», affirme Georges. «Protégeons le patrimoine de Paris qui est l’un des plus riche au Monde mais encourageons la créativité», souligne encore Eugène. En outre, analyse Mykie, «Si on loge plus de monde à surface égale, près des lieux de travail, on gagne en coût et en nuisance». Et c’est peut-être aussi, comme beaucoup l’affirment, «la seule façon d’éviter l’étalement urbain dramatique pour la nature».
En même temps le lectorat du Figaro n'est pas assez large, ce sondage n'est pas représentatif de la population Parisienne. Des personnes de toute la France ont voté alors que les tours dans Paris ne concernent que les Parisiens. De plus, le lectorat du figaro est plutôt de droite libérale, cadre, riche (démontré par des études). Bref, les plus conservateurs.
Je trouve que l'emplacement en face la BNF, la porte de Bercy, à côté de Bercy expo, pas au milieu du Paris historique est un très bon emplacement. La tour peut être discutable, mais pas l'endroit où elle serait implantée.
Publicité