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Oui, la plupart des villes ont perdu des habitants (même si je crois qu'il s'agit encore cette année d'un réajustement).
Villeurbanne continue son petit bonhomme de chemin en gagnant plus de 3600 habitants. Lyon passe le cap des 10 000 hab/km².
En effet c'est un phénomène général, excepté pour Paris peut-être.
Pour Nantes, j'ai trouvé ces chiffres :
UU de Nantes 2008 : 584 683 2009 : 586 078 +1 395
CUN 2008 : 580 839 2009 : 582 159 +1 320
AU de Nantes 2008 : 854 807 2009 : 861 967 +7 160 +0,84%
Loire-Atlantique 2008 : 1 255 871 2009 : 1 266 358 +10 487 +0,84%
Le poids de l'unité urbaine de Nantes dans le département diminue petit à petit depuis 1999. A ceux qui en doutaient encore, cela montre bien l'importance de la notion d'aire urbaine.
Ma carte des opérations d'urbanisme sur le Nord-Vendée (12 pages) :
https://maps.google.fr/maps/ms?msid=203 … &msa=0
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Je mets ce lien posté sur un autre thread.
J'avoue que je ne savais pas trop où le mettre mais vu qu'il concerne le PIB/hab j'ai décidé de le placer dans la section démographie.
1. Paris : 80.528 euros
2. Saint-Quentin-en-Yvelines : 73.312 euros
3. Rennes : 54.748 euros
4. Evry : 53.568 euros
5. Toulouse : 50.864 euros
6. Marne-la-Vallée : 47.955 euros
7. Aix-en-Provence : 47.923 euros
8. Orléans : 46.355 euros
9. Bordeaux : 44.849 euros
10. Cannes : 43.344 euros
article complet ici
Merci pour le lien. Mais il s'agit quand même de comparer des carpes et des Lapin : ville de coeur d'agglo, commune de banlieue, agglomération de ville nouvelle, agglomération. N'en jetez plus.....
à St-Quentin-en-Yvelines il y a énormément de sièges sociaux d'entreprises nationales. Tout le CA réalisé par ces entreprises sur l'ensemble du territoire est affectée à la ville St-Quentin ?
je pense que l'effet siège social perturbe beaucoup trop ce classement. Par contre il reste surprenant de voir Rennes dans ce classement si bien placé et pas réputé pour accueillir le siège de grandes entreprises.
Le siège social d'Ubisoft est à … Rennes ! :) Mais ça ne semble être qu'une boîte aux lettres.
C'est le problème du PIB, basé sur les sièges sociaux et pas sur le déploiement réel d'une entreprise. Ça c'est le PNB.
À Évry, on a Accor et Carrefour.
xouxo : on a que des agglomérations, au sens administratif.
driving down your freeways …
http://www.insee.fr/fr/
Nouvelles données 2011
Oh yeaah !! Merci R.T !!
Principales informations :
INSEE a écrit:
Au 1er janvier 2012, 65,35 millions d’habitants peuplent la métropole et les départements d’outre-mer, hors Mayotte. En 2011, grâce à l’excédent des naissances sur les décès plus qu’au solde migratoire, la population a augmenté de 0,5 % (349 000 personnes), au même rythme que les années précédentes. Le nombre de naissances, estimé à 827 000, se maintient à un niveau élevé, mais est en léger repli par rapport au point haut de 2010. L’indicateur conjoncturel de fécondité est de 2,01 enfants par femme. L’âge moyen à l’accouchement continue de s’élever (30,1 ans). À la naissance, les femmes peuvent espérer vivre jusqu’à 84,8 ans en moyenne et les hommes 78,2 ans. L’espérance de vie s’allonge au même rythme que lors des années récentes, mais le nombre de décès augmente aussi (555 000 en 2011), du fait du vieillissement de la population.
Paris Sur la Seine allongé,
Paris. Senteurs, Saveurs,
Paris Sur la Scène.
Une étude de l'INED qui présente les évolutions démographiques croisées de la France et de l'Allemagne :
http://www.ined.fr/fichier/t_publicatio … f1_487.pdf
Quelques données sur la population et les naissances dans les régions françaises au cours du temps: 1875, 1905, 1936 et 2010.
Nombre de naissances:
Nombre de naissances en 1875:
- Rhône-Alpes : 92 687
- Ile-de-France : 84 747
- Bretagne : 76 034
- Nord-Pas-de-Calais : 74 957
- Midi-Pyrénées : 60 676
- Normandie : 59 467
- Alsace-Moselle : 54 775*
- Aquitaine : 53 961
- Pays de la Loire : 53 506
- Centre : 45 802
- Languedoc-Roussillon : 43 166
- Provence-Alpes-Côte d'Azur : 41 814
- Bourgogne : 40 060
- Auvergne : 39 614
- Picardie : 35 378
- Poitou-Charentes : 31 011
- Limousin : 27 825
- Lorraine (moins Moselle) : 26 714
- Franche-Comté : 24 054
- Corse : 8 260
FRANCE METROPOLITAINE: 1 002 156
*Alsace-Moselle: données de 1878
Ecart-type / naissances: 2,16% (l'écart moyen par rapport à la moyenne des naissances: plus l'écart-type est élevé, plus les naissances sont inégalement réparties selon les régions).
Nombre de naissances en 1905 :
- Île-de-France : 94.675
- Nord-Pas de Calais : 75.120
- Rhône-Alpes : 69.859
- Bretagne: 69.382
- Normandie : 53.020
- Alsace-Moselle: 52.318
- Pays de la Loire : 46.602
- Aquitaine : 42.180
- Provence-Alpes-Côte d'Azur : 38.462
- Midi-Pyrénées : 38.383
- Centre : 34.875
- Languedoc-Roussillon : 31.467
- Picardie: 30.832
- Bourgogne : 28.564
- Auvergne : 28.009
- Poitou-Charentes : 27.846
- Lorraine (moins Moselle) : 26.881
- Champagne-Ardenne : 23.644
- Limousin : 20.870
- Franche-Comté : 20.041
- Corse : 6.579
FRANCE MÉTROPOLITAINE : 859.609
Ecart-type / naissances: 2,50%
Nombre de naissances en 1936 :
- Île-de-France : 83 343
- Nord-Pas de Calais : 55 391
- Rhône-Alpes : 48 625
- Normandie : 42 851
- Bretagne: 41 686
- Pays de la Loire : 38 004
- Alsace: 32 639
- Aquitaine : 28 233
- Provence-Alpes-Côte d'Azur : 28 176
- Centre : 24 867
- Midi-Pyrénées : 24 337
- Picardie: 22 499
- Lorraine: 21 021
- Champagne-Ardenne : 19 402
- Bourgogne : 19 336
- Languedoc-Roussillon : 17 575
- Poitou-Charentes : 17 560
- Auvergne : 16 652
- Franche-Comté : 13 447
- Limousin : 9 421
- Corse : 3 100
FRANCE MÉTROPOLITAINE : 608 165
Ecart-type / naissances : 2,97%
Nombre de naissances en 2010 :
- Île-de-France : 184.525
- Rhône-Alpes : 82.674
- Provence-Alpes-Côte d'Azur : 59.724
- Nord-Pas de Calais: 56.467
- Pays de la Loire : 45.962
- Normandie : 40.568
- Bretagne: 37.143
- Aquitaine : 34.837
- Alsace : 34.377
- Midi-Pyrénées : 32.100
- Centre : 30.684
- Languedoc-Roussillon : 30.504
- Picardie : 25.105
- Poitou-Charentes : 18.812
- Bourgogne : 17.637
- Champagne-Ardenne : 16.041
- Lorraine : 14.811
- Franche-Comté : 14.527
- Auvergne : 14.149
- Limousin : 7.009
- Corse : 2.999
FRANCE MÉTROPOLITAINE : 800.655
Ecart-type / naissances : 4,82%
Part des naissances des 5 premières et 5 dernières régions dans le total des naissances:
1875:
- Rhône-Alpes : 9,2%
- Ile-de-France : 8,5%
- Bretagne : 7,6%
- Nord-Pas-de-Calais : 7,5%
- Midi-Pyrénées : 6,1%
[...]
- Poitou-Charentes : 3,1%
- Limousin : 2,8%
- Lorraine (moins Moselle) : 2,7%
- Franche-Comté : 2,4%
- Corse : 0,8%
Médiane: 4,31% (50% des régions au-dessus de cette part, 50% au-dessous; une baisse de la médiane signifie une concentration des naissances dans quelques régions).
1905:
- Ile-de-France : 11%
- Nord-Pas-de-Calais : 8,7%
- Rhône-Alpes : 8,1%
- Bretagne : 8,1%
- Normandie : 6,2%
[...]
- Lorraine (moins Moselle): 3,1%
- Champagne-Ardennes: 2,8%
- Limousin: 2,4%
- Franche-Comté: 2,3%
- Corse: 0,8%
Médiane: 4,1%
1936:
- Ile-de-France : 13,7%
- Nord-Pas-de-Calais : 9,1%
- Rhône-Alpes : 8%
- Normandie : 7%
- Bretagne : 6,9%
[...]
- Poitou-Charentes: 2,9%
- Auvergne: 2,7%
- Franche-Comté: 2,2%
- Limousin: 1,5%
- Corse: 0,5%
Médiane: 4%
2010:
- Ile-de-France : 23%
- Rhône-Alpes : 10,3%
- Provence-Alpes-Côte d'Azur: 7,5%
- Nord-Pas-de-Calais : 7,1%
- Pays de la Loire: 5,7%
[...]
- Champagne-Ardennes: 2%
- Franche-Comté: 1,8%
- Auvergne: 1,8%
- Limousin: 0,9%
- Corse: 0,4%
Médiane: 3,8%
Taux de natalité des 5 premières et 5 dernières régions (pour mille):
1875 :
- Alsace-Moselle: 35,9
- Nord-Pas-de-Calais: 32,4
- Bretagne: 31,6
- Corse: 31,4
- Limousin: 30
[...]
- Normandie: 23,3
- Picardie: 23,3
- Pays de la Loire: 22,9
- Champagne-Ardennes: 22,3
- Poitou-Charentes: 20,6
1905 :
- Alsace-Moselle: 28,8
- Bretagne: 26,8
- Nord-Pas-de-Calais: 25,8
- Corse: 22,6
- Lorraine: 21,9
[...]
- Auvergne: 18,7
- Aquitaine: 18,6
- Centre: 18,5
- Bourgogne: 17,8
- Midi-Pyrénées: 17,4
1936 :
- Normandie: 18,4
- Lorraine: 18
- Pays de la Loire: 17,6
- Bretagne: 17,4
- Nord-Pas-de-Calais: 17,3
[...]
- Poitou-Charentes: 12,2
- Limousin: 11,8
- Languedoc-Roussillon: 11,6
- Provence-Alpes-Côte d'Azur: 11
- Corse: 9,6
2010 :
- Ile-de-France: 15,6
- Nord-Pas-de-Calais: 14
- Rhône-Alpes: 13,3
- Picardie: 13,1
- Pays de la Loire: 12,9
[...]
- Bourgogne: 10,7
- Poitou-Charentes: 10,6
- Auvergne: 10,5
- Corse: 9,7
- Limousin: 9,4
Coefficient de corrélation entre l'évolution de la population et l'évolution du nombre des naissances entre 1875 et 2010:
- Nord-Pas-de-Calais: 0,49
- Alsace (+ Moselle pour 1875 et 1905): 0,40
- Pays de la Loire: 0,38
- Aquitaine: 0,38
- Picardie: 0,38
- Languedoc-Roussillon: 0,38
- Rhône-Alpes: 0,37
- Centre: 0,36
- Ile-de-France: 0,35
- Provence-Alpes-Côtes d'Azur: 0,35
- Midi-Pyrénées: 0,35
- Poitou-Charentes: 0,35
- Franche-Comté: 0,35
- Bretagne: 0,25
- Bourgogne: 0,21
- Normandie: 0,18
- Auvergne: 0,19
- Limousin: 0,18
- Lorraine: 0,08
- Champagne-Ardennes: -0,01
- Corse: -0,27
Ce coefficient de corrélation correspond à l'intensité de la liaison entre l'évolution de la population et l'évolution du nombre de naissances. Il est compris entre -1 et 1. Plus il se rapproche de 1, plus l'évolution est intense et positive (les deux variables évoluent dans le même sens). Ce coefficient est une piste pour mettre à jour la contribution de l'évolution des naissances à la croissance (ou la décroissance) de la population, mais n'indique pas de cause à effet.
Faits notables:
- La hausse de l'écart-type / naissances sur la période (2,16% en 1875 contre 4,82% en 2010) nous montre qu'une concentration des naissances s'est produite sur quelques régions (la baisse de la médiane nous dit la même chose).
- Cas de deux régions qui ont vu augmenter leur population considérablement et a fortiori le nombre de naissances: l'Ile-de-France et Provence-Alpes-Côte d'Azur. Cette hausse provient surtout de migrations, puisque ces régions ne se sont jamais distinguées par leur fort taux de natalité (sans pour autant être dans le bas du tableau), sauf pour l'Ile-de-France en 2010, qui est devenue la région la plus féconde du pays (renversement historique).
- Chaque région a son histoire démographique particulière: des régions rurales comme Midi-Pyrénées, Languedoc-Roussillon, Bourgogne, Auvergne, Limousin et dans une moindre mesure Rhône-Alpes ont vu leur poids (en populations et naissances) régresser à la fin du XIXème et au début du XXème siècle. D'autres régions rurales, comme la Normandie et la Bretagne, malgré un fort exode rural étaient au contraire des réservoirs à naissance et ont vu leur poids augmenter jusqu'en 1936. Après 1936, les régions rurales du centre et de l'ouest de la France ont continué à voir leur poids en naissances s'émousser (du fait d'un plus faible taux de natalité principalement), tandis que les régions du bassin méditerranéen et Rhône-Alpes voyaient leur nombre de naissances augmenter, sous la conjonction d'une hausse de la population (pour une large partie due aux migrations) ET d une érosion du taux de natalité moins forte qu'ailleurs
- L'Alsace-Moselle et le Nord-Pas-de-Calais se distinguaient par une surconfécondité importante et constante, du moins jusqu'à la seconde guerre mondiale pour l'Alsace. Le Nord-Pas-de-Calais est la seule région à être restée dans le top 5 des régions les plus fécondes sur toute la période.
euh pourquoi ils font encore "alsace-moselle" en 2010... ?
J'ai oublié de modifier pour 2010.
Très intéressant Nijal. Où l'on voit la très grande hétérogénéité des tendances démographiques, ce qui explique pour partie les changements de poids relatif de telle ou telle région par rapport à une autre sur le territoire et dans le temps.
Architecte et urbaniste, bref, citoyen !
"Polémique sur la nouvelle méthode de recensement de l'Insee"
Combien étions-nous d'habitants sur le sol français, en métropole et outre-mer, le 1er janvier 2012 ? 65,35 millions, indique l'Insee sur la page d'accueil de son site. 64,304 millions, semble contredire un décret du 27 décembre 2011, statuant que c'est ce "chiffre auquel il convient de se référer" au 1er janvier 2012. Il est tiré des données de... l'Insee et se trouve d'ailleurs sur le site de l'institut, un clic plus loin. Quel est le bon chiffre alors ? Les deux, mon général, répondent sans sourciller les statisticiens...
Elle soulève un vent de fronde chez les spécialistes que relayent certains élus locaux qui se perdent en conjecture en voyant la population de leur commune faire du yoyo...
Michèle Tribalat, démographe à l'Ined et donc grande consommatrice des données Insee, s'interroge: "Des redressements sont faits, mais je ne sais pas comment ils sont faits. C'est secret-défense."...
Benoît Hopquin
Excellent ces articles, y compris l'article Nice-Paris-Toulouse.
3 exemples de villes avec de grosses interrogations sur la méthode et ses implications.
J'ai toujours vraiment du mal avec l'INSEE concernant la démographie et ses méthodes de calculs. Alors bien sûr c'est très technique et compliqué à mettre en oeuvre ça je n'en doute pas mais quand on voit que parfois qu'il y a de gros écarts de population, et bien ça fausse les chiffres au jour J.
Exemple ma ville de Pacé a 5 km de Rennes qui s'est énormément développé depuis 10 ans avec un nouveau quartier de près de 4 000 habitants (la ville de 8 000 en 2005 à 10 500 aujourd'hui et à 12 000 à terme d'ici 2015).
L’INSEE a établi une estimation de la population pacéenne à 9 604 habitants au 1er janvier 2012 . Or, le recensement a été fait en janvier 2010 soit il y a 2 et demi et donc en réalité en javier 2012 la ville est plus proche des 10 500 que des 9 500. C'est énorme comme écart surtout quand une ville grandit en peu de temps.
Finalement, il y aura toujours des retards et ça ne donne aucun repère pour le démo-graphiste amateur que je suis. Je n'imagine pas le décalage qui doit exister pour le recensement toulousain (démographie forte)..
Vouloir plus pour Rennes, une ville sans rayonnement & renfermée sur elle-même.
Concernant les chiffres qui sont sortis et qui sont validés au 1/1/2012, ce sont les chiffres de 2009.
En fait il y a 3 ans de décalage entre le recensement et la sortie des chiffres.
On fait avec les chiffres disponibles, mais cette méthode est tout de même très bizarre et, je pense pas très fiable.
En tout cas personnellement depuis 1999, je n'ai jamais été recensé, et je connais même pas une personne qui l'ait été, ça fait quand même 12ans.
En fait ça fait même 13ans.
per tolosa totjorn mai
De même de mon côté je ne connais personne ni dans ma ville ni lors de mes déplacements qui l'ai été.
Et si on y réfléchit bien en 5 ans il y a théoriquement 40% de la population recensée dans les grandes villes, contre en théorie toujours 100% à chaque recensement quinquennal (même si les 5 ans n'étaient plus respectés certes). Alors bon ça coûtait cher mais beaucoup d'organismes et de collectivités continuent d'utiliser les chiffres de 1999 qu'ils considèrent comme plus réalistes et surtout plus sûrs, cette méthode a vraiment du mal à convaincre tout le monde !
Bonjour,
J'aurais besoin de votre aide , comment comprenez vous les chiffres de ce tableau:
http://www.insee.fr/fr/themes/tableau.a … poptc02107
Par exemple si on prend les 18-24 ans pour la Dordogne, le -327,2 correspond à quoi ?
Quel est le calcul à effectuer pour obtenir ce Taux de migration résidentielle ?
Je pense que ça veut dire qu'entre 2003 et 2008, sur 10 000 habitants de Dordogne, 327 entre 18 et 24 ans ont quitté la région (58 pour l'ensemble des habitants du départment). Si on divise par 100, on trouve: 3,27% de l'ensemble des habitants du département avaient entre 18 et 24 ans ET ont quitté le département.
Je ne pense pas que cela soit 327 personnes entre 18 et 24 ans qui aient quitté le département mais plutôt que dans cette tranche d'âge l'écart entre les arrivées et les départs est négatif de 327 personnes (sur un échantillon de 10 000 personnes cela est précisé).
Pour faire simple, il peut y avoir eu 200 arrivées mais 527 départs et on retrouve ce chiffre de -327 (sur un échantillon de 10 000 personnes).
Ma carte des opérations d'urbanisme sur le Nord-Vendée (12 pages) :
https://maps.google.fr/maps/ms?msid=203 … &msa=0
Ok,Merci pour votre aide à tous les 2 ;
par contre je suis un peu surpris par ces chiffres, je pensais le département de la Gironde très attractif, hors si on regarde ces chiffres, on se rend compte qu' hormis pour la classe d'âge des 18-24 ans, la Gironde arrive bon dernier pour son taux de migration résidentielle entre 2003 et 2008, surtout pour les 25-39 ans, le taux est seulement de 14,6 pour la gironde contre 259,7 pour les Landes, ça signifierait que le dynamisme de la Gironde est seulement dû au solde naturel et à l'arrivée massive de jeunes entre 18 et 24 ans qui vont à Bordeaux pour y faire leurs études ,
j'avais peut-être des clichés en tête mais je pensais que le département attirait surtout les trentenaires venus du nord et de région parisienne hors en fait ces arrivées compensent juste les départs vers d'autres départements des étudiants Bordelais qui ont finit leurs études...
http://www.insee.fr/fr/ppp/bases-de-don … e-2010.pdf
Selon ce lien, en regardant les tableaux de la 2eme partie, les zones d'emploi à avoir connu la plus forte croissance démographique relative de France entre 1999 et 2009 sont :
1) Clermont-l’HéraultLodève 2,38%/an (à l'ouest de Montpellier, commune desservie par l'autoroute)
2) Ajaccio 1,99 %
3) Agde-Pézenas +1,94% (au sud de Montpellier)
4) la Teste-de-Buch +1,92% (à l'ouest de Bordeaux, où j'étais en vacances cet été )
5) Challans avec +1,91%/an (au sud de Nantes)
On retrouve encore et toujours les régions littorales, ou bien celles situées près des grosses métropoles dynamiques françaises (ou même ces 2 paramètres conjugués).
Ma carte des opérations d'urbanisme sur le Nord-Vendée (12 pages) :
https://maps.google.fr/maps/ms?msid=203 … &msa=0
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