Val-d'Oise - Conseil Départemental et généralités (95)

Les programmes neufs

Franconville

Promoteur: Capri

Les Jardins Cassini

Dernière modification par tracky (03-02-2006 18:56:59)

Les programmes neufs

Sannois

Promoteur: Marignan
Nom: Castel Touzelin

Ah c'est bien, le val d'oise se densifie...
C'est en quelque sorte les nouveaux hlm version 21ème siècle

Argenteuil

Un incendie a eu lieu récemment dans les étages supérieurs du 6 square Paul Broca. Cette tour du Val d'Argent Sud (14 étages) est promise à la destruction mais est encore habitée actuellement.

Après deux ans de travaux, l’ancien établissement thermal d’Enghien-les-Bains a laissé place à un nouveau centre multi accueil. Il a ouvert le 16 octobre dernier. Près de 12000 m2 dédiés au bien-être font d’Enghien-les-Bains un pôle d’excellence. La structure devient le cœur du tout nouveau concept les Rives d’Enghien Lucien Barrière qui englobe la totalité des offres de la station. Entrez avec nous dans un monde de rêve, de santé, de loisirs et bien sûr... de bien-être !


Une nouvelle page de notre station touristique et thermale s’écrit avec la mise en service du nouveau centre multi-accueil. Née du thermalisme en 1850, la ville prend un nouvel élan avec la construction de ce centre ultra moderne dédié certes au thermalisme médical, mais également à la balnéothérapie ludique et au tourisme d’affaire. Relié aux deux hôtels par deux passerelles de verre, le bâtiment prend une place centrale dans ce qui devient “Les Rives d’Enghien Lucien Barrière”. Ce concept de “resort” signifie que les différentes composantses de la station : hôtels, casino, spark, thermal, théâtre et escale affaire, fonctionnent en synergie pour offrir une gamme de loisirs complète.

Une volonté forte de la municipalité
Cette renaissance thermale est une volonté forte de la municipalité. Après avoir initié, organisé et financé des recherches scientifiques, elle a, pour la première fois en 70 ans, investi 9 millions d’euros pour recréer l’intégralité de son circuit thermal : captages, canalisation et local technique des thermes. Elle s’est également dotée de moyens de surveillance des captages par le biais d’un réseau de piézomètres. Mais l’incontestable réussite de cette reprise en main de la commune est évidemment le centre multi-accueil, construit en partenariat avec le concessionnaire de la ville, le Groupe Barrière. La ville a financé 50 % de ce magnifique équipement soit 22 millions d’euros.


La nouveauté de ce centre vient de sa diversité
Le thermalisme médical est installé au rez-de-chaussée du bâtiment doté des équipements les plus modernes. Il comprend un espace ORL, un autre dédié aux enfants et une partie rhumatologie. Deux autres axes sont exploités au travers du spark et de l’espace affaire. Le spark développé sur 3500 m2 est dédié à la remise en forme, à la relaxation et au bien-être. Sur deux étages, vous trouverez tout ce qu’il vous faut pour votre détente et votre bien-être : salons de massages, salles de remise en forme dotées des appareils les plus récents, boutiques, restaurants, sauna, hammam, coiffeur... Le tout face au lac. Un lieu idéal pour recevoir des sportifs au plus haut niveau. Au troisième et dernier étage, deux exceptionnelles piscines vous attendent : la première à débordement est unique en Ile-de-France. La seconde est un véritable parcours aquatique fait de cascades, de jets et autres bains bouillonnants. Entre les deux bassins, un solarium de 150 m2 s’ouvre sur la ville et sur l’immensité du ciel et dans le prolongement vue sur la tour Eiffel.
L’espace affaire peut accueillir les entreprises et leurs séminaires. Salles de congrès et de réunion, modulables, équipés des moyens de communication les plus modernes font d’Enghien-les-Bains un lieu de destination idéale pour une escale affaires..

Dernière modification par Alvar Lavague (23-01-2007 21:57:57)

Un petit hors sujet

Le Val d'Oise, terre de tournage

400 films tournés depuis les années 1950
La situation du département à proximité de la capitale, la variété de ses paysages, la richesse monumentale de ses villes et de ses villages, le rendent très attractif auprès des productions françaises et internationales.

Un département sous les projecteurs

Au début des années 1950, la crise de l’immobilier et les frais de gestion des studios incitent leurs propriétaires à s’en débarrasser entre les mains de promoteurs. L’apparition, dans les mêmes années, des jeunes cinéastes de la Nouvelle vague qui privilégient le tournage en décors naturels et authentiques à la tradition des prises de vue en studio accompagnent ce mouvement. Favorisés par l’invention, aux Etats-Unis, d’une pellicule ultra-sensible qui permet de travailler en lumière naturelle sans un bataillon d’éclairagistes et de maquilleuses, les nouveaux réalisateurs découvrent la ville et la campagne.
Un tournage qui se déroule à moins de 50 kilomètres de la capitale évite à son producteur de devoir défrayer son équipe. La diversité des monuments et des paysages du Val d’Oise en font un territoire favorable au septième art. Vieux châteaux, villes modernes, anciens villages, abbayes, rivières, petites routes et autoroutes, caves médiévales, églises, hôtels et restaurants typiques, quais de Seine ou bords de l’Oise, il regorge de lieux attirants. Plus de 400 films y ont été réalisés, de La Vie passionnée de Vincent van Gogh (Vincente Minnelli, 1956) à Un long dimanche de fiançailles (Jean-Pierre Jeunet, 2004). Toujours en 2004, le Chinois Zhai Junjie a mis en scène une partie de Mon séjour en France au château de Théméricourt.
La mission images & cinéma aide les productions à trouver les lieux ad’hoc. Elle travaille avec l’Agence nationale pour l’emploi ou l’Evêché de Pontoise, d’une part  pour mieux faire connaître les professionnels du cinéma qui vivent dans le département, d’autre part pour valoriser les différents sites et . Depuis sa création, elle a suivi plus d’une vingtaine de réalisations, comme Ce jour là (Raoul Ruiz, 2003), à Argenteuil ; quatre films tournés en 2004 et 2005 viennent de sortir sur les écrans : La Naissance de la panthère rose à Magny-en-Vexin (Shawn Levy), Le Da Vinci Code au château de Villette (Ron Howard)  ; The Impressionists à Pontoise et Vétheuil (Tim Dunn) et  Les Aristos à L’Isle-Adam (Charlotte de Turkheim).

A Pontoise, la place de la Harengerie a accueilli l’équipe du film La Môme dédié à Edith Piaf et réalisé par Olivier Dahan. Il s’agissait de reconstituer une scène de l’enfance de cette grande dame de la chanson française avec Clotilde Courau dans le rôle de sa mère. A Théméricourt, la maison de Pierre Remund a été le théâtre du tournage de Mon Colonel, premier long métrage de Laurent Herbiet.

Les Visiteurs furent tournés en partie à Cergy ( La scène du Courtepaille). Ainsi que les Anges Gardiens, a l'eveché de Pontoise, à Ecouen et à Roissy. Navarro : les vues sur Paris reconstituée par maquette, le commissariat et bistrot de Ginou ont été reconstitués à Bezons.
Le chateau de villette est un lieu prisé pour les tournages : l'Allée du Roi (1996) de Nina COMPANEEZ, le Libertin  (2000) de Gabriel AGHION, Da vinci code bien sur, et Tintin et le mystère de la toison d'or (1961) de Jean-Jacques VIERNE. 

Vous pouvez trouver les lieux de tournages des films en France et dans le monde sur http://www.l2tc.com/index.php en recherchant par lieu, par film ou par réalisateur.

Dernière modification par Alvar Lavague (27-01-2007 20:47:06)

Mondor-Broca-Tarnier

Dans le quartier du Val Sud, les îlots Mondor-Broca-Tarnier constituent un ensemble de tours et de barres dense à la limite du tissu pavillonnaire d’après guerre, du cimetière communal et de l’hôpital. Deux voies majeures structurent le site : la RD 48 Nord-Sud et la RD 41 Est-Ouest.
Le secteur regroupe 423 logements, propriété du bailleur départemental Val d’Oise Habitat, répartis sur trois îlots :
  Mondor : 158 logements (1 barre, 2 tours) ;
  Broca : 212 logements (2 barres, 1 tour) ;
  Tarnier : 53 logements (1 barre).

Les espaces extérieurs, qui offrent 445 places de stationnement et des équipements de proximité (jeux pour enfants, terrain de sport), sont propriété de VOH. Des petits commerces sont installés en pied de la barre Broca face à l’hôpital.


  Diagnostic et principaux enjeux

Malgré une localisation favorable et une bonne desserte, ce secteur concentre de nombreuses difficultés sociales et urbaines :

ruptures de la trame viaire (voies de desserte interne / voies primaires) et voies surdimensionnées (RD 41 et RD 48) ;
grands îlots en rupture avec le tissu environnant, espaces extérieurs dégradés, non aménagés et non hiérarchisés ;
bâti haut et très dégradé posant d’importants problèmes de gestion, particulièrement les tours de 15 étages ;
climat social difficile avec regroupement dans les halls et sentiment d’insécurité, renforcé par un tissu associatif faiblement structuré et une présence insuffisante des services publics ;
mauvaise image et quartier stigmatisé.

La restructuration des îlots à travers la démolition des trois tours les plus dégradées et la hiérarchisation des espaces extérieurs permettra de répondre aux dysfonctionnements urbains dont souffre ce secteur.

La reconstruction d’une partie du parc de logements sur site apportera une nouvelle offre de logements et une diversification de l’habitat sur le secteur. Les difficultés que rencontrent de nombreuses familles, mais aussi la très faible vacance et la grande stabilité des ménages dans leur logement, demanderont, sur les questions de relogement, un travail d’accompagnement social très poussé de l’ensemble des partenaires.

source: http://www.ville-argenteuil.fr/

Sur le site de la ville, le grand projet de ville du Val d'Argenteuil (27 000 habitants, 30% de la population communale) est présenté en détails.

Plan des démolitions et reconstructions: http://www.ville-argenteuil.fr/article. … rticle=638

Dernière modification par tracky (24-07-2007 12:02:04)

Le Conseil général déplore le mauvais entretien de l'A 15


Le Président du Conseil général du Val d'Oise demande à l'Etat de faire face à ses responsabilités.

Depuis plusieurs mois, cet axe routier, véritable colonne vertébrale du Val d'Oise n'est plus éclairé la nuit. Entre le pont de Gennevilliers et Cergy, l'éclairage a totalement disparu.
"Le vol des câbles d'alimentation en cuivre peut justifier l'absence temporaire d'éclairage, mais ne saurait dispenser l'Etat d'assurer son devoir de sécurité et de confort d'un axe routier utilisé tous les jours par des milliers d'usagers et des milliers de Valdoisiens. Il conviendrait en conséquence que l'éclairage soit rétabli au plus vite", réagit François Scellier, le président du Conseil général dans un communiqué en date du 23 novembre [...].

http://www.vonews.fr/article_2140

Dernière modification par Alvar Lavague (25-11-2007 23:40:28)

Tu veux rire Toons ? L'A15 est une autoroute urbaine, une des plus accidentogène de France, où la circulation est presque toujours dense.
Si on veut faire écolo, il faudrait des panneaux solaires au dessus de chaque lampadaire, ce qui en plus règlerait le poblème des vols de cables...

Roissy : La contestation du projet Aéroville monte d’un cran
(21/02/2008 11:24)

« Non à l’Aéroville ! ». Un nouveau tract pétition, lancé par les associations Les Amis de la Terre du 95 et Environnement 93, contre le projet de centre commercial d’Aéroport de Paris circule. Les différents signataires expriment plusieurs craintes. « L’asphyxie par la circulation va se développer encore et le gigantisme aéroportuaire faire mourir nos villes » annoncent-il dans un communiqué.

Aéroville est un projet de 100.000 m² de centre commercial avec 5000 places de parking, sur des terres agricoles cultivées, au sud-ouest de Roissy. Contesté dès 2005 par le conseil régional et par certaines communes avoisinantes, ce projet suscite aujourd’hui de nouvelles craintes. Celles des commerçants des centres villes voisins tout d’abord. Selon le communiqué des Amis de la Terre du 95 et d’Environnement 93, « Une vingtaine d’associations de commerçants ont aussi réagi car ce projet va mettre en péril les commerces de nos villes (…) qui sont vitaux. »

[...]

http://www.vonews.fr/article_2633

Rénovation du quartier Galathée-Trois Communes (Deuil-la-Barre)

un renouvellement urbain exemplaire

La Galathée, un quartier défavorisé et isolé du reste de la Ville

Le quartier de la Galathée (4500 habitants environ, soit 20% de la population deuilloise), construit à l’extrémité sud-est de Deuil-la-Barre, il y a environ 30 ans et classé en Zone Urbaine Sensible en 1992, présente trois caractéristiques qui expliquent le processus apparemment irréversible des dégradations urbanistiques et sociales enclenchées depuis une quinzaine d’années et ce, en dépit de multiples mesures prises dans le cadre de la politique de la ville.

1ère caractéristique de quartier : son enclavement par rapport aux autres quartiers de Deuil-La-Barre et par rapport aux autres communes. Le quartier est enserré dans un réseau de voies de chemin de fer et bordé par une route départementale à grande circulation.  De plus, l’accès au centre ville, aux quartiers de La Barre ou d’Enghien est très difficile.

2e caractéristique : une densité excessive d’habitants dans sa partie centrale logeant dans des immeubles de mauvaise qualité. Ce surpeuplement est notamment lié à deux tours de 15 étages qui sont aujourd’hui fortement dégradées. Plusieurs immeubles ont, par ailleurs, mal vieilli. La mixité sociale qui caractérisait le quartier à son origine n’a pas résisté à cette mauvaise image. Les stigmates du surpeuplement (encombrement, mauvais entretien des voies) se remarquent de plus en plus.

Enfin, 3e caractéristique : le quartier est aujourd’hui voué quasi exclusivement à l’habitation.
[...]

Une Opération de Rénovation Urbaine pour dédensifier, désenclaver et restructurer

Le plan proposé par la commune et accepté par l’Agence Nationale a pour caractéristique de répondre à trois préoccupations majeures :


- la dédensification, qui résultera de la déconstruction de deux tours, de la création d’un parc à la place d’une des tours, de la démolition d’un parking silo à un carrefour particulièrement visible du quartier, et de la construction de petits immeubles à caractère locatif intermédiaire ou d’accession ;


- le désenclavement, qui se traduira notamment par l’engagement du Conseil Général sur les voies départementales qui entourent ce quartier et par l’humanisation de la D 928 dans le cadre d’un projet cohérent aux abords du quartier de la gare d’Epinay-Villetaneuse ;

- la restructuration urbaine du quartier, qui résultera de plusieurs opérations :
- la réhabilitation de plusieurs immeubles (le « château fort », le parking silo dit « du grand immeuble »),
- la création d’une nouvelle zone commerciale plus vaste et valorisante située, d’une part, sur une place urbaine marquant l’entrée du quartier (pour les commerces de proximité) et d’autre part pour une autre partie, au sud de la D 928 (commerces à destination d’ameublement, de vêtements, ou d’entretien) ;
- la création de locaux collectifs permettant le renforcement des fonctions sociales (locaux pour les associations, les services publics, salles pour la jeunesse...) ;
- et la restructuration de l’affectation des espaces collectifs avec une meilleure identification des espaces publics et des espaces privatifs.

Site officiel de la ville : http://www.mairie-deuillabarre.fr/conte … 17186.html

Dernière modification par tracky (21-04-2008 14:06:22)

toons a écrit:

Pourquoi on éclaire les autoroutes ? faudrait mieux demander aux belges .

Il me semble avoir vu un jour une explication : la Belgique étant un pays plat, ils n'ont pas de centrales hydro-électrique pour supporter les pics de consommation. Les centrales thermiques ou nucléaire ont une grande inertie et tournent toujours à fond. Comme on ne peut pas stocker l'électricité, autant s'en servir pour éclairer les routes la nuit.
Sans garantie que c'est vrai, je n'ai pas trouvé d'autres sources qui permettrait de confirmer/infirmer cette théorie.