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une voiture ? pour faire 5km en 2 heures ? Un vélo électrique pour moi ! :)
driving down your freeways …
wanchun a écrit:
Une seule solution : investir dans une voiture. Pour le reste, à moins que vous n'envisagiez de prendre votre retraite à 90 ans, je crois que ce n'est pas la peine d'y compter.
Tu sais, je suis déjà vieux, j'ai 30 ans... j'en aurai 45 en 2025, au moment de l'inauguration d'une mini-liaison entre Saint-Denis et La Défense (avec des quais de 55 mètres et un terminus définitif à LD).
Ca fait tout de même mal de se dire que Madrid peut concevoir et réaliser en 3 ans une ligne de 41 km, entièrement souterraine, avec 28 stations (avec quais de 115m), et qu'il nous faut 44 ans (2006-2050) pour faire quelque chose d'à peine plus ambitieux à Paris.
Si on ne sait vraiment pas faire mieux que ça, je vois mal comment Paris peut encore avoir un avenir. Sortons de nos frontières et ouvrons les yeux sur ce qui se passe partout ailleurs. Après tant d'années à vouloir espérer envers et contre tout, je crois avoir atteint mes limites. Effectivement, on est foutu dans tous les cas de figure.
PARIS BELONGS TO EVERYONE.
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Article du 3 décembre 2010
Grand Paris : Sarkozy cingle Delanoë
Mercredi dernier, le président de la République réunissait les élus UMP parisiens à l’Elysée, afin de faire un état des lieux sur le projet de Grand Paris. L’occasion de mobiliser la droite contre Bertrand Delanoë…
Les maires d’arrondissement et parlementaires UMP étaient réunis pour deviser sur les chantiers à venir du Grand Paris, en présence de Nicolas Sarkozy. Les Echos rapportent que le chef de l’Etat a tenu « des propos peu amènes à l’égard de Bertrand Delanoë, par ailleurs confronté en ce moment à une crise de mi-mandat ». Selon Philippe Goujon, patron de la fédération UMP de Paris, que cite le quotidien, Nicolas Sarkozy estime que le maire de Paris « n’a pas l’ambition qu’il faut pour Paris ».
Pas « intégré la dimension du Grand Paris »
Ses critiques se sont notamment cristallisées sur le projet d’aménagement des voies sur berges, cher à M. Delanoë, mais qui n’a pas, selon lui, « intégré la dimension du Grand Paris ». Les transports, au cœur du projet du Grand paris, ont par ailleurs été abordés par Nicolas Sarkozy, qui « a assuré les élus que les financements prévus – 4 milliards d’euros pour les transports et 1,8 milliard pour le plateau de Saclay – seraient au rendez-vous », explique le journal économique. Problème, un amendement qui vient d’être adopté par le Sénat, prévoit « d’étaler sur trois ans l’augmentation de 41% de la taxe sur les bureaux en Ile-de- France ». Ce qui risque d’affecter le financement de la SGP, à compter de l’année prochaine, conclut le quotidien.
http://www.lavieimmo.com/immobilier-sac … -9670.html
Pour moi le concept du grand Paris ça me fait pisser de rire à un point inimaginable, pour la bonne et simple raison qu'il n'y aura PAS de grand Paris.
On peut étendre les frontières de Paris jusqu'à Moscou, construire 40 000 km² de ligne de RER pour connecter X pôles de compétitions. On peut redéfinir ce qu'on veut sur la gouvernance du territoire et débattre de tout ça jusqu'à la saint glinglin : ça restera que du vent, des petites bricoles pour la population de l'IDF (si par miracle elle a pris connaissance du sujet entre temps).
La faute à quoi ? au fait qu'on néglige totalement l'aspect psychologique dans ce projet, chose qui est pourtant la plus importante.
On zappe totalement l'idée qu'aux yeux des banlieusards, Paris n'est qu'une forteresse innaccessible, un enclos à élites, quelque chose de brumeux qu'ils peuvent traverser ou y travailler, ils peuvent la sentir, la palper, mais ils ne peuvent se l'approprier.
Et inconsciemment, cela renvoi à une frustration identitaire, sociale.
Perso je rêve vraiment du jour ou on osera définir les axes du Grand Paris mais sous l'optique du subconscient des individus, de leur sens humains et indirectement sur la charge symbolique des choses. Et non plus sur des critères de rentabilité économique, géographique, écologique ou je ne sais quoi d'autre (qui in fine ne créera aucun sentiment d'appartenance à la capitale).
Si on avait pensé comme ça il y'a 40 ans, on aurait construits les gares, la banlieue, les barbelés (pardon le périphérique) de Paris de manière totalement différente et avec surement à la clef des gros bénéfices au point de vue du bien être de la population, de la délinquance et du dynamisme en générale.
Au final en me plaçant en tant qu'habitant ultra lambda de l'IDF, pour moi le Grand Paris commencera à exister quand le périphérique sera enfouit jusqu'à l’asthénosphère et quand le nom des communes de la petite couronne disparaîtrons au profit d'une cinquantaine de nouveaux arrondissements.
Au cas contraire, l'idée d'un vrai Grand Paris n'existera pas, sauf pour une poignée de politiciens et vous (c'est à dire pas grand monde).
Nous sommes plusieurs ici a largement partagé ton avis NyZen.
Le Grand Paris n'a de sens que s'il s'agit d'un projet institutionnel ayant pour but de donner à Paris et sa banlieue un Maire unique élu au suffrage universel et responsable devant l'ensemble de ses administrés.
On ne peut que louer l'initiative de l'Etat de réinvestir la capitale en proposant de financer un nouveau projet de transport. Cependant, appeler ce projet "Grand Paris" revient à détourner le sens profond de ce terme. Au final, en espérant que le projet commun Etat/Région finisse par se réaliser, il ne s'agira "que" d'une version un peu moins ambitieuse d'un deuxième plan Delouvrier.
On sait que le premier plan Delouvrier n'a lancé aucune dynamique d'intégration institutionnelle. Il me paraît totalement illusoire de croire que c'est par un projet de transport que l'on fera prendre conscience aux élus impliqués qu'ils ne représentent qu'une partie d'un ensemble partagé. Ils le savent déjà parfaitement.
PARIS BELONGS TO EVERYONE.
J'irais encore plus loin que vous dans le pessimisme : il n'y a pas que Paris qui est une forteresse au sein de l'agglomération. C'est toute la banlieue qui est une mosaïque de principautés quasi-ennemies, dont les maires sont fiers de vanter l'indépendance.
Voyez la difficulté qu'il y a à faire des intercommunalités entre deux villes voisines. Comptez les villes qui préfèrent payer l'amende pour non respect de la loi SRU. Voyez la concurrence entre villes pour attirer les équipement et les entreprises, ou l'inverse, comme par exemple Saint-Maur, qui bloque toute infrastructure passant sur son sol. Et que dire de département comme le Val de Marne dont l'exécutif passe tout son temps et consacre toute sa communication institutionnelle à combattre la politique du gouvernement et indirectement les villes de droite de son propre département ? Et les rivalités personnelles et politiques entre les élus du Sud et le Nord des Haut-de Seine ? Les recoupements incompréhensibles entre région et département sur le moindre chantier routier.
Bref, le grand Paris est mal parti, même sans Paris.
yb a écrit:
J'irais encore plus loin que vous dans le pessimisme :
Je crois que ça ne surprendra personne.
Un ouvrage qui vient de sortir à propos du Grand Paris.
"Le Grand Paris, premier conflit né de la décentralisation", par Marc Wiel, urbaniste
Marc Wiel analyse ici le dossier du Grand Paris comme un conflit entre des institutions, qu’il considère logique dans l’état actuel de la décentralisation en région parisienne. Pour comprendre le processus de la montée en puissance du conflit il propose une grille d’analyse qui combine l’histoire typiquement française de la centralisation, celle de l’urbanisme en France, et enfin l’évolution de la prise en compte des questions de déplacements depuis le grenelle de l’environnement.
Avec cette grille, il décortique les prises de positions des divers acteurs, les interprète et en conclut que dans l’actuel débat sur le choix entre les deux réseaux de transports en commun rapides (l’un proposé par l’Etat et l’autre par la Région), les véritables enjeux (sociaux, économiques, et environnementaux) concernés ne sont pas pris en compte.
Par ailleurs l’architecture institutionnelle actuelle qui répartit les compétences (de l’Etat aux communes en passant par la région et le département) est bien incapable de relever les défis correspondant à ces enjeux. Pour pouvoir sortir de cette situation qui handicape l’Île-de-France dans son développement comme les franciliens dans leur vie quotidienne, il suggère de donner la priorité à une réforme de la fiscalité locale qui permettrait de donner priorité à certaines politiques urbaines (en particulier foncière) et préparerait un nouveau fonctionnement entre des institutions rénovées et aux compétences redéfinies.
http://planningforparis.blogspot.com/20 … paris.html
^^Bon constant, mais solution pas à la hauteur. C'est bien plus qu'une réforme de la fiscalité locale qu'il faut.
Le problème dans ce pays c'est qu'on ne comprend plus l'importance des symboles (paradoxal pour un pays comme la France !). Je dirais qu'on a surtout besoin de créer le Grand Paris politique et administratif pour son côté symbolique, parce que c'est dans les têtes que les choses doivent changer avant tout.
Interview généraliste du maire de Paris, avec notamment un passage à la limite du fout*** de gueu** sur Paris Métropole
Delanoë: "Autolib’ s’exportera dans le monde entier"
Le maire de Paris revient pour leJDD.fr sur quelques gros dossiers parisiens qui marqueront 2011.
[...]Le problème, c’est qu’il y a plus de discours que d’actes, et surtout une culture très centralisatrice. Pendant ce temps-là, les élus locaux de gauche et de droite ont créé Paris Métropole ; 174 collectivités locales se sont rassemblées, avec la Région, au sein d’un syndicat commun. Elles travaillent ensemble, ont des projets partagés, avec trois priorités pour 2011: un plan d’habitat métropolitain, une vraie solidarité financière et des outils pour une gouvernance efficace. Les élus locaux parlent un peu moins et agissent beaucoup plus.[...]
Il faudrait savoir de quoi on parle au bout d'un moment : du Grand-Paris ou de l'Ile-de-France ?
Autant je m'étais mis en "petite" opposition avec certains forumeurs qui voulaient limiter le Grand-paris à la petite Couronne, autant je ne vois pas l'intérêt de repousser les limites du GP à toute l'IDF.
La limite idéale restant pour moi toute la partie urbanisée en continue de l'Ile-de-France.
Quand on fait le choix* de partir dans les franges rurales de l'IDF, c'est la plupart du temps pour bénéficier d'un certain cadre de vie dont il faut savoir accepter les inconvénients (offre en TC moins performante).
* je parle bien de choix car la plupart de ceux qui font ce choix c'est encore souvent afin de pouvoir bénéficier d'une maison particulière là où, en se rapprochant du centre, ils seraient en appartement pour le même coût.
Your rules really begin to allow me.
Autant dans une métropole comme celle de Rennes ou de Nantes, ça semble normal d'inclure des communes rurales, car elles accueillent de nouveaux habitants et leur population augmente beaucoup, autant pour la région parisienne ça semble plus difficile. Les communes rurales ont l'air vraiment endormies. Peut-être parce que la région n'attire pas beaucoup.
driving down your freeways …
De plus, inclure les communes rurales de l'IDF ne va absolument pas dans une logique de contrôle de l'espace, notamment du problème de l'étalement urbain que l'on cherche à endiguer (ainsi que de la densification du bâti que l'on cherche à promouvoir).
Arrivé à un moment il faut faire comprendre que le choix de vie de certains s'accompagne aussi de contraintes.
Your rules really begin to allow me.
Nouvelle étape dans la mise en place de la police du Grand Paris.
La police du Grand Paris se met en place
Les commissariats changent d'organisation pour s'adapter au "Grand Paris"
Les commissariats de l'agglomération parisienne -Paris et les trois départements de la petite couronne - adoptent officiellement une nouvelle organisation en interne, deuxième phase de la réforme du Grand Paris de la Police engagée il y a près d'un an et demi. [...]
http://paris-ile-de-france.france3.fr/i … 14194.html
Une note du ministère de l'intérieur accable Jean-Paul Huchon
Une note confidentielle de la direction des libertés publiques et des affaires juridiques du ministère de l'intérieur, que Le Monde s'est procurée, démonte la défense de Jean-Paul Huchon, menacé d'inéligibilité par le Conseil d'Etat.
[...]
Si M. Huchon perdait son mandat, la conclusion rapide de l'accord sur le Grand Paris entre lui et le gouvernement risquerait d'être compromise. En pleine négociation avec l'Etat, le patron de la région peine à convaincre toute sa majorité de gauche et écologiste de l'opportunité de conclure cet accord avec l'UMP avant les cantonales.
http://www.lemonde.fr/politique/article … 23448.html
^^Aïe, les choses s'assombrissent pour le dynamique président de notre région.
Il y a vraiment deux justices dans ce pays. Une pour les puissants, et une pour la France d'en bas comme vous et moi. Le délinquant de banlieue qui se fait sanctionner plein pot sera content d'apprendre que l'inéligibilité d'un élu est une sanction "disproportionnée" pour une infraction aux lois relatives au financement des campagnes électorales.
Le renvoi du dossier Huchon devant les Sages recommandé
Le Figaro
24 janvier 2011
Le rapporteur public du Conseil d'Etat a recommandé ce lundi le renvoi au Conseil constitutionnel de la question prioritaire de constitutionnalité présentée par les avocats du président de la région Ile-de-France. La décision définitive devrait être prise dans les prochains jours.
Le vent tourne pour Jean-Paul Huchon. Le rapporteur public du Conseil d'Etat, qui avait recommandé le 3 décembre une inéligibilité d'un an et une invalidation de son élection à la tête de la région Ile-de-France, a requis ce lundi le renvoi du dossier devant le Conseil constitutionnel. Pour assurer sa défense et gagner du temps, le socialiste, accusé par un militant UMP de ne pas avoir inclus le coût d'une campagne d'affichage en faveur des transports régionaux dans ses comptes de campagne, avait introduit une question prioritaire de constitutionnalité (QPC). Objectif : démontrer que l'automaticité ainsi que la lourdeur des sanctions visant le chef de l'exécutif régional sont «inconstitutionnelles».
Le rapporteur public, Edouard Geffray, a reconnu, en citant en exemple de précédents contentieux lors des législatives de 2007, que «l'inéligibilité peut revêtir un caractère disproportionné». A l'issue de l'audience devant les juges réunis en sous-sections, sa recommandation a été mise en délibéré. Le Conseil d'Etat devrait annoncer sa décision dans quelques jours. S'il était confirmé, le renvoi de la QPC devant le Conseil constitutionnel donnerait à Jean-Paul Huchon un délai supplémentaire d'environ trois mois, le temps que les Sages de la rue Montpensier se prononcent sur la question. Il obligerait en outre, selon la défense, le gouvernement à modifier la loi relative au financement des campagnes électorales et notamment les sanctions prévues, celle d'inéligibilité étant jugée «disproportionnée».
[...]
http://www.lefigaro.fr/politique/2011/0 … mmande.php
wanchun a écrit:
Il y a vraiment deux justices dans ce pays. Une pour les puissants, et une pour la France d'en bas comme vous et moi. Le délinquant de banlieue qui se fait sanctionner plein pot sera content d'apprendre que l'inéligibilité d'un élu est une sanction "disproportionnée" pour une infraction aux lois relatives au financement des campagnes électorales.
Incroyable oui... Paraitrait même que certains truquent leurs chiffres de campagne présidentielle et d'autres conservent leur poste de ministre après avoir été condamné par la justice.
Ainsi passe la gloire du monde...
Ce que je trouve tout aussi choquant.
wanchun a écrit:
Ce que je trouve tout aussi choquant.
On est d'accord... Par ailleurs, et puisque l'on parle de "politique politicienne" (ouvrez les guillemets, avec des lingettes sauce citron), d'aucuns mauvais esprits pourraient penser que la proportionnalité de la sanction envers Huchon serait facteur de son assentiment rapide à trouver un accord sur le Grand Paris... Ou comment arranger tout le monde par des petites magouilles à la "je te tiens, tu me tiens par les ..."
Non, je divague, cela ne se passe pas comme ça dans une démocratie digne de ce nom.
Ainsi passe la gloire du monde...
Au contraire, l'affaire a l'air d'embêter plutôt le gouvernement, puisque si Huchon saute, ça repousse d'autant un accord. Le(la) suivant(e) risque d'être encore moins facile, avec les Verts déchaînés derrière.
Une interview de Jean Paul Huchon tout simplement stupéfiante. Extrait:
Concernant l'affaire de votre campagne de 2010, pour laquelle un rapporteur du Conseil d'Etat recommande votre inégibilité, vous avez lancé une question prioritaire de constitutionnalité visant à prouver que "l'automaticité comme la lourdeur des sanctions appliquées au seul candidat tête de liste sont inconstitutionnelles"... Je comprends que vous reconnaissez votre faute, mais que vous n'acceptez pas la sanction. Quelle est, selon vous, la juste sanction ?
Jean-Paul Huchon : Je ne reconnais pas ma faute, car la jurisprudence en matière de campagne électorale a toujours été que les campagnes répétitives et récurrentes depuis plusieurs années ne faisaient pas problème.
Avez-vous déjà pris pendant un mois le RER de banlieue à Paris aux heures de pointe ? Et que pensez-vous donc du service ?
Jean-Paul Huchon : Bien sûr, je me rends régulièrement dans les RER, dont je connais bien le parcours. [...] Mon objectif, c'est qu'en 2016, c'est-à-dire demain, aucune rame du réseau SNCF n'ait plus de dix ans d'âge, alors qu'aujourd'hui on est plus près de trente-cinq à quarante ans.
Combien d'années faudra-t-il pour que le réseau de transport public soit dimensionné à la taille et à la population de l'Ile-de-France ?
...il nous faudra environ cinq à sept ans pour que le réseau soit performant.
Pourquoi accuser l'Etat d'inaction dans les transports alors que c'est lui qui a tout fait (autoroutes, RER) dans les années 70 ?
Jean-Paul Huchon : L'Etat, depuis les années 1970, a semble-t-il déserté le champs de l'investissement en matière de transport. La dernière grande réalisation, ce sont Eole et Météor, qui datent des années 90. Michel Rocard étant premier ministre et moi son directeur de cabinet. Depuis lors, l'Etat, unique actionnaire de la SNCF et de la RATP n'a pratiquement rien investi, et c'est seulement depuis que je préside le STIF que nous avons fait en quatre ans ce qui n'avait pas été fait depuis trente ans. Seulement, je ne préside le STIF que depuis 2006 et les transports sont des chantiers longs, lourds, techniques.
Que pensez-vous de l'élargissement de la ville de Paris à la petite couronne ? Le refus de l'UMP a été invoqué, pourquoi ne pas déposer une proposition de loi ?
Jean-Paul Huchon : Ce n'est pas une question institutionnelle, il ne faut pas mettre la charrue devant les bœufs.
Source : http://www.lemonde.fr/politique/article … 23448.html
^^A ça, surtout ne mettons pas la charrue du Grand Paris devant les bœufs de la région Île-de-France. Le conducteur des bœufs tient à garder le contrôle de l'équipage, quitte à lui faire faire du surplace.
Magritte serait fier.
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