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20 minutes, 23/11/2005
Les facs se fédérent pour un campus parisien
Cinq établissements supérieurs s’associent pour mieux faire face à la concurrence mondiale
Mercredi 23 novembre 2005
Première rentrée pour Paris Universitas. Cinq établissements de la capitale, les universités Sorbonne nouvelle, Dauphine, Pierre-et-Marie-Curie, l’Ecole normale supérieure de la rue d’Ulm et l’Ecole des hautes études en sciences sociales (Ehess) ont signé une convention qui les fédère, le 5 juillet dernier. [...]
Pauline Théveniaud
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Le Thread sur L'Université PARIS 7 - Denis Diderot
ZAC Paris Rive Gauche
https://www.pss-archi.eu/forum/viewtopic … turn=2#top
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comme si le problème de la compétitivité des universités françaises n'étaient une question de taille...
mais le vieil adage dit que la taille n'a pas d'importance!
Je suis mal placé pour parler du sujet, mais j'ai quand même mon expérience de l'université et... les diplômes sont bradés et les cours plus que rares, aucune sélection à l'entrée...
Quand l'université française ne fera plus sa sélection par le temps mais par les connaissances, on aura déjà fait un grand pas. Et ce n'est pas parlé de moyens ou de taille que de réaliser cela.
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C'est vrai ce que tu dis JP, même si ce n'est pas politiquement correct... Lorsque les chercheurs seront considérés comme fondamentaux pour le pays, également, mais on a le temps d'attendre...
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Un moyen "simple" de garder l'université accessible a tous sans pour autant accepter n'importe qui pourrait être un test de selection a l'entrée. En plus du Bac, une épreuve en rapport avec le cursus demandé par exemple, ou un exposé, etc, de manière a déjà virer pas mal de parasites.
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Metro Publié le 21-12-2006 07:45
Les facs franciliennes trop éparpillées
La Cour des comptes critique leur répartition géographique
La carte universitaire d’Ile-de-France serait néfaste pour le bon déroulement des études supérieures de 362 000 étudiants. [...]
Selon un rapport de la Cour des comptes rendu public hier, la trop grande diversité des formations (plus de 4 300) et la multiplication des sites universitaires (plus de 180) ne permettent d’offrir aux étudiants ni une bonne orientation, ni un service minimum lié à leurs études. [...]
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Permettez-moi de ne pas etre d'acord avec les propos tenus ci-dessous. Au reste, je métonne que l'on parle du contenu de l'Université, des ses diplomes et de son mode de sélection sur un site d'architecture et d'urbanisme, bref, de contenant.
Personnellement, je suis un adepte des Humanités ouvertes à tous parce que j'en ai moi-meme bénéficié (j'ai 2 DEA de socio et de philo alors que j'ai passé le bac avec "mention très médiocre" ) et parce que c'est un facteur de développement personnel et social.
Développement personnel car cela permet de se découvrir "en marchant" (des vocations et des talents peuvent se révéler sur le tard et dans la pratique) et d'accéder à des outils abstraits de compréhension des choses ET de créativité pour agir sur ces choses (qu'elles soient sociales, économiques, mathématiques, biologique ou ... architecturales), bref, pour ne pas rester prisonnier de la matière des faits et des phénomènes.
Développement social parce ça permet de hausser l'évolutivité (y compris l'employabilité comprise comme faculté de s'adapter à des situations professionnelles et des collectifs de travail différents) des personnes et donc de vitaliser toute un société.
Ceci dit, il est vrai que l'Université reste engoncée dans ses murs et dans ses oeillères liées à l'enseignement-recherche - personnelllement, j'ai été formé dès les premières années à faire enseignant-chercheur sans qu'on m'ait suggéré d'autres manières de valoriser ou d'utiliser ma formation - Je ne pense pas que ce soit un mal en soi (pour les raisons sus-citées), mais je crois qu'il serait intéressant de l'ouvrir non seulement vers l'entrepise (en évitant à tout prix que les contenu de l'enseignement soit rédigé par le secteur de l'entreprise) mais aussi vers l'associatif, la ville, l'économie alternative, etc. etc. Une recherche-enseignement vraiment forte et sure d'elle ne devrait pas avoir peur de cette perspective.
Voilà.
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Les Grands Moulins de Paris comme la Halle aux farines ont été réhabilitées.
PARIS-VII sort de la forteresse. En décidant de s'installer en bord de Seine, dans le nouveau quartier qui se développait à l'est de la Bibliothèque nationale, l'université entendait ne pas recréer un bloc monumental et isolé comme ce campus de Jussieu qu'elle allait quitter.
« Au contraire, la circulation des étudiants et des chercheurs devait contribuer à la richesse de la vie urbaine », explique François Montarras, le vice-président de l'établissement en charge de cet aménagement. Le nouveau campus se rêvait en « univer-cité » mêlé aux immeubles du quartier. Les trois premiers de cette collection de bâtiments sont donc inaugurés aujourd'hui et le quatrième doit s'achever en juin.
Surtout, pour éviter de donner une image monolithique de l'institution, chacun des édifices se distingue de ses voisins. « Il devait s'identifier par sa fonction mais aussi par son aspect architectural », note François Montarras. Des bâtiments à fort tempérament, Paris-VII en a déjà récupéré en décidant de conserver les Grands Moulins de Paris, construits à partir de 1917, et la longue Halle aux farines voisine, qui date des années 1940. Il fut aussi décidé que chaque pièce du dispositif, rénovée ou construite, serait attribuée à un architecte différent.
Pour satisfaire cette ambition, des concours furent lancés en 2000. La réhabilitation du bâtiment un brin solennel des Grands Moulins est l'oeuvre de Rudy Ricciotti. L'architecte a préservé son aspect « d'instrument du labeur qui s'est fait un visage haussmannien pour s'excuser d'être si urbain ». Il n'a donc pas touché à l'enveloppe, à quelques rares interventions près, comme les gracieuses résilles de béton qui ornent les fenêtres du campanile. En revanche, à la place de la minoterie et des silos sont en train de s'installer la bibliothèque qui a toujours fait défaut à l'université et des services administratifs, dont la présidence.
Deuxième étape en 2010
À côté, Nicolas Michelin a eu la délicate mission de transformer ce vaste entrepôt qu'était la Halle aux farines en locaux d'enseignement. L'architecte admet qu'il a « gavé » l'édifice avec treize amphithéâtres de 160 à 300 places et une cinquantaine de salles de cours. Une légère structure vitrée s'est amarrée en proue du paquebot de béton pour accueillir un restaurant universitaire.
À quelques pas de là, l'agence Chaix et Morel a construit un imposant bâtiment aux strictes lignes grises et brique pour abriter l'enseignement des sciences exactes. Un peu plus haut, François Chochon et Laurent Pierre sont en train d'achever un édifice à la silhouette délirante, avec ses pans coupés, qui sera dédié à l'enseignement des sciences de la nature et de la vie. Cette première phase, qui porte sur 108 000 m², s'achèvera en janvier prochain. Viendra alors une deuxième étape de 45 630 m² répartis sur quatre bâtiments, dont la livraison est prévue pour septembre 2010. Pour être encore plus ouverte sur la ville, l'université a imaginé d'installer des commerces et services dans les rez-de-chaussée de ses locaux ou de rendre utilisables, à l'avenir, certains de ses équipements par d'autres publics que les étudiants
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Interview de Benoît Eurin président de l'université. Il revient sur l’historique du projet et explique en quoi l’inauguration, point de départ de nombreuses perspectives d’avenir, revêt pour lui une importance particulière.
A quand remonte le projet de déménagement de l'université Paris 7 et quelles en sont les différentes étapes ?
Tout est lié à l'amiante présente sur le site de Jussieu. C'est un danger pour la santé, il a donc fallu songer à une rénovation complète du site. Il nous a été proposé une rénovation sur site occupé, impliquant de s'en aller provisoirement pour enlever l'amiante. Or en 1995, nous avons réalisé à Paris 7 que cette solution s'avérait extrêmement difficile à mettre en oeuvre, vu la densité de population fréquentant le site, et l'impossibilité de déménager provisoirement certains laboratoires expérimentaux. Fin 1996, le conseil d'administration de l'université a donc proposé de déménager définitivement dans le quartier Paris Rive Gauche et de libérer le site pour le désamiantage.
Mais comment une telle décision a-t-elle pu être acceptée ?
L'élément moteur a été, sous le gouvernement Jospin, le rôle du comité anti-amiante -dont certains membres faisaient partie de Paris 7 - qui a mené des actions devant le tribunal administratif et aussi au pénal. Les responsables politiques ont donc été mis face à leurs responsabilités, et sous la pression juridique, fin 2001, l'Etat a décidé de la construction de 110 000 m2 sur le site Rive gauche. 86 000 m² ont d'abord été construits de 2004 à 2006, et les travaux des 21 000 autres m², qui ont démarré en 2006, s'achèveront fin 2007. Trois mille mètres carré ont été retardés.
Où en est-on aujourd'hui au niveau des locaux et de leur occupation ?
Sur les premiers locaux mis en chantier en 2004, trois sont ouverts, le quatrième n'est pas terminé, il le sera à la fin de l'été. Pour le moment, les transferts sont en cours, les étudiants ont certains cours dans les nouveaux locaux et d'autres dans les anciens. Tous les occupants de Paris 7 à Jussieu seront sortis du site fin 2007. Les choses se font petit à petit. Une fois que la seconde partie des travaux sera achevée -les 45 000 m² restant, car il faut 150 000 m² en tout pour reloger Paris 7 - il faudra attendre la rentrée 2009 pour que l'université ait déménagé dans son intégralité. Pour ce qui est de l'occupation des locaux, il est difficile aujourd'hui de donner un chiffre précis. Mais une fois le site installé, c'est environ 20 000 personnes qui y passeront quotidiennement, les effectifs de l'université étant les suivants : 18 150 enseignants, 1 100 IAtoss, 26 000 étudiants, 600 personnels de recherche hébergés, venant du CNRS, de l'INSERM et du CEA.
L'inauguration d'une nouvelle université à Paris, surtout d'une telle ampleur, est un véritable événement. A quand remonte la dernière inauguration de ce type à Paris ?
Cela remonte aux années 1965-1972, avec l'ouverture de Jussieu. C'est le dernier ensemble universitaire d'importance qui ait été construit à Paris. Cela fait donc 40 ans, et il faut savoir que pour cette occasion, il n'y a pas eu d'inauguration !
Vous au contraire, vous avez souhaité marquer cet événement majeur. Pouvez-vous nous expliquer ce que vous avez prévu pour l'inauguration, et quels partenaires ont appuyé votre projet ?
Tout d'abord, est prévue une inauguration politique, officielle, qui aura lieu en présence du Premier ministre. Mais pas seulement : nous avons aussi choisi de faire une inauguration plus "festive". C'est dans ce cadre-là que nous avons fait appel à des partenaires pour accompagner notre projet. La CASDEN a répondu favorablement et nous en avons été absolument ravis, car cet établissement a une sorte de "lien sentimental" avec le monde de l'éducation. Elle nous a apporté -avec la MAIF et la MGEN- un soutien à la hauteur de nos espérances, et au nom de l'université, je les en remercie. L'objectif est bien évidemment de poursuivre une collaboration, au-delà de l'inauguration, et d'organiser ultérieurement d'autres événements communs.
Cette inauguration est-elle le point de départ d'un nouvel essor de votre université, en particulier pour la recherche ?
En effet, c'est pourquoi nous avons voulu fêter l'événement en grande pompe. Il est évident que des locaux neufs vont attirer davantage de bons chercheurs. Et certains pôles de recherche, en particulier en physique, ont été profondément repensés. Nous sommes une université pluridisciplinaire : la nouvelle configuration des lieux va également favoriser l'interaction des connaissances. Auparavant, la structure des UFR était éclatée, puisque nous avions dû quitter Jussieu et occuper divers locaux disséminés à Paris. Or ce ne sera plus le cas : pensez par exemple à la philosophie des sciences, avec des philosophes et des mathématiciens qui se côtoient...Et puis, ces nouveaux locaux sont aussi une chance de réellement se démarquer de Paris 6 : sur le campus de Jussieu, nous étions un peu cachés par cette université aux effectifs plus importants. Enfin, il ne faut pas oublier la dimension internationale : nous accueillons 22% d'étudiants étrangers, nous avons 180 accords avec les universités en Europe, 400 dans le monde entier, et des partenariats privilégiés avec la Chine, la Corée du Sud, l'Australie et les Etats-Unis. Les nouveaux locaux seront plus propices à accueillir les étudiants étrangers. Et à renforcer les partenariats : l'université de Chicago -5e université mondiale selon Shanghaï- a par exemple acheté des locaux mitoyens de notre nouveau site.
Avec cette inauguration, nous voulons montrer que l'université Paris 7 vit une "refondation".
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20 minutes 03/10/2007
« Révolution numérique » dans les facs
Le Conseil de Paris a voté hier un financement de 2 millions d'euros sur trois ans afin de permettre aux huit universités parisiennes de bénéficier d'une « révolution numérique ». Les cours seront mis en ligne. Paris-I disposera d'une plate-forme SMS pour les convocations et Paris-II proposera de visionner les cours en direct et à distance. Une carte multiservice permettra aux étudiants d'accéder aux restaurants et services universitaires, et de payer avec Moneo dans les parkings et piscines de la ville. La carte Imagine'R pourrait y être intégrée en 2008.
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A noter que dés cette année on peut utiliser la puce monéo de notre carte d'étudiant pour manger dans les resto U.
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Le quartier latin bouge-t-il encore ?
Quarante ans après 68, le centre intellectuel a du mal à garder ses esprits face à la flambée immobilière. Intellectuels, libraires et politiques, tous unis dans le même combat[...]
http://parisobs.nouvelobs.com/hebdo/par … core_.html
Garder le coeur au centre
Ils ne voient pas leur avenir ailleurs que dans le Quartier latin, même s'ils y sont à l'étroit. Question de prestige et de complémentarité avec les autres résidents.
«Paris doit absolument rester un grand centre universitaire et intellectuel. Il n'est pas bon pour un coeur de ville d'être amputé de ses facs. Prenez Orléans, les étudiants sont à l'extérieur et le centre est mort. Pour notre part, il n'est pas question de quitter la capitale; nous venons au contraire d'y acheter un des bâtiments où nous étions locataires pour un peu plus de 2 millions d'euros. La difficulté pour les facs d'acquérir de nouveaux locaux tient évidemment au coût mais aussi à la vétusté et à la mise aux normes de sécurité de nombre de bâtiments du centre. Nous avons lancé un grand programme de travaux au centre d'Assas. Il faudrait faire de la Sorbonne le haut lieu de la coopération des universités parisiennes avec une mise en commun des services techniques, de la gestion des équipements sportifs...»[...]
«Au moment où les universités de province reviennent en centre-ville, il serait impensable de ne pas défendre l'idée d'un centre intellectuel fort au coeur de Paris. Il en existe un d'ailleurs autour de la Sorbonne, l'ENS ou le Collège de France. Avec 130 000 mètres carrés répartis sur deux sites (montagne Sainte-Geneviève et boulevard Jourdan), l'école a encore les moyens de s'étendre. Nous allons réaliser un grand campus des Sciences sociales boulevard Jourdan (14e). Un gros budget a été débloqué par le dernier contrat de plan pour construire des bâtiments, y accueillir l'école d'économie de Paris et de nouvelles équipes de chercheurs.»[...]
http://parisobs.nouvelobs.com/hebdo/par … entre.html
De jussieu aux moulins
«Pour faire venir les chercheurs, une adresse parisienne est un vrai avantage», concède le président. Avec l'installation de Paris-Diderot dans les locaux rénovés des Grands-Moulins à proximité de l'école d'architecture du Val-de-Seine, une nouvelle image de l'université dans la ville émerge. «Une université ouverte était le meilleur choix pour une ville dense comme Paris», explique Guy Cousineau. «Ce qui n'exclut pas qu'un jour Paris-7 déborde au-delà du périphérique, sur la ville d'Ivry.»[...]
http://parisobs.nouvelobs.com/hebdo/par … ulins.html
De la montagne au plateau
Trois décennies pour que le «grand écosystème scientifique» annoncé en 1976 au moment du déménagement de l'Ecole polytechnique à Palaiseau (Essonne) commence vraiment à prendre forme. Et il faudra attendre 2010 pour que l'Ensae (Ecole nationale de la statistique et de l'administration) et l'Ensta (Ecole nationale supérieure des techniques avancées) rejoignent le grand centre «de matière grise» conçu dans les années 60.[...]
http://parisobs.nouvelobs.com/hebdo/par … ateau.html
Partir ? on s'en remet...
Le transfert de l'EHESS à Aubervilliers devrait être repoussé. Mais il aura bien lieu. D'autres institutions ont déjà quitté le Quartier latin ou franchi le périph. Sans drame.
Du 96 boulevard Raspail à Aubervilliers : le sursisLes photos de la «parcelle 521» ont circulé dans toute l'Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS), boulevard Raspail (6e).[...]Aucune décision n'est encore prise. Mais il se pourrait qu'une destination ait été trouvée à proximité de la porte de Choisy (13e), dans le Chinatown parisien. Les personnels de l'EHESS et de la Maison des sciences de l'Homme vont peut-être aussi bénéficier d'un délai de grâce pour faire leurs cartons[...]
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Les campus franciliens recalés
Sur les quinze dossiers déposés en Ile-de-France, pas un n'a été retenu mercredi par le jury d'opération Campus. Une décision que la Mairie de Paris juge « inconcevable ». Le plan, doté de cinq milliards d'euros, vise à rénover et à construire des campus universitaires. D'ici à juillet, sont invité0101010101s à retravailler leur copie en vue du deuxième tour : Saclay, Paris Nord-Est, Paris Centre et Créteil Marne-la-Vallée.[...]
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Perso, je trouve que les universités parisiennes sont très mal gérées, car elle sont répartis partout dans PARIS alors qu'il devraient soit construire des gros campus a la périphérie de paris ou tout regroupés dans un même site sur paris
Les universités parisiennes ne sont pas a la hauteur de leur réputation
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Facs: L'Ile-de-France oubliée
Zéro pointé pour les universités franciliennes. Sur les six projets en lice dans le cadre de "l'Opération Campus" mise en place par Valérie Pécresse, et dotée de cinq milliards d'euros de crédits, aucun n'a reçu l'aval du comité d'évaluation. Quatre restent toutefois en course pour "un repêchage" dont les résultats seront livrés le 11 juillet prochain. En attendant, les décisions des experts laissent les acteurs institutionnels locaux pour le moins sceptiques. [...]
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20 Minutes.fr 11/07/2008
Trois nouveaux projets universitaires lauréats du plan Campus
Valérie Pécresse a annoncé ce vendredi que trois nouveaux projets universitaires - «Aix-Marseille Université», «Condorcet Paris-Aubervilliers» et Campus de Saclay - allaient bénéficier de la deuxième vague du Plan Campus et qu'un quatrième lauréat serait choisi ultérieurement.[...]Pour Paris intra muros, où la situation immobilière est plus compliquée, une partie de la dotation du plan Campus sera «réservée et attribuée définitivement (... ) au vu des conclusions» d'une mission d'audit commandée par la ministre, selon le ministère. Deux grands ensembles avaient émergé: Quartier latin et Paris Centre. Pour Jean-Louis Missika, adjoint au maire en charge du dossier, «ce serait un scandale qu'aucun de ces projets ne soit retenu, la capitale étant le cœur de la vie universitaire du pays»[...]
http://www.20minutes.fr/article/241845/ … Campus.php
Le Monde 11.07.08
Trois nouvelles universités vont bénéficier de l'opération campus
[...]
* Le projet campus Condorcet Paris-Aubervilliers présenté par les universités Paris I, Paris VIII et Paris XIII, l'Ecole des hautes études en sciences sociales, l'Ecole pratique des hautes études, l'Ecole d'économie de Paris et l'Ecole des Chartes.
* Le projet du campus de Saclay, porté par 21 établissements d'enseignement supérieur et organismes de recherche du plateau.
* S'agissant de Paris intra-muros, le comité d'évaluation composé de 8 personnalités, n'a pas tranché entre, d'une part, le projet "campus Paris-Centre", porté par les universités Paris V et VII, Sciences Po, l'Observatoire de Paris, et l'IPGP, et "Paris campus Quartier latin" (porté par l'Alliance Paris Universitas (Université Paris II, III et IV, ENS Ulm et Collège de France). Le ministère explique dans un communiqué qu'"une partie de la dotation opération campus sera réservée et attribuée définitivement par le comité d'évaluation, au vu des conclusions de la mission d'audit. Cette mission a pour objectif de rendre le paysage universitaire parisien plus cohérent, notamment en proposant des solutions de regroupement des localisations universitaires sur un nombre de sites plus concentré, de manière à renforcer l'identité de chacune des universités"[...]
http://www.lemonde.fr/politique/article … 23448.html
Educpro 11.07.08
Opération Campus : Aubervilliers sort gagnant du trio parisien
[...]Après les six lauréats du premier tour, trois projets sur quatre seulement ont été sélectionnés par l’opération campus 2 : le PRES d’Aix-Marseille, les campus de Saclay et de Condorcet-Paris Aubervilliers. Sans surprise. La surprise est venue des projets de Paris intra-muros, retoqués faute d’un rassemblement (toujours) insuffisant. Valérie Pécresse leur laisse une dernière chance pour présenter un ultime projet d’ici à l’automne 2008 s'ils parviennent à construire le « quartier latin du XXIème siècle ». Autre condition : « saisir les opportunités avec les départs des établissements vers Saclay et Aubervilliers ». Une mission d’audit sur le patrimoine urbain, financier et scientifique des établissements parisiens est lancé par les ministères de l’Enseignement supérieur, des Finances et de l’Equipement. Les établissements parisiens qui ont choisi des projets ultra-périphériques ont en revanche tiré leur épingle du jeu. Zoom sur le projet d'Aubervilliers qui pourrait inspirer des regrets ou donner des idées à certains.[...]
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Le Parisien 11/07/08
Plan Campus : l'Ile-de-France touche le gros lot au rattrapage
[...]Avec le projet Condorcet-Aubervilliers se détachera, au nord de Paris, un pôle d'excellence «sciences humaines sociales». Il regroupera notamment Paris I, Paris VIII, Paris XIII et l'EHESS. Il s'agit du seul campus encore à construire, qui devrait accueillir ses premiers étudiants en 2012.
Avec le projet du «plateau de Saclay», au sud, se créera un pôle scientifique de niveau mondial regroupant 21 établissements parmi les plus prestigieux de France (Paris XI-Orsay, le Commissariat à l'énergie atomique, Polytechnique, Centrale Paris, Supélec, etc.)
Enfin, Valérie Pécresse a déclaré qu'elle souhaitait créer avec les universités du coeur de Paris «le Quartier Latin du XXIe siècle[...]
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Le Moniteur 24/07/09
Université : les deux premiers contrats de partenariats sont signés
Les deux premiers PPP «universitaires» ont été signés vendredi 24 juillet. Il s'agit de la rénovation de bâtiments et de nouvelles constructions sur les sites des universités Paris IV et Paris VII.[...]
http://www.lemoniteur.fr/131-etat-et-co … ont-signes
Batiactu 25/07/09
Bouygues désigné pour restructurer le centre universitaire de Clignancourt
Bouygues Bâtiment Ile-de-France et Exprimm, filiales de Bouygues Construction, viennent de remporter un contrat de partenariat avec l’université Paris-IV Sorbonne pour la restructuration du Centre de Clignancourt, situé dans le 18e arrondissement de Paris[...]
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Le Moniteur 16/09/09
Opération Campus: 700 millions pour les projets de Paris intra muros...
Le projet du plateau de Saclay (sud de Paris) va recevoir 850 millions, celui de Condorcet-Aubervilliers (nord de Paris) 700 millions, le campus de Lyon 575 millions, celui d'Aix-Marseille 500 millions, de Bordeaux 475 millions, de Grenoble 400 millions, de Strasbourg 375 millions, de Toulouse 350 millions et de Montpellier 325 millions[...]
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Le Monde 19/02/10
Le Grand Paris universitaire se dessine
Avec ses 300 000 étudiants et ses milliers d'universitaires, Paris est le haut lieu de l'enseignement supérieur français. Une position éclatée en vingt-cinq établissements publics, installés eux-mêmes sur 130 sites à travers la capitale, et dont une partie est en très mauvais état.
Pour remédier à cette situation, "l'Etat est désormais prêt à lancer la réorganisation universitaire parisienne", annonce au Monde Valérie Pécresse, la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, en s'appuyant sur l'"Opération campus" de rénovation universitaire. [...]
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micou a écrit:
Le Campus Condorcet de Plaine Commune verra le jour
La Ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche a fait l'annonce d'une dotation en capital d'un montant de 450 M€ à la Fondation du Campus Condorcet afin de permettre une réalisation rapide sous forme de partenariat public-privé de ce campus universitaire qui doit voir le jour en 2012 sur la Plaine et porte de la Chapelle. Ce pôle d'excellence en sciences de l'Homme accueillera 12 000 étudiants sur 130 000 m².
[...]
http://www.lemoniteur.fr/133-amenagemen … ra-le-jourLe Moniteur, 8/09/2009
Le Monde, 3/06/2010
Un nouveau "quartier latin" va naître sur les friches industrielles du nord de Paris
Il faudra attendre encore quelques années les bâtiments, mais une conférence sur le "campus dans la ville", à Aubervilliers, jeudi 3 juin, doit donner un coup d'envoi symbolique du projet de "campus Condorcet".
[...]
http://www.lemonde.fr/societe/article/2 … _3224.html
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Préfiguration du campus Condorcet à Aubervilliers
(...)
Esquisses et réflexions en vue de la préfiguration du campus Condorcet "Cité des Humanités et des Sciences Sociales" à Aubervilliers.
(...)
© Lipsky+Rollet
© Lipsky+Rollet
© Lipsky+Rollet
© Lipsky+Rollet
http://www.lipsky-rollet.com/projet.php … Ddugenre=4
Dernière modification par micou (03-06-2010 23:19:01)
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Université Paris IV-Sorbonne - Site Clignancourt
Architectes : GPAA - Gaëlle Péneau Architectes Associés
Le Parisien, 14/07/2010
Un nouveau campus porte de Clignancourt
Huit amphithéâtres, une bibliothèque, un complexe sportif : les étudiants de Paris-IV bénéficieront de nouveaux équipements dans le XVIIIe. Première livraison à la rentrée 2011.
[...]
http://www.leparisien.fr/paris-75/un-no … 000158.php
Dernière modification par micou (23-07-2010 14:57:44)
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Pourquoi, à chaque fois que je regarde de nouveaux rendus, ai-je l'impression d'avoir vu 15 fois le même projet ?
Je sais bien que l'originalité ne paye pas mais...
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