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SUCCÈS
Décathlon : le trentenaire nordiste joue la carte des marquesCréation des Kalenji et Artengo, transformation de Décathlon Cycles en B’Twin, installation du siège international de Domyos à Marcq-en-Baroeul et de celui de Geologic à Sestas, en Gironde : les marques du groupe Décathlon font parler d’elles.
PAR BENOÎT DESEURE economie@lavoixdunord.fr
PHOTO « LA VOIX »
Décathlon, la chaîne de distribution va bien, merci. Après l’ouverture de son premier magasin à Moscou (le plus grand du groupe avec Campus Villeneuve-d’Ascq), le groupe né en 1976 à Englos prépare son arrivée à Pékin. À tout juste 30 ans, le réseau compte désormais 360 magasins, dont 135 à l’étranger et se développe au rythme d’une trentaine d’ouvertures par an.
Décathlon, c’est aussi des marques propres, qui pèsent un peu plus de 50 % du chiffre d’affaires des magasins. Ce, depuis dix ans. « Attention, nous ne sommes pas une marque-distributeur, de simples “colleurs d’étiquettes”, explique un designer de Tribord, la marque de sports d’eau créée en 1996. Nous élaborons nos propres produits ».
À coup de griffes
Ces marques-passion (c’est ainsi qu’on les appelle chez Décathlon) continuent de se développer et suivent le chemin tracé par les deux premières, Quechua (montagne) et Tribord. Avec une particularité propre au groupe villeneuvois : « Nous ne rachetons pas de marques, alors que nous avons face à nous des marques centenaires, comme Adidas, Salomon ou Rossignol ». Kipsta, Fouganza, Geologic, Inesis… au total aujourd’hui, une douzaine de griffes ont été créées. Avec trois petites dernières : Kalenji il y a un an (pour la course à pied), Artengo (sports de raquette) et, tout récemment, B’Twin qui est devenue la marque cycles. « Jusqu’à présent, nos vélos s’appelaient Décathlon Cycles. Nous avons pris le nom de B’Twin, car il s’agit du vélo le plus vendu en Europe depuis 2001. Et c’est une dénomination internationale ». Des baptêmes opérés en toute discrétion : « Nous ne communiquons pas tant que, dans les magasins, la majorité des produits n’est pas à la marque ». D’autres marques seraient à l’étude. On parle ainsi d’une naissance dans le domaine de la glisse urbaine (roller, skate, etc.) L’étape suivante, c’est aussi la coupure du cordon ombilical avec le siège du groupe, à Villeneuve-d’Ascq. Après Quechua, parti dans les Alpes, et Tribord, dont le siège est désormais à Hendaye (Pays basque), Domyos, la marque fitness, a annoncé la construction de son siège international à Marcq-en-Baroeul en 2007. Et Geologic (chasse et pêche) part à Sestas, en Gironde. « On n’éloignera pas ce qui ne mérite pas d’être éloigné », assure-t-on à Campus, où l’on reconnaît être en phase de recherche active de terrains : « Tout pourrait aller assez vite. » •
@PaulH : c'est super ambitieux ce projet, 30 000 emplois ? c'est énorme; je serai vraiment curieux de voir comment ça va se concretiser (si ça se concretise). Lille dispose de pas mal d'atouts notament en terme de distance par rapport a des monstres du business comme Paris Londres et Bruxelles. L'implantation d'un tel pôle(H? ok c'est pas drôle ) pourrait bien justifier en effet un seconde gare TGV... mais j'espere pas trop proche de l'aéroport personellement.
Sur quoi ce base le journaliste pour écrire cet article au fait ? sur une étude ? un projet dans un tiroir quelconque ? un rêve de politicien megalo ? ou ses propres suppositions apres tout...
Pff...
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Phil a écrit:
L'implantation d'un tel pôle(H? ok c'est pas drôle
)
Si si .. moi j'ai aimé, fallait pouvoir la placer celle-là
Voici le pdf de la CCI qui parle de ce pôle, tiré de face magazine du mois de mars 2006.
http://www.lille-entreprises.com/face/b … torial.pdf
ca fait rever, tres bel exposé ee somme toute tres logique!
Dit comme cela, c'est une évidence de placer le stade à cet endroit de la métropôle et on serait prêt à attendre le temps nécesaire, mais la LMCU en a decidé autrement en optant pour l'implantation lezennes.
Mauroy est tres visionnaire et ne se trompe que rarement! il faut lui faire confiance et aller de l'avant car ils proposent une vision vraiment encourageante et pleine d'ambition de la métropôle!
ET UN FUTUR GEANT EST NE.........................
(Extraits)
INVENTION
Le son révolutionnaire d’Atao va se faire entendre
Grâce à l’invention d’une entreprise lilloise, notre perception du son s’enrichit. Au-delà de la musique, c’est peut-être notre quotidien qui sera chamboulé, de la prothèse auditive à la sonorisation des stades.
PAR YANNICK BOUCHER
economie@lavoixdunord.fr PHOTO CHRISTOPHE LEFEBVRE
(...)
L’opus à l’oreille
La démonstration est bluffante. Dolby joue la puissance, Atao cible la résonance. « Tout le monde est estomaqué par le résultat !
», plaide celui qui, notaire pendant dix ans, n’aurait jamais imaginé entrer en pourparlers avec des fabricants d’enceintes comme Sony ou Pioneer sur une technologie bien éloignée de la gestion de patrimoine… Atao découpe le signal sonore émis par la membrane de l’enceinte. Plus besoin de puissance pour restituer un son parfait, quel que soit le volume. Le système lillois est « bioacoustique », en « totale harmonie avec la physiologie humaine » : le signal sonore est directement perçu par l’oreille interne. Une vraie révolution sans faire de bruit, mais – faute de moyens – avec l’intelligence du placement : Atao pose son nom sur des voiliers de grande course et pulvérise son taux de notoriété. Les enceintes maison existent depuis septembre 2005 et ont généré 65 000 E de chiffre d’affaires. Ce sera huit fois plus cette année, avec des perspectives séduisantes. Fini, les nuisances auditives de voisinage. Les boîtes de nuit feront un moindre vacarme pour l’extérieur en gardant le même volume à l’intérieur : le son Atao perce moins les murs. En voiture, le son se propage, on entend aussi bien les fenêtres ouvertes.
Comme dans les églises ou toutes les salles estimées irrécupérables sur le plan acoustique. L’écho est presque supprimé, c’est notre perception du son qui augmente. La nature étant bien faite, autant lui faire dicter ses lois trop souvent négligées par la tradition technologique. •
Extraits de l'article:
CONCEPT
Les idées lumineuses de Stéphane Domzalski
Un vase orné d’un bouquet de fleurs, c’est joli. Mais quand le vase est lumineux, c’est encore mieux. C’est l’idée qu’a eu Stéphane Domzalski il y a quelques années. Une idée qui en a amené d’autres et qui a permis la création de Lumidomi, à Roubaix.
PAR VALÉRIE SAUVAGE
(...)
En 2003, Stéphane Domzalski crée Lumidomi à partir d’un concept : le vase lumineux sans fil. Il le met au point avec l’Institut supérieur de design de Valenciennes. « Comment on illumine une table aujourd’hui ? Avec une bougie ? C’est un peu désuet… Et avec notre vase, il n’y a pas de risque. » En trois mois, le modèle est référencé chez une soixantaine d’enseignes clientes. « On peut y mettre des fleurs, des poissons, tout ce qu’on veut… Le poser sur sa table, à l’extérieur… » Il coûte entre 19 et 30 E . « C’est un produit nouveau qui a connu un certain succès. » Quelques mois plus tard, il crée des boules de Noël lumineuses, et toujours sans fil. Selon les modèles, elles clignotent ou changent progressivement de couleur, pendant 100 000 heures : « C’est un procédé breveté ! Nous sommes les seuls à pouvoir faire ça.
» Des idées comme celles-là, Stéphane Domzalski en a encore. « Nous en avons pour les six ans à venir !
», lance-t-il sans rien dévoiler.
Aujourd’hui, les articles estampillés Lumidomi, ou Désilight pour les grandes surfaces, sont référencés dans des boutiques de cadeaux, d’arts de la table, chez des fleuristes mais aussi dans les enseignes de la grande distribution. Et puis Stéphane Domzalski n’est plus seul chez Lumidomi. Un associé, Laurent Pollefoort, l’a rejoint. Et il espère recruter bientôt une assistante de direction ainsi qu’une petite équipe dévolue à la distribution des produits Lumidomi à l’étranger. Car après la Belgique et le Luxembourg, l’entrepreneur voit plus loin. « Le démarrage a été un peu dur mais aujourd’hui, on commence à sortir des bénéfices. Quand on y croit, on y arrive. » •
Lumidomi, 49, rue de la Mackellerie, 59 100 Roubaix
. Site Internet : www.lumidomi.com. Tel. 03 20 91 62 56
Centres commerciaux, le lifting général!
Presque tous les centres commerciaux de la métropole ont subit récemment ou sont en train de subir ou subiront bientôt de grandes extensions/restructurations, petit listing:
-V2 (Auchan): Restructuration, modernisation, agrandissement de la plateforme supérieure du parking, réorganisation du plan de circulation, arrivée de grandes enseignes comme H&M (sur 2 étages) et bientôt construction d'un centre de loisir incluant un multiplexe UGC (12 salles) et différents commerces et restaurants sur 27.000 m2.
-Englos (Auchan): modernisation et extension avec 40 nouvelles boutiques dont Zara.
-Lomme (Carrefour): doublement de la surface de Ikéa, construction d'une plateforme sur le parking entre la galerie marchande et Ikéa (680 places supplémentaires), ouverture du coté de kinepolis d'une série d'enseignes dont PicWic et Starship Laser.
-Wasquehal (Carrefour): extension importante, ouverture de nombreuses enseignes commerciales et de restauration (et un McDo de plus dans la métropole, un!)
-Euralille (Carrefour): bientôt l'aménagement de la nouvelle entrée, avec, à en croire les rendus, une extension.
Born and raised in the blue banana.
Bonjours je voudrais savoir si l'agrandissement de ikea lomme est deja realiser?...car le parking et picwik/intersport oui...merci pour les futur info!
Ah oui, ça fait bien un an je pense!
Born and raised in the blue banana.
Ils en parlent en quelques mots dans Face (téléchargeable sur le site de la CCI je crois) dans un article sur Axe Europe, mais pas de date, ils parlent en revanche d'une "nouvelle aile" du CCial, sans plus de précision malheureusement...
Born and raised in the blue banana.
La Voix du Nord, 13.09.06 (Extraits)
SALON
Le tourisme d’affaires, une manne qui ne demande qu’à être exploitée
Pratiquement inexistant il y a dix ans, le tourisme d’affaires se développe dans la région. Pour preuve, la troisième édition de Pro-Sem, le Salon européen du tourisme d’affaires, de l’événement et de la communication.
PAR MARIE BERNARDEAU
economie@lavoixdunord.fr PHOTO KARINE DELMAS
(...)
Bientôt Cologne et Amsterdam
Pour accueillir les milliers de cols blancs qui déferlent chaque année et profiter de cette manne économique, le parc hôtelier de la métropole s’est agrandi, des lieux de séminaire se sont construits. Et ça marche. Pour preuve, la présence hier à Lille au Salon du tourisme d’affaires Pro-Sem de Patricia Forgeon, de l’entreprise canadienne d’événementiel Planet France. Informée par l’Internet, elle a traversé l’Atlantique pour se rendre au Pro-Sem.
(...)
Une raison à cette tendance générale : « Lille est devenue le carrefour de l’Europe », comme aime à le préciser Daniel Beaussart, organisateur de Pro-Sem. À une heure de Paris, à trente-huit minutes de Bruxelles, Lille va se rapprocher de Cologne (joignable en 2 h 15 l’année prochaine) et d’Amsterdam (en 2 h 10). Et d’autres infrastructures se développent, à l’image du casino de Dunkerque et de son tout nouveau palais des congrès.
Investisseurs privés et collectivités tentent d’imposer Lille comme destination de choix, avec une seule idée en tête : sur dix congressistes satisfaits, trois reviennent en famille. De quoi faire les beaux jours du tourisme classique. •
EN CHIFFRES
• 62,9
C’est la part, en pourcentage, que représente la clientèle d’affaires dans l’activité hôtelière à Lille Métropole. C’était 51 % en 1998.
• 2
En jours, le séjour moyen des « touristes d’affaires ».
• 1 059 500
Nombre de nuitées d’affaires depuis le mois de mai dans la région Nord - Pas-de-Calais. C’est 6,3 % de plus qu’à la même époque l’an dernier.
• 20
Emplois à temps plein sur l’année. C’est ce qu’engendre un congrès de deux mille participants, qui injecte 1,5 million d’euros dans l’économie locale.
• 156
Le nombre de congrès internationaux prévus à Lille Grand Palais en 2007. En 2005, après dix ans d’existence, Lille Grand Palais est l’un des rares palais des congrès en France à être bénéficiaire, générant 900 000 visiteurs et 125 000 nuitées par an.
• 68
Hôtels de la métropole lilloise spécialisés dans le tourisme d’affaires. Mais seuls dix-huit allient restaurants, service business complet et salles de réunion.
« L’offre reste insuffisante »
Pour Daniel Beaussart, l’organisateur de Pro-Sem, des efforts restent à faire dans la région en termes de quantité et de qualité de l’accueil du tourisme d’affaires. « Situé entre Paris et Bruxelles, Lille ne peut pas se permettre de ne pas être à la hauteur », affirme Daniel Beaussart.
L’organisateur du Salon du tourisme d’affaires qui prend fin ce soir à Lille Grand Palais se veut très exigeant quant aux offres faites aux entreprises. « Dans la région tout est possible. Les congressistes peuvent faire du rafting, de la balnéothérapie. Tout est possible aussi en matière d’hébergements, mais il faut s’en donner les moyens. »
« Frilosité »
Daniel Beaussart stigmatise « la frilosité » des investisseurs privés et le manque de volonté politique. « Heureusement que des hôtels comme l’Hermitage Gantois ou le Crowne Plaza ont vu le jour, mais ce n’est pas assez. Il n’y a pas de synergie entre les différents acteurs du tourisme d’affaires. C’est très dommage dans la mesure où ce type de tourisme fait vivre des centaines de commerçants. » Et d’appeler à la confiance des investisseurs… •
M. B.
(Extraits)
SANTÉ
La nouvelle usine miroir des laboratoires Anios
Alors que l’infection nosocomiale liée au « clostridium difficile » met les laboratoires Anios sous les feux de l’actualité, l’entreprise nordiste démarre ce lundi l’activité d’un deuxième site de production, à Sainghin-en-Mélantois. Une usine chimique flambant neuve prête à tourner à plein régime et en totale autarcie en cas de pandémie.
Il était hier la star du jour. Dans sa petite boîte. Offert aux regards de tous : le clostridium difficile. La fameuse bactérie à l’origine de dix-sept morts dans les hôpitaux de la région. Un fauve en cage tel que depuis 1898 les laboratoires Anios aiment à les chasser.
(...)
> Produire en toutes circonstances. – La nouvelle usine, comme la première, est organisée pour pouvoir produire ses désinfectants 24 h sur 24, en complète autonomie, notamment en cas de pandémie. Le personnel pouvant être logé et nourri sur place. On n’en est évidemment pas là concernant le clostridium difficile, pour lequel Anios est seul sur le marché à proposer un gel désinfectant. En revanche, pour la grippe aviaire, le personnel de l’entreprise était prêt à toute éventualité… > Prochains développements. – Sur un marché en pleine croissance, Anios semble avoir de beaux jours devant lui.
L’année 2007 s’annonce d’ailleurs comme un excellent cru avec l’ouverture d’une usine en Argentine (Anios est déjà implanté industriellement en Italie et en Tunisie), et l’ouverture d’un bureau à Singapour. « L’international représente aujourd’hui 23 % de notre chiffre d’affaires, il devrait vite atteindre les 50 % », conclut Bertrand Letartre. •
CHRISTIAN CANIVEZ
(Extraits)
AGROALIMENTAIRE
Une bonne cuillère de savoir-faire et une pincée d’innovation dans l’alimentation
Des frites de bananes. Des Pastilles du Mineur sans sucre. De la pulpe d’ail du Nord. Les entreprises agroalimentaires de la région ont des idées. Et dans un contexte très concurrentiel, il ne faut surtout pas en manquer…
PAR VALÉRIE SAUVAGE
economie@lavoixdunord.fr PHOTO ARCHIVES PATRICK JAMES
Le Nord - Pas-de-Calais pèse lourd dans le secteur de l’alimentation. La filière régionale réalise un chiffre d’affaires de l’ordre de 8 milliards d’euros. Elle emploie plus de 37 000 personnes dans de grosses sociétés comme Bonduelle, Mc Cain, Jean-Caby, Roquette, Danone, Pasquier… mais aussi dans des centaines de petites entreprises.
(...)
Pour l’instant, 14 % du budget a été investi dans l’agroalimentaire. À la fin de l’année, ce chiffre devrait être de l’ordre de 10-12 %. » Pas toujours facile pourtant de se lancer dans la création de nouveaux produits, surtout pour une petite structure. Thomas De Villers, responsable du département agroalimentaire à l’Institut supérieur d’agriculture de Lille le reconnaît : « L’innovation a un coût. Mais la recherche et le développement représentent souvent 0,5 à 1,5 % du budget des entreprises. Ce n’est pas un frein à l’innovation. Il faut surtout que l’entreprise ait confiance, qu’elle soit sûre que le projet va aboutir. » Chaque année en France, 2 000 à 3 000 nouveaux produits (pas seulement alimentaires) apparaissent dans les rayons des magasins. Seulement un tiers d’entre eux parviennent à survivre dans les linéaires au-delà d’un an. Innover, c’est bien.
(...) •
EN CHIFFRES
• 3
Le Nord - Pas-de-Calais est la troisième région agroalimentaire de France en terme de chiffre d’affaires et quatrième en terme d’effectifs.
À l’exception du vin, toutes les filières du secteur sont représentées dans la région (poisson, viande, lait, légumes, biscuits…).
• 2 600
La région compte 2 600 établissements qui emploient 37 100 personnes. Mais seules 190 de ces entreprises comptent plus de 20 salariés et emploient 27 527 personnes. En France, l’industrie agroalimentaire emploie 418 474 personnes.
• 8
Les industries agroalimentaires de la région réalisent un chiffre d’affaires de 8 milliards d’euros. En France, la filière réalise un chiffre d’affaires de 139,7 milliards d’euros.
• 3
Dans la région, trois pôles de compétitivité sont liés à l’agroalimentaire. Le pôle filière aquatique qui regroupe les professionnels de la pêche, des navires jusqu’aux distributeurs. Le pôle nutrition, santé, longévité travaille sur les aliments à fonction santé et les compléments nutritionnels.
Enfin, le pôle matériaux à usage domestique vise à renforcer la performance de matériaux tels que le verre, la céramique, le papier…
REPÈRESLe concours de l’innovation agroalimentaire Nord - Pas-de-Calais, créé en 2004, a lieu tous les deux ans. Soixante-dix produits ont été présentés pour cette édition 2006. Ils ont tous été soumis à une grille d’évaluation. Les 16 produits finalistes ont ensuite été présentés au jury d’experts qui a noté le caractère innovant et la qualité gustative des produits. La barquette Supplex a reçu le prix « Forme et bien-être, les chocolats Coeur de braise le prix « Terroir et art culinaire », les épinards cuits à la ferme le prix « praticité ». Le prix spécial du jury est revenu aux endives Angéline.
ENVIRONNEMENT
Voiture à hydrogène en France : c’est prêt, mais ça coince...
La première voiture à hydrogène française roule. Nordiste, elle a été mise au point par H2 Développement, société lilloise dont les ateliers se trouvent à Hazebrouck. Problème : le ministère des Transports et les constructeurs peinent à suivre.
Philippe Bruyerre, gérant d’H2 Développement, commence à perdre ses illusions. Il ne comprend pas. Avec deux autres Géo Trouve-tout, ingénieur et technicien, il est pourtant parvenu à mettre au point le premier véhicule à hydrogène français. Le projet, intitulé Ultim Car, a coûté 150 000 E et a été soutenu à hauteur de 50 000 E par la Région, l’ADEME et le FEDER. Il a été finalisé en juin et développé sur la base d’un Peugeot Expert converti à l’hydrogène conservant la possibilité de rouler à l’essence.
Le bilan de trois ans de recherches, menées en partenariat avec Air Liquide, l’université de Valenciennes, Horizon GPL (Loos) et le CRITT M2A (Bruay-La Buissière) est plus que positif. Les performances environnementales du véhicule sont en effet quasi parfaites, avec des émissions proches de zéro. Ainsi, en mode hydrogène, il rejette principalement de la vapeur d’eau et de très faibles quantités de CO² et d’oxydes d’azote.
À l’heure actuelle, le comportement de l’Ultim Car immatriculée en « W » continue d’être amélioré. Mais au moment d’aller plus loin, Philippe Bruyerre est au pied du mur : « En France, nous sommes les premiers à avoir présenté, en novembre dernier, un tel véhicule à l’UTAC (expert technique officiel) et à demander au ministère des Transports une réception à titre isolé (confère l’autorisation à un véhicule transformé de rouler sur route) », explique-t-il. La réponse est toujours attendue. Idem chez Peugeot, dont l’autorisation conditionne la suite du projet.
Le développement d’Ultim Car II, qui offrirait un réservoir plus léger et de capacité supérieure placé sur le toit du véhicule, coûterait de 50 000 à 100 000 E. « On est peut-être trop en avance… », se désespère Philippe Bruyerre, suspendu à une ultime réunion ministérielle à la mi-octobre. D’ici là, BMW présentera le premier véhicule à hydrogène de série au monde lors du Salon de l’automobile.
…t
PERRINE DIÉVAL
d'accord désolé!
voici un article de la voix du nord (Extraits)
SECMA, le nordiste qui vend ses autos à Madonna
Le constructeur SECMA représente le Nord au Salon de l’auto à Paris. Daniel Renard, PDG de cette entreprise atypique du Douaisis, y dévoilait ses petits buggys qu’il exporte dans le monde entier.
Impératif ! Il faut passer par le stand SECMA (hall 3) pour rencontrer Daniel Renard. À 59 ans, le patron de la Société d’études et de construction mécanique automobile (SECMA), basée à Aniche, vous parlera de sa petite entreprise « semi-industrielle, semi-artisanale » et de ses engins qu’il fabrique de A à Z. Des petits bolides sur quatre roues, homologués pour la route, pensés pour le loisir et pour le plaisir.
(...)
Clinton et Albert de Monaco en ont une, le roi du Maroc en possède trois, Madonna en a déjà six et Pink, la chanteuse, a choisi un modèle à la couleur de ses cheveux (rose). » Le PDG du Nord, rigole, rigole, mais réalise chaque année un chiffre d’affaires de 4 millions d’euros, envisage une belle croissance pour les années à venir et a embauché deux commerciaux, deux « pointures » du monde des voiturettes pour développer le marché de l’Europe et de la France (20 % du marché actuel). Hier, il avait déjà enregistré douze commandes. Et le salon n’était pas encore ouvert au public. •
SAMI CHEBAH
je ne sais pas comment rectifier le tir pour les articles précédent!
TOUR MERCURE (Tourcoing)
Changement de mains. – Lors de la visite de Christian Estrosi, hier, à Tourcoing, Bruno Bonduelle, président de la CCI de Lille, a plaidé pour inclure la tour Mercure dans la zone franche de l’Union (un pôle de compétitivité). Il a également annoncé le rachat des locaux par un groupe d’investisseurs international. Le ministre délégué à l’Aménagement du territoire s’est montré confiant au sujet d’une intégration à la zone franche. Le Conseil d’État devant se prononcer prochainement sur cette question. Exclusivement vouée à de l’activité tertiaire, la tour Mercure, bâtie par la CCI à la fin des années 70, était alors considérée comme un édifice futuriste. Elle a, depuis, connu des fortunes diverses. Depuis le départ de l’entreprise de VPC Quelle, qui y avait installé ses services, la moitié de ses 15 étages était vide.
Le nouvel investisseur devra procéder à un sérieux toilettage et compte d’ailleurs rénover les bureaux. Il devra remplacer tous les ascenseurs. Leur maintenance était rendue difficile... faute de pièces de rechange.
source: la voix du nord du samedi 30 septembre, page économie http://www.lavoixdunord.fr/journal/VDN/ … 7656.phtml
Planète Saturn vers une autre galaxie
20 Minutes | édition du 15.09.06
Changement d'orbite pour Planète Saturn. Le magasin de produits électroniques et électroménagers situé à Euralille serait sur le départ. L'enseigne, filiale du groupe allemand Metro, profiterait de la fin de son bail fin décembre pour quitter le centre commercial, qui lui avait pourtant déroulé le tapis rouge six ans plus tôt. L'origine officielle de cette décision ? L'insécurité qui règne dans le centre. En plus des agents de sécurité qui sillonnent Euralille, l'enseigne emploie une quinzaine de vigiles qui gravitent dans ses rayons.
Mais qui hésite à noyer son chien l'accuse d'avoir la rage. La véritable raison de ce départ serait ainsi l'inadéquation entre la clientèle et les produits vendus. Et l'incapacité à atteindre les objectifs, fixés à 20 millions d'euros de chiffre d'affaires annuel à l'ouverture en 2000. « Effectivement, je ne vois pas pourquoi Planète partirait pour des raisons d'insécurité et pas les autres », fulmine Jacques Mutez, conseiller (PRG) en charge des commerces à la mairie de Lille, qui s'inquiète du sort des soixante salariés. Avec la municipalité, Planète Saturn envisage aujourd'hui de transférer son magasin au Plazza de la rue Nationale, toujours en friche. Là où furent longtemps installées les Nouvelles Galeries.
Affecté par l'éventualité de ce déménagement, Christophe Nourtier, le directeur d'Euralille, se veut philosophe. « Il y a eu un avant Planète. Il y aura un après. » A condition de combler les 4 000 m2 laissés vacants.
Source : http://www.20minutes.fr/print/2006/09/1 … 08685.html
D'un côté tant mieux pour la friche des nouvelles galeries (depuis le temps ou elle était laissé à l'abandon), sinon je me demande serieusement qu'est ce que vont devenir les 4000 m2 du centre commercial !!!
Un Virgin Megastore ??? !
je lisais rescement dans Capital que Virgin Megastore n'était pas en tres bonne santé, je ne pense pas qu'il soit dans une stratégie d'expension
...Caen Capitale
de toute façon je pense que la société qui détient Virgin et le Furet ne souhaite pas mettre les 2 en concurence!
Ce serait quand même un espace rêvé!
Au fait, en parlant d'espace rêvé, à quand une Hard Rock Café à la place de l'Omnia?!? Je n'en peux plus, je suis en manque de hamburgers géants et d'outrageous brownies!
Born and raised in the blue banana.
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