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L'Union affiche le taux de logements sociaux le plus faible de l'agglo toulousaine
la chambre régionale des comptes de Midi-Pyrénées épingle l’Union (12 578 hab., Haute-Garonne), commune située sur la première couronne de l’agglomération toulousaine, pour son taux de logement social de 3,5 %, « le plus bas des communes de l’agglomération toulousaine », est-il écrit dans son rapport d’observation publié début juin.
De fait, la commune a depuis longtemps une vocation résidentielle, essentiellement sous forme pavillonnaire, avec très peu d’habitat collectif. Selon les données de la DGFIP, les 5 174 habitations principales se répartissent entre 4 348 maisons individuelles et 826 appartements.
Renouvellement urbain - Mettant en avant cette bonne gestion, le maire (Divers droite) de L’Union, Georges Beyney, rappelle les efforts de la commune en matière de logements sociaux, indiquant qu’elle a engagé par l’intermédiaire de la communauté urbaine de Toulouse Métropole, dont elle est membre, une révision de son plan local de l’habitat pour accueillir un programme immobilier de 300 logements, dont 35 % à vocation sociale.
« De plus, nous avons accordé, dans le cadre du renouvellement urbain, la délivrance de plusieurs permis de construire pour un total de 123 logements, dont 53 % de locatifs sociaux », est-il rappelé dans la réponse de la commune au rapport de la chambre régionale.
Par ailleurs, le maire met en avant le partenariat avec l’établissement public foncier local pour préempter des terrains d’une surface de 3 500 m2 qui accueilleront 100 % de logements sociaux. « Malheureusement, la commune étant en fin d’urbanisation, nous ne pouvons nous inscrire que dans le renouvellement urbain, ce qui limite nos capacités de production de logements », insiste le maire, interrogé par La Gazette des communes. « De plus, le renouvellement urbain implique d’acheter des maisons sachant que le coût moyen d’une parcelle de 500 m2 est de 250 000 euros », précise-t-il.
L'Union a toujours été une commune pavillonnaire refusant les logements sociaux.
Faut pas s'étonner maintenant.
En plus de çà la commune est totalement urbanisée. Seul le secteur des "Violettes" ou vont être construits environ 450 logements va permettre de rajouter du logement social.
En renouvellement urbain, l'établissement foncier de Toulouse-Métropole devra récupérer des maisons avec grands jardins pour y construire ensuite des petits collectifs sociaux.
Je dirais que le pari est déjà perdu pour cette commune d'atteindre les 20%.
Dernière modification par urbatoulousain31 (22-06-2013 15:05:03)
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Exemple d'urbanisation d'une commune de la première couronne de la banlieue toulousaine :
2 communes avec plus de 2 000 habitants au km².
En fait sur cette image on a 2 communes imbriquées l'une dans l'autre.
AUCAMVILLE : 8 049 habitants (2010) sur 3,96 km² soit 2 033 habitants au km².
Fonbeauzard : 2 764 habitants (2010) sur 1,32 km² soit 2 094 habitants au km² est imbriquée dans Aucamville.
On distingue Toulouse au fond.
image mairie d'aucamville
Dernière modification par urbatoulousain31 (23-06-2013 18:22:17)
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LACROIX FALGARDE
Exemple type de nouveaux lotissements aisés ou les maisons d'architectes ne sont plus dans le style toulousain mais dans un style moderne, cubique avec toits terrasse à la mode en région toulousaine.
Dernière modification par urbatoulousain31 (27-07-2013 23:33:01)
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Autant empiler des containers les uns sur les autres, ça serait pas pire.
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FENOUILLET, commune de première couronne de 5 166 habitants en 2010 (4 030 en 1999), va accueillir 800 logements dans la nouvelle ZAC de Piquepeyre du pavillon au collectifs R+3.
La commune devrait dépasser les 7 300 habitants à l'horizon 2020
PLAN MASSE
VUE GENERALE
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Projet du quartier du chemin de montagne
C'est un projet en trois phases, dont la première vient d'être terminée, comme on peut le voir sur la photo de l'article.
Je trouve ce réaménagement intéressant, puisqu'en pleine ville (où il reste quelques parcelles nues, mais destinées à être très prochainement construites (voir le PLU de la ville)), la communauté de communes et la mairie ont délibérément décidé de laisser le fossé d'un côté de la route, favorisant ainsi la biodiversité, alors qu'une moyenne surface (et donc ses clients,qui viennent à pied ou en voiture) se situe à droite de la photo...
Pour autant, le piéton n'a pas été oublié, vu que de nombreux espaces piétonniers ont été crées, anticipant l'arrivée du groupe scolaire en 2015.
Il faut savoir que, déjà, le centre de loisir, la crèche, le Relais Assistante Maternelle de Save et Garonne (environ 24 000 habitants) et une salle polyvalente ont été ouvert dans l'année 2013. La quartier à donc énormément changé !
La phase 2, qui devait commencer en Avril, a finalement commencé en décembre (élections municipales en vue ? (...)). La difficulté de cette phase est qu'elle passe sur la conduite de gaz qui relie Toulouse à Bordeaux. TIGF a donc fait de nombreux sondages, et le chantier sera souvent visité par les responsables de TIGF pour s'assurer qu'il n'y a pas de problèmes. Globalement, cette phase comprend le réaménagement des rues de mélican et des rosiers, mais aussi la carrefour avec la D17 (route vers Lisle Jourdain), et enfin la restructuration complète de la placette derrière l'arrêt de bus de Mélican.
Voilà, c'est un projet intéressant pour une commune comme Grenade, c'est pour cela que je me permet de vous tenir au courant, étant donné, que j'y vais au moins une fois par mois. C'est certes moins grandiose que les chantier de l'agglomération toulousaine, mais je trouve que Grenade, ainsi que la communauté de communes save et garonne essayent d'innover, et de penser une ville un peu différente, en essayant de ne pas tout bétonner et en optimisant l'espace pour les voitures, les cycles, les piétons, et même les TC.
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Grenade. Faire cohabiter piétons et véhicules
Allez, aujourd'hui je suis parti, je parle de Grenade
Pour illustrer mon propos précédent, on lit dans cet article que Grenade vient de mettre en place sa seconde zone de rencontre, un système encore peu connu dans notre région, mais qui pacifie les relations voitures-piétons. C'est la 4ème zone de rencontre en Haute-Garonne. Cette rue très étroite avait autrefois une file de circulation et une file de stationnement, avec deux trottoirs dont la largeur était inférieure à 60cm...
Désormais, la circulation de tous se fait au même niveau, et le stationnement, n'y est plus autorisé (il existe de grands parking à moins de 200mètres de cette rue).
La photo de l'article a environ 2 mois de retard, vu que ce n'est pas un bitumé simple qui a été mis en place, mais un bitume grenaillé, qui aujourd'hui, est de couleur ocre, comme les pavés. Je trouve ça plutôt esthétique et je le prendrais en photo si cela vous intéresse.
A noter que du mobilier urbain a été mis en place car les gens recommençaient à se garer malgré l'interdiction (ah, les habitudes sont dures à déloger...)
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Un projet de réaménagement du centre ville à Cugnaux :
http://www.ladepeche.fr/article/2014/01 … ville.html
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Ptiloulou a écrit:
Un projet de réaménagement du centre ville à Cugnaux :
http://www.ladepeche.fr/article/2014/01 … ville.html
Ça manquait de rond-point...
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La relocalisation des entrepôts Leclerc (actuellement situés à Tournefeuille près de la base de la Ramée) seront manifestement relocalisés d'ici 5 ans sur la zone d'activité régionale de Castelnaudary (11). Cela va probablement ouvrir la voie à une réflexion sur le devenir et l'urbanisation du site actuel.
Dernière modification par Ptiloulou (30-01-2014 15:05:00)
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Sacré jackpot immobilier de la parc de Leclerc... Le site fait à la louche 8 ou 9 hectares en bordure de la zone verte. 400 à 800 logements selon la densité à attendre.
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C'est bien pour l'avenir de Tournefeuille en terme de capacité foncière.
C'est bien aussi pour la SOCAMIL qui trouvera à Castelnaudary un environnement plus favorable en terme d'accessibilité et de rapidité d'accès au transports par rapport à la saturation en banlieue toulousaine.
Ca traduit aussi le fait que Castelnaudary conforte sa position au sein de l'aire métropolitaine toulousaine.
Avec ce projet, Tournefeuille va pouvoir continuer à densifier son territoire et avoisiner les 30 000 habitants à terme contre 26 000 aujourd'hui.
Cet exemple traduit bien le développement urbain de la banlieue toulousaine.
A son installation, la SOCAMIL était au milieu des champs et ses camions avaient des accès rapides pour distribuer. Aujourd'hui, le territoire est totalement saturé autant du point de vue urbain que du point de vue des transports.
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Un article sur le programme de démolition / reconstruction / densification du quartier des Floralies à Ramonville :
http://www.objectifnews.com/Immobilier/ … e-25022014
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Toulouse vue depuis les hauteurs de Balma (Cyprié) :
Entre Toulouse et Balma, l'Hers. Ici à hauteur de la LMSE en direction de Gramont :
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Bonjour à tous,
Quelqu'un d'entre vous aurait-il des informations à propos de la ZAC de Piquepeyre située à Fenouillet ?
A l'heure actuelle, peut-on affirmer que les travaux commenceront bien cette année ? (car il me semble que les premiers logements devaient, initialement sortir de terre en 2013 ...)
Merci d'avance.
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Je viens de créer une discussion (que j'avais lancé y'a quelques semaines sur SSC) sur la commune de Fenouillet, mais pour répondre rapidement les travaux doivent commencer en 2015, donc cette année.
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FENOUILLET est une commune de Toulouse Métropole au Nord de l'agglomération de Toulouse d'une superficie de 9,51 km² pour 5 121 habitants en 2012 (contre 5 170 en 2011)
Elle est limitrophe avec Gagnac-sur-Garonne, Lespinasse, Saint-Alban, Seilh, Aucamville, Beauzelle et Toulouse (tous membres de Toulouse Métropole).
Sur le plan ci-dessous j'ai représenté en rouge la futur ZAC, en jaune la halte ferroviaire et en bleu la zone du centre cial derrière laquelle se trouve la gare de triage St-Jory.
Aménagement de la ZAC Piquepeyre à Fenouillet 2013 - Concours lauréat
La composition générale du projet s’inscrit dans la trame parcellaire existante. Cette démarche permet à la fois de conserver une grande partie du patrimoine arboré existant et également de faciliter l’opérationnalité du projet.
L’esquisse propose, en s’appuyant sur les qualités du site, de tirer parti de la contrainte forte du stationnement en zone inondable. Plutôt que de générer des intérieurs d’îlots occupés par les voitures, nous proposons de créer des grandes lignes de parking paysagers accompagnés de noues.
Ces dispositifs auront à la fois valeur de structure paysagère, de circulations douces et d’assainissement alternatif. Ils permettent de libérer les intérieurs d’ilots pour des espaces de jardins, privatifs ou collectifs qui seront complétés par un ensemble de cheminements piétons créant des parcours intérieurs apaisés et sécurisés.
Fenouillet. ZAC de Piquepeyre : 800 logements et des services
Le programme prévisionnel d’aménagement de la ZAC de Piquepeyre prévoit 800 logements, répartis en 3 phases de construction : de 2014 à 2016 : 250 logements, de 2017 à 2019 : 300 logements et de 2019 à 2022 : 250 logements. Les types d’habitat seront diversifiés : petits collectifs (55 %), maisons de ville (40 %), maisons individuelles (5 %).
Dans la 1re tranche de travaux de 2014 à 2016 sont prévus un groupe scolaire qui intégrera 5 classes maternelles et 7 classes élémentaires et une crèche d’une capacité de 30 lits.
Afin de garantir une véritable mixité sociale, les logements sociaux représenteront 25 % des 800 logements construits. Ces logements sociaux seront répartis sur la ZAC, dans les trois types différents d’habitat.
Début des travaux en 2015 avec un dépôt des permis de construire fin 2014 - fin des travaux prévue en 2022.
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Merci Paolo
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En termes d'évolution à court/moyen terme, on pourrait ajouter juste au sud de la halte-ferroviaire la mutation prévue des terrains de l'ancienne usine Total-Soferti, dont les travaux de dépollution sont en cours. Ce sont là des espaces très stratégiques qui mériteraient une réflexion globale en y ajoutant les espaces compris entre la RD820 et la RD14A que l'on voit sur le plan qui sont de véritables verrues (centrale à béton, locaux industriels vétustes et très amiantés, ...).
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Pas très dense tout ça
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Quelques graphiques des évolutions démographique du Grand Toulouse. J'ai choisit de ne prendre les chiffres qu'à partir de 1900, et non 1793. En effet à cette époque la quasi-totalité des communes était dans les 400 habitants.
Nord Aéroportuaire
Blagnac est en tête (22 983 hab) devancant Grenade (8 310 hab) qui croit de nouveau depuis la seconde guerre mondiale avec une accélération dans les années 2000.
Après une montée rapide Beauzelle (5 480 hab) se stabilise et se fait doubler par Aussonne (6 739 hab) et Cornebarrieu (5 798 hab). Mondonville (4 601 hab) se met à croître de façon important également depuis le début des années 2000.
Seilh (3 018 hab) et Daux (2 141 hab) restent les plus faible avec une quasi-stagnation.
Ouest Toulousain
Colomiers (36 699 hab) caracole au sommet avec Tournefeuille (26 342 hab) et Plaisance (16 616 hab).
Fonsorbes (11 828 hab) et St-Lys (8 755 hab) dans les 3° et 4° couronnes sont à de hauts niveaux, l'étalement urbain s'étant sur des kilomètres.
Brax (2 703 hab) par ça taille et sa forêt est la commune la plus basse avec une faible croissance.
Axe Murétain
Muret (24 492 hab) est largement devant, et ce depuis 1793 (première donnée). Suis Cugnaux (16 314 hab).
Plusieurs villes autour des 10 000 hab. A noter Portet (9 406 hab) qui baisse et Frouzins (8 426 hab) avec une forte croissance et constante depuis des années.
On observe également que Roques (4 087 hab) est la communes la moins peuplé, dû notamment aux nombreux lacs artificiels, et celle d'Eaunes (5 651 hab) qui progresse bien malgré son éloignement des axes entre Garonne et Ariège.
Vallée Ariégeoise
On obersve une forte croissance dans les années 70 en particulier pour Labarthe-sur-Lèze (5 059 hab), Pins-Justaret (4 541 hab)et Roquettes (4 193 hab).
Je me suis permet de simuler une fusion des communes de Venerque et Vernet aux vues de leurs proximité et continuité. On obtiendrait une ville de (4897 hab).
Les Collines Toulousaines
C'est la zone du grand Toulouse la moins peuplée de par son relief et son éloignement des axes de communication.
Seul Lacroix-Falgarde (2 055 hab) et Vieille-Toulouse dépasse le millier.
Porte du Lauragais
Ramonville (12 610 hab), Castanet-Tolosan (11 440 hab) et St-Orens (11 122 hab) sont largement en tête avec une très forte progression dans les années 70.
Les autres communes restent stable ces dernières années à l'exception de Labège (4 139 hab) et Auzeville-Tolosane (3 535 hab).
Est Toulousain
Balma (14 245 hab) est en pole position loin devant Quint-Fonsegrive (5 052 hab).
On notera que contrairement à l'Ouest de Toulouse, ici seule la première couronne est fortement peuplé.
Porte du Tarn
L'Union (11 702 hab), St-Jean (10 319 hab) et Launaguet (7 469 hab) sont les communes les plus peuplées. La première baisse depuis 2006.
On observe que malgré l'éloignement des communes, les chiffres sont plus importants qu'à l'Est. Pechbonnieu et Castelmaurou atteignent notamment les 4 000 hab.
Vallée de la Garonne
Castelginest (9 369 hab) et Aucamville (8 119 hab) sont les plus peuplées. Suivent 5 communes entre 6 et 5 000 hab parmi lesquelles Castelnau-d'Estretefonds (5 815 hab) connaît une forte progression depuis les années 2000.
Les 10 villes les plus peuplées du Grand Toulouse en 2012
On note que les fortes croissances (décalé dans le temps) de Colomiers et Tournefeuille les font passer devant Muret. De même Fonsorbes (dans la 3° couronne) vient de rattraper l'Union (1° couronne).
Les 10 villes les plus peuplées du Grand Toulouse en 1901
Dernière modification par paol031 (30-11-2015 19:29:06)
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Merci Paolo31,
J’aurais juste un bémol concernant les graphiques. Comme le pas de temps sur l'axe des x n'est pas homogène, je pense que les courbes faussent la réalité....notamment la fin
et encore bon boulot!
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C'est vrai qu'un graphique avec une juste temporalité atténuerait l'impression de chute de la croissance de ces dernières années, d'autant plus que tu as intégré 2006 et 2007, ce qui engendre un même écart entre les deux que les périodes intercensitaires.
Dernière modification par Ptiloulou (30-11-2015 17:54:41)
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http://www.LaDepeche.Fr/article/2016/03 … baine.html
La croissance géographique continue; plusieurs TCSPs à prévoir rapidement dans les 2 premières couronnes pour ceux qui habitent et/ou travaillent hors de la commune de Toulouse (c'est-à-dire la majorité des habitants de l'agglomération), d'où l'importance de ne pas concentrer sur la commune de Toulouse 90% des budgets d'investissements en transports urbains des 25 prochaines années, mais seulement un peu plus de 50% pour quand même favoriser bien sûr l'attractivité du cœur d'agglomération.
Dernière modification par Guins (12-03-2016 18:40:39)
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