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Le marathon de Paris 2006, c'était hier matin. Je n'ai pas pu m'empêcher d'aller voir. C'est que, l'an dernier, j'étais à leur place :
Courir à Paris, c'est un plaisir. On a beau connaître la capitale qu'on connaît par cœur, on la découvre sous un nouveau jour. En tout cas au début... Car lorsqu'on arrive au quai de l'hôtel de Ville, c'est déjà le kilomètre 23 :
... et le peloton est toujours très compact :
C'est au kilomètre 28 environ, à la sortie du tunnel de l'Alma (oui, là où Lady Di, vous savez) ...
... que l'on aperçoit la tour Eiffel dans toute sa dimension imposante :
Seul le spectateur peut perdre son temps à photographier des panneaux :
Et quand ils arrivent face au Front-de-Seine, les marathoniens ont déjà 32 kilomètres dans les jambes...
... et ça fait mal !
Pourtant, le plus dur est encore à venir : la montée du 16e arrondissement et la traversée du bois de Boulogne...
Excellent ! J'admire, je suis ruiné au bout du kilomètre 5 looooooooool
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