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piotr a écrit:
Je trouve ça assez surprenant quand même. C'est sans doute mon chauvinisme qui parle mais la longueur des bouchons autour de Lille augmente chaque année. Sur l'A1 (Arras-Douai-Lens), vers Lille, on doit avoisiner les 50km chaque matin. C'est quasiment la même chose sur l'A23 (Valenciennes) et l'A25 (Dunkerque), et les autres accès principaux. C'est juste une impression et je n'ai pas de point de comparaison mais j'ai du mal à croire à une variation limitée à 7000 habitants. Le fait qu'une autre AU importante existe à proximité peut-il expliquer cette stagnation dans les chiffres?
Peut-être qu'il y a eu des changements au sein de l'aire urbaine, invisibles dans ces chiffres : la population s'est déplacée du centre qui s'est vidé de sa population à la banlieue qui a gagné des habitants, d'où les bouchons …
driving down your freeways …
Deux numéros d'INSEE Première pour analyser le nouveau zonage :
- Le nouveau zonage en aires urbaines de 2010 : 95 % de la population vit sous l’influence des villes
- Le nouveau zonage en aires urbaines de 2010 : poursuite de la périurbanisation et croissance des grandes aires urbaines
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rif75 a écrit:
anakin2nantes a écrit:
oui surement un effet de "qui à la plus grosse" air urbaine =/ unité urbain,agglomération , pour moi l'air urbaine n'a pas vraiment de sens dans certaines villes, le meilleur exemple est bordeaux, une air urbaine qui englobe presque tout son département,tout ça pour dépasser le symbolique cap du 1 millions d'habitants, alors qu'au niveau ressenti, tissu et densité urbain puissance économique, Bordeaux ce rapproche + des 650 000 habitants que du Million fièrement brandi
650 000 habitants faut pas exagérer, la communauté urbaine qui ne regrouppe pas toutes les communes de l'agglomération est déjà à + de 700 000 habitants
Je crois que la CUB est au environs de 720 000 habitants
anakin2nantes a écrit:
oui surement un effet de "qui à la plus grosse" air urbaine =/ unité urbain,agglomération , pour moi l'air urbaine n'a pas vraiment de sens dans certaines villes, le meilleur exemple est bordeaux, une air urbaine qui englobe presque tout son département,tout ça pour dépasser le symbolique cap du 1 millions d'habitants, alors qu'au niveau ressenti, tissu et densité urbain puissance économique, Bordeaux ce rapproche + des 650 000 habitants que du Million fièrement brandi
L'agglomération bordelaise (unité urbaine), c'est 832 000 habitants, donc on n'est pas très loin de l'aire urbaine.
http://www.recensement.insee.fr/chiffre … Rechercher
Intéressants ces chiffres..
Donc en terme de dynamique démographique Toulouse impressionne..
Enfin une vraie étude qui permet d'avoir les chiffres de toutes les villes à la même époque. On peut voir que Grenoble était assez sous-estimée même si son taux de croissance et donc sa dynamique démographique reste assez faible.
On retrouve bien les 4 villes les plus dynamiques en France que d'autres études avaient prévues même si l'ordre à un peu changé . A savoir Toulouse largement en tête , Rennes et Montpellier qui se détachent, Nantes. Cela dit Lyon fait forte également forte impression pour sa taille !
eiffel-ô a écrit:
Le taux de croissance de Toulouse est impressionnant, et très sûrement arrivé à son maximum.
Ça ne risque pas, vu qu'il a été plus haut dans le passé. De plus tu t'es trompé dans le calcul. La croissance de l'aire urbaine de Toulouse a été de +1,87% par an, et non pas +1,83%. A noter qu'il ne s'agit pas du plus fort taux de croissance pour une aire urbaine en France métropolitaine.
Pour une aire urbaine de + 500.000 habitants, il l'a bien précisé ;)
djakk a écrit:
piotr a écrit:
Je trouve ça assez surprenant quand même. C'est sans doute mon chauvinisme qui parle mais la longueur des bouchons autour de Lille augmente chaque année. Sur l'A1 (Arras-Douai-Lens), vers Lille, on doit avoisiner les 50km chaque matin. C'est quasiment la même chose sur l'A23 (Valenciennes) et l'A25 (Dunkerque), et les autres accès principaux. C'est juste une impression et je n'ai pas de point de comparaison mais j'ai du mal à croire à une variation limitée à 7000 habitants. Le fait qu'une autre AU importante existe à proximité peut-il expliquer cette stagnation dans les chiffres?
Peut-être qu'il y a eu des changements au sein de l'aire urbaine, invisibles dans ces chiffres : la population s'est déplacée du centre qui s'est vidé de sa population à la banlieue qui a gagné des habitants, d'où les bouchons …
Quand je parle de bouchons, je parle de ceux qui commencent à l'extérieur des limites de la CU de Lille, en l’occurrence, pour l'A1, ils commencent généralement à Dourges, au centre de l'AU de Douai-Lens
Que se passe-t-il si une ville de l'AU de Douai-Lens est englobée dans l'AU de Lille?
Born and raised in the blue banana.
wanchun a écrit:
eiffel-ô a écrit:
Le taux de croissance de Toulouse est impressionnant, et très sûrement arrivé à son maximum.
Ça ne risque pas, vu qu'il a été plus haut dans le passé. De plus tu t'es trompé dans le calcul. La croissance de l'aire urbaine de Toulouse a été de +1,87% par an, et non pas +1,83%. A noter qu'il ne s'agit pas du plus fort taux de croissance pour une aire urbaine en France métropolitaine.
Pourtant, avec les chiffres de invité01 :
9 racine carrée (1 202 889 / 1 021 530) *100 - 100 = 1,83%/an
Et tu admettras que maintenir un taux de presque 2%/an semble difficile. Et même, les chiffres Sitadel de mises en chantier prouvent mes dires, avec une chute depuis les années hors normes du début 2000 (mais avec un report sur le Tarn-et-Garonne).
En ce qui concerne vos ressentis de plus gros bouchons malgré une certaine stagnation démographique du Nord, n'oubliez pas que Lille se situe dans un intense couloir de flux et déplacements en tous genres, qui eux peuvent augmenter avec ou sans stagnation démographique. C'est la mondialisation des échanges et des transports
Ma carte des opérations d'urbanisme sur le Nord-Vendée (12 pages) :
https://maps.google.fr/maps/ms?msid=203 … &msa=0
eiffel-ô a écrit:
C'est la mondialisation des échanges et des transports
C'est pas le smiley que j'aurais utilisé pour ma part. Un peu plus de ça certainement :
ce qui m'étonnes, c'est que l'on puisse séparer les 2 AU de Lille et de Lens/Douai en dépit de leur proximité très proche (20 km)?
pourtant, le pouvoir d'attraction de la métropôle lilloise en matière économique est important et attire la population de la seconde (d'ou les bouchons?)
eiffel-ô a écrit:
Pourtant, avec les chiffres de invité01 :
9 racine carrée (1 202 889 / 1 021 530) *100 - 100 = 1,83%/an
Sauf que, ce n'est pas la racine 9è qu'il faut prendre ici (entre parenthèse, la racine carrée n'a rien à faire ici), puisque le recensement de 1999 a eu lieu en mars et non en janvier.
Ce serait trop demander que d'avoir la racine qu'il faut prendre en compte ? Cela me sera utile pour mes calculs (Si par hasard tu connais la formule à rentrer dans les tables excel, je la veux bien aussi car je le faisais manuellement avec la calto)
L'INSEE fait ses calculs de taux de croissance en fonction de mars 1999 ? C'est bizarre car je retrouvai les mêmes chiffres que l'insee avec mes calculs, peut-être parce que ces fameux trois mois ne changent quasiment rien. En tout cas j'attends ta réponse avec intérêt.
Et ne chipote pas pour la racine, je donnais la formule de calcul avec les touches de calculatrice en tête, ne pouvant pas afficher le symbole racine avec mon clavier.
Ma carte des opérations d'urbanisme sur le Nord-Vendée (12 pages) :
https://maps.google.fr/maps/ms?msid=203 … &msa=0
Dans Excel il faut rentrer (pop 2008 / pop 1999)^(1/8,819178082).
Merci bcp wanchun j'ignorais totalement ce détail important ! Les chiffres en valeur nominale de invité01 en tenaient compte ?
Sur la période 1999-2008, les taux de croissance annuels moyens affinés sont donc les suivants :
PARIS +0,71%/an
LYON +0,96%
MARSEILLE +0,79%
TOULOUSE +1,87%
LILLE +0,19%
BORDEAUX +1,13%
NICE +0,80%
NANTES +1,09%
STRASBOURG +0,65%
GRENOBLE +0,59%
RENNES +1,43%
ROUEN +0,27%
TOULON +0,79%
MONTPELLIER +1,39%
Ma carte des opérations d'urbanisme sur le Nord-Vendée (12 pages) :
https://maps.google.fr/maps/ms?msid=203 … &msa=0
MyNight a écrit:
Pour ceux que ça intéresse, les aires urbaines d'Angers et du Mans ont gagné respectivement 63400 et 55000 habitants par rapport à l'ancien zonage des aires urbaines, ce qui nous donne 409 188 habitants pour l'AU d'Angers et 359938 pour l'AU du Mans.
Voir http://www.insee.fr/fr/insee_regions/pa … udes98.pdf
Les Pays de Loire ont gagné 15% de population urbaine en plus depuis 2000, tandis que le territoire urbain a augmenté de 28% en superficie, pour atteindre un peu moins d'un tiers de l'espace global de la région.
Ce que j'ai du mal à saisir c'est que sur le fichier excel présent sur le site de l'INSEE ( http://www.insee.fr/fr/themes/document. … _id=ip1374 ) l'aire urbaine d'Angers compterait 392 940 habitants (différence de 16 248hab) et celle du Mans 338 404 habitants (soit 21 504 hab d'écart!) des différences telles sont assez étonnantes venant du même institut de statistiques pour la même période .
Accessoirement pour Orléans hausse de 59 660 habitants sur la période (avec cependant un étalement conséquent de l'aire sur les départements du 28 et du 41, aux portes de Mer et proche de Chateaudun, dans des zones rurales très peu denses)
eiffel-ô a écrit:
Merci bcp wanchun j'ignorais totalement ce détail important ! Les chiffres en valeur nominale de invité01 en tenaient compte ?
Sur la période 1999-2008, les taux de croissance annuels moyens affinés sont donc les suivants :
PARIS +0,71%/an
LYON +0,96%
MARSEILLE +0,79%
TOULOUSE +1,87%![]()
LILLE +0,19%
BORDEAUX +1,13%
NICE +0,80%
NANTES +1,09%
STRASBOURG +0,65%
GRENOBLE +0,59%
RENNES +1,43%
ROUEN +0,27%
TOULON +0,79%
MONTPELLIER +1,39%
Je rajoute :
GENÈVE (parties françaises et suisses) +1,50%
GENÈVE (partie française seulement) +2,12%
PERPIGNAN +1,44%
eiffel-ô a écrit:
Si l'on prend le gain de places dans la hiérarchie, Avignon, Saint-Étienne et Grenoble sont donc les grandes villes qui se sont le plus étalées.
[...]
Les bonds d'Avignon et de Saint-Étienne en nombre d'habitants sont décoiffants !
volteface a écrit:
Je suis très surpris par les chiffres de Grenoble qui passe devant Toulon et sainté qui passe de 300 et quelle mille à 500.000 habitants ...
C'est le résultat de la fusion de plusieurs "grosses" unités urbaines...
Ce n'est donc pas un simple étalement, c'est un peu plus complexe.
Par exemple, concernant Voiron dont l'unité urbaine et l'aire urbaine étaient identiques et dont la population était de l'ordre de 45 000 hab. (9 communes), cette absorption était attendue puisqu'en 1999 il y avait déjà près de 35% des actifs voironnais qui étaient attirés par le pôle urbain grenoblois. Finalement la fusion s'est opérée d'abord d'un point de vue "spatial" (règle des 200m) et non "sociologique" (règle des 40% d'actifs) ; en tout cas à l'instant t, où les études ont été menées.
Pour Saint-Étienne et Saint-Chamond, il me semble que c'est la même chose sauf que le pôle urbain couramiaud (?) était trop important pour qu'il fusionne avec son voisin stéphanois. La fusion ne pouvait intervenir qu'à partir des unités urbaines.
Pour Avignon, cela ressemble plus à un "mitage continu" d'un ancien espace rural autour de quelques villes moyennes (Orange, Cavaillon, Carpentras...).
INSEE a écrit:
Un autre phénomène est venu participer à la recomposition de l'espace. Il s'agit des fusions d'unités urbaines, lesquelles ont été particulièrement nombreuses dans la région entre 1999 et 2010. À l'image de Saint-Chamond et de Villefranche-sur-Saône, qui ont respectivement rejoint Saint-Étienne et Lyon, Aix-les-Bains fusionne avec Chambéry, Voiron s'est ralliée à Grenoble, et Roussillon fait désormais partie de l'aire urbaine de Vienne.
Les aires urbaines de Rhône-Alpes s'étendent et se densifient
Unlimited45 a écrit:
Ce que j'ai du mal à saisir c'est que sur le fichier excel présent sur le site de l'INSEE ( http://www.insee.fr/fr/themes/document. … _id=ip1374 ) l'aire urbaine d'Angers compterait 392 940 habitants (différence de 16 248hab) et celle du Mans 338 404 habitants (soit 21 504 hab d'écart!) des différences telles sont assez étonnantes venant du même institut de statistiques pour la même période
.
Accessoirement pour Orléans hausse de 59 660 habitants sur la période (avec cependant un étalement conséquent de l'aire sur les départements du 28 et du 41, aux portes de Mer et proche de Chateaudun, dans des zones rurales très peu denses)
Je me suis fié aux chiffres avancés dans l'étude de l'INSEE concernant les Pays-de-Loire et en les additionnant aux chiffres dont je disposais de 1999. S'il y a un différentiel, je ne sais donc pas d'où il provient...
Visitez mon blog et mon album photos
@eiffel : Je me permets de te corriger concernant les mises en chantier de logts en Haute-Garonne (SITADEL). Elles sont relativement régulières du début des années 2000 à 2010, autour de 10.000 à 12.000 logts par an avec un pic en 2007. 2011 semble être du même tonneau. Il n'y a pas une situation de décélération durant ces années. Par contre, je suis plutôt d'accord avec ton analyse concernant le fait qu'il sera certainement très difficile, voire impossible, de maintenir durablement des taux de croissance annuels de 1,87% pour l'AU de Toulouse.
Nous ne devons pas avoir les mêmes chiffres pour la Haute-Garonne.
Voici quelques années clés fournies par Sitadel2, rubrique "logements commencés par type et par département (1985-2009)" en date réelle :
13 498 en 1999
11 760 en 2004
12 572 en 2005
14 741 en 2006
14 782 en 2007
Après des chiffres exceptionnels, il y a bien une coupure en 2008 (avec la crise) :
9 552 en 2008
7504 en 2009 (9829 dans l'onglet en date de prise en compte, je ne m'explique pas cette différence avec le "en date réelle")
10 270 (en date réelle)
A voir pour 2011 qui va apparemment marquer un rebond spectaculaire avec un excellent début d'année en terme d'autorisations et de mises en chantier !
Ma carte des opérations d'urbanisme sur le Nord-Vendée (12 pages) :
https://maps.google.fr/maps/ms?msid=203 … &msa=0
Il ne faut pas oublier non plus que le report des constructions se fait dans les départements voisins.
Si Le Gers, Le Tarn et Garonne, le Tarn et l'Ariège accélèrent leur croissance démographique c'est bien parce qu'ils attirent dans les franges faisant maintenant partie de l'aire urbaine toulousaine tous les toulousains en recherche de terrains et prix du foncier moins cher.
N'oublions pas non plus que dans la forte croissance démographique de l'aire urbaine toulousaine, l'insee parle de forte densification car l'étalement a été moins important que Lyon, Bordeaux ou Rennes mais la croissance étant supérieure la densification y est donc plus importante.
Ceci dit, comme le souligne Eiffel-ô, s'il y a eu moins de constructions sur la Haute-Garonne c'est tout simplement aussi qu'il y a eu un gel du foncier à bâtir en première et deuxième couronne de la banlieue toulousaine depuis 2 ou 3 ans.
Ce délai a aussi permis de faire passer le foncier en lotissement de plus de 1000m² par lot à 500 voire moins surtout dans les 2 premières couronnes. Tout ceci pour coller également au SCOT qui était en cours d'élaboration.
Pour Toulouse, on a aussi eu un ralentissement suite à la revisite de tous les projets depuis 2008 par la nouvelle municipalité. Les projets sont maintenant relancés mais çà a ralenti les constructions entre 2008 et 2011.
Affaire à suivre pour une nouvelle accélération des constructions sur Toulouse intra-muros et en couronne proche.
En parallèle, le foncier étant moins cher sur les franges des départements voisins appartenant maintenant à l'aire urbaine toulousaine, on sait aussi que c'est en 3è et 4è couronne que l'évolution démographique est aujourd'hui 2 fois plus forte que dans les années 90.
Je pense que l'évolution moyenne d'environ 20 000 habitants par an va mécaniquement continuer au moins tout au long de la décennie qui arrive, ne serait-ce aussi que par le jeu de l'accroissement du taux de natalité en relation avec la forte croissance (constat que l'on retrouve beaucoup dans le Tarn et Garonne autour de Montauban et dans le Nord de l'aire urbaine toulousaine, notamment dans tous les villages ou ont poussé des lotissements entiers de familles avec jeunes enfants attirés par des prix beaucoup plus attractifs dans des communes qui n'ont pas connu les restrictions de foncier comme en proche banlieue toulousaine depuis 4 ou 5 ans).
Je pense que l'extension sera plutôt impressionnante lors de la prochaine révision des limites en 2020 (fusion des UU de Toulouse et Montauban et donc par là même des AU de ces 2 villes). Mais là, ce sera une autre analyse dans 10 ans.
Vous pensez que l unité urbaine de Toulouse pourrait fusionner avec celle de Montauban d ici 10 ANS comme c 'est le cas pour Marseille aix -en -Provence car si c est le cas l' unité urbaine de Toulouse va fortement grandir d' au moins 100000 Habitants moi perso çà me parait peu probable .
On ne va pas revenir dessus, vois les analyses faites ICI
Estimation 2012 selon évolution 1999-2008
AU limite 2010
12 410 000 PARIS
2 190 000 LYON
1 770 000 MARSEILLE
1 285 000 TOULOUSE
1 160 000 LILLE
1 152 000 BORDEAUX
1 036 000 NICE
890 000 NANTES
776 000 STRASBOURG
689 000 RENNES
680 000 GRENOBLE
656 000 ROUEN
625 000 TOULON
565 000 MONTPELLIER
Bordeaux est en passe de devenir la 5ème aire urbaine du pays devant Lille (partie française) pour 2013 ou 2014.
Rennes dépasse Grenoble en 2012.
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