PSS
PSSForum de discussionFranceBretagneDiscussion : Bretagne …

Bretagne - Villes (hors Brest, Lorient, St-Brieuc, St-Malo et Rennes)

#1 19-05-2006 22:59:58

Piéton
Modérateur
Lieu: Noisy-le-Grand (93)
Date d'inscription: 16-12-2005
Messages: 7679
Immeubles: 922
Photos: 2128
Site web

Bretagne - Villes (hors Brest, Lorient, St-Brieuc, St-Malo et Rennes)

Démographie (source http://gazetteer.de/wg.php?x=&men=g … ;geo=-6663 )


A2 les données du tableau ne semblent pas être fiables a 100%, néanmoins elles restent admissibles dans le cas où les erreurs ne sont pas conséquentes

http://img468.imageshack.us/img468/648/popvillesbreizh5ai.jpg

http://img218.imageshack.us/img218/221/variationpop90993hy.jpg

http://img422.imageshack.us/img422/6458/densits5tu.jpg

http://img422.imageshack.us/img422/676/evo200020309td.jpg

Désolé pour le caractère dépassé de ces données mais je n'ai pas trouvé plus récent pour l'instant, ça permet de donner un ordre d'idée sur la répartition et l'évolution des populations en bretagne

Dernière modification par steph35 (24-05-2006 03:11:35)

En ligne

 

#2 20-05-2006 05:35:21

Piéton
Modérateur
Lieu: Noisy-le-Grand (93)
Date d'inscription: 16-12-2005
Messages: 7679
Immeubles: 922
Photos: 2128
Site web

Re: Bretagne - Villes (hors Brest, Lorient, St-Brieuc, St-Malo et Rennes)

SITUATION GEOGRAPHIQUE

Vannes, ville préfecture, chef lieu du Morbihan est à 1 heure de Rennes, Nantes, Quimper, Saint Brieuc ; à 4 heures de Paris par l'autoroute, 3 heures par TGV, 1 heure par avion ; à 1 heure par voie express de l'aéroport international de Nantes, à 30 minutes de celui de Lorient ; Vannes est un carrefour privilégié en Bretagne Sud et bénéficie de la proximité du Golfe du Morbihan, principal atout touristique de la région.
 
Vannes bénéficie de l'ensoleillement et de la douceur climatique exceptionnels du Golfe du Morbihan (ensoleillement équivalent à +2000h/an).  Le Golfe, véritable mer intérieure, qui selon la légende compte autant d'îles que de jours dans l'année, fait partie du "Club des plus belles baies du monde".... Ses paysages changeants et insolites en font un lieu magique et attrayant.

Ancienne résidence des Ducs de Bretagne, Vannes, port du Golfe du Morbihan est située au centre de deux presqu'îles : la presqu'île de Rhuys (port du Crouesty) et la presqu'île de Quiberon (Carnac, La Trinité sur Mer, Auray et Sainte-Anne d'Auray)


DEMOGRAPHIE

Vannes, avec ses 54 773 habitants, est la ville centre de la Communauté d'agglomération du Pays de Vannes qui regroupe 24 communes et totalise 125 000 habitants.

L'évolution de la population de Vannes se caractérise par:

     -Une très forte vitalité démographique:
Vannes, 54 773 habitants, une ville où il fait bon vivre. Avec plus de 6000 nouveaux habitants depuis 1990 (+ 13,04 % de croissance de population municipale entre les deux derniers recensements), Vannes est la ville qui connaît le plus fort taux de croissance dans l'Ouest et sur l'ensemble des villes françaises de 40 000 habitants et plus.
La population de la Ville de Vannes a quasiment doublé entre 1954 (28 403 habitants) et 1999 (54 773 habitants).

     -Des prévisions d'évolution soutenues à long terme:
La zone d'emploi de Vannes bénéficie en outre des perspectives d'évolution démographique les plus fortes de Bretagne avec des prévisions d'augmentation de la population de +38,5% entre 1990 et 2020 (source: CESR 1998).
 
     -Un bassin de vie attractif:
48 % des Bretons choisiraient de s'installer à Vannes s'ils devaient déménager. Selon un sondage de l'IFOP réalisé en 1999 pour un grand quotidien régional, à la question : "si vous deviez déménager dans l'Ouest, où choisiriez-vous de vous installer ?" ; Vannes est plébiscitée par 48 % des Bretons et 11 % si l'on interroge l'ensemble des français. Une des conséquences de cette forte attirance : le nombre de logements sur Vannes a augmenté de 30 % entre les deux recensements.

     -Profil de la population:
-Une population jeune
L'accroissement de la population municipale de la Ville de Vannes entre 1990 et 1999 est assuré à 50 % par l'excédent naturel.
Vannes accueille le 3ème pôle universitaire de Bretagne : l'Université de Bretagne Sud et l'Université Catholique de l'Ouest comptent plus de 5 517 étudiants.
-Une augmentation de 65,5% d'étudiants entre 1990 et 1999.
Au recensement de 1990, le bassin d'emploi de Vannes abritait, selon l'INSEE, la population la plus jeune de Bretagne, avec Vitré et les deux principales villes universitaires que sont Rennes et Brest.

HISTOIRE    http://www.mairie-vannes.fr/animationdu … stoire.htm

Née il y a plus de 2000 ans, au fond du golfe du Morbihan, Darioritum s'étend largement sur la colline de Boismoreau, dominant un site d'échouage à la rencontre de voies commerciales terrestres et maritimes.

Promue capitale des Vénètes, la ville gallo-romaine s'organise autour d'un vaste forum, centre administratif et politique de tout le territoire.

A la fin du IIIe siècle, la construction d'un castrum s'impose sur la colline voisine du Mené, qui servira de base à la ville fortifiée du Moyen Âge.

Mais, c'est une cité à double noyau qui se développe alors: intra-muros, autour de la cathédrale, et sur le site de la ville gallo-romaine, autour de l'église Saint-Patern. Dès le Ve siècle, Vannes est le siège d'un évêché.

L'ouverture de chantiers témoigne du renouveau urbain pendant la période des XIIe et XIIIe siècles.
L'entretien et l'extension des remparts est la préoccupation des ducs de Bretagne. Jean II (1287-1305) donne à l'évêque Henri Tors, son château de la Motte, ancienne forteresse construite au Xe siècle.
Une cour de justice prend place à la Cohue, située face à la cathédrale. Un réseau viaire est désormais bien établi autour de ces édifices majeurs.

A la fin du Moyen Âge, Vannes devient la capitale des ducs de Monfort.
Au lendemain des guerres de Succession de Bretagne Jean IV (1365-1399) décide d'y construire son château de l'Hermine, et d'agrandir l'enceinte urbaine qui, adaptée à l'usage des canons, passe de 5 à 10 hectares.

C'est à Vannes, en 1532, que François Ier rencontre les parlementaires bretons pour décider du rattachement de la Bretagne à la France.

En 1675, le parlement de Bretagne, obligé de quitter Rennes pour Vannes; donne l'impulsion à de nouvelles constructions. Ainsi sont rapidement réalisés les hôtels particuliers qui bordent la rue Saint -Vincent ou la place des Lices.
Parallèlement, les faubourgs de la ville accueillent, au cours du XVIIe siècle, de nombreux établissements conventuels. Près du port, subsistent le couvent des Carmes ou encore la façade baroque de la chapelle du couvent des Ursulines (1690).

Au XIXe siècle, deux facteurs engendrent un épanchement du tissu urbain dans une ville qui semblait tombée en léthargie : l'arrivée du chemin de fer en 1862 puis l'implantation de deux régiments d'artillerie permettent un regain d'activité.

Petites industries et lotissements s'étendent à proximité de la gare puis aux quartiers ouest qui deviennent résidentiels. De nouvelles voies sont aménagées. Bien que ces voies contournent les anciens remparts, ceux-ci subissent pourtant quelques dommages.
Beaucoup d'efforts sont consacrés à partir du Second Empire, à la construction d'édifices plublics tels la préfecture ou l'hôtel de ville.

C'est au lendemain du deuxième conflit mondial que s'amorce une forte croissance.
Dans les années 1960-70, la création des Z.U.P. de Kercado puis de Ménimur, l'aménagement de la rocade Nord, ont profondément modifié l'emprise urbaine qui s'accroît et déborde les simples limites de la commune.

Toutefois Vannes a su préserver et mettre en valeur son coeur ancien à l'aide d'un plan de sauvegarde approuvé en 1982.

PLU ET PROJETS

http://img110.imageshack.us/img110/4035/plu11zl.th.jpg

-réaménagements de la place gambetta et du quai de la rabine

http://img232.imageshack.us/img232/8336/gambettafuturj5003ne.jpg

http://img232.imageshack.us/img232/46/rabinefutur5003uw.jpg

-creusement du tunnel routier de Kerino

Descriptif des opérations : construction d’un tunnel pour le franchissement du chenal de Kérino
Calendrier : mise à profit de l’année 2006 pour les études d’impact (bruit, eau…), puis soumis à une enquête publique.
Début des travaux fin 2007 – Fin : début 2008.
Budget : 22,8 millions d’euros

http://img54.imageshack.us/img54/1563/tunnelkerino5008ef.jpg



PHOTOS (trouvées sur le net)

http://img502.imageshack.us/img502/6371/vannesremparts9pl.jpg

http://img502.imageshack.us/img502/4706/vannes46530oy.jpg

http://img54.imageshack.us/img54/1285/resize20of2010505963dy.jpg

http://img54.imageshack.us/img54/1349/bretagne249um.jpg

http://img224.imageshack.us/img224/3526/dsc02785lw.jpg

http://img224.imageshack.us/img224/8197/lavoirvannes800x6006xw.jpg

http://img224.imageshack.us/img224/4515/maisonsvannes800x6007hy.jpg

http://img54.imageshack.us/img54/6084/resize202of20rotation20of20105.jpg

http://img224.imageshack.us/img224/1911/resize202of2010606026uv.jpg

http://img224.imageshack.us/img224/6084/resize202of20rotation20of20105.jpg

http://img224.imageshack.us/img224/9617/resize202of20rotation20of20106.jpg

http://img224.imageshack.us/img224/9656/vannes46590wg.jpg

http://img54.imageshack.us/img54/9707/leportvannes565wa.jpg

http://img54.imageshack.us/img54/1034/108206a1eu.jpg


et puis pour finir, un peu à la manière de NYC vue du chrysler buiding ( A10 )


http://img54.imageshack.us/img54/7415/centrevillevannes565fs.jpg

Dernière modification par steph35 (20-05-2006 13:26:20)

En ligne

 

#3 20-05-2006 11:59:08

Gui
Grande Arche
Date d'inscription: 11-11-2005
Messages: 365

Re: Bretagne - Villes (hors Brest, Lorient, St-Brieuc, St-Malo et Rennes)

Aaah, les sites de mairies... B5

Hors ligne

 

#4 20-05-2006 13:23:58

Piéton
Modérateur
Lieu: Noisy-le-Grand (93)
Date d'inscription: 16-12-2005
Messages: 7679
Immeubles: 922
Photos: 2128
Site web

Re: Bretagne - Villes (hors Brest, Lorient, St-Brieuc, St-Malo et Rennes)

et ouais, pour obtenir un semblant  d'informations convenables concernant les villes, certains sites de mairies affichent un contenu assez dense  B3 (le cas pour celui de vannes), j'y ai donc pris "l'essentiel" (tout en inscrivant le lien pour laisser la possibilité à ceux qui le voudraient, d'aller y faire un tour) en attendant d'avoir d'autres sources, permettant a chacun de se faire une idée sur les villes "moins connues" (qui n'ont pas leur propre thread ici)...pour, pourquoi pas, déclencher chez certains un intérêt pour les vieilles pierres bretonnes ( A5 ), l'architecture, l'urbanisme de ces villes (n'est-ce pas le sujet du forum ?... B2 )

En ligne

 

#5 20-05-2006 13:38:03

jerem112
Grande Arche
Lieu: lille
Date d'inscription: 19-04-2006
Messages: 352

Re: Bretagne - Villes (hors Brest, Lorient, St-Brieuc, St-Malo et Rennes)

Vannes à l'air d'être une jolie ville et les photos sont sympa!

Hors ligne

 

#6 20-05-2006 14:25:24

Gui
Grande Arche
Date d'inscription: 11-11-2005
Messages: 365

Re: Bretagne - Villes (hors Brest, Lorient, St-Brieuc, St-Malo et Rennes)

steph35 a écrit:

et ouais, pour obtenir un semblant  d'informations convenables concernant les villes, certains sites de mairies affichent un contenu assez dense  B3

Je veux dire par là qu'ils sont toujours vachement optimistes à propos de leur ville (en même temps c'est normal...), et que ce n'est pas forcément la meilleure source pour se faire une idée d'une ville sur le net B5

Hors ligne

 

#7 20-05-2006 15:03:29

Piéton
Modérateur
Lieu: Noisy-le-Grand (93)
Date d'inscription: 16-12-2005
Messages: 7679
Immeubles: 922
Photos: 2128
Site web

Re: Bretagne - Villes (hors Brest, Lorient, St-Brieuc, St-Malo et Rennes)

@ gui

dsl si je me suis mal exprimé, mais je n'utilise les sites des villes que pour trouver des informations relatives à l'histoire, la population,...
bref une présentation plus "géographique" qu'économique de la ville... A7 (c'est, du moins, mon intention... C6 )
maintenant il est sur qu'il ne parle pas constamment de la météo sur leur sites...( A10  A10  D6 )

En ligne

 

#8 20-05-2006 15:04:33

Piéton
Modérateur
Lieu: Noisy-le-Grand (93)
Date d'inscription: 16-12-2005
Messages: 7679
Immeubles: 922
Photos: 2128
Site web

Re: Bretagne - Villes (hors Brest, Lorient, St-Brieuc, St-Malo et Rennes)

http://img245.imageshack.us/img245/1907/quimper2xp.th.jpg

PRESENTATION

Préfecture du Finistère, capitale de la Cornouaille, le rayonnement de Quimper va bien au-delà de son statut de ville moyenne (64.100 habitants). De la Cornouaille historique à la Cornouaille économique, ce vaste territorie situé au sud du Finistère se distingue par son dynamisme et son esprit d'initiative.
Culture, vie associative, loisirs, environnement... l'agglomération quimpéroise est un pôle d'activités attractif. A 15 km des côtes atlantiques, faisant face aux Amériques, Quimper est une ville résolument ouverte sur le monde.
Mariant harmonieusement tradition et modernité, Quimper aborde le troisième millénaire avec l'ambition de devenir une véritable ville européenne.

HISTOIRE

Tout au long de son histoire, Quimper a été à la fois un abri et un lieu de passage. Au fond d'une ria d'une vingtaine de kilomètres, un site vallonné entouré de collines abrite dès l'époque gauloise différents lieux de peuplement sur les hauteurs. La conquête romaine fait de Locmaria au bord de l'Odet et à proximité d'un gué, un lieu urbanisé où s'organise un port.
Les Bretons christianisés, après l'effondrement du monde romain, privilégient un autre centre urbain en amont au niveau du confluent (Kemper : confluent en breton). La puissance du comte de Cornouaille et la naissance du siège episcopal (sans doute vers le IXe siècle) tout en renforçant le rôle de la ville, déterminent une véritable partition du sol entre pouvoir laïque et pouvoir religieux : une ville épiscopale et, sur l'autre rive du Steïr, un faubourg organisé autour d'une place dépendant du duc de Bretagne (la terre au Duc). Sous la même dépendance ducale à Locmaria, une abbaye bénédictine regroupe autour d'elle une petite urbanisation.
La construction de la cathédrale structure la ville au croisement de deux axes de circulation où se rencontrent toutes les activités.
Le XVIe siècle et le rattachement de la Bretagne à la France vont après les guerres de religion modifier cet équilibre urbain. La mise en place de l'administration royale, notamment l'installation du présidial dans la terre au Duc, cherche à concurrencer et à limiter le pouvoir des évêques. Au XVIIe siècle, les ordres religieux liés à la Contre-réforme s'installent eux aussi sur la terre au Duc. A Locmaria, la reconstruction du prieuré va de pair avec le développement des manufactures de faïence (1690).
A partir de la Révolution, Locmaria est rattaché à la commune de Quimper. Le développement du port favorise l'aménagement des quais tandis que le choix de la ville comme chef-lieu du département puis comme préfecture inaugure un siècle de constructions et d'aménagements. La préfecture (1802) et le tribunal (1829) s'établissent à l'extérieur du rempart, le long de l'Odet qui devient l'axe de développement de la ville. A l'intérieur de la vieille ville, mairie(1831) et halles (1843) sont à l'origine de vastes opérations d'urbanisme.
L'arrivée du chemin de fer en 1864 entraîne le prolongement du quai le long du rempart sud. Dans le même temps, les premières implantations industrielles alliées aux lotissements ouvriers au cap Horn en face de Locmaria accentuent le développement de la ville vers l'ouest le long de la rivière.
En 1960, la ville se dote de moyens pour son expansion en s'associant aux communes voisines de Ergué-Armel, Kerfeunteun et Penhars. Le grand Quimper passe alors de 20.000 à 60.000 habitants.
Le port du Corniguel, la Zac de Creach Gwen se développent vers l'ouest, tandis que la route à quatre voies Nantes-Brest suscite une nouvelle extension vers le nord avec la cité administrative de Ty Nay et la zone commerciale de Gourvilly. Les projets actuels tendent à relier tous ces pôles entre eux sans perturber l'équilibre du centre ancien.

PROJETS

-le contournement nord ouest

Peu à peu, le Contournement Nord Ouest (CNO) se dessine. En 2008, il reliera les routes d'Audierne et de Douarnenez à la voie express Brest-Lorient, sans passer par le centre-ville de Quimper. Le CNO est un projet structurant. Il devient une des parties du squelette de Quimper, résume André Guénégan, adjoint au maire, chargé du développement urbain et des travaux, et vice-président de Quimper-Communauté chargé des transports.
Le tracé matérialise une coupure entre ville et campagne, indique Jean-Louis Gagnepain, conseiller municipal, viceprésident de Quimper-Communauté chargé du développement économique et conseiller général de Kerfeunteun. Au sud, une zone urbaine et commerciale. Au nord, la campagne et le développement agricole conservés, car faisant partie intégrante de l'économie de l'agglomération et même de la Cornouaille.
Un projet de grande ampleur (budget : 46,5 millions d'euros) porté par la Région, le Conseil général et Quimper Communauté. Et le CNO traverse la commune de Quimper. Quels sont alors les impacts pour la Ville ?
Le CNO sera ouvert à la circulation en 2008. De 15 000 à 25 000 véhicules, en fonction des endroits, l'emprunteront chaque jour.
- 7 km de 2 x 2 voies qui relient les routes de Douarnenez et d'Audierne à la voie express Brest-Lorient, sans passer par Quimper.
- Kernevez - Prad Ar Raz : un système d'échange et le raccordement aux routes de Douarnenez et d'Audierne.
- Kermabeuzen : un viaduc de 165 m qui enjambe le vallon à 20 m de hauteur. En courbe avec des chaussées décalées, il est composé de 2 ponts parallèles comprenant chacun 4 travées et 3 piles. Le viaduc, c'est 6 millions d'euros, 6 800 m3 de béton et 735 tonnes d'acier.
- Kergolvez : un demi échangeur, ouvert en direction de l'est, vers la voie express. A partir de Kergolvez, les véhicules peuvent emprunter les routes du Moulin-Vert et de Locronan, réaménagées, pour rejoindre le centre-ville.
- Kergariou : un échangeur, pour rejoindre la route de Plogonnec ou le centre-ville de Quimper, via Kerfeunten.
- Park Poullic : un échangeur et le raccordement à la voie express. Dans ce secteur, deux ponts sont construits, celui de Penvern et celui de la voie romaine, pour enjamber, en deux endroits, la 2 x 2 voies.

http://img76.imageshack.us/img76/9117/planroute7my.th.jpg

-le centre nautique

Les travaux de construction du centre nautique viennent de démarrer sur la rive gauche de l'Odet. D'une superficie de 1400 m², le bâtiment accueillera les clubs d'aviron, canoë kayak, voile, plongée, pêche et bateaux miniatures électriques à partir de juin 2007.
Le futur centre nautique sera situé sur la rive gauche de l'Odet, à Creac'h Gwen, à proximité de la baie de Kérogan et de l'étang de Creac'h Gwen sur une superficie du terrain : 1,7 hectare environ.
   
:: Historique du projet
Le 21 septembre 2001, compte tenu de la dissémination des activités nautiques sur la ville et l'inadaptation de leurs locaux, le Conseil Municipal a décidé de confier à la société Act Ouest une étude de faisabilité et d'implantation d'un Centre Nautique à Quimper.
Le 1er juillet 2002, le Bureau Municipal a donné son accord aux propositions du cabinet Act Ouest pour la réalisation d'un Centre Nautique à Créach Gwen et a validé les principaux éléments de programmation.
Le 17 décembre 2004, validation du projet par le Conseil Municipal

:: Un projet conçu en concertation avec les utilisateurs
Le projet du centre nautique, dont la maîtrise d'ouvrage est assurée par la ville de Quimper  a été conçu en concertation permanente avec les futurs utilisateurs, c'est-à-dire les associations et clubs d'activités nautiques qui ont apporté leur éclairage sur les besoins pour une utilisation optimale des lieux.
Les futurs occupants sont les clubs d'aviron, de canoë kayak, de voile, de plongée, de pêche et les bateaux miniatures électriques.
Les modalités d'utilisation du plan d'eau de la baie de Kérogan ont fait l'objet d'une concertation avec les représentants des Affaires Maritimes, de la DDE, du Conseil Portuaire, du Conseil Général, du Capitaine du Port et des clubs nautiques locaux. Celle-ci a abouti à la rédaction d'une charte des utilisateurs.

:: Un bâtiment de 1400 m2 et une architecture réfléchie
L'architecture évoquant les formes d'un bateau  reflète la fonction future du bâtiment. Si l'on examine le plan de masse, l'espace disponible pour la construction imposait pratiquement la forme à dessiner. Il était également important d'en réduire l'impact visuel et de l'intégrer totalement dans l'environnement, les courbes d'un bateau permettaient de rendre « ce fondu dans le paysage »... De plus, par souci d'économie et de préservation de l'environnement, la conception a intégré un chauffe eau solaire pour la production d'eau chaude sanitaire.
Le bâtiment de 1 400 m² au total, est divisé en deux parties comprenant des locaux administratifs, des locaux techniques couverts, une esplanade.
- Locaux administratifs :
-    Accueil :
. comptoir information : plans, tarifs, horaires, météo, marée...
. espace convivialité    : distributeur de boissons, coin salon...
- Bureaux des associations : 3 bureaux séparés (voile, aviron et canoë kayak) et 1 grand bureau de 40 m² commun pour 3 associations.
- Deux salles de cours et de réunions : pouvant accueillir 10 et 30 stagiaires
- Locaux techniques :
- Voile : rangement baumes, safrans, voiles, accessoires... 1 Atelier voilerie.
- Canoë kayak : stockage des bateaux de compétition
- Aviron : stockage des bateaux de compétition. Rangements des gilets, accessoires, avirons.
- Local pour l'entretien des bateaux
- Local pour le stockage des bateaux de sécurité

:: Les aménagements extérieurs
-    Création à l'entrée du site d'un parking de 65 places.
-    Création d'un cheminement piétonnier entre le bâtiment et la rivière,
-    Parcs à bateaux clôturés
-    Pontons pour la mise à l'eau et à terre des canoës et kayaks,
un ponton de liaison de 50 mètres de longueur
un ponton terminal de 20 mètres de longueur.

:: Budget
Le coût total de l'opération est estimé à 2 015 000 euros HT soit 2 410 000 euros TTC, avec la participation de la Région, du Conseil Général et du CNDS (Centre National pour le Développement du Sport).

:: Accès au chantier et circulation
L'accès au chantier se fera par l'actuel parking des tennis. La sécurité des usagers des tennis sera préservée par la création d'un couloir de circulation pour les véhicules de chantier, délimité par des barrières. De même, l'accès aux jeux sera protégé.
Fin des travaux en mai 2007.

http://img217.imageshack.us/img217/8119/centrenautique3hq.jpg

http://img217.imageshack.us/img217/7420/centrenautique13tz.jpg


PHOTOS (trouvées sur le net)

http://img114.imageshack.us/img114/6530/in20quimpersilv3mh.th.jpg

http://img114.imageshack.us/img114/299/quimpercat2hs.jpg

http://img114.imageshack.us/img114/3043/1391quimper2hw.jpg

http://img134.imageshack.us/img134/988/2340quimper40bg.jpg

http://img114.imageshack.us/img114/9766/quimper38iy.jpg

http://img114.imageshack.us/img114/9100/sanstitre0aw.jpg http://img114.imageshack.us/img114/1558/sanstitre18ut.jpg

http://img134.imageshack.us/img134/5402/sanstitre22jn.jpg http://img134.imageshack.us/img134/5323/sanstitre34ck.jpg

http://img114.imageshack.us/img114/3161/sanstitre49fb.jpg http://img134.imageshack.us/img134/4836/sanstitre58as.jpg

Dernière modification par steph35 (20-05-2006 20:05:59)

En ligne

 

#9 20-05-2006 15:15:09

Gui
Grande Arche
Date d'inscription: 11-11-2005
Messages: 365

Re: Bretagne - Villes (hors Brest, Lorient, St-Brieuc, St-Malo et Rennes)

Ok Steph35  A7

Eh bien, Quimper a l'air d'une ville rudement sympa!

Hors ligne

 

#10 20-05-2006 15:21:05

Piéton
Modérateur
Lieu: Noisy-le-Grand (93)
Date d'inscription: 16-12-2005
Messages: 7679
Immeubles: 922
Photos: 2128
Site web

Re: Bretagne - Villes (hors Brest, Lorient, St-Brieuc, St-Malo et Rennes)

comme toutes les villes, villages et hameaux de bretagne  A6  A10

En ligne

 

#11 20-05-2006 16:06:59

jerem112
Grande Arche
Lieu: lille
Date d'inscription: 19-04-2006
Messages: 352

Re: Bretagne - Villes (hors Brest, Lorient, St-Brieuc, St-Malo et Rennes)

Quimper à l'air moin triste que brest!

Hors ligne

 

#12 20-05-2006 16:24:32

Piéton
Modérateur
Lieu: Noisy-le-Grand (93)
Date d'inscription: 16-12-2005
Messages: 7679
Immeubles: 922
Photos: 2128
Site web

Re: Bretagne - Villes (hors Brest, Lorient, St-Brieuc, St-Malo et Rennes)

brest n'est pas triste, brest est différente - et quimper n'a pas connu les bombardements que brest a subi.
même si il est vrai que les couleurs du centre ville sont plus chatoyantes a quimper qu'a brest (toute de murs blancs et gris vêtue)...

En ligne

 

#13 20-05-2006 16:42:50

jerem112
Grande Arche
Lieu: lille
Date d'inscription: 19-04-2006
Messages: 352

Re: Bretagne - Villes (hors Brest, Lorient, St-Brieuc, St-Malo et Rennes)

certe, mais lorsque je parlé de la tristesse j'évoquai bien entendu la couleur et la forme simplement appercu à travers les panoramas montrés dans ce forum! ça à l'air visuellement plus rythmé!

Hors ligne

 

#14 20-05-2006 17:00:57

Piéton
Modérateur
Lieu: Noisy-le-Grand (93)
Date d'inscription: 16-12-2005
Messages: 7679
Immeubles: 922
Photos: 2128
Site web

Re: Bretagne - Villes (hors Brest, Lorient, St-Brieuc, St-Malo et Rennes)

SITUATION

Le nom de Lanester provient du breton "lann-er-ster", qui se traduirait par "la lande de la rivière".
Aujourd’hui, Lanester, avec ses 23 144 habitants, est la troisième ville du Morbihan et l’un des poumons économiques du Pays de Lorient (206 000 habitants), au carrefour des axes Nantes-Brest et Rennes-Quimper.
Elle est située dans la rade de Lorient, à la confluence du Scorff et du Blavet face à la ville de Lorient, à une heure de Paris par avion (aéroport de Lann-Bihoué à 15mn de Lanester).
La gare SNCF de Lorient, à 5mn de la commune, est desservie par la plupart des lignes directes. Ce qui place Lanester à 3H30 de Paris et à 6H30 de Lyon par liaison TGV.

HISTOIRE

Un biface moustérien a été découvert près de la Zone Industrielle de Bellevue. Cet outil est témoin de l’époque très ancienne du Paléolithique moyen (100 000 à 50 000 ans avant JC).

Aux IIème et IIIème siècles, les romains et gallo-romains séjournent sur notre commune, proche de la voie romaine Hennebont - Pont-Scorff.

Au Moyen-Age, outre la pêche, une agriculture en autarcie s’y développe. C’est le commencement des grands défrichements.
Sous l’Ancien Régime, les villages structurés autour de la paroisse de Caudan comptent 11 frairies, dont 6 en terres lanestériennes : Les Deux-Ponts, Penhoret, Kerguillé, Pendreff, Kerbeban, Locmaria
La Compagnie des Indes Orientales est reprise par la Marine Royale  en 1790. C’est une décision fondamentale pour l’avenir de la  Rade de Lorient et des rives du Scorff.
De 1847 à 1852, la marine en rade de Lorient  est en plein essor et voit la construction sur le Scorff du Parc à Bois de St Isidore, pour conserver les bois et les rendre imputrescibles (vestiges visibles à marée basse).
Les ponts sur le Scorff et le Blavet se substituent aux bacs des passeurs.
1907 voit la constitution des paroisses de St Joseph du Plessis et  Notre-Dame-du-Pont , qui se séparent de Caudan.
1909, c’est la création de la Commune de Lanester, fille de l’Arsenal.
Entre 1909 et 1939, Lanester connaît une certaine évolution, sans modification sensible des structures de la commune.
La période 1939-1945 est douloureuse pour les lanestériens contraints à l’exil. Le recensement approximatif effectué en février 1945 fait état de la présence de 185 civils seulement à Lanester. La ville est sérieusement endommagée par les bombardements : 77% des bâtiments sont détruits ou abîmés.
Ensuite vient l’heure de la reconstruction et des grandes mutations. La ville voit sa démographie subir une forte hausse. En effet, on dénombre 14 000 lanestériens, en 1958. Dans les années 1980, un nouveau centre-ville est créé, conforté par la construction d’un nouvel Hôtel de Ville en 1992.

PHOTOS (j'en ai trouvé très peu sur internet il faudra donc que je fasse absolument le tour de bretagne pour alimenter ce thread  A6 )

http://img210.imageshack.us/img210/9881/lan016mn.jpg

http://img151.imageshack.us/img151/4586/lan024aq.jpg

http://img151.imageshack.us/img151/723/lan032jw.jpg

http://img388.imageshack.us/img388/5277/lan045lu.jpg

http://img151.imageshack.us/img151/725/lancienpontsncfsurlescorff2001.jpg

http://img151.imageshack.us/img151/4442/lenouveaupontsncfsurlescorff20.jpg

En ligne

 

#15 21-05-2006 20:35:16

Piéton
Modérateur
Lieu: Noisy-le-Grand (93)
Date d'inscription: 16-12-2005
Messages: 7679
Immeubles: 922
Photos: 2128
Site web

Re: Bretagne - Villes (hors Brest, Lorient, St-Brieuc, St-Malo et Rennes)

SITUATION (source: wikipédia)

Fougères (Felger en breton et Foujerr en gallo) est une sous-préfecture situé à la limite de la Bretagne, du Maine et de la Normandie et tire son nom de la plante, ou de fous qui signifie fossé
Ville d'un peu moins de 25000 habitants, Fougères est surtout connue pour son château.

HISTOIRE

La création de Fougères remonte au Moyen Âge. On retrouve la première mention du château de Fougères vers la fin du Xe siècle. C'était à l'époque une simple fortification en bois située sur une crête rocheuse, dont la position dominait avantageusement la vallée du Nançon et les marais environnants. À partir du XIIe siècle, la population s'éloigne de la rive du Nançon et la ville se développe plus en hauteur, partagée en deux paroisses : Saint-Sulpice pour la ville basse et Saint-Léonard pour la ville haute. Dès le Moyen-Âge, l'activité artisanale se développe autour de la tannerie, des tisserands et des drapiers dans la ville basse.

Bâtie au XIe siècle par les seigneurs de Fougères, la première fortification, défendue par Raoul II (1130-1194), est prise par Henri II Plantagenêt en 1166 et détruite. Raoul II, obstiné, la fera reconstruire en plus imposante, et elle deviendra une place-forte défendant les frontières de la Bretagne. Cependant, la position géographique et les intérêts des seigneurs de Fougères les font souvent pencher en faveur du royaume de France. Quand Raoul III offre sa possession à Saint Louis, le prince breton Pierre Mauclerc s'empare de la ville en 1231, qui sera ensuite reprise par le roi. La fille de Raoul III, Jeanne de Fougères, mariée à Hugues XII de Lusignan, entreprendra de nouveaux travaux de fortification et embellira la ville. La fin du XIIIe siècle sera une période de paix et de prospérité pour Fougères.

En 1307, Philippe le Bel rachète le domaine mais le royaume de France ne s'y intéresse guère et ne l'entretient pas. Après divers combats et retournements d'alliances, Bertrand du Guesclin y pénètre en 1373, mais la situation ne s'améliore pas. Livrée à elle-même et victime du pillage, la population de Fougères demande assistance au duché de Bretagne. Elle rentrera dans son giron en 1428, vendue par Jean II d'Alençon. Mais en 1449, un dénommé Surienne, appuyé par les Anglais, s'en empare et la met à sac. Il y aura de nombreux massacres, ce qui provoque la réaction de Charles VII, bien décidé à se débarrasser des anglais. Cette épisode annonce la fin de la guerre de Cent Ans. Après être brièvement passée sous la domination de François II de Bretagne, c'est finalement La Trémoille, général français, qui reprend Fougères en 1488.

Au XVIe siècle, la ville perd son rôle défensif. L'artisanat continue à se développer, notamment le travail de l'étain (rue de la Pinterie). Pendant les guerres de religion, la ville reste catholique alors que Vitré est touchée par les affrontements avec les huguenots.

Jusqu'en 1775, Fougères ne fera plus guère parler d'elle. Le marquis de La Rouërie, un jeune homme exalté, part alors aux États-Unis pour lutter auprès des insurgés américains. De retour en France, après avoir été emprisonné pendant un mois pour avoir trop défendue la cause bretonne, il est accueilli en héros au pays natal. Lors de la révolution, l'assermentation des prêtres sera un des éléments déclencheurs d'une rébellion, la Conjuration Bretonne, menée par la Rouërie. Les chouans s'emparent de la ville qui est reprise quelques semaines plus tard par les républicains. Pendant huit ans, la ville et sa région passent de main en main, avec au passage de nombreux massacres et pilliages.
À partir de la seconde moitié du XIXe siècle, l'industrie remplace peu à peu l'artisanat, et Fougères voit l'implantation de manufactures de chaussures.

Le XXe siècle est marqué par le terrible bombardement anglo-américain du 9 juin 1944, qui tue 300 personnes, en blesse deux fois plus, et détruit la plupart des équipements publics et industriels. Depuis, la ville s'est largement ouverte au tourisme, grâce à son château médiéval et à ses quartiers historiques. À partir des années 1970, l'industrie s'est diversifiée : agro-alimentaire, ameublement, mécanique, verre, électronique, informatique et robotique. Fougères organise également un important marché au bétail.

PHOTOS (touvées sur le net)

http://img275.imageshack.us/img275/848/chat010el.jpg

http://img275.imageshack.us/img275/8480/dscn29678bh.jpg

http://img275.imageshack.us/img275/3658/dscn29681is.jpg

http://img275.imageshack.us/img275/6489/dscn29783qb.jpg

http://img275.imageshack.us/img275/3646/fougeres3et.jpg

http://img275.imageshack.us/img275/5949/fougeres4d9rd.jpg

http://img275.imageshack.us/img275/8999/panfougeres3tk.jpg

En ligne

 

#16 22-05-2006 16:36:19

Antarès
Notre Dame
Date d'inscription: 11-02-2005
Messages: 143

Re: Bretagne - Villes (hors Brest, Lorient, St-Brieuc, St-Malo et Rennes)

Génial le dossier ! J'suis pressé de voir le démographie de Rennes après la Courouze et Beauregard ^^.

Hors ligne

 

#17 23-05-2006 12:45:01

zapotek
Membre
Date d'inscription: 15-04-2006
Messages: 38

Re: Bretagne - Villes (hors Brest, Lorient, St-Brieuc, St-Malo et Rennes)

je voudrais emettre de leger doutes quant aux serieux des chiffres du tableau sur la demographie des villes bretonnes, j'avais connaissance que rennes comptait non pas 212 000 habitants mais 206 000 en 1999, c'est pas grand chose mais ca revele peut etre un melange de resultats avec et sans double compte ce qui expliquerait la diminution de poulation. sinon cesson- sevigne a plus de 18 000 habitants je trouve ca louche, je pense plutot 16 000, de meme pour bruz qui elle est sous evalur car le site de sa mairie parle de 16 783 hab pour 2005 ce qui voudrait dire que la ville aurait perdu 2000 habitants soit presque un sur huit en seulement un an, voila c'etait histoire de chipoter lol  A7

Hors ligne

 

#18 24-05-2006 03:05:02

Piéton
Modérateur
Lieu: Noisy-le-Grand (93)
Date d'inscription: 16-12-2005
Messages: 7679
Immeubles: 922
Photos: 2128
Site web

Re: Bretagne - Villes (hors Brest, Lorient, St-Brieuc, St-Malo et Rennes)

@ zapotek

les chiffres dans le tableau sont issus d'un site world gazetteer, il n'est pas là pour être infiniment précis (à l'habitant près, d'ailleurs je me demande si je ne dois pas arrondir ces chiffres F9 ou annoter le tableau), il est juste là pour donner un ordre d'idée sur le poids démographique des principales communes de bretagne et leur éventuelle évolution
maintenant si tu te sens suffisament motivé pour aller relever l'ensemble des chiffres de ces 32 villes, correspondant a l'ordonnancement du tableau en question, sur le site de l'insee (garantie des chiffres) libre a toi et ils seront le bienvenus dans ce thread  A5   A10

Dernière modification par steph35 (24-05-2006 03:13:05)

En ligne

 

#19 23-06-2006 18:39:10

Piéton
Modérateur
Lieu: Noisy-le-Grand (93)
Date d'inscription: 16-12-2005
Messages: 7679
Immeubles: 922
Photos: 2128
Site web

Re: Bretagne - Villes (hors Brest, Lorient, St-Brieuc, St-Malo et Rennes)

VANNES

Ouest-France vendredi 23 juin 2006

Voici la future salle de musiques actuelles
 
http://img279.imageshack.us/img279/5976/va6012952491200606229ud.jpg

Le jury a tranché parmi trois projets : voici la nouvelle salle de musiques actuellesqui verra le jour en 2007. Visite virtuelle.
Peut-être un peu de baume au coeur d'Hervé Pellois, maire de Saint-Avé, privé du collège public en début de semaine au conseil général. Hier soir, l'agglomération a donné son feu vert au jury qui a choisi la future salle de musique actuelle. C'est le projet du groupement Franic Garcin-Auffret-Grandmougin-Gecobat qui a été retenu. Le coût prévisionnel des travaux va s'élever à 2,47 millions d'euros. Le mode de gestion choisi est celui d'une régie autonome sous forme d'établissement public local.

Le choix de l'implantation de cet équipement sur le site du Polygone militaire de Saint-Avé, a déjà été voté en septembre 2005. Rappelons que le projet initial prévoit quatre studios de répétition, un studio pour les musiques assistées par ordinateur, une régie d'enregistrement, un espace multimédia et une salle de concert modulable, pouvant accueillir 50 personnes assises ou 500 debout. L'ouverture est prévue fin 2007 ou début 2008.

Le président de l'agglomération, François Goulard, a reconnu des retards dans le dossier, mais a expliqué qu'au départ, les réponses de la maîtrise d'oeuvre n'étaient pas satisfaisantes.

Et de souligner le travail efficace des services de l'agglomération qui permettent in fine de lancer le projet à des coûts moindres que prévu au départ.

Le projet de salle de musiques actuelles retenu, celui du groupement Franic Garcin/Auffret/Grandmougin/Gecobat.

En ligne

 

#20 10-10-2006 19:18:22

Stickyesman
Modère-à-tort
Lieu: Paris
Date d'inscription: 25-12-2004
Messages: 10446
Immeubles: 555
Photos: 15
Site web

Re: Bretagne - Villes (hors Brest, Lorient, St-Brieuc, St-Malo et Rennes)

Le Moniteur 09-10-2006

Vifs débats autour d'un établissement public foncier en Bretagne
Un projet du conseil régional (majoritairement de gauche) de créer un établissement public foncier (EPFR) pour lutter contre la flambée de l'immobilier suscite de vifs débats en Bretagne, où un tiers des communautés de communes ont exprimé un avis négatif.
Vivement opposés à l'EPFR en raison du projet de créer une taxe pour le financer, le ministre délégué à la recherche François Goulard, élu UMP de Vannes, et le député-maire UMP de Vitré Pierre Méhaignerie ont obtenu du gouvernement que leurs communes n'y soient pas intégrées, a indiqué à l'AFP un porte-parole du conseil régional.
Ce passe-droit a suscité de vives réactions parmi d'autres collectivités locales, comme le Conseil général du Morbihan ou la communauté de communes de Pontivy dans le même département, qui ont du coup émis un avis négatif, selon la même source.
Qu'elles soient opposées à la nouvelle taxe ou à l'exemption de Vannes et Vitré, ce sont au total 36% des communautés de communes de Bretagne qui ont exprimé un avis défavorable au projet de décret devant créer l'EPFR, sans doute d'ici à la fin de l'année, selon le conseil régional qui rappelle toutefois que leur avis est consultatif et ne remet pas le projet en cause.
L'EPFR achètera des terrains pour les revendre à prix coûtant aux communes qui le souhaiteront, comme c'est déjà le cas notamment en Normandie, Ile-de-France ou Provence-Alpes-Côtes d'Azur dans le cadre d'une loi qui prévoit ce dispositif.
L'objectif est d'"enrayer la crise du foncier qui à moyen terme met en péril le développement de la Bretagne", a expliqué le président du conseil régional Jean-Yves Le Drian (PS) en rappelant que la région accueille 20.000 habitants de plus par an. "Les ménages les plus modestes ne parviennent plus à se loger", selon lui.
L'EPFR devrait effectuer 45 millions d'euros d'acquisitions par an, soit près de 200 hectares destinés majoritairement au logement social mais aussi à l'activité économique, à l'environnement et au patrimoine.
Il doit être financé notamment par un taxe de 2 à 6 euros par foyer fiscal, la revente des terrains et des dotations de la région et des départements.

http://www.lemoniteur-expert.com/depech … mp;acces=1


PSS - Architecture, Urbanisme, Aménagement du territoire
City Forum - Ville 3D

~ Ah tu Voi c pour sa ke Seul les pti bonhomme du Baby on ldroi dShooT - Chandler Friends s06-ep06 ~

Hors ligne

 

#21 27-11-2006 18:20:14

ac29
Membre
Date d'inscription: 14-11-2006
Messages: 25

Re: Bretagne - Villes (hors Brest, Lorient, St-Brieuc, St-Malo et Rennes)

Morlaix
16000habitants puis environ 23000habitants si on lui ajoute Saint Martin des champs et Ploujean.
3 grandes entreprises comme le siege social d'brit air et la reparation aéronotique 500personnes en tout, le telegramme journal tiré a 200 000 exemplaires environ 400pers.
giagonni sermetta 500 employé
Morlaix est une ville charmante bon c'et vrai qui ne bouge pas trop avec un centre ville peu atractif mais ancien et charmant...


pour differencier la Bretagne du paradis on lui ajouta la pluie...

Hors ligne

 

#22 22-12-2006 13:11:24

Vitriacus
Arc de Triomphe
Lieu: Vitré (35)
Date d'inscription: 16-04-2006
Messages: 78

Re: Bretagne - Villes (hors Brest, Lorient, St-Brieuc, St-Malo et Rennes)

SITUATION (source: Wikipédia)

Vitré est une commune française, située dans le département d'Ille-et-Vilaine et la région Bretagne.

Son nom breton est Gwitreg et son nom gallo est Vitræ. Le nom de Vitré viendrait de l’anthroponyme gallo-romain Victor ou Victrix, le nom du propriétaire d’un domaine gallo-romain se situant dans la région. Une autre hypothèse voudrait que l'origine du nom viendrait de Vicus signifiant «petite agglomération» en latin.

Les habitants sont les Vitréens ou Vitréennes.

Vitré, ancienne sous-préfecture (jusqu'en 1926) et chef-lieu de canton de plus de 17 000 habitants, aux portes de la Bretagne, à la rencontre de la Normandie, du Maine et de l'Anjou, a obtenu le label ville d'Art et d'Histoire du fait de son très riche patrimoine.

HISTOIRE

Les origines

Il semblerait que le site de Vitré fut occupé dès l’époque gallo-romaine. Le nom de Vitré viendrait de l’anthroponyme gallo-romain Victor ou Victrix, le nom du propriétaire d’un domaine gallo-romain se situant dans la région. L’an 1000 marqua la naissance de Vitré, lorsque le duc de Bretagne Geoffroy Ier inféode Riwallon Le Vicaire, chargé de garder cette région stratégique qu’est la zone tampon des « Marches de Bretagne ». Un petit château en bois sur une motte féodale est construit sur la colline Sainte-Croix. Le château est incendié à plusieurs reprises, puis légué aux moines bénédictins de Marmoutiers. Un autre château en pierre, signe de richesse relative du seigneur, est construit en 1070 par Robert Ier sur son emplacement actuel, sur un éperon rocheux dominant la Vilaine. Certaines parties en sont encore visibles aujourd’hui. Il subsiste un portail roman qui comporte une alternance de schiste bleu – noir et de granit roux provenant d’une carrière située à 15 km de la ville, une distance très importante pour l’époque. Cela montre un souci d’esthétique, témoignant de la puissance du baron.

Puis, au XIIIe siècle, le château est agrandi et est doté de puissantes tours et de courtines. Il épouse la forme triangulaire de l'’éperon rocheux, sur lequel il est construit à la manière es châteaux de Philippe Auguste. C’est aussi durant cette période que le « Vieil Bourg » avec l’église Notre-Dame se sont développés sur le plateau Est. La ville s’est vue encerclée par des remparts et des fossés extérieurs. C’est donc à cette époque que la ville close prend sa forme actuelle. En même temps, des « bourgs privilégiés », c’est-à-dire des faubourgs nés à la demande du Baron, se sont développés autour de la ville close. Ils sont pour la plupart de forme linéaire en prenant la forme de la rue qui dessert ces quartiers. Dès le XIIIe siècle, Vitré réunit tous les éléments de la ville médiévale : Château, édifices religieux (églises, collégiale) et faubourgs.

Au XVe siècle, Le château se transforme avec les progrès de l’artillerie comme les canonnières. Il passe d’un édifice défensif à une confortable résidence pour Jeanne de Laval-Châtillon et sa fille Anne de Montmorency. Dans le même temps, la ville se développe et édifie des maisons à pans de bois et des hôtels particuliers à l’intérieur de l’enceinte de la ville. Cette dernière est percée de 3 portes (Gâtesel au sud, d’Embas à l’est et d’Enhaut à l’ouest) et une poterne se définissant comme un passage étroit permettant de traverser le rempart (poterne Saint-Pierre au nord).

Les caractéristiques urbanistiques de ces quartiers médiévaux se résument à la très grande densité du bâti et des rues sinueuses et sombres ainsi qu’un réseau de ruelles servant de passage d’un îlot à l’autre. Ces rues bénéficient d’une alternance d’ensoleillement et d’ombrage. Les rues sont étroites et tortueuses dans un but défensif, pour que l’assaillant qui s’y aventurerait puisse s’y perdre. Les façades des maisons sont à pans de bois ou en pierre. Les encorbellements (avancée des étages supérieurs sur la rue) permettaient un gain de place. Cela permettait aussi aux piétons de se protéger des intempéries et de faire tomber l’eau de pluie dans le caniveau central pour éviter le pourrissement du pan de bois. C’est la même chose pour les maisons à porches utiles pour gagner de place mais aussi pour exposer la marchandise des commerçants dans des galeries abritées. L’alignement des maisons n’est généralement pas bien respecté. Le nom des rues tire souvent son origine du fait de la présence de confréries de métiers spécifiant et identifiant ces espaces publics. Les rues médiévales de Vitré pouvant le mieux l’illustrer sont la Rue de la Baudrairie qui rassemblait les artisans baudroyeurs qui travaillaient le cuir ou encore la Rue de la Poterie (travail de la poterie de terre et d’étain).

Le centre historique de la ville comporte une seule vraie place : la Place du Marchix. Généralement, les places s’ouvrent sur des lieux de pouvoir qu’ils soient religieux, politiques ou même judiciaire. Elle était, comme son nom l’indique, la Place du Marché, se trouvait à proximité du Couvent des Bénédictins. L’actuelle Place du Château était l’avant-cour et donc la partie intégrante du château. La Place Notre-Dame était occupée par une halle nommée la Halle aux Toiles. La présence de halles est synonyme de dynamisme. Vitré, ville prospère depuis le 15ème siècle, fonda en 1472, une confrérie permettant le commerce international de textile. La ville, à son apogée, rentra dans l’aisance de la Renaissance…


XVe - XIXe siècle : De l’âge d’or au déclin de la cité

Vitré était une ville avec une économie parmi les plus florissantes du Duché. Elle a continué son extension dans la ville close et dans ses faubourgs. Son apogée se situe au XVIe siècle lorsque les confréries des Marchands d’Outre-Mer vendirent leurs toiles de chanvre et leur canevas dans toute l’Europe. Ce marché se faisait via le port de Saint-Malo qui commerçait avec les comptoirs d’Amérique du Sud et de toute l’Europe notamment avec la Hanse (grande et puissante association commerciale de l’Europe septentrionale au cours du Moyen-Âge). Cela explique les maisons, les grands hôtels particuliers et les éléments Renaissance ponctuant la ville close (Hôtel Ringues de la Troussannais ou encore, l’absidiole du château). Cela montre bien la richesse de ces « marchands » associés en confréries. D’ailleurs, le premier français à avoir fait le tour du monde est un Vitréen nommé Pierre-Olivier Malherbe. Cela montre bien l’ouverture de la ville sur le monde. Aussi, Henri IV passa à Vitré en 1598. Il était frappé par l’opulence de ces bourgeois vitréens et se serait exclamé : « Ventre Saint Gris, si je n’étais Roy de France, je voudrais être bourgeois de Vitré ! » [sic].

Durant les guerres de religion à la fin du XVIe siècle, la ville protestante fût assiégée durant 5 mois par les troupes de la Ligue sous le commandement du duc de Mercœur, gouverneur de Bretagne. C’est au XVIIe siècle que les barons de Vitré désertent Vitré pour préférer la Cour de Versailles, qui est à la mode. La ville perd sa notoriété et devient une ville un peu endormie dans ces remparts au centre d’une campagne active. Elle coupa les liens avec la campagne environnante qui lui fournissait le chanvre et le lin. Cela engendra le début du déclin de Vitré aussi bien au niveau économique qu’urbanistique. Cette situation s’accentua surtout au XVIIIe. Il y a donc peu de constructions de cette époque, mis à part, des édifices religieux comme le Couvent des Augustins (1620), le Couvent des Augustines (1675) ou encore quelques très beaux hôtels particuliers comme l’Hôtel Sévigné. Il fut construit au XVIIIe sur les anciens remparts où se trouvait un appartement de Mme de Sévigné situé dans une tour des remparts. Cet hôtel s’est inspiré de l’architecture du Parlement de Bretagne.

Cette situation dura tout le XVIIIe siècle et jusqu’à l’arrivée du chemin de fer au milieu du XIXe siècle. Par ailleurs, la fin du XVIIIe siècle sera mouvementé par la chouannerie, marquant la fin de la seigneurie de Vitré et le début d’un statut nouveau et important pour la ville : Avoir le rôle de sous-préfecture.

XIXe siècle : L’arrivée de la gare et du 70e RI réveille la ville endormie


Sans doute pour préparer cette arrivée, la ville décida de détruire les fortifications sud de la ville moyennant de désenclaver la ville close et améliorer la visibilité. La Porte d’En Haut (1835), Gâtesel (1839) et d’En Bas furent détruites. Cela a permis une urbanisation vers le sud de la ville close. C’est à cette époque que l’on traça les grandes artères que l’on qualifie aujourd’hui de «pénétrantes urbaines » (Rue de Fougères au nord, Rue de Brest à l’Ouest allant vers Rennes, Boulevard de Châteaubriant vers Nantes et Boulevard des Rochers vers Angers). Vitré était aussi un nœud ferroviaire puisqu’une première voie fût ouverte le 15 avril 1857 sur la ligne Paris-Brest. Puis, une seconde voie en direction, cette fois-ci, de Fougères sera ouverte au public en 1867, et enfin en 1874, une troisième ligne vers La Guerche-de-Bretagne. La construction de la gare s’est effectuée en 1855 sous forme d’un petit castel néo-gothique en plein centre-ville, juste au sud de la ville close. Cependant, différents emplacements avaient été envisagés auparavant. On pensait à cette époque, construire la gare au nord de Vitré, en haut du faubourg médiéval du Rachapt, afin de se rapprocher de la ville industrielle de Fougères. Puis l’on avait pensé à l’installer dans la campagne au sud pour être près de la route allant vers La Guerche-de-Bretagne. Mais le maire de Vitré et le député optèrent pour un emplacement en plein centre-ville. Son emplacement privilégié en terme d’accessibilité ne l’est pas au niveau de la structure urbaine. En effet, la ville est littéralement coupée en deux par une importante emprise ferroviaire. Cet équipement capital pour le désenclavement de la ville a permis l’arrivée, le 14 juillet 1867, d’une garnison militaire. Elle sera logée dix ans plus tard, dans une caserne à l’architecture évocatrice que l’on peut retrouver à Rennes par exemple avec la caserne Mac Mahon. Il s’agissait du 70e Régiment d’infanterie. C’est à partir de cette période que l’urbanisation se fit au sud de la voie ferrée.

Cependant, malgré ce réveil certain, la ville se développe peu et reste une petite ville de marché au sein d’une région agricole. D’ailleurs, elle perd son statut de sous-préfecture en 1926. Cette situation perdure jusqu’à la fin de la deuxième guerre mondiale. L’on retrouve quelques quartiers de la première moitié du XXe siècle, principalement à la périphérie immédiate de la ville close et au sud de la voie ferrée avec de belles demeures. Certaines d’entre elles s’apparentent aux très belles villas de la ville de Dinard. Vitré n’a pas subi de destructions massives pendant les deux guerres mondiales, et a conservé son patrimoine historique. À la différence de Fougères qui a subi un terrible bombardement en juin 1944, détruisant une bonne partie de son héritage historique. Seuls quelques percements de boulevards ont eu lieu durant cette période comme le percement du Boulevard Saint-Martin en 1937, entre la gare et l’église Saint-Martin construite en 1868. Une fois la guerre finie, Vitré ne sera pas exempte de la période de prospérité économique qu’a connu la France et l’ensemble des pays capitalistes.

XXe siècle : L'essor de Vitré

C’est surtout à partir des années 1950 que la ville s’est considérablement développée et étendue. Durant « Les Trente Glorieuses », Vitré a connu le phénomène d’exode rural massif comme les autres villes de France.

De vastes lotissements se sont donc développés le long des axes structurants dans les quartiers ouest, est, nord et surtout sud de la ville. Les logements construits sont principalement de type individuel.

Cependant, on peut noter d’importantes opérations d’habitat collectif comme le Quartier « Maison Rouge » de type « cité » mais constitué de petits immeubles de 4 à 6 étages construits en 1965 à la place de baraquements de réfugiés. D’autres programmes collectifs sont dispersés dans le tissu urbain comme Rue de Strasbourg en 1954 ou encore Rue du 70e RI dans les années 1960.

Dans les zones périphériques se trouvent de grandes entreprises agro-alimentaire, textile, de chaussures ou encore de la chimie fine de plus de 100 salariés et aussi de grands hypermarchés. À l’heure actuelle, les zones industrielles et commerciales continuent de se développer essentiellement au sud et à l’est, mais aussi dans la campagne. Dans les années 1970, l’arrivée de la 4 voies passant à 7 km au sud a accéléré la prospérité économique de la ville en attirant de nombreuses industries. Le taux de chômage est très faible par rapport à la moyenne régionale et encore plus au niveau national. Cet essor économique cache une grande proportion d'emplois dans l'industrie de l'ordre de 40% avec de nombreux emplois précaires. D'autant plus que le bassin économique vitréen souffre de plus en plus de la délocalisation d'entreprises à l'étranger. Vitré est un pôle commercial et une ville industrielle de plus de 12 000 emplois mais avec un manque d'emplois dans le secteur des services.

Le tourisme n'est que de passage, puisque Vitré à toujours été une ville étape sur la route des côtes bretonnes...


PHOTOS (touvées sur le net)

Vue panoramique centre historique:

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/b/b7/Vue_panoramique_centre_historique_de_Vitr%C3%A9.jpg

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/8/81/Centre_historique.JPG

Le château-fort:

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/a/ab/Ch%C3%A2teau_de_Vitr%C3%A9_-_Vue_de_la_Place_Saint-Yves.JPG

Les rues médiévales avec les maisons à pans de bois:

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/5/5a/Rue_Poterie.JPG

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/2/23/Rue_Beaudrairie-Nord.JPG

Les remparts:

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/2/2c/FL0015.jpg

Faubourg du Rachapt sur la route du pélerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle:

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/9/94/FL0016.jpg

Hors ligne

 

#23 11-01-2008 11:35:52

micou
Modénateur
Date d'inscription: 18-08-2007
Messages: 6333
Immeubles: 2097
Photos: 2545

Re: Bretagne - Villes (hors Brest, Lorient, St-Brieuc, St-Malo et Rennes)

VANNES

Edit : sujet spécifique désormais : https://www.pss-archi.eu/forum/viewtopic … 76#p154276

Dernière modification par micou (12-01-2008 00:17:26)

Hors ligne

 

#24 11-01-2008 23:22:52

le renard
Modérateur carnassier
Lieu: Lyon
Date d'inscription: 17-01-2006
Messages: 18945
Immeubles: 867
Photos: 1253
Site web

Re: Bretagne - Villes (hors Brest, Lorient, St-Brieuc, St-Malo et Rennes)

Merci pour toutes ces infos sur Vannes micou B6
Si tu veux, tu peux ouvrir un thread pour cette ville : c'est loin d'être une bourgade et elle est de plus en plein développement D2


*** Skyscraper Spirit Wonder Llama ***

Hors ligne

 

#25 31-07-2008 20:56:20

micou
Modénateur
Date d'inscription: 18-08-2007
Messages: 6333
Immeubles: 2097
Photos: 2545

Re: Bretagne - Villes (hors Brest, Lorient, St-Brieuc, St-Malo et Rennes)

VITRE

Le Moniteur, 31/07/2008

Un lotissement axé développement durable à Vitré

A la porte sud de Vitré, à l’est de la ville sur la route d’Argentré du Plessis, l’acquisition des soixante lots du lotissement des Serres suit son cours.

[...]

http://www.lemoniteur.fr/actualite/envi … 68D4D6.htm

Hors ligne

 

PSSForum de discussionFranceBretagneDiscussion : Bretagne …

Pied de page du Forum

Powered by FluxBB

Copyright © 2006-2024 PSS
Mentions légalesQui sommes-nous ?Contact