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Quelques agglomérations supplémentaires :
Unité Urbaine de Bayonne 1999 : 178 965 2006 : 189 836
dont Bayonne 40 078 44 406
Unité Urbaine de Limoges 1999 : 173 299 2006 : 177 439
dont Limoges 133 968 136 539
Unité Urbaine de Tarbes 1999 : 77 414 2006 : 77 492
dont Tarbes 46 275 45 433
Unité Urbaine d'Agen 1999 : 69 488 2006 : 76 303
dont Agen 30 170 33 725
Unité Urbaine d'Albi 1999 : 66 231 2006 : 70 431
dont Albi 46 274 48 712
Unité Urbaine de Montauban 1999 : 56 734 2006 : 60 346
dont Montauban 51 855 53 941
Unité Urbaine de Castres 1999 : 53 010 2006 : 52 983
dont Castres 43 496 43 141
Il y a selon moi un problème concernant l'image de Montauban. Son "dynamisme" démographique cache autre chose.
Quant on compare la croissance Montauban à celle du reste du département entre 1999 et 2006 et celle gagnée par le département, on sent qu'il n'y a pas de différence particulière. On devine que c'est la proximité de la métropole régionale qui insuffle la croissance à elle-seule : aucun réel mouvement de métropolisation à son échelle autour de la ville. C'est inquiétant. Elle pourrait pourtant tellement tirer partie de sa position et s'affirmer avec une dynamique propre.
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Montauban ne peut pas se "métropoliser", car sa position justement, et sa masse critique la rend trop faible par rapport à Toulouse (en plus de ses propres dysfonctionnements antérieurs qu'elle peine à régler).
On assiste bel et bien à une satellisation de Montauban par la gravitation toulousaine, qui, mine de rien, à force de jouer toute seule àau milieu des champs, fini par se "multipolariser" (Muret, Montauban dans une certaine mesure, peut-être L'Isle Jourdain, Villefranche-de-Lauragais ou Gaillac à terme...).
Architecte et urbaniste, bref, citoyen !
Effectivement, mais cette dortoirisation est telle qu'elle me paraît triste. Il lui faudrait trouver des positionnements pointus à faire valoir à l'échelle de la région.
Je suis persuadé que l'on peut surmonter cette position afin de la transformer en relais avec un petit dynamisme particulier. Elle en a les moyens (culturels, historiques, noyau urbain).
Quant aux "dysfonctionnements antérieurs", je ne sais pas si on parle des mêmes, mais j'ai eu l'impression d'un gâchis immense entre le potentiel urbain et culturel de la ville et son tissu social assez "fragile".
On est parfaitement d'accord sur le dynamisme local d'une part et sur les causes du gâchis d'autre part.
Architecte et urbaniste, bref, citoyen !
Vous oubliez un détail !
Les élus du Sud-Ouest ne sont pas des entrepreneurs ... ne cherchez pas pourquoi les préfectures ne prennent pas de poids.
La très grande majorité, c'est clair. Heureusement que l'Etat était derrière à une époque.
Même Frêche est parti à Montpellier !
Mais j'ai des exceptions que je te filerai next time. Il me semble que le futur maire de Villeneuve-Tolosane est parmi ceux-là, voire même un peu mégalomaniaque sans aucune notion de finance publique...
Si, il y en a un pas mal : Keller.
Philippe a écrit:
Il me semble que le futur maire de Villeneuve-Tolosane est parmi ceux-là, voire même un peu mégalomaniaque
On ne peut pas être mégalo et ne vouloir que la mairie de VT Faut viser plus haut
Philippe a écrit:
Il y a selon moi un problème concernant l'image de Montauban. Son "dynamisme" démographique cache autre chose.
Quant on compare la croissance Montauban à celle du reste du département entre 1999 et 2006 et celle gagnée par le département, on sent qu'il n'y a pas de différence particulière. On devine que c'est la proximité de la métropole régionale qui insuffle la croissance à elle-seule : aucun réel mouvement de métropolisation à son échelle autour de la ville. C'est inquiétant. Elle pourrait pourtant tellement tirer partie de sa position et s'affirmer avec une dynamique propre.
De toute façon à terme (sûrement avant 2020), vu le mitage important de l'urbanisation en Tarn et garonne sud (sud montalbanais), cette UU devrait entrer au contact de l'UU de Toulouse.
On parlera alors de l'UU Toulouse-Montauban comme on parle de l'UU Marseille-Aix.
Montauban deviendra donc une "banlieue" de Toulouse comme Muret en 1990 est devenue une "banlieue" alors qu'elle était une UU à elle seule avant.
Je rajoute Pau qui se rapproche des 200 000 habitants (comme Bayonne). Ces 2 agglos avec délimitations 2006 vont-elles dépasser ce seuil?
Unité Urbaine de Toulouse 1999 : 761 090 2006 : 850 873 + 89 783 soit +11,8%
dont Toulouse 390 350 437 715
Unité Urbaine de Bordeaux 1999 : 753 931 2006 : 803 117 + 49 186 soit +6,5%
dont Bordeaux 215 363 232 260
Unité Urbaine de Pau 1999 : 181 413 2006 : 193 991 + 12 578 soit +6,9%
dont Pau 78 732 83 903
Unité Urbaine de Bayonne 1999 : 178 965 2006 : 189 836 + 10 871 soit +6,1%
dont Bayonne 40 078 44 406
Unité Urbaine de Limoges 1999 : 173 299 2006 : 177 439 + 4 140 soit +2,4%
dont Limoges 133 968 136 539
Unité Urbaine de Tarbes 1999 : 77 414 2006 : 77 492 + 78 soit +0,1%
dont Tarbes 46 275 45 433
Unité Urbaine d'Agen 1999 : 69 488 2006 : 76 303 + 6 815 soit +9,8%
dont Agen 30 170 33 725
Unité Urbaine d'Albi 1999 : 66 231 2006 : 70 431 + 4 200 soit +6,3%
dont Albi 46 274 48 712
Unité Urbaine de Montauban 1999 : 56 734 2006 : 60 346 + 3 612 soit +6,4%
dont Montauban 51 855 53 941
Unité Urbaine de Castres 1999 : 53 010 2006 : 52 983 - 27
dont Castres 43 496 43 141
Si on se réfère à cette croissance démographique,
Au 1/1/2009, on devrait compter
UU Toulouse 890 000
dont Toulouse 458 000
UU Bordeaux 824 000
dont Bordeaux 239 500
UU Pau 199 400
dont Pau 86 100
UU Bayonne 194 500
dont Bayonne 46 300
UU Limoges 179 200
dont Limoges 137 600
UU Agen 79 200
dont Agen 35 200
UU Tarbes 77 500
dont Tarbes 45 100
UU Albi 72 200
dont Albi 49 800
UU Montauban 61 900
dont Montauban 54 800
UU Castres 52 900
dont Castres 43 000
Pour Bayonne, il ne faut pas oublié qu'on est dans le cas d'une UU qui d'un côté est multipolaire et de l'autre très fortement soumise au variations saisonnière car composé de beaucoup de station balnéaires dont la population estivale peut amener à doubler, voir tripler la population municipale.
Petit détail de l'Unité Urbaine de Bayonne au 01/01/2006 :
- 20 communes (18 Pyrénées-Atlantiques + 2 Landes)
- 189 836 hbts (+ 10 871 soit +6,1%)
Bayonne 44 406
Anglet 37 646
Biarritz 26 690
St-Jean-de-L. 13 579
Tarnos 11 416
Urrugne 7 668
Boucau 7 342
Ciboure 6 282
Bidart 5 614
St-Pierre-d'I. 4 504
Mouguerre 4 359
Ondres 4 244
Arcangues 2 985
Bassussarry 2 377
Villefranque 2 129
Urcuit 2 053
Lahonce 1 971
Arbonne 1 781
Ahetze 1 468
Guéthary 1 322
Soit 3 communes de + de 25 000 hbts
2 communes de + de 10 000 hbts
7 communes de + de 4 000 hbts
Architecte et urbaniste, bref, citoyen !
Je suis assez stupéfait de la forte croissance de l'agglomération d'Agen, qui mine de rien fait son petit bonhomme de chemin. Ajoutons à cela les fortes croissances de Castelsarrazin, Valence-d'Agen et l'on s'aperçoit que l'axe Montauban - Agen prolonge la dynamique de l'axe Toulouse - Montauban. Par contre, je n'ai pas regardé les dynamiques au nord-ouest d'Agen : est-ce que cela se poursuit vers Marmande ?
On constate un phénomène de développement de l'urbanisation le long du fleuve entre Muret et Bordeaux qui finalement rejoint un processus classique ailleurs et n'avait "épargné" que la Garonne.
Cela n'apparait qu'au XXI°s. alors que les deux uniques métropoles régionales dans un grand quart Sud-Ouest décollent (voir la carte de l'Express) mais on observe cette situation (et je ne prends que l'exemple Français) sur tous les autres grands fleuves :
- vallée du Rhône et de la Saône de Dijon et Genève jusqu'à Arles,
- vallée de la Loire de Nevers (et surtout Orléans) jusqu'à Sant-Nazaire,
- vallée de la Seine de Nogent jusqu'au Havre,
- vallée du Rhin de Neuchâtel à Rotterdam...
Architecte et urbaniste, bref, citoyen !
Il me semble que la proximité de Bordeaux et Toulouse commence à jouer à plein.
Avec les évolutions progressives de modes de vie (dus aux transports, au marché immobilier, etc), l'installation est davantage envisageable dans les départements que je qualifierais d' "interstiticiels" (entre les départements locomotives). Ces derniers tirent leur épingle du jeu, surtout si le cadre est attirant. Il en est ainsi, dans le grand sud, du Lot-et-Garonne, mais aussi de manière impressionnante des Landes (entre Pyrénées Atlantiques et Gironde) ou de l'Aude (Haute-Garonne/Hérault). Dommage pour le Tarn qui aurait pu connaitre un coup de fouet plus fort si le bassin sud était un carrefour et non un cul de sac.
On parle d'axe fluvial ... Je me demande pourquoi on a encore un micro canal entre Toulouse et Bordeaux On a quasiment aucune infrastructure à la hauteur dans le Sud-Ouest.
Je suis sur qu'on y gagnerai ! Par exemple pour le coût de transports des éléments d'Airbus, pour l'exportation des céréales.
Mais aussi ca permettrait de développer le port de Bordeaux.
Normal qu'Agen tire avantage d'une politique forcé visant à unir Toulouse et Bordeaux, il faut souligner que cela se fait au détriment d'une continuité de volonté d'aménagement le long du Piémont Pyrénéen qui était beaucoup plus ancien et plus porteur (hydroelectricité, lignes ferroviaires electrifiées les plus ancienne d'Europe, Pétro Chimie, metallurgie Aluminium).
Le Comminges, les Hautes Pyrénées, l'agglomération de Tarbes sont les victimes par leur faiblesse ou régression démographique d'une volonté politique nationale trop orienté vers la basse vallée de la Garonne.
Il faut souhaiter qu'avec l'émergence des "Grandes Régions" une politique d'aménagement favorable aux Pyrénées d'un coté pour "Midi - Languedoc Pyrénées" et la côte Atlantique pour "Aquitaine - Atlantique" soit de retombées beaucoup plus large pour nos régions que le simple axe obsessionnel pour certains de Toulouse / Bordeaux.
Article de la dépêche: http://www.ladepeche.fr/article/2009/01 … 7-ans.html
Dans ce tableau de La Dépêche, il ne s'agit pas de population municipale mais de population totale avec double comptes.
Midi Pyrénées :
2 776 822 population municipale
2 855 792 population totale
Languedoc Roussillon :
2 534 144 population municipale
2 589 704 population totale
Aquitaine :
3 119 718 population municipale
3 205 490 population totale
Si l'on retire l'aire urbaine toulousaine de Midi Pyrénées, les niveaux de population des départements de cette région sont franchement très en dessous de ceux d'Aquitaine et de Languedoc Roussillon avec le même retrait d'aires urbaines de Bordeaux et Montpellier.
Midi Pyrénées :
2 776 822 – 1 102 882 (aire urbaine Toulouse) = 1 673 940
8 départements moyenne hors aire urbaine de Toulouse : 209 242
Languedoc Roussillon :
2 534 144 – 510 390 (aire urbaine Montpellier) = 2 023 754
5 départements moyenne hors aire urbaine de Montpellier : 404 750
Aquitaine :
3 119 718 – 993 038 (aire urbaine Bordeaux) = 2 126 680
5 départements moyenne hors aire urbaine de Bordeaux : 425 336
(aire urbaine chiffres sur post PSS)
Midi Pyrénées est un désert rural.
Pour faire la moyenne hors aire urbaine, ne serait-il pas intéressant de compter moins de 8 départements, car la haute-garonne sans l'aire urbaine est drôlement amputée ?
Par exemple diviser 1,6 M par 7,5 ?
Quoi qu'il arrive on sera toujours en dessous des autres régions.
Diagonal a écrit:
Si l'on retire l'aire urbaine toulousaine de Midi Pyrénées, les niveaux de population des départements de cette région sont franchement très en dessous de ceux d'Aquitaine et de Languedoc Roussillon avec le même retrait d'aires urbaines de Bordeaux et Montpellier.
C'est d'une évidence ! Et encore, la démographie de Midi-Pyrénées hors AU de Toulouse s'améliore depuis 2 recensements. Mais ce n'est pas le LR ou même Aquitaine. Nous n'avons qu'un seul pôle pour insuffler de la croissance "statistique" à 8 départements intra-régionaux. Le LR a 3 départements phares, Aquitaine 2 départements moteurs.
Heureusement qu'il y a Toulouse.
Romuald a écrit:
Pour faire la moyenne hors aire urbaine, ne serait-il pas intéressant de compter moins de 8 départements, car la haute-garonne sans l'aire urbaine est drôlement amputée ?
Par exemple diviser 1,6 M par 7,5 ?
Quoi qu'il arrive on sera toujours en dessous des autres régions.
Ma démonstration est déjà un raisonnement par l'absurde pour démontrer les très grandes faiblesses structurelles rurales de Midi Pyrénées !
Il y a tout de même :
108 499 habitants dans le reste de la Haute Garonne si l'on retire les 1 077 831 habitants de l'aire urbaine de Toulouse dans le 31 aux 1 186 330 habitants de toute la Haute Garonne.
Soit un petit département rural type Creuse (123 401) ou Hautes Alpes (130 752)
400 720 habitants dans le reste de la Gironde si l'on retire les 993 038 habitants de l'aire urbaine de Bordeaux dans le 33 aux 1 393 758 habitants de toute la Gironde .
Soit un département moyen comme la Dordogne.
En Languedoc Roussillon si l'on retire la Lozère (atypique) dans mes calculs, l'on aurait :
2 024 754 (région LR - aire urbaine Montpellier) - 76 800 (Lozère) = 1 947 954
Soit une moyenne 486 988 habitants par départements sur 4 départements.
Pour Toulouse la création de "Grande région" devrait radicalement changer les choses, avec un territoire régional véritablement multipolaire et de grands équilibres métropolitains y compris coté Pyrénées si le Béarn est intégré ce qui permettrait un pôle "Pau, Tarbes, Lourdes, Oloron Sainte Marie"...
Philippe a écrit:
Diagonal a écrit:
Si l'on retire l'aire urbaine toulousaine de Midi Pyrénées, les niveaux de population des départements de cette région sont franchement très en dessous de ceux d'Aquitaine et de Languedoc Roussillon avec le même retrait d'aires urbaines de Bordeaux et Montpellier.
C'est d'une évidence ! Et encore, la démographie de Midi-Pyrénées hors AU de Toulouse s'améliore depuis 2 recensements. Mais ce n'est pas le LR ou même Aquitaine. Nous n'avons qu'un seul pôle pour insuffler de la croissance "statistique" à 8 départements intra-régionaux. Le LR a 3 départements phares, Aquitaine 2 départements moteurs.
Heureusement qu'il y a Toulouse.
En Aquitaine tous les départements sont moteurs chacun à leur échelle !
Diagonal a écrit:
Philippe a écrit:
Diagonal a écrit:
Si l'on retire l'aire urbaine toulousaine de Midi Pyrénées, les niveaux de population des départements de cette région sont franchement très en dessous de ceux d'Aquitaine et de Languedoc Roussillon avec le même retrait d'aires urbaines de Bordeaux et Montpellier.
C'est d'une évidence ! Et encore, la démographie de Midi-Pyrénées hors AU de Toulouse s'améliore depuis 2 recensements. Mais ce n'est pas le LR ou même Aquitaine. Nous n'avons qu'un seul pôle pour insuffler de la croissance "statistique" à 8 départements intra-régionaux. Le LR a 3 départements phares, Aquitaine 2 départements moteurs.
Heureusement qu'il y a Toulouse.En Aquitaine tous les départements sont moteurs chacun à leur échelle !
Je n'ai pas la même vision : Landes et Lot-et-Garonne sont tirés et ne tirent pas la croissance régionale, malgré des taux élevés (cas identique de nos départements). Et la Dordogne a une croissance relativement faible.
La grande différence qu'il ne faut pas omettre entre Midi-Pyrénées et ses voisines c'est la présence d'un littoral océanique ou maritime sur lequel s'est très largement développé l'accueil d'habitants (notamment retraités) et l'accueil d'une industrie touristique porteuse d'emplois. La montagne et la campagne sont des destinations présentes en MP mais moins porteuses de croissance.
Si l'on compare les secteurs à l'intérieur des terres, les choses sont plus complexes. Exemple de l'Aude : Carcassonne se développe, comme l'ensemble des abords du canal du Midi. la Haute-vallée de l'Aude a plus de difficultés (Limoux, Quillan). Le bassin d'emplois d'Alès présente des similitudes avec celui de Castres.
Là où effectivement la comparaison est redoutable (par la proximité) c'est entre Pau et Tarbes.
Il n'en reste pas moins que vous avez raison : globalement, le développement en LR et Aquitaine est réparti bien plus équitablement sur l'ensemble de la Région alors qu'il est tiré quasi-exclusivement par Toulouse en MP, et ce malgré les volontés politiques affichées de longue date de rééquilibrage territorial.
Mais c'est là toute l'ambiguité de la Région : une grande partie des forces régionales est concentrée à Toulouse (Economie, université, recherche, animation, ...) ce qui lui confère une "force de frappe" et une visibilité de plus en plus importante et lui permet de générer un développement important qui se dissémine progressivement aux territoires voisins (notamment irrigués par les autoroutes). Par quel bout prendre les choses alors :
- favoriser réellement le développement des villes moyennes au détriment de Toulouse, au risque d'appauvrir (un tout petit peu) la dynamique de cette dernière ?
- continuer à favoriser Toulouse en escomptant sur les retombées indirectes sur les autres territoires, solution aléatoire et peu maîtrisée ?
D'une manière plus générique la question pourrait être : peut-on lutter efficacemment et véritablement contre les tendances actuelles à la métropolisation de la croissance ?
@Pitloulou: Ma réponse est non On ne peut pas arrêter le développement de Toulouse. C'est pour ca, que moi-même en concertation avec ma petite personne avont décidé un rééquilibrage des villes moyennes de MP en dérivant la croissance de Bordeaux et Montpellier.
Voilà, mes objectifs: le million et plus pour Toulouse en 2015, 100 K pour Albi en 2020 et 150 K pour Montauban en 2030.
Mince ce n'est pas le forum de Simcity ... oops désolé
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