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Architecture – Urbanisme – Aménagement du territoire
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Au classement mondial des universités, 22 françaises parmi les 500 premiers, aucune du Nord-Pas-de-Calais !
Le Nord-Pas-de-Calais absent
En dehors des universités parisiennes, celles de Strasbourg, Montpellier, Toulouse, Bordeaux, Aix-Marseille, Lyon, Nice, Rennes et Clermont-Ferrand figurent toutes dans le classement de Shangaï. Et le Nord-Pas-de-Calais ? Absent. Aucune université de la région n’est parvenue à se classer parmi les 500 premières.
Source: http://www.lavoixdunord.fr/region/au-cl … ge-fan-vdn
Encore une fois on peut toujours discuter de la valeurs de ces classements, mais quand tout un faisceau d'informations montre ne montre que des nouvelles peu reluisante... Faut se poser des questions.
J'espère juste qu'ils vont pas se planter avec la fusion des universités.
Il s'agit de l'agence ANAA qui est chargée des 301 logements étudiants dont j'avais posté le PC plus haut :
ANNA
La fiche avec les données du PC.
Le chantier actuellement :
PSS a besoin de vous pour assurer son existence et son développement futur
--> https://fr.tipeee.com/pss-archi
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Encore un projet de logements étudiants à Lille 1 (18 000 m², 383 logements étudiants et 30 logements de standing) rue de la Tradition sur une ancienne emprise industrielle :
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L'IEMN s'agrandit
L’extension des locaux de l’IEMN a été inaugurée mardi 22 septembre 2015 en présence du président de la Métropole Européenne de Lille, Damien Castelain et des représentants des nombreuses collectivités qui ont financé le bâtiment. Un centre de recherche particulièrement innovant qui flirte maintenant avec les standards internationaux.
L’Institut d’Electronique, de Microélectronique et de Nanotechnologies (IEMN) réfléchit à son agrandissement depuis 2002. Grâce au Plan campus initié par l’Etat et les collectivités territoriales pour l’émergence de campus d’excellence, cette unité mixte de recherche CNRS a agrandi les capacités de son laboratoire.
Cette extension permet de hisser les laboratoires de l’IEMN proches du standard international. En rassemblant des plates-formes de microscopie sur un même lieu, ce nouvel espace scientifique permettra de mener des travaux pour la compréhension de la mécanique des fluides à très petite échelle et de travailler dans les domaines de l’électronique ultime.
source : http://www.lillemetropole.fr/sites/lmcu … andit.html
Lille: L'université se dote d'une Fondation à 15 millions
RECHERCHE Une partie de la recherche universitaire va pouvoir être financée par une Fondation créée avec les bénéfices des ventes d’action de la société de biopharmacie Genfit…
Une fondation, pourquoi faire ? « Cette fondation a pour objectif d’accompagner ou de financer des projets de recherche sans que ça ne coûte à personne », précise Xavier Vandendriessche, président nouvellement élu de cette Fondation Université de Lille. Le principe : utiliser les intérêts générés par le placement de ces 15 millions. Un an de placement devrait rapporter environ 500.000 euros qui pourront être utilisés à l’automne 2016.
Comment a-t-on réuni 15 millions ? L’argent provient des ventes d’actions de la société biopharmaceutique Genfit de la part de l’université de Lille-2. « En 1999, l'université avait accompagné la création d’une start-up avec deux chercheurs lillois, les professeurs Fruchart et Staels, raconte Xavier Vandendriessche. Cette start-up s’appelait Genfit et travaillait à la confection d’un médicament contre les maladies hépatiques ». L’investissement, à l’époque, avait coûté 1,5 million de francs. Le placement a été rentable.
Quel avenir ? Tout va dépendre de l’investissement des entreprises régionales. Viendront-elles faire grossir le capital de cette fondation partenariale contrôlée par l’université, mais autonome juridiquement ? « Plusieurs entreprises sont déjà d’accord pour s’engager, mais on ne peut pas encore donner de noms »
Un appel du pied pour l’Idex ? Un jury international doit donner son verdict prochainement concernant les dotations Initiatives d’excellence (Idex). Ce programme d’investissements récompense les projets pluridisciplinaires d’enseignement supérieur et de recherche. Lille est sur les rangs avec les universités de Grenoble et de la Côte d’Azur
Le learning Center :
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Pour information l'oral pour IDEX a lieu ce soir.
Extrait de l'article de la voix du Nord :
Ce qui n’empêche pas le porte-parole de l’IDEX d’être pragmatique : « Au niveau du jury, ça devrait passer. Mais ensuite, c’est au Premier ministre d’annoncer combien il y aura de projets IDEX. La décision sera politique. » Et de reconnaître que s’il ne devait y en avoir qu’un, Grenoble, avec son énorme potentiel scientifique, est favori.
IDEX: l’université de Lille rate le jackpot
http://www.lavoixdunord.fr/region/idex- … b0n3287446
Le verdict du Premier ministre est tombé. Pour la troisième fois, le Nord - Pas-de-Calais rate le jackpot de l’IDEX (Initiatives d’excellence). Soit 750 millions d’euros, et potentiellement le double avec l’effet levier, pour l’enseignement supérieur régional. Grenoble et Nice sont labellisés et rejoignent la cohorte des huit universités françaises qui le sont déjà. Aucune au nord de Paris.
A croire que Paris ne souhaite aucune "concurrence" à proximité...
De là à y voir une raison politique ou d'inimitié ouverte entre 2 personnes...
(par contre, pour nous ponctionner les fonds de roulement on saigne à blanc la région sans problème....)
Lille devrait de nouveau se porter candidate pour l'Idex au mois de mars, pourvu que ce soit la bonne !
Vers une nouvelle candidature en mars ?
Lille pourrait néanmoins tenter de se relancer dès cette année, puisqu’un nouvel appel à candidatures est projeté pour le 1er mars. D’ici là, les porteurs du projet entendent éplucher les réponses du jury, afin de comprendre ce qui n’a pas marché. Car le jour de l’annonce, c’était l’incompréhension qui dominait.
C'est tout bonnement de l'acharnement ! La troisième université de France mérite amplement ce titre et ces fonds. C'est aberrant ...
- Arduinna - Rijsel - Estocolmo -
Je remarque que parmi les universités de province qui ont été sélectionnées en 2011, il y Strasbourg, Lorraine, Aix-Marseille et Bordeaux. Dans ces agglomérations, les universités ont fusionné entre elles. À Strasbourg, c'était fait dès 2009. Pour Aix-Marseille et Nancy-Metz, ça s'est fait début 2012, mais la décision a évidemment été prise avant. Et pour Bordeaux, la fusion s'est faite début 2014.
Parmi les 8 groupements universitaires présélectionnés en avril 2015 pour la nouvelle phase des Idex, il y avait Lille, Nice, Grenoble, Montpellier, Lorraine, Clermont Auvergne, Paris-Est et Bourgogne-Franche-Comté. À Montpellier, deux des trois universités ont fusionné. À Grenoble, les trois universités ont été réunifiées le 1er janvier 2016. À Clermont-Ferrand, les universités prévoient également de fusionner. Et deux universités membres de la ComUE Paris-Est devraient suivre.
Cela me laisse penser que la candidature de Lille aurait eu beaucoup plus de chances d'être acceptée si les trois universités avaient fusionné en une seule. Au-lieu d'avoir trois établissements pour discuter avec l'État, il n'y en aurait eu qu'un seul.
Les universités fusionnées ont gagné en lisibilité à l'international et dans les classements internationaux. Il faut aussi dire qu'un nom comme "Université de Lille", ça serait plus lisible et plus clair que "Université Grenoble I - Joseph Fourier".
On peut aussi faire remarquer qu'avoir une seule université, ça facilite la gestion des campus. À Strasbourg, le campus central était utilisé par 2 ou 3 universités. Depuis la fusion, il n'y a plus qu'un seul établissement. Cela a grandement facilité des projets comme le parc central : les sols du campus ont été refaits, le campus est devenu plus vert. Ça change des vieux enrobés tout gris !
L'Université de Lille existe déjà, et c'est elle qui a porté la candidature IDEX.
La fusion de Lille I, II et III est prévue en 2018.
On paie les erreurs de 2008-2014 (ainsi que la concurrence avec l'Université Catholique de Lille), avec une région et une Métropole absentes d'un dossier au final bâclé. Pour ce deuxième round, les dossiers de Nice (la "surprise") et Grenoble (la favorite) étaient tout simplement meilleurs.
Si l'État et les universités publiques faisaient autre chose que de tirer dans les pattes de la Catho, ça se serait passé autrement. À ma pré-rentrée, mon doyen (une fac de Lille 2) se vantait d'attribuer lui même les diplômes des étudiants de la Catho, car seul lui est agréé par l'État pour le faire. C'est une bien maigre consolation, visiblement ça lui convient quand sa fac décroche au niveau des résultats nationaux.
J'espère que le ménage sera fait, une grande université lilloise passera par une union avec l'université catholique de Lille et ses nombreuses écoles, qui pour certaines jouent effectivement dans "l'excellence".
Cela dit, bravo au président de Lille 2 qui s'est bien battu, mais on part de beaucoup trop loin, avec toujours ce dogme privé vs public.
ML59 a écrit:
L'Université de Lille existe déjà, et c'est elle qui a porté la candidature IDEX.
La fusion de Lille I, II et III est prévue en 2018.
C'est une ComUE, donc l'intégration est loin d'être aussi poussée qu'avec une vraie fusion.
ML59 a écrit:
J'espère que le ménage sera fait, une grande université lilloise passera par une union avec l'université catholique de Lille et ses nombreuses écoles, qui pour certaines jouent effectivement dans "l'excellence".
L'Université catholique de Lille est une université privée. Dans les universités publiques, il y a beaucoup de gens qui n'accepteraient pas une fusion avec un établissement privé. Et idem dans un établissement privé. Les universités publiques se sont fixées l'objectif de fusionner en 2018, mais si elles avaient mieux géré leur truc, elles auraient pu le faire en 2016, voire en 2015 ou 2014.
À la base la fusion devait avoir lieu en 2013, ce qui ne s'est pas fait pour des raisons politiques (blocage entre Lille II et Lille III). Mais pour cette procédure IDEX, il y a eu carte blanche pour l'Université de Lille. Ce n'est pas une fusion, mais il n'y a qu'une voix, audible, avec un projet et des résultats à présenter.
Je ne parle pas de fusion, mais d'union. Une union / coopération entre l'Université de Lille et l'Université Catholique de Lille est indispensable. Mais pour cela, il va falloir faire le ménage. Un échec aussi flagrant (surtout pour la 1ère session d'IDEX) va donner carte blanche aux présidents des universités pour revoir la gouvernance de certains UFR et changer des mentalités contre-productives au XXIème siècle.
ML59 a écrit:
À la base la fusion devait avoir lieu en 2013, ce qui ne s'est pas fait pour des raisons politiques (blocage entre Lille II et Lille III). Mais pour cette procédure IDEX, il y a eu carte blanche pour l'Université de Lille. Ce n'est pas une fusion, mais il n'y a qu'une voix, audible, avec un projet et des résultats à présenter.
Je ne parle pas de fusion, mais d'union. Une union / coopération entre l'Université de Lille et l'Université Catholique de Lille est indispensable. Mais pour cela, il va falloir faire le ménage. Un échec aussi flagrant (surtout pour la 1ère session d'IDEX) va donner carte blanche aux présidents des universités pour revoir la gouvernance de certains UFR et changer des mentalités contre-productives au XXIème siècle.
Les universités lilloises n'auront pas d'Idex si elles partent désunies, mais ce que je faisais remarquer, c'est que les universités qui avaient fusionné ou qui avaient déjà une feuille de route pour fusionner sont celles qui ont été sélectionnées pour la première session des Idex. Et parmi celles qui ont été présélectionnées pour la deuxième phase, il y a également plusieurs universités qui avaient fusionné (Montpellier, Bordeaux), ou qui préparaient leur fusion à court terme (Grenoble, Clermont-Ferrand).
Oui mais Lille a contourné ce problème (Université de Lille) tout en présentant un programme ambitieux (fusion en 2018). Ça a cloché ailleurs : premier dossier IDEX bâclé, absence de rapprochement et concurrence de la Catho.
Ce n'est pas moi qui l'invente, c'est écrit noir sur blanc sur le dossier de le première session d'IDEX. Il n'y a aucune coopération entre la Catho et les facultés d'État. Pourtant la Catho est loin d'être une petite université, c'est 25.000 étudiants... (Nice : environ 30.000)
Lille 1 : 18.000
Lille 2 : 27.000
Lille 3 : 20.000
Alors je travaille dans l'administration de la future Université de Lille et il y a bien un processus de fusion au 01/01/2018 ; ce processus est en route depuis deux ans environ (ou alors je vais en réunion pour rien).
L'Université de Lille et la COMUE sont deux choses bien distinctes ; l'Université de Lille fait partie de la COMUE mais n'est pas la COMUE. La COMUE sert (pour résumer très grossièrement) à coordonner les formations et la recherche.
L'Institut catholique de Lille (ce n'est pas une Université seule habilité à délivrer les diplômes) ne fait pas partie de la COMUE car cela posait le problème d'avoir un établissement concurrent (qui délivre les mêmes formations) qui aurait voix au chapitre sur nos formations.
Je voulais réagir également sur d'autres remarques :
De là à y voir une raison politique ou d'inimitié ouverte entre 2 personnes...
J'ai du mal à croire que M. VALLS soit plus proche de M. ESTROSI que de Mme AUBRY ; il a apparemment suivi l'avis du jury.
Cela me laisse penser que la candidature de Lille aurait eu beaucoup plus de chances d'être acceptée si les trois universités avaient fusionné en une seule. Au-lieu d'avoir trois établissements pour discuter avec l'État, il n'y en aurait eu qu'un seul.
Comme je l'ai dit nous sommes en train de fusionner. De plus c'est le président de Lille 2 qui a été choisi comme porte parole ; il n'y avait donc qu'une seule voix pendant le jury.
L'Université catholique de Lille est une université privée. Dans les universités publiques, il y a beaucoup de gens qui n'accepteraient pas une fusion avec un établissement privé.
C'est juste pas possible ; et l'union est difficile pour les raisons que j'ai évoqué précédemment.
Lille 1 : 18.000
Lille 2 : 27.000
Lille 3 : 20.000
Pour info :
La catho : 26.164
Lille 1 : 19 604
Lille 2 : 27 760
Lille 3 : 18 979
Ces chiffres (dispos sur les différents sites respectifs) sont à relativiser, je ne connais pas les périmètres (avec ou sans double inscriptions, avec ou sans conventions...) et je ne connais pas les dates (2011/2012 pour Lille 2 apparemment).
Sinon attendons de voir les commentaires du jury avant de s'enflammer.
De tout manière il y aura sans doute une nouvelle candidature et on pourra râler si on loupe encore cette subvention.
Apparemment ça risque de durer cette histoire....
Pour le porteur du projet IDEX, le jury a cumulé les contradictions
http://www.lavoixdunord.fr/economie/pou … b0n3293397
« Lors du premier passage, en avril, pour la présélection, on nous a félicités et reçus chaleureusement. Et lorsque nous avons reçu l’évaluation, qui était bonne, nous avons travaillé nos points faibles. »
C’est donc un dossier consolidé qui est passé devant le même jury le 18 janvier. Et là, surprise : « D’après ce qu’on nous dit, ils nous ont critiqués pour notre fusion des universités trop tardive et ont mal noté la qualité et la crédibilité de notre ambition scientifique. » Deux points qui ont reçu un A, soit la meilleure note, en avril. « De plus, ils n’ont pas été très agréables. »
Une appréciation confirmée avec vigueur par Thierry Froguel, spécialiste mondial du diabète, qui se trouvait à son côté pour la présentation : « On s’est fait tailler en pièces, c’était humiliant. Et puis changer d’avis comme ça sur les mêmes points, c’est incroyable ! »
Même incompréhension chez le porteur du projet, Xavier Vandendriessche : « Je sais qu’on peut progresser mais là je ne comprends pas, j’exige un minimum de cohérence. Sur un enjeu pareil, on ne peut pas admettre de se faire bananer avec des arguments contradictoires. »
si le problème n'est pas politique, il est tout comme !!
c'est toujours le même souci en France, à quand un jury indépendant?
on n'est trop à la merci d'éventuel intérêts et inimitié c'est scandaleux !
j'aimerai connaître le classement en terme de résultat des universités françaises, peut-être qu'on est derrière les autres, par contre dans le domaine scientifique, alors qu'on a le meilleur CHU de France dans le plus gros parc scientifique d'Europe avec les résultats qu'on lui connaît, les rebuter là-dessus, c'est effectivement incompréhensible (ou alors je mélange tout!?) 
Le jury est international et indépendant.
IDEX
Lille a été laminé en première session, battu en deuxième session. La en troisième session, il y avait trois beaux dossiers : Lille, Nice et Grenoble. Grenoble était la favorite, et il était probable qu'une seule université soit sélectionnée. Nice a su convaincre le jury, ce qui n'est pas le cas de Lille.
Obtenir l'IDEX en 4ème position ne serait pas très glorieux.
Soit dit en passant, pour moi, la seule anomalie c'est l'Université de Marseille, je ne vois pas en quoi elle devance Lille.
Notre dossier est biaisé : HEI, EDHEC, ISA et IESEG sont excellentes dans leur domaine, j'aimerai savoir la nature de l'intégration de l'université Catholique dans ce dossier IDEX...
Que ça se passe mal avec un jury, c'est possible, même fréquent. Si l'audition semble injuste, l'université lancera une procédure. Mais c'est quand même le troisième échec consécutif, ce n'est pas anodin.
Je vous renvoie à ce site : Université de Lille
On y voit que l'Institut Catholique (entre autre) est dans le groupement.
Télécom Lille et Mines Douai : une fusion en janvier 2017
En discussion depuis juillet 2014, le rapprochement de Télécom Lille et des Mines de Douai sera effectif le 1er janvier 2017. La fusion a obtenu le dernier feu vert qui lui manquait : un vote positif du conseil d’administration de l’université de Lille, le 29 janvier 2016.
Étudier à Lille: un enseignement de haut niveau entre Paris et Bruxelles
Lille, troisième ville étudiante de France, accueille plus de 180 000 étudiants. Focus sur cinq établissements lillois particulièrement attractifs.
Focus sur cinq établissements lillois
1. L’Edhec: dans le top five des business school
Cinquième au classement des écoles de commerce du Figaro Etudiant et triplement accréditée (EQUIS, AACSB et AMBA), l’Edhec possède cinq campus: Lille, Nice, Paris, Londres et Singapour. Le petit plus :les associations étudiantes. La Course Croisière Edhec (CCE), qui rassemble plus de 3 000 participants, est ainsi devenue au fil des ans l’un des plus importants événements sportifs d’Europe.
2. La Catho de Lille: la plus grosse université privée de France
Tentaculaire, la Catho de Lille regroupe plus de 26 000 étudiants répartis dans cinq facultés (droit, lettres et sciences humaines, médecine et maïeutique, gestion, économie et sciences, théologie) et vingt écoles et instituts: HEI, l’Icam, l’Isa, l’Isen, l’Ieseg, le groupe Edhec, l’Estice, l’ISTC, l’ESF, l’ICM, l’IFsanté, l’IKPO, l’ISL et l’IFP. Le petit plus :le campus de la Catho est situé au coeur du centre-ville de Lille, autour du boulevard Vauban.
3. Sciences Po Lille: un des plus réputés après Paris
Fondée en 1991, Sciences Po Lille fête cette année ses 25 ans. Cet Institut d’études politiques (IEP) accueille actuellement 1 850 étudiants dans son bâtiment de la rue de Trévise - avant le déménagement rue Angellier, non loin de l’ESJ Lille, prévu début 2017.
4. ESJ Lille: le journalisme du bac jusqu’au master
Classée numéro 1 au palmarès 2013 des écoles de journalisme du Figaro Etudiant, l’ESJ Lille délivre chaque année un diplôme niveau master 2 à une soixantaine d’étudiants après deux ans de filière généraliste ainsi qu’à une dizaine d’étudiants après un an de filière «journaliste et scientifique».
5. Centrale Lille: la force du réseau des écoles Centrales
Forte de plus de 160 ans d’histoire, Centrale Lille, membre du groupe des Ecoles Centrales avec Lyon, Nantes, Marseille et Paris, accueille 1 550 élèves ingénieurs. L’école, qui possède sa propre résidence universitaire, est située sur le campus de la Cité Scientifique de Villeneuve d’Ascq, au milieu de 30 000 autres étudiants.
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