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si vous compter voir ce qui se fait au niveau du SCOT (il y en a 4 pour l'aire urbaine de Tlse, dur dur !!), plutôt au niveau de l'INTER-SCOT allez sur le site de l'AUAT, c'est une mine d'or d'information ...
De ce que je sais, la volonté est vraiment de creer des nouveaux centres en périphérie avec de la densité, des services et tout, limiter l'étalement, permettre une cohérence dans l'agglo, ne plus éparpiller la croissanc urbaine de Tlse dans un secteur trop grand, rendre l'agglo compacte, l'unifier ... mais bon, c'est difficile, les mairies des villages refusent la densité ...
les gens veulent partir le plus loin possible pour se rapprocher de la nature, s'en allant dans des banlieue pavillonaire où la densité faible empêche les transports en commun de venir (pas de rentabilité éco).
il faut choisir : aller loin de la ville pour se rapprocher de la campagne et devoir utiliser la voiture ou laisser de côté la voiture (faire un vrai geste écolo) et accepter la densité ... mais les deux semblent difficile à lier ...
Visitez la partie de forum sur les villes d'Amérique latine :
- Santiago de Chile : http://www.paris-skyscrapers.fr/forum/v … 35&p=2
- Mexico City : http://www.paris-skyscrapers.fr/forum/v … 34&p=2
- Buenos Aires - Quartier Puerto Madero: http://www.paris-skyscrapers.fr/forum/v … p?id=30854
Ce n'est pas si simple que ça effectivement. Pas forcément du fait des élus de petits villages :
- ils ne sont pas tous contre la densité mais celle-ci n'est possible qu'avec un réseau d'assainissement collectif, très coûteux à mettre en place,
- l'accord politique se fait autour de la nécessité de créer des polarités pour contrecarrer les problèmes posés par la périurbanisation (déplacements et saturation des voies, pas de TC, équipements défaillants, finances locales insuffisantes ...). La question se posera surtout autour des capacités :
- à centraliser l'offre en logement sur le pôle urbain,les pôles périphériques et les villes moyennes (multiplie des projets opérationnels type ZAC, outils à créer pour maîtriser le foncier) et offrir de slogts correspondant à la demande,
- favoriser l'einstallation d'activités éco sur ces pôles périphériques et villes moyennes et permettre que les ressources financières qui en découlent soient ensuite réparties avec les communes voisines déshéritées,
- favoriser les capacités financières des communes amenées à être polarités afin qu'elles puissent développer les services et équipements rendus nécessaires.
En effet, ce n'est pas neutre de demander à une commune comme Carbonne de doubler sa population en 10 ans environ (grosso modo 4.000 à 8.000 h) et ce de manière intelligente et cohérente, de créer des emplois en masse.
Ce n'est pas neutre non plus de demander à de petites communes de serrer l'étau de la construction au risque de mécontenter du monde (demandeurs et vendeurs de terrains notamment).
La démarche interscot est au début de ces réflexions très intéressantes.
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L'idée de créer des pôles secondaires qui captent l'essentiel de la croissance péri-urbaine me semble être une bonne idée. Sur certaines hypothèses, Carbonne, L'Isle-Jourdain, Grenade, Fronton, Lavaur, Saint-Sulpice, Revel et Villefranche de Lauragais devraient dans cette éventualité capter 27500 des 60000 habitants supplémentaires de la couronne périurbaine. Soit presque la moitié de la croissance périurbaine concentrée sur plusieurs pôles secondaires.
Ce qui permet de continuer la croissance des autres communes sans pour autant exploser.
Cependant dans les études sur le site de l'AUAT on peut remarquer des grappes de croissance autour des pôles secondaires (notamment Lavaur-Saint Sulpice).
Grosso modo ces pôles se trouvent en relation avec autoroutes et voies ferrées, ce qui peut permettre une relation par trains de banlieue comme ils ont l'intention d'organiser les flux autour de Toulouse avec les TER.
Mais est-ce que ces intentions vont se traduire au niveau des SCOT par une adéquation des PLU des communes concernées. Il serait intéressant de voir si l'évolution des PLU vont dans ce sens dans ces communes.
Et bien, je ne rentrerais pas trop dans les détails de droit, mais les PLU des communes membres vont devoir correspondre avec les orientations des SCOT. Plus les SCOT seront élaborés et précis, plus les PLU devront les suivre (lorsqu'ils sont élaborés ou mis en révision évidemment). Puis, lorsque les SCOT seront approuvés (en est encore loin du compte), ils s'imposeront aux PLU (et cartes communales également).
De ce fait, les PLU étudiés tiendront de plus en plus compte des travaux des SCOT. On est bien sûr dans une échelle temps qui est tout de même importante et qui n'est malheureusement pas celle de l'urgence d'agir.
Selon l'insee : la région Midi-Pyrénées comptera 3 327 000 habitants en 2030 contre 2 551 687 hab, en 1999.
L'aire urbaine de toulouse est égal à 40% de cette population, donc en 2030, l'aire urbaine (dimension territoriale de 1999) devrait comprendre au même % : 1 330 000 habitants mais compte tenu de l'aggrandissement de la surface de l'aire urbaine, envisageons plutôt 1,5 millions, je pense ...
pareil pour l'agglo qui représente 30% de la population de la région et qui si elle conservait la surface de 1999, compterai 1 millions d'habitants en 2030, chiffre qui à mon avis serait plus de l'ordre de 1.1 à 1.2 millions d'habitants sachant que la continuité du bâti devrait englober d'autres villes, mais bon ce n'est là que des prévisions ...
Visitez la partie de forum sur les villes d'Amérique latine :
- Santiago de Chile : http://www.paris-skyscrapers.fr/forum/v … 35&p=2
- Mexico City : http://www.paris-skyscrapers.fr/forum/v … 34&p=2
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Oui, en reprenant l'évolution de la place en % qu'a l'aire urbaine et même l'agglomération en Midi Pyrénées, l'évolution serait assez impressionnante toujours avec une moyenne de +21000 habitants par an pour l'aire urbaine et environ +14000 habitants par an pour l'agglo.
A ce rythme on devrait trouver en 2030, 1 198 000 habitants pour l'agglo et 1 621 000 pour l'aire urbaine.
Bref grosso modo, on peut dire que Toulouse en 2030 ce sera à peu près l'équivalent de Lyon actuellement.
En parlant de l'un des deux RTRA de Toulouse :
Une fierté pour Toulouse, enfin récompensée. (ça me fait très plaisir pour l'IDEI)
Le CNRS décerne la médaille d’or à l’économiste toulousain Jean Tirole
publié le vendredi, 21 septembre 2007
Le 19 décembre prochain, l’économiste toulousain Jean Tirole - reconnu comme l’un des meilleurs experts mondiaux par ses pairs - recevra la médaille d’or du CNRS. Cette brillante distinction n’a été décernée qu’une seule fois à un économiste – Maurice Allais en 1978 - depuis un demi-siècle.
Jean Tirole (© C. Lebedinsky / CNRS)
Jean Tirole est aujourd’hui reconnu comme l’un des meilleurs économistes mondiaux. C’est en s’appuyant sur les derniers développements en théories des jeux et de l’information qu’il a élaboré les fondements d’une "nouvelle économie industrielle". Ses recherches ont permis, entre autres, de mieux comprendre les stratégies d’entreprises et de mieux concevoir le droit de la concurrence ainsi que la régulation des industries de réseaux (télécoms, électricité…). Au gré d’une curiosité insatiable, ses travaux l’ont conduit à aborder de nombreux domaines, tels que la psychologie, la finance, la théorie des organisations et la réforme du marché du travail. Jean Tirole travaille au Groupe de recherche en économie mathématique et quantitative (GREMAQ), unité mixte de recherche CNRS / Université Toulouse 1 / Ecole des hautes études en sciences sociales / INRA. Il dirige également la Fondation Jean-Jacques Laffont qui gère le réseau thématique de recherche avancée "Toulouse Sciences Economiques" (TSE) qu’il a initié. « Votre distinction honore l’Université Toulouse 1 et l’Institut d’Economie Industrielle que vous avez conduit avec Jean-Jacques Laffont, et en tant que directeur scientifique, sur le chemin de l’excellence qui caractérise aujourd’hui cette structure, en France et dans le monde », écrit le maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc dans la lettre de félicitation qu’il adresse à Jean Tirole
Pour aller plus loin
Le portrait de Jean Tirole sur wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Tirole
Sa page sur le site de l’Institut d’Economie Industrielle : http://idei.fr/member.php ?i=3&lang=fr
Un peu auparavant dans le mois, concernant ce même pôle d'Economie de l'Arsenal.
Article paru le 01/09/2007 DISTINCTION. GILLES SAINT-PAUL DE L'ÉCOLE D'ÉCONOMIE DE TOULOUSE DISTINGUÉ EN EUROPE.
Un Toulousain élu meilleur économiste
Toulouse bétonne sa réputation d'élite en recherche économique. Le prestigieux prix Yrjö Jahnsson 2007, attribué tous les deux ans au meilleur économiste européen de moins de 45 ans, a été décerné jeudi à Gilles Saint-Paul, professeur à l'école d'économie de Toulouse (Toulouse School of Economics, TSE).
Grâce à l'énorme travail du regretté Jean-Jacques Laffont qui a fondé l'Institut d'économie industrielle (IDEI) à Toulouse, la ville rose est devenue une référence mondiale en matière de recherche économique. Car avec cette nouvelle récompense, l'école d'économie n'en est pas à son coup d'essai puisque Jean-Jacques Laffont lui-même l'avait reçu ainsi que Jean Tirole, le directeur de l'école. À 44 ans, Gilles Saint-Paul, diplômé de l'École Polytechnique, docteur en économie au MIT (Boston), est professeur à TSE et chercheur à l'IDEI. Il a consacré une part importante de ses travaux aux liens existant entre l'organisation du marché du travail et le niveau du chômage. Il a étudié en particulier l'impact des contrats flexibles sur l'emploi.
Gil Bousquet
Le pôle d'économie est tiré par les checheurs de la nébuleuse GREMAQ (Economie quantitative) et IDEI (Institut d'Economie industrielle) avec des sommités comme JJ Laffont (décédé), Jean Tirole, Gilles Saint-Paul et consorts...
Grâce à eux, nous figurons toujours parmi les meilleurs centres de recherches en économie en Europe et au monde.
Pou l'anecdote, Laffont étrait revenu des USA pour enseigner à l'UT1 et il a eu un mal de chien à monter son centre de recherche pour revitaliser l'économie. Il s'est vu dresser tout ce que la vieille université comptait de vieux mandarins et de vieux idéologues contre lui, le chercheur qui revenait d'Harvard...
L'histoire lui a donné raison.
Grâce à leur présence, outre le RTRA en aéronautique, nous avons obtenu celui d'économie baptisé : Toulouse School of Economics.
Selon une revue économique dont j'ai lu l'article hier (ne me souviens plus si c'est les échos), une page entière était dédiée à Toulouse par rapport au RTRA économie. L'école d'économie de Toulouse est n°1 en France, n°2 en Europe et n°18 au monde.
Philippe a écrit:
Un peu auparavant dans le mois, concernant ce même pôle d'Economie de l'Arsenal.
Article paru le 01/09/2007 DISTINCTION. GILLES SAINT-PAUL DE L'ÉCOLE D'ÉCONOMIE DE TOULOUSE DISTINGUÉ EN EUROPE.
Un Toulousain élu meilleur économiste
Toulouse bétonne sa réputation d'élite en recherche économique. Le prestigieux prix Yrjö Jahnsson 2007, attribué tous les deux ans au meilleur économiste européen de moins de 45 ans, a été décerné jeudi à Gilles Saint-Paul, professeur à l'école d'économie de Toulouse (, TSE).
Toulouse School of Economics...;
Grâce à l'énorme travail du regretté Jean-Jacques Laffont qui a fondé l'Institut d'économie industrielle (IDEI) à Toulouse, la ville rose est devenue une référence mondiale en matière de recherche économique. Car avec cette nouvelle récompense, l'école d'économie n'en est pas à son coup d'essai puisque Jean-Jacques Laffont lui-même l'avait reçu ainsi que Jean Tirole, le directeur de l'école. À 44 ans, Gilles Saint-Paul, diplômé de l'École Polytechnique, docteur en économie au MIT (Boston), est professeur à TSE et chercheur à l'IDEI. Il a consacré une part importante de ses travaux aux liens existant entre l'organisation du marché du travail et le niveau du chômage. Il a étudié en particulier l'impact des contrats flexibles sur l'emploi.
Gil Bousquet
La France des cathédrales et de Versailles renaîtra-t-elle un jour ?
urbatoulousain31 a écrit:
Selon une revue économique dont j'ai lu l'article hier (ne me souviens plus si c'est les échos), une page entière était dédiée à Toulouse par rapport au RTRA économie. L'école d'économie de Toulouse est n°1 en France, n°2 en Europe et n°18 au monde.
Tout à fait, et ce n'est pas une mince affaire dans le sens où la compétition en éconmie est ultra-rude, ce n'est pas comme en socio-psycho-histoire où c'est un peu devenu du n'importe quoi ou même en droit où c'est feutré. La compétition en centre de recherche en éco se fait de manière mondiale, et ce, sur le front de l'anglais (argh). Que des Toulousains s'en sortent autant cachent plusieurs phénomènes :
- c'est l'économie des chercheurs du GREMAQ mais aussi du LERNA (moins connu) qui ont constitué le moteur de l'économie à Toulouse.
- aucun rapport avec ce que l'on appelle les autres économistes de l'Arsenal, voire encore moins ceux du Mirail qui ne seraient pas capable de comprendre les articles produits par le RTRA (GREMAQ-LERNA) car beaucoup de formalisation et modélisation mathématique... ne serait-ce que pour une question de formation académique.
- ...car les formations ne sont pas les mêmes. Le RTRA des économistes issus des meilleurs labos de Polytechnique ou du CERAS (Ponts et Chaussées), formés à la sauce PhD aux USA et qui viennent à Toulouse faire de la hisser la recherche grâce à feu JJ Laffont et Jean Tirole (le Nobel viendra, courage !). Ca fait un peu galvaudé, mais c'est ce qui est le plus fiable sur le marché. Pour être à Paris, je le vois souvent ("ah ? économie à la fac de Toulouse ?!!").
- la mise en place de ce département d'économie vers la fin des années 1970, je crois, avait été très difficile car la vieille école faisait de l'économie comme du droit : on lit les manuels littéraires, on les relit aux élèves, et puis on s'amuse à se nommer les uns les autres. Puis, Laffont est rentré des US et désirait monter une fac où il pourrait sélectionner les chercheurs pour constituer de équipes de choc dont le seul mérite serait la qualité des travaux. Il a dû avoir recours à la constitution de A à Z d'un institut autonome (IDEI - Institut d'Economie industrielle) afin de nouer - bien en avance sur son temps - des partenariat avec des financements d'entreprise éventuellement intéressées par leurs travaux (c'est beaucoup de management et de temps "gaspillé" pour un chercheur, mais il a été aussi un gros producteur de recherches...). Vue avec du recul, l'aventure toulousaine tient du miracle : toutes les embuches toulousaines (vieux mandarins, esprits poussiéreux, méfiance viscérale vis-à-vie d'une recherche "performante" ; la mentalité très alternative qui prévaut à Toulouse ; poids médiatique de Paris et de ses économistes très people, et surtout l'envergure inespérée de l'IDEI-GREMAQ-LERNA sur la scène mondiale aujourd'hui. Pour info, dans un article du monde, l'économiste Delpla déclarait qu'à lui seul Jean Tirole équivalait à la production de la 6e unité de recherche en économie d'Europe (et son quantitatif est rien comparé à l'audience qu'il s'est forgée grâce à la qualité et surtout la nouveauté de ses recherches (domaines : marché du travail, comportement des acteurs économiques, la fin des monopoles, marchés financiers...), d'où sa nomination aux Nobels d'économie cette année. Cependant, un Nobel à 54 ans, c'est peut-être trop jeune.
Concernant les articles que tu mentionnes, il s'agit certainement des 3 articles publiés dans les pages saumon du Figaro Economie. Pour avoir suivi le sujet de près, j'ai appris pas mal de choses à travers ces articles. Le compte rendu y était excellent.
Oui, une année, dans un classement tès important, Toulouse était n° 1 pour la productivité de ses chercheurs (donc par tête), mais au niveau de la masse critique, Toulouse est plus petite que Londres, Paris ou la Bocconi, mais la productivité est telle que l'IDEI parvient en 2nde position devant des mastodontes traditionnels. Le n°1 de la production totale, devant Toulouse, c'est la London School of Economics (sorte de Oxford version grosse HEC-Sciences-Po). Normal, c'est une université bourrée de scientifiques de renom mondial.
ÉCONOMIE ET STATISTIQUE N° 402, 2007, pp. 36-38. par Philippe Julien.
Sujet : "La France en 1 916 bassins de vie"
http://www.insee.fr/fr/ffc/docs_ffc/ES402b.pdf
Ainsi, le bassin de vie de Toulouse (130 communes, 817 050 habitants en 1999) est entièrement inclus dans l’actuelle aire urbaine de Toulouse (342 communes, 964 797 habitants en 1999) (cf. graphique II). Celle-ci contient entièrement les neuf bassins de vie de bourgs et petites villes que sont, en tournant dans le sens des aiguilles d’une montre, Fronton, Montastruc-la-Conseillère, Saint-Sulpice-sur-Tarn, Caraman, Villefranche-de-Lauragais, Venerque, Auterive, Saint-Lys, Fonsorbes. Elle englobe également la quasi totalité (dont le pôle) des cinq bassins de vie de Lézat-sur-Lèze, Carbonne, Rieumes, Grenade, Grisolles. Par contre elle ne fait qu’effleurer les dix bassins de vie de Villemur-sur-Tarn, Rabastens, Lavaur, Revel, Castelnaudary, Saverdun, Cazères, Samatan, L’Isle-Jourdain et Verdun sur Garonne. Il est vraisemblable que dans une version ultérieure des aires urbaines, qui pourra, au plus tôt, être publiée à la fin de la décennie, ces derniers bassins de vie, à l’exception de celui de Castelnaudary, feront partie intégrante de l’aire urbaine toulousaine. Il n’en reste pas moins que tous les bourgs et petites villes cités ont un rôle structurant pour le territoire de leur bassin de vie, même si une forte proportion d’actifs travaille dans le pôle urbain de la ville rose.
Imaginez vous un peu la taille et le poids de l'aire urbaine à l'horizon 2010, dans seulement 2 ans...
cela ferait un nouvel ensemble peuplé aujourd'hui déjà d'environ 1,2 M d'habitants...
Dans la carte p. 37, on se rend effectivement compte du déséquilibre vers l'Ouest de l'Agglomération, le centre de gravité topologique se trouverait quelque part au delà du périphérique ouest.
Information intéressante à étudier.
Dès que j'ai un moment je vais m'y coller pour essayer de définir quelle sera la population et l'étendue avec ces nouveaux bassins de vie en 2010 intégrés à l'aire urbaine toulousaine.
Toulouse Métropole : Attractivité européenne
Les programmes electoraux mettent l'accent sur l'ambition de hisser Toulouse au rang des métropoles européennes de 1er rang .
Une nouvelle rubrique pour suivre l'actualité sous l'angle de ce dossier de Toulouse ville européenne .
http://www.batiactu.com/data/12032008/1 … 80132.html
Top des villes européennes les plus attractives
Une étude dévoilée à l’occasion du Marché international des professionnels de l’immobilier (Mipim) montre que Moscou et Istanbul ont détrôné Londres et Paris au classement des villes européennes les plus attractives pour les investisseurs immobiliers. Quelles sont les tendances révélées par cette nouvelle étude ? Découvrez le classement.
Classement des villes européennes les plus attractives pour les investisseurs immobiliers en 2008*
1 - Moscou
2 - Istanbul
3 - Hambourg
4 – Munich
5 – Paris
6 – Lyon
7 – Francfort
8 – Stockholm
9 - Berlin
10 - Helsinki
11 - Milan
12 - Prague
13 - Rome
14 - Bruxelles
15 - Londres
16 - Varsovie
17 - Zurich
18 - Vienne
19 - Madrid
20 - Barcelone
21 - Copenhague
22 - Amsterdam
23 - Lisbonne
24 - Edimbourg
25 - Athènes
26 - Budapest
27 - Dublin
*Etude «Emerging trends in real estate 2008» publiée par Urban Land Institute et PrivewaterhouseCoopers LLP
http://www.businessimmo.info/pages/lett … 080312N208
http://www.uli.org//AM/Template.cfm?Section=Home
Hambourg ville "Airbusienne" au top niveau de l'attractivité des investissements immobiliers .
Lyon également très bien placée pour prouver que la France des régions peut s'émanciper du monopole de l'IDF.
Barcelone la grande métropole voisine qui confirme dans le temps son attractivité .
Une série d'exemples qui doit servir d'émulation.
Comment Franckfort, Londres et Paris peuvent être aussi mal classés par rapport à Hambourg, Munich et Lyon ?
Ils travaillent uniquement sur des valeurs relatives ?
Etrange oui ... j'ai du mal à voir Lyon, neuf places plus haut que Londes
Visitez la partie de forum sur les villes d'Amérique latine :
- Santiago de Chile : http://www.paris-skyscrapers.fr/forum/v … 35&p=2
- Mexico City : http://www.paris-skyscrapers.fr/forum/v … 34&p=2
- Buenos Aires - Quartier Puerto Madero: http://www.paris-skyscrapers.fr/forum/v … p?id=30854
Il faut bien lire les articles, attractivité, il faut comprendre dynamisme pour ce qui va se construire, ou prospective de marchés potentiels .
C'est cela qui semble être le critère de classement .
Il y a des marchés saturés, des marchés émergeants, des marchés très dynamique mais risqués (Istanbul) d'autres stables non risqués (Paris) .
Oui mais on prend rien que les tours qui vont se construire à la Défense, Paris est en m² SHON devant Hamboug, Munich et Lyon réunis. Je ne parle même pas de Londres. Une ville comme Barcelone a l'air dynamique aussi et ce retrouve à une petite 20ème place, largement devensée par Helsinki.
Vous êtes sur que le classement n'a pas été fait par des allemands ?
Pour en revenir à Toulouse, notre seule et unique préoccupation On doit pas être loin dans le classement ! Surtout vu la demande pour de l'immobilier de bureau en centre ville !
Tout de suite jaloux que Lyon soit si bien classé , et oui on parle bien d'attractivité, c'est sur qu'en m2 on est loin de Paris ou de Londre (j'ai pas les chiffres mais ça tombe sous le sens).
Apres c'est un bon indicatif et on peut esperer que les investisseur parieront sur Lyon dans le futur et c'est deja pas mal. C'est dommage qu'on est pas le classement des autres métropoles Françaises.
jujutor a écrit:
Toute suite jaloux que Lyon soit si bien classé
Je n'ai pas une seule fois comparé Lyon à Toulouse, mais indiqué mon étonnement entre des métropoles moyennes (Hambourg, Munich, Lyon), par rapport à des super poids lourds (Londres, Paris, Franckfort) ... je ne vois pas en quoi la jalousie a affecté mes propos.
L'attractivité ? Vu ce classement je me demande si c'est une attractivité réelle ou une variation d'attractivité ? De toute façon, tant qu'aucune méthodologie, ni résultat chiffré seront précisé, il est difficile d'apprécier ce classement.
La seule chose que je comprend de ce classement, c'est une photographie d'un état à l'instant "t". Sinon difficile d'expliquer comment Londres peut passer de la 1ère place à la 15ème à une échelle européènne, en 1 an et quelque soit le domaine.
Faut pas se vexer, c'était juste une boutade, ni vois pas d'attaque j'aime beaucoup la ville rose
Pour londre :
Londres traverse actuellement des difficultés du fait de son niveau de prix élevé et de sa dépendance aux métiers de la finance et des services financiers, impactés par la crise financière
Pour Lyon :
La capitale des Gaules se classe à la sixième place, juste derrière Paris. L’étude souligne la stabilité de son marché avec un niveau important de recommandations, à l‘achat et à la conservation, situé entre 80 et 90 % pour l’immobilier d’entreprise
Je pense que ce classement est surtout un indicatif, a priori l'etude a l'air serieuse mais tu as raison sans connaitre la méthodologie employée c'est difficile de juger.
en somme c'est comme si on avait pas d'info, car ça peut être n'importe quoi au m2 par habitant, comme le nb de m2 vendu le 2 janvier 2008, donc ça ou rien comme info c'est du pareil au même, du moins c'est mon point de vue.
per tolosa totjorn mai
Lyon est une ville qui nage nettement au dessus des autres villes en province. Et c'est la seule en smesure de figurer par sa taille et son dynamisme de bureaux aux autres métropoles européennes.
Cela ne m'étonne pas. Après à ce niveau oui, mais non, pas tant que ça. Ce sont des jeux de paramètres et de choix de critères. Et Lyon a de atouts très intéressants. Enfin, je connais bien mes études Atis-real et CBRE sur les 3 dernières années pour vous dire ça... surtout le niveau d'investissement à Lyon qui est énorme !
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