Cluster Scientifique du Plateau de Saclay (CA CPS/CA VGP/CA SQY-78/91)

EssonneInfo - 08/10/2015

Saclay : un bâtiment multi-établissements porté par Polytechnique

L’Ecole Polytechnique rend public un projet immobilier d’ampleur sur le Plateau. Il s’agit d’un « bâtiment d’enseignements mutualisés » entre six établissements, qui doit voir le jour en 2018. Signe d’un rapprochement prochain des différentes écoles impliquées?

http://essonneinfo.fr/91-essonne-info/8 … technique/

L'Usine Nouvelle - 07/10/2015

"L’Etat doit reprendre la main sur le projet Paris-Saclay" selon le sénateur Michel Berson,

Le pôle scientifique et technologique de Paris-Saclay, en cours de construction, souffre d’un manque de transparence dans son financement comme dans son mode de gouvernance, selon le rapporteur spécial de la mission "Recherche et enseignement supérieur" au Sénat. Pour Michel Berson, membre de la commission des finances, il est temps qu’un véritable chef de projet nommé par l’Etat vienne clarifier le pilotage de cet immense chantier.

http://www.usinenouvelle.com/editorial/ … on.N355619

EssonneInfo - 21/10/2015

Quelle direction pour le mastodonte universitaire de Saclay?

La crise couve au sein de la nouvelle Université Paris-Saclay, qui regroupe 18 établissements du Plateau. Ses membres ne parviennent pas à se mettre d’accord sur des orientations communes, alors que se profile en décembre une évaluation décisive du projet par un jury international.

http://essonneinfo.fr/91-essonne-info/8 … de-saclay/

@ Lupus

Je vois que les problématiques qui se posaient il y a sept ou huit ans pour ParisTech persistent pour la comue UPS. Je trouve qu'une phrase résume bien la situation dans l'article d'EssonneInfo :

« Il y a un risque que ça aille dans le mur. Plutôt qu’une structure intégrée, on va vers une juxtaposition de fiefs. Les universités figurant dans le classement de Shanghaï comme Berkeley ne dépassent pas 40 000 étudiants, là nous sommes à 70 000″ souligne le coordinateur de Colos.

Ce qui se trouve sous ces difficultés, ce n'est pas tant un problème structurel qu'idéologique : Université Paris-Saclay pose la question du système français des grandes écoles, et remet en cause de facto le modèle traditionnel de reproduction des élites au profit d'un système plus rationnel et lisible d'un point de vue international. Et si cela fait avancer le débat globalement en France, c'est une excellente chose, mais on peut comprendre que rien n'est gagné car les enjeux symboliques sont finalement extrêmement profonds : les grandes et vieilles institutions que sont Polytechnique, Centrale ou ENS risquent de voir leur image diluée et leur fonctionnement davantage standardisé, et surtout leur autonomie proverbiale limitée. Voire pire encore : les modalités à l'entrée risquent (horreur ! ) de devenir plus ouvertes à tous les étudiants s'ils sont un peu brillants. Si une intégration fonctionne, en revanche, un grand nombre de comue pourront prendre modèle sur Université Paris-Saclay, ce qui pourrait donc signifier, à terme, la fin des grandes écoles à la française au profit de créations de "schools" ou de "colleges" à l'anglo-saxonne. C'est une vraie révolution dans notre pays si conservateur sur ce sujet précis, où les grandes écoles sont considérées intouchables depuis leur création (la preuve).

Plus qu'une lutte contre une première pierre vers un changement du mode de fonctionnement des Grandes Écoles, je vois davantage une lutte de pouvoir entre petite barons, qui veulent rester roi (avec leur cour) en leur royaume, aussi petit soit-il.

true_cricket a écrit:

Plus qu'une lutte contre une première pierre vers un changement du mode de fonctionnement des Grandes Écoles, je vois davantage une lutte de pouvoir entre petite barons, qui veulent rester roi (avec leur cour) en leur royaume, aussi petit soit-il.

Attention : s'il s'agit bien de baronnies, il n'y a pas vraiment de baron : ce n'est généralement pas le directeur des écoles qui freine, mais l'ensemble du corps enseignant et des anciens élèves. SURTOUT les anciens élèves, qui craignent de voir leur diplôme dégradé par l'intégration de leurs anciens établissements...

Construction Cayola, 28/10/2015

Paris-Saclay : DreAM, Eiffage et Vinci annoncés sur un programme mixte

L'Etablissement public Paris-Saclay (EPPS) a signé une promesse de vente avec le groupement de promoteurs DReAM-Altarea Cogedim-Eiffage Immobilier-Vinci Immobilier pour la construction d'un programme mixte de 75 000 m² dans le quartier de Moulon.

(...)

http://www.constructioncayola.com/batim … -mixte.php

Cela semble chauffer du côté de la ligne 18 du futur métro. Comme un certain nombre de communes ont demandé des gares, le projet de 13 km reliant Palaiseau à Magny-les-Hameaux serait désormais aérien, afin d'économiser entre 250 et 600 M€. Or, si le principe d'un métro est acté (il faudrait être suicidaire pour ne pas en saisir la nécessité), élus et habitants de plusieurs communes (Villiers-le-Bâcle, Saint-Aubin, Saclay, Magny-les-Hameaux, Voisins-le-Bretonneux et Châteaufort) ne veulent pas entendre parler d'une structure surplombant le sol du haut de piliers de 12 m. Des collectifs se créent, soutenus par des avocats, et il serait question d'une action judiciaire contre les enquêtes d'utilité publique. Suite au prochain épisode, mais ceci ne va pas accélérer la construction de la ligne 18 qui doit d'ailleurs, pour le moment, n'être livrée qu'en 2024...

Voir http://www.leparisien.fr/villiers-le-ba … 237325.php

L'OIN Saclay et sa mise en place en font vraiment un projet hyper-complexe... 

(La nécessité d'un métro aérien par rapport aux BHNS en place et prévus … mhhh :) )

J'aimerais entendre des témoignages des personnes qui habitent le long des métros aériens à Paris (notamment le M2 qui est sur roulement fer). Mon impression, c'est le le bruit des voitures (et surtout des klaxons) est nettement plus incommodant que celui des trains. Et concernant l'esthétique, l'avis général est plutôt en faveur des lignes aériennes qui font partie du paysage urbain, et qui permettent de créer des espaces publics en dessous (terrains de jeu, marché, etc).

J'ai habité non loin d'une ligne de RER et le bruit peut être notable, mais s'oublie assez vite. Il est surtout généré dans les courbes (serrées) et en approche de station (accélération et décélération). J'imagine aussi que les viaducs modernes, de par leur construction en béton avec assez peu d'éléments, absorbent assez bien le son et les vibrations. Il est tout à fait possible d'installer des murs ou parapets anti-bruit.

cmoiromain a écrit:

J'aimerais entendre des témoignages des personnes qui habitent le long des métros aériens à Paris (notamment le M2 qui est sur roulement fer). Mon impression, c'est le le bruit des voitures (et surtout des klaxons) est nettement plus incommodant que celui des trains.

Bien que non concerné, je pense que les mobylettes, les gens qui hurlent, voire les hélicoptères sont bien plus gênants.

Mais si l'on donne le choix au riverains, je parie qu'ils ne veulent pas du métro, même s'il est enterré. Car un métro dans une zone très peu construite ça apporte nécessairement de l'urbanisation, donc ils y verront des contraintes qu'ils n'ont pas choisies. Il est évident que si l'on fait passer le métro par le plateau de Saclay, ce dernier va s'urbaniser nettement plus vite, avec plus de voitures notamment.

L'Ile de France a besoin de nouvelles constructions. La question c'est donc surtout faut-il les faire sur le plateau de Saclay ou ailleurs ? Je n'ai pour ma part pas d'avis tranché.

BatiActu - 19/11/2015

Campus Paris-Saclay : cinq groupements d'architectes en lice pour construire un groupe scolaire

Cinq équipes d'architectes ont été sélectionnées dans le cadre d'un concours d'architecture lancé en 2014 par l'Etablissement public Paris-Saclay pour la réalisation du premier groupe scolaire dans le quartier de Moulon. Découvrez ces équipes.

http://www.batiactu.com/edito/campus-pa … -42828.php

Petite visite du jour :

EDF - Centre de Formation et Centre de Recherche et Développement

















Complexe universitaire

Centre de Nanosciences et de Nanotechnologies



Station radar de l'aviation civile



École polytechnique - Extension des laboratoires



Lieu de vie



Campus CentraleSupelec - Bât. A

Un article hilarant dans Le Monde qui confirme les critiques et les forts doutes que j'avais émis il y a quelques mois. 

En plus cette façon pompeuse et presque infantile de s'auto-baptiser "Cambridge à la française" (pourquoi pas "Oxford à la française" ??) ou de se décrire "integrated research intensive university" in ingliche in ze texte (avec les "licences" qui sautent et qui deviennent des "bachelors"), c'est comment dire... ça fait pitié. On dirait un petit pays de 3è catégorie qui essaie de se raccrocher au train anglo-saxon en singeant le chien dominant de la meute et bazardant tout son héritage, comme ces pays inconnus du Caucase ou d'Asie centrale qui font des pubs "sleek" en anglais sur CNN comme s'ils étaient des états capitalistes super-dynamiques d'Amérique du Nord. Pitoyable pour un grand foyer de culture et d'histoire comme la France. Je pensais jamais qu'on tomberait aussi bas.

Le « Cambridge français » remis sur les rails

Le Monde
24 décembre 2015

Le projet Paris-Saclay est remis sur les rails. L’université, dont la France veut faire l’une des vingt premières au monde, sera bien une « integrated research intensive university », une université intégrée de recherches. Cela a été réaffirmé de manière solennelle mardi 22 décembre dans le bilan d’étape que l’université Paris-Saclay (UPS) a remis au jury qui, dans le cadre des « initiatives d’excellence » du grand emprunt, avait doté le projet d’un milliard d’euros en 2012.

Rassembler les 18 membres de l’UPS – dont l’université Paris-Sud, CentraleSupélec, HEC, le Centre national de recherche scientifique (CNRS), Polytechnique ou l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) – derrière cet objectif commun n’a pas été une sinécure. Depuis quelques mois, la réticence plus ou moins dédaigneuse de l’Ecole polytechnique – qui a néanmoins contribué à la création de l’université il y a un an – et les maladresses de communication du gouvernement avaient rendu l’atmosphère irrespirable sur le plateau de Saclay, là même où le « Cambridge français » doit prendre son envol.

[...]

« Certaines écoles veulent se regrouper, estime Jacques Bittoun, président de l’université Paris-Sud, lancer des bachelors [bac+3] et des masters [bac+5] pour acquérir le statut d’université. C’est une manière de transposer à l’international la vieille dichotomie française : les grandes écoles pour l’élite et les universités pour le tout-venant. Il est hors de question de faire cela. » Sollicité par Le Monde, M. Biot était injoignable jeudi 24 décembre.

[...]

Or, la période est dangereuse. L’université Paris-Sud a, comme les autres, confié la délivrance de ses masters et de ses doctorats à l’UPS, laquelle n’est pas encore reconnue par le classement de Shanghaï… Tout ce qui pourrait affaiblir Paris-Saclay est donc perçu avec inquiétude. « Je connais bien la mentalité des Anglo-Saxons, précise Patrick Couvreur, chercheur à Paris-Sud et membre de l’Académie des sciences. Si on commence à finasser, cela ne passera pas. »

Après avoir fait durer le suspense jusqu’au bout, Polytechnique a donc indiqué qu’elle soutenait l’objectif inscrit dans le document remis le 22 décembre : créer une « integrated research intensive university ».

[...]

Autre inconnue : quels établissements seront-ils présents dans les classements ? Là aussi, le document rendu le 22 décembre est resté flou à dessein. L’objectif est que le nom qui figure dans celui de Shanghaï soit Paris-Saclay, et ce « avant qu’on ait perdu Paris-Sud et Polytechnique », précise M. Bloch. Mais cela n’exclut pas la présence d’entités de l’UPS dans des classements thématiques, comme celle d’HEC dans le palmarès du Financial Times des écoles de gestion, par exemple.

[...]

http://www.lemonde.fr/education/article … 9wfLFp5.99

(PS : je précise que quand je parle de bazarder son héritage, je ne fais pas allusion à la dichotomie grandes écoles-université, que je souhaite depuis mes études universitaires qu'on fasse disparaître en fusionnant les grandes écoles dans les universités ; non, je fais allusion à notre langue de plus en plus remplacée par l'anglais dans notre propre pays, nos diplômes remplacés par des diplômes anglo-saxons de bachelors et masters, et aussi à ce côté "ado déboussolé" de nos élites qui ne savent plus où elles en sont et doutent tellement de la France qu'elles sont prêtes à tout envoyer aux orties et faire un copier-coller servile et crétin du modèle anglo-saxon, obnubilées par des classements anglo-saxons sortis du nulle part, comme si rien n'était bon dans tout ce que notre histoire a produit... il y a 100 ans, la Sorbonne était admirée, la présidente du Sri Lanka anglophone est même venue s'y former en français, et aujourd'hui on dirait que tout ça ne vaut plus un clou et que notre seul avenir c'est de faire des "Cambridge à la française" ou des "Vesoul International Business School", non mais allô quoi !)

L'éco-quartier Claudel à Palaiseau, juste derrière Polytechnique :

L'ENSAE Paristech aujourd'hui sur le site de l'Agence CAB ARCHITECTES > http://www.cabarchitectes.com/cablab/en … ch-saclay/








© Aldo Amoretti

Merci ! Le site n'est plus accessible avec l'alerte vigipirate malheureusement. Donc pas de suivis...

EPA Paris-Saclay - Kaufman & Broad, 06/01/2016

DATA Architectes et Bassinet Turquin Paysagistes lauréats du concours lancé par Kaufman & Broad pour la conception de 145 logements étudiants à Paris-Saclay

Désigné en août dernier par l’Etablissement public d’aménagement Paris-Saclay (EPAPS) à la suite d’une consultation, Kaufman & Broad s’est vu confier la réalisation d’un programme de 145 logements étudiants (218 lits), au sein d’une résidence privée de 5000 m² SDP sur le lot JD1 dans le quartier de Moulon. Le concours de maîtrise d’œuvre lancé au mois de septembre vient d’être remporté par l’agence DATA Architectes associée à Bassinet Turquin Paysagistes.

Cette résidence privée s’implantera sur le site existant de Centrale Supélec à Gif-sur-Yvette et accueillera les étudiants des établissements d’enseignement supérieur de l’université Paris-Saclay, implantés ou en cours d’implantation comme Centrale Supélec, l’Université Paris-Sud et l’Ecole normale supérieure de Cachan. La résidence sera gérée par Nemea et la Fondation de l’Ecole Centrale Paris en sera l’investisseur. La résidence sera livrée pour septembre 2018.

(...)

http://www.epaps.fr/wp-content/uploads/ … Broad_.pdf

5 candidats retenus pour 185 logements sociaux étudiants au sein du campus urbain Paris-Saclay

   

Le 05 février 2016
5 candidats retenus pour 185 logements sociaux étudiants au sein du campus urbain Paris-Saclay
P21A   

A l’issue de l’appel d’offres ouvert lancé par l’EPA Paris-Saclay, le groupement composé de Logement Francilien (filiale du Groupe Logement français) et de l’Association Logement Jeunes Travailleurs (ALJT) a été désigné en octobre 2015, respectivement en tant que maître d’ouvrage et gestionnaire, pour réaliser 185 logements sociaux étudiants (270 places environ) au sein de la ZAC du quartier de l’Ecole polytechnique du campus urbain Paris-Saclay.

Dans le cadre du concours d’architecte lancé en novembre 2015 par Logement Francilien  en tant que coordonnateur du groupement de commande mis en place avec l’EPA Paris-Saclay, un  jury a retenu le 15 janvier dernier, 5 candidats pour ce lot (P.2.1.A), parmi les 248 candidatures reçues:

    ATELIER VERA & ASSOCIES
    BRUTHER
    DE ALZUA +
    ATELIER KEMPE THILL
    ODILE SEYLER & JACQUES LUCAN

EPAPS

Le Groupe Pichet avec l’atelier Canal Architecture sélectionné pour concevoir 230 logements étudiants privés (Lot C.2.2.B)

La parcelle accueillera 230 logements étudiants privés, intégrant 30 % de colocations (environ 6 900 m² de surface de plancher) ainsi qu’un programme complémentaire de 1 000 m² de surface de plancher en rez-de-chaussée. Doté d’une valeur ajoutée culturelle et d’animation, cet espace multifonctionnel ouvert aux résidents et aux usagers du campus propose un espace de restauration, une médiathèque, des ateliers thématiques et des postes de jeux sont mis à disposition.

EPAPS

Le groupement mené par SOA Architectes et Léon Grosse retenu par Batigère Ile-de-France pour la conception-réalisation de 363 logements étudiants sociaux

Sélectionné en juin 2015, à la suite d’une consultation lancée par l’Etablissement public Paris-Saclay, Batigère Ile-de-France a lancé, en octobre de la même année, la procédure d’appel d’offres européen pour un marché de conception-réalisation de 363 logements étudiants sociaux (environ 417 places) de 10 000 m² de surface de plancher sur la commune de Gif-sur-Yvette dans le quartier de Moulon.

EPAPS

Le plateau de Saclay, nouvel eldorado du logement pour étudiants

Batigère Ile-de-France vient de confier au groupement SOA Architectes/Léon Grosse la conception-réalisation de 363 logements pour étudiants sur le plateau de Saclay. Une dizaine d’opérations sont actuellement en chantier ou en projet sur le campus urbain.


[...]

Les projets de logements pour étudiants sur le plateau de Saclay

Une dizaine d’opérations de logements pour étudiants, sociaux et privés sont en cours de développement sur le plateau de Saclay.



En chantier:

– 300 logements privés réalisés par Bouygues Immobilier (accompagnés d’une résidence hôtelière et de commerces). Quartier de l’Ecole Polytechnique. Architecte: XDGA. Livraison: 2016

– 330 logements sociaux réalisés par Résidences sociales de France (groupe 3F). Quartier de Moulon. Architectes: 51N4E et Bourbouze et Graindorge. Livraison en 2016.

– 1000 logements sociaux développés par Linkcity Ile-de-France (ex-Sodéarif) pour le compte de quatre bailleurs sociaux: France Habitation, Vilogia, Sogemac Habitat et Meecam. Quartier de Moulon. Architectes: LAN et Clément Vergély. Livraison en septembre 2017.



En projet:

– 263 logements sociaux réalisés par Paris Habitat et confiés en conception-réalisation au groupement Léon Grosse (mandataire)/Tank Architectes. Quartier de Moulon. Début des travaux fin mars. Livraison en septembre 2017.

– 296 logements sociaux réalisés par Batigère Ile-de-France. Quartier de l’Ecole Polytechnique. Architecte: L’AUC. Début des travaux mi-2016. Livraison en septembre 2018.

– 363 logements sociaux réalisés par Batigère Ile-de-France et confiés en conception-réalisation SOA et Léon Grosse. Quartier de Moulon. Livraison en septembre 2018.

– 145 logements privés réalisés par Kaufman & Broad. Quartier de Moulon. Architecte: Data Architectes. Démarrage des travaux en novembre 2016. Livraison en septembre 2018.

– 230 logements privés réalisés par le groupe Pichet. Quartier de l’Ecole Polytechnique. Architecte: atelier Canal Architecture. Début du chantier: fin 2016. Livraison en septembre 2018.

– 185 logements sociaux réalisés par Logement francilien (groupe Logement Français). Quartier de l’Ecole Polytechnique. L’architecte lauréat sera désigné fin avril parmi cinq équipes: Atelier Vera & Associés; Bruther; De Alzua+ ; Atelier Kempe Thill et Odile Seyler & Jacques Lucan.

– 200 logements seront aussi réalisés par le groupement Dream (mandataire), Cogedim, Eiffage Immobilier, Vinci Immobilier, lauréat d’un programme mixte (logements, commerces, services, équipements publics) de 75 000 m2 dans le quartier de Moulon.

Le Moniteur