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Architecture – Urbanisme – Aménagement du territoire
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Le Dauphiné Libéré 30/01/07 (Extraits de l'article)
Ikea à Étrembières : décision en mars
Alors que son implantation à Vernier en Suisse est contestée, le géant suédois pourrait choisir la Haute-Savoie.
L'annonce de la possible installation d'Ikea dans la future ZAC des Bois d'Arve à Étrembières créée l'évènement dans le Genevois français (notre édition de dimanche dernier). «Après avoir lu le journal, des personnes nous ont envoyé des CV en mairie. Une dame nous a appelés pour nous demander quand on ouvrait... Ça m'économisera un voyage jusqu'à Lyon...» raconte en souriant Maurice Giacomini, maire d'Étrembières. L'élu tempère cependant l'optimisme de ceux qui voient déjà le logo jaune et bleu flotter au pied du Salève. «C'est vrai que l'implantation est actuellement à l'étude. Mais rien ne dit qu'elle aboutira... Il ne faut pas faire monter la mayonnaise inutilement. Ikea ne viendra que s'il n'obtient pas satisfaction devant le tribunal fédéral suisse», explique-t-il. Ce qui voudra dire que les riverains qui s'opposent à la venue du magasin à Vernier (canton de Genève) auront obtenu gain de cause.
La décision de la plus haute instance judiciaire helvétique ne devrait tomber que courant mars ou début avril.
Sans tirer de plans sur la comète, cette installation a de quoi faire rêver les élus de l'agglomération annemassienne. Ce sont de 250 à 300 emplois directs sans compter une cinquantaine d'emplois induits (gardiennage, jardiniers, etc. ..) qui pourraient être créés.
(...)
L'installation, si elle se fait en terre française, répondra à un cahier des charges précis:«Nous avons une attente architecturale et paysagère forte», dit-on à la Communauté de communes de l'agglomération annemassienne en charge de l'aménagement de cette zone. La ZAC des Bois d'Arve, d'une surface de 27 hectares, sera réservée pour un tiers environ aux activités commerciales. Le reste étant destiné à des équipements de sport et plein air et de loisirs. L'ouverture d'Ikea pourrait intervenir en 2010. Élus et entrepreneurs sont convenus d'aller vite.
http://www.ledauphine.com/photos/E74_1- … 211808.pdf
http://www.ledauphine.com/info/essentie … _85125.php
Le Dauphiné Libéré 20/03/07
Deuxième lycée gessien : Un nouveau site rattaché au lycée international
Le président de la Région, Jean-Jack Queyranne, l'a donc confirmé, hier, à l'occasion de son passage à Ferney-Voltaire : le Pays de Gex aura bien son deuxième lycée.
Le conseil régional, qui délibèrera, ce jeudi 22 mars, en séance plénière, aurait retenu l'hypothèse d'une extension du lycée international de Ferney-Voltaire sur un autre site, celui-ci restant encore à définir. « De manière à offrir des chances égales à tous les enfants gessiens », a-t-il insisté.
(...)
L'extension du site actuel semble abandonnée
Toujours est-il que l'hypothèse d'une extension du site actuel semble donc abandonnée (*). Une victoire pour les cinq conseils locaux de la Fédération des conseils de parents d'élèves (FCPE) et la Fédération syndicale unitaire (FSU) notamment, qui avaient encore adressé une lettre ouverte à Jean-Jack Queyranne, le 15 mars, estimant que cette solution « n'est pas viable » pour bien des raisons. Comme « le problème de saturation des abords et des voies d'accès, qui se pose déjà de manière cruciale, l'impossibilité d'absorption, pour une ville de 7 083 habitants, d'une structure de près de 3 000 élèves, leurs parents ainsi que les personnels afférents, les difficultés de gestion administrative et pédagogique, ou encore la taille inhumaine ».
(...)
Les travaux ne devraient pas démarrer avant 2010
Quant à la localisation du deuxième lycée, dont les travaux ne devraient pas démarrer avant 2010, « un appel à candidatures sera lancé », a expliqué Jean-Jack Queyranne, le terrain étant apporté par la collectivité territoriale. « J'ai d'ailleurs entendu qu'il y avait déjà des candidats ! »
(*) Une hypothèse qui aurait nécessité « d'extraire le collège de la cité internationale ».
L'article entier est sur:
http://www.ledauphine.com/photos/E01_1- … 214950.pdf
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RER franco-valdo-genevois: tout sur la future offre ferroviaire de la région
Un nouveau pas essentiel vient d'être franchi dans la réalisation du RER transfrontalier de la région genevoise: l'offre ferroviaire qui sera proposée aux voyageurs est désormais connue. Dès sa première mise en service, c'est toute la qualité de vie de Genève, mais aussi de l'agglomération et de l'ensemble de la Région, qui en sera améliorée.
Nombre de trains par heure, desserte et destinations, l'essentiel est désormais connu. Cette offre a été définie, au terme d'un travail en partenariat de plus d'une année, par les autorités organisatrices des transports: Canton de Genève, Canton de Vaud et Région Rhône-Alpes, en collaboration avec les gestionnaires d'infrastructures et les exploitants, CFF, RFF et SNCF.
Le plan du réseau:
http://etat.geneve.ch/dt/SilverpeasWebF … ER2016.pdf
J'aime beaucoup la façon dont sont faits les plan de ce RER : 1 Ligne par mission
Je trouve que ça amène de la clarté et au moins, on sait que si on prend la bonne ligne, on s'arrêtera la où on on veut.
C'est le truc qui me gène dans le RER parisien : l'effet "il faut que je vérifie si mon arret est desservi".
La grosse différence des RER français (je crois qu'on peut vraiment parler de RER pour Lyon, vu les fréquences élevées. Il ne s'agit finalement que d'un problème d'intégration tarifaire.) et les RER étrangers, c'est le principe de tronc commun desservi par toutes les lignes ou presque. On le voit aussi bien sur le plan du RER de Bruxelles. A Lyon, il y a bien un embryon de tronc commun entre Tassin et Gorges de Loup, mais c'est tout. Si un jour on rejoint Saint Paul à Part-Dieu, ça devrait changer la donne.
thib8500 a écrit:
La grosse différence des RER français (je crois qu'on peut vraiment parler de RER pour Lyon, vu les fréquences élevées. Il ne s'agit finalement que d'un problème d'intégration tarifaire.) et les RER étrangers, c'est le principe de tronc commun desservi par toutes les lignes ou presque. On le voit aussi bien sur le plan du RER de Bruxelles. A Lyon, il y a bien un embryon de tronc commun entre Tassin et Gorges de Loup, mais c'est tout. Si un jour on rejoint Saint Paul à Part-Dieu, ça devrait changer la donne.
En fait c'est surtout un problème lorsque les gares des villes en question sont des terminus et n'ont pas été reliées à l'origine. A Paris cela s'explique par les différents réseaux (Compagnie des chemins de fer de PLM, du Nord, de l'Est, de l'Ouest, de Paris à Orléans). Le RER a été créé en partie pour réparer cette "erreur" et ainsi faciliter les déplacement dans toute l'Ile de France: avec le développement du quartier de La Défense les usagers/salariés n'avaient plus uniquement comme origine/destination Paris.
Après à Lyon, je ne sais pas pourquoi toutes les gares ne sont pas reliées, peut être une de géographie urbaine trop contraignante !?
Sinon dans d'autres villes, bah ça dépend, des fois les gares sont des terminus d'autres fois non. Par exemple, à Grenoble où le projet de RER date de 1979 et où il y a une tarification intégrée au niveau des TER/Tram/Bus au sein du PTU, il y a bien un tronçon commun... 
Le Chablais rêve de son propre stade de foot
Une enceinte sportive de 12 000 places est prévue dans le Chablais, aux portes de Genève.
Où jouera le club de foot Evian Thonon Gaillard (ETG)? Orphelin de stade depuis sa récente ascension en Ligue 2 française, le club haut-savoyard mise sur la Praille, à Genève. La décision tombera à la fin du mois. Mais quelle que soit la solution trouvée, la dérogation ne sera valable que pour quatre ans. Et après? Le projet de construction d’un édifice de 12 000 places dans le Chablais se prépare déjà.
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Evian-Thonon-Gaillard s’approche du but pour jouer au Stade de Genève
Première manche gagnée pour le club Evian-Thonon-Gaillard (ETG). La Ligue de football professionnelle a donné son accord pour que l’équipe haut-savoyarde de Ligue 2 joue ses matches au Stade de Genève, selon la presse française du week-end. Mais rien n’est joué. La Fédération française de football et l’UEFA doivent se prononcer dès le 20 mai.
Un symbole fort
«Il s’agit d’une étape positive», réagit Jean Denais, maire de Thonon-les-Bains (berceau de l’ETG) et fervent supporter de l’option «genevoise». «C’est le stade le plus proche du lieu de naissance de l’équipe. Les supporters se voient davantage aller à Genève qu’à Annecy. Et puis Genève est la capitale régionale.» Autoriser le club haut-savoyard à jouer de l’autre côté de la frontière constituerait «un symbole fort dans le cadre du projet d’agglomération franco-valdo-genevois».
[...]
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