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Nom | Fonction(s) | Hauteur | Niveaux | Année |
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Les Docks Libres - Phase 2 | Logements, Commerces et activités | 58.75 m | R+17 | 2018 |
Les Docks Libres - Phase 1 | Logements, Bureaux, Hôtel, Commerces et activités | 53.50 m | R+18 | 2016 |
Docks Libres | Industrie | 10.00 m | R+1 | 1975 |
Conseil municipal demain : stationnement payant et rénovation urbaine
Publié le dimanche 4 octobre 2009 à 18H03
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Les élus débattront également de l’opération de rénovation urbaine du quartier de Saint-Mauront pour un coût de 68,3 millions d’euros. Il prévoit la construction de plus de 900 logements neufs diversifiés, la réhabilitation de 260 logements locatifs sociaux et la réalisation de voies nouvelles.
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La Provence
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Marseille habitat lance une consultation pour la construction d'un immeuble de logement et une crèche, à l'angle des rues Julien et Jouven.
Localisation : http://maps.google.fr/maps?t=h&hl=f … 6&z=20
On commence à voir naitre les premières opérations de rénovation urbaine dans ce quartier très délabré. On verra comment cela évoluer.
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Il était temps
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il y a une réunion publique aujourd'hui il me semble sur l'ANRU et les Docks libres.
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Un futur quartier durable en centre-ville
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Dans le cadre de la semaine "Un logement pour tous", la ville de Marseille a organisé mercredi 27 janvier une réunion publique d'information au centre municipal de la rue Félix Pyat sur deux opérations d'aménagement qui vont totalement changer la physionomie du quartier : le programme de réhabilitation des cités mené dans le cadre de l'Anru (Agence nationale pour la rénovation urbaine) et l'opération de construction de logements et de bureaux à l'emplacement des anciens Docks Libres, à l'angle du boulevard National.
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Pour Arlette Fructus, adjointe à l’habitat et au logement, l’opération des Docks Libres "est emblématique de la politique que mène la municipalité". "Toutes les gammes de logements y seront présentes, depuis le logement social jusqu’à l’accession libre en passant par l’accession à prix maîtrisés", indique l'adjointe. Le projet, présenté par l’équipe choisie après appel à candidatures, les sociétés ING et Nexity, en est encore au stade des intentions. Il sera affiné dans les mois qui viennent en tenant compte des avis des habitants.
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Un avenir flou au pied des tours de Bellevue
29-01-2010 - La Marseillaise
Aménagement. La Ville a confié au groupement Ing Nexity un projet urbain sur le site des anciens Docks libres, à Saint Mauront. La première réunion d’information se tenait mercredi.
« Avec ses deux stations de métro, cette zone a un potentiel important. Si c’est aujourd’hui une zone de relégation, nous avons pour ambition d’en faire un vrai quartier de centre ville ». Pour ce faire, la Ville va engager de nombreuses opérations de résorption de l’habitat indigne, ouverture de voies et mise en valeur de friches financées grâce au crédit de l’Agence nationale de Rénovation urbaine (Anru).
(...)
Mais le cœur du projet est le nouveau quartier qui doit sortir de terre sur l’ancien site des Docks libres, au pied des tours du parc Bellevue. Depuis 2005, la Ville a pour projet d’y faire de la couture urbaine sur les 28 000 m2 d’entrepôts en déshérence.
En 2007, l’architecte Roland Carta avait planché sur l’avant projet. Il présentait un parc autour d’un joli bassin, une corniche au-dessus du métro aérien et un vaste ensemble de logements, bureaux et activités économiques autour.
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En gros, une « rue intérieure » bordée d’immeubles reliera le boulevard National au futur parc bordant le Boulevard de Lesseps. Le lac est devenu « un espace humide » qui servira de bassin de rétention au ruisseau des Aygalades transformé en coulée verte par le projet urbain d’Euroméditerranée II.
(...)
BENOIT GILLES
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Voila, des scenarii de réaménagement de la copropriété Bellevue élaborée par I-Lot architecture pour la ville de Marseille en 2008. Les architectes résument leurs propos comme une "Elaboration d’un projet global d’intervention sur la copropriété Bellevue et ses abords immédiats, qui soit cohérent avec le parti d’aménagement exprimé dans « l’étude dit des Docks Libres »."
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Une partie de ces crédits sera également dévolue à la rénovation de la cité Bellevue, vaste copropriété dégradée, qui vit déjà son deuxième plan de sauvegarde.
C'est incroyable qu'à Marseille on se refuse à démolir les cages à lapins ...
Quand on voit les banlieues Parisiennes qui dynamitent leurs tours et barres d'habitations depuis les années 90, ça me dégoute.
On va garder ces horreurs de Felix Pyat dans un futur quartier d'affaires ?
C'est une énorme erreur, car ensuite nous ne pourrons les détruire facilement avec la densification et les aménagements alentours soignés.
Le quartier ne deviendra JAMAIS attractif tant que ces blocs de bétons seront en place.
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Les blocs de béton, où les habitants qui y vivent ?
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Les blocs de béton, parce que les habitants changeront quand leur habitat changera ...
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Il y a quand même possibilité de réhabiliter les bâtiments, sans tous détruire. Ces bâtiments des années là se prêtent d'ailleurs très facilement aux réhabilitations. Isolation par l'extérieur, ajout de balcons... On arrive à changer l'esthétique radicalement pour un prix pas forcément très élevé. Et puis, à l'heure des économies d'énergie, la réhabilitation est quand même plus soutenable que la démolition-reconstruction. Après pour bénéficier des subventions ANRU du gouvernement, il est indispensable de détruire! (Il faut faire tourner le BTP). De plus, c'est quand même un peu mal sain de vouloir faire table rase de tout notre passé.
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Ce qui est malsain, ce n'est pas tant leur architecture qui est effectivement perfectible à (relativement) peu de frais que leur non intégration à la ville. On contourne Félix Piat on y pénètre pas, c'est un ensemble (comme nombre des ensembles de cette période) qui fonctionne en vase clos et ça c'est malsain. Est-ce qu'il est possible de rouvrir ces ensembles et de les intégrer aux quartiers environnants sans faire de démolitions ? Je n'en suis pas sur.
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A vous de juger si cela doit être réhabilité et non pas démoli, en sachant que nous sommes dans un lieu qui est tout de même destiné à devenir un quartier d'affaires ...
De plus, c'est quand même un peu mal sain de vouloir faire table rase de tout notre passé.
Si tu parles de ce passé qui nous à donnés l'amiante, tchernobyl, et ces cités soit-disant "paradis" à l'origine mais laissées à l'abandon dès le départ, alors oui, nous devons faire table rase ...
J'exagère un peu, mais faut il garder toutes les séquelles de l'architecture et de la vision de l'habitat d'il y a 40 ans ? Parce-qu'à Marseille, c'est ce que l'on est en train de faire.... je n'ai jamais vu de démolition de cités (ne me parlez pas de réhabilitation pour ces lieux, car c'est intolérable de passer un coup de peinture et casser deux trois murs histoire de dire que l'immeuble change ...)
Cette vision de l'habitat des années 60 ne colle plus aux réalités, on l'a vu plusieurs fois, on a eu confirmation en décembre 2005, pourquoi ne pas vouloir changer radicalement ?
Parce-que la solution, c'est pas de mettre des flics partout et faire des lois qui ne seront pas respectées, la solution c'est régler les problèmes à la base ...
Je serai à la place de Sarkozy ou de son entourage gouvernemental, je lancerai une vaste opération nationale de démolition/reconstruction des cités-ghettos comme Felix Pyat, il y en a bien eu à la Courneuve, pourquoi pas à Marseille ?
Et son soi-disant plan Marshall des banlieues on l'attend toujours ...
Dernière modification par revolution.joy (01-02-2010 20:52:42)
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Je sais que je vais faire mou du gland en disant cela, mais pour ma part, je pense qu'il faut faire les deux. Réhabiliter parce que c'est souvent possible et que cela peut donner de très bon résultat (j'aime beaucoup le projet de Jean Nouvel pour je sais plus quel immeuble à Paris), et puis surtout... parce que l'on ne peut pas faire tout sauter, qu'il est impossible de faire table rase de presque 30 ans d'un urbanisme (qui est ce qu'il est, certes). Or, parmi tout ces immeuble qui resteront debout, très peu d'entre eux n'auront, n'ont pas besoin d'une réhabilitation en profondeur (en fait, j'ai envie de dire tous). Quand il est vraiment possible de procéder à une réhabilitation de qualité, qui change réellement la physionomie de la "cité", autant le faire.
Mais les destructions me semblent aussi indispensables. Parce qu'évidemment, au delà d'améliorer l'état de logements souvent proches de l'insalubrité, bourrés d'amiante etc, c'est aussi la typologie de ces quartier qu'il faut changer. Comme le dit Bakou, ces ensembles fonctionnent en vase clos, parce que trop souvent, on a construit 4 immeubles autour d'une grue. Pour réouvrir ces ensembles fermés sur eux même, ouvrir "les cité" à "la cité", il faut détruire tout ou partit. En ce qui concerne Bellevue, je pense qu'il va nécessairement falloir raser en (grande?) partie
En vérité, il ne faut pas avoir peur de faire ce que l'homme à toujours fait depuis qu'il s'est sédentarisé et urbanisé: bâtir de la ville sur la ville, se servir de l'existant pour l'améliorer, l'adapter à des nouveaux besoins, et se débarrasser de ce qui gêne. La ville doit pouvoir se réinventer en permanence. Raser, agrandir, casser un mur, ajouter une cloison... tout ça c'est kif-kif.
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Tout à fait d'accord avec Vinz.
trop souvent, on a construit 4 immeubles autour d'une grue.
A propos de ça, je conseille de regarder l'excellent C'est pas Sorcier sur les banlieues (ils prennent exemple sur la Courneuve) à ceux qui veulent comprendre comment se sont bâties les cités en France
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Images de Felix Pyat publiées dans le groupe éponyme sur Facebook.
http://www.facebook.com/search/?q=felix … 2249036718
http://photos-h.ak.fbcdn.net/hphotos-ak … 2644_n.jpg
http://photos-g.ak.fbcdn.net/hphotos-ak … 4697_n.jpg
http://photos-a.ak.fbcdn.net/hphotos-ak … 7495_n.jpg
http://photos-b.ak.fbcdn.net/hphotos-ak … 9215_n.jpg
http://photos-b.ak.fbcdn.net/hphotos-ak … 4285_n.jpg
http://photos-h.ak.fbcdn.net/hphotos-ak … 5597_n.jpg
http://photos-e.ak.fbcdn.net/hphotos-ak … 8199_n.jpg
http://photos-d.ak.fbcdn.net/hphotos-ak … 1106_n.jpg
http://photos-h.ak.fbcdn.net/hphotos-ak … 2077_n.jpg
http://photos-d.ak.fbcdn.net/hphotos-ak … 9309_n.jpg
http://photos-h.ak.fbcdn.net/hphotos-ak … 9711_n.jpg
Ce genre de quartier ça ne se rafistole pas, ça doit se métamorphoser ...
Note de modération:
Balises images retirées: il n'est pas conseillé de poster des photos dont le copyright n'est pas connu, surtout en si grand nombre.
Dernière modification par pastis (01-02-2010 23:50:05)
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Je dirais même mieux ce doit être rasé.
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Effectivement, un des gros problèmes de l'urbanisme moderne, c'est d'avoir ignorer le tissus urbain environnant. En terme foncier, on a d'immense territoire qui sont qu'une seule parcelle, on n'a plus de découpage claire entre espace public et espace privé. On est effectivement de ce fait très enclavé et la priorité pour la rénovation de ces quartier est de les désenclaver. Après la démolition lourde n'est pas forcement indispensable mais parfois nécessaire, il faut trouver le juste milieux.
Ensuite la concentration en logement sociaux est trop importante, il faut rééquilibrer le rapport en incitant un habitat (non-social) à venir s'installer (la TVA à 5,5% pour le logement en ZUS le permet) et diminuer le nombre de logements sociaux (la démolition peut être là une solution, surtout si elle permet de libérer de l'espace constructible ou de créer de nouvelle liaison interquartier).
Une solution intéressante pour la rénovation des grands ensembles est peut être théorisée et réalisée par l'architecte-urbaniste François Panerai avec la résidentialisation. Cela a été testée notamment à Grenoble pour le quartier Teisseire dont la rénovation est sur le point de s'achever par un succès.
Lien wikipédia pour F. Panerai : http://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_Panerai
Lien wikipédia pour résidentialisation : http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9sidentialisation
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archival a écrit:
il faut rééquilibrer le rapport en incitant un habitat (non-social) à venir s'installer (la TVA à 5,5% pour le logement en ZUS le permet) et diminuer le nombre de logements sociaux (la démolition peut être là une solution, surtout si elle permet de libérer de l'espace constructible ou de créer de nouvelle liaison interquartier).
Oui, il est nécessaire d'en diminuer la proportion en favorisant les programmes non sociaux afin de tendre vers une mixité dans ce quartier. Mais je suis opposé à la suppression de logements sociaux pour arriver à cette fin. Je parlais plutôt de diminuer le nombre de logements insalubres par le renouvellement du parc (rénovation profonde et recréation de logements sociaux de qualité lorsque la destruction s'impose).
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revolution.joy a écrit:
... nous sommes dans un lieu qui est tout de même destiné à devenir un quartier d'affaires ...
Je pensais que ça l'était dejà ...
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Je pensais que ça l'était dejà ... A7
Si tu parles de ce qu'il y a entre la Joliette et la tour CMA CGM...
On ne peut pas encore appeler cela un véritable quartier d'affaires ...
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Non pas du tout, je jouais juste avec un autre sens du mot "affaire"
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Non pas du tout, je jouais juste avec un autre sens du mot "affaire" B2
Ah d'accord ! J'ai pigé !
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revolution.joy a écrit:
Je pensais que ça l'était dejà ... A7
Si tu parles de ce qu'il y a entre la Joliette et la tour CMA CGM...
On ne peut pas encore appeler cela un véritable quartier d'affaires ...
Et pourquoi ça ?
C'est bel et bien un quartier d'affaire, l'un des 3 plus importants du pays en dehors de l'Ile de France mais il n'a pas encore la dimension internationale que les pouvoirs publics ambitionnent.
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