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La Fédération des promoteurs immobiliers de Provence veut croire aux vertus d’une démarche collaborative initiée avec la Ville pour « reconstruire » #Marseille.https://t.co/onhAgGAazq
— La Marseillaise (@lamarsweb) April 20, 2021
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Elisabeth Dorier: «De véritables frontières urbaines se constituent à Marseille»
Par Eugénie Boilait
31 août 2021
Entre des quartiers paupérisés et des résidences fermées avec portails et digicodes, Marseille est largement touchée par le phénomène de «fragmentation urbaine». Selon la géographe, les équipements publics ont été abandonnés, créant des inégalités de services inédites au sein de la métropole.
(…)
Cette tendance favorise la valorisation économique du foncier. Elle est encouragée par certaines collectivités dans une logique néolibérale de désengagement public de la gestion de proximité. En France, dans le cadre de ce qu'on appelle le « renouvellement urbain », les opérateurs immobiliers repèrent des espaces rentables et attractifs parmi des zones non bâties, dégradées, abandonnées ou restées populaires. Les nouveaux projets résidentiels « de qualité » s'y implantent alors en rupture avec le tissu urbain préexistant, avec des dispositifs de clôture et sécurisation. Les circulations automobiles se retrouvent alors canalisées entre ces enceintes résidentielles, les zones d'activités et les centres commerciaux eux-mêmes entourés de grilles. Les agglomérations deviennent de moins en moins traversantes pour les piétons.
À Marseille, les quartiers les plus aisés, dominant la mer depuis la «corniche Kennedy», sont couverts de résidences fermées. Mais on retrouve le même modèle dans des quartiers de rénovation urbaine. Les Terrasses de la Méditerranée, conçues pour des acquéreurs de classe moyenne, en sont un très bon exemple : construite dans les cités pauvres du nord de Marseille. Elle est située entre deux cités, sur un grand espace qui domine avec une double vue sur les cités et sur la mer. À l'origine, cet espace était destiné à être un grand «parc belvédère» public pour les quartiers populaires, mais il a finalement été converti en projet immobilier privé pour requalifier le quartier (compter des gens plus aisés). Aujourd'hui, il y a des tensions locales, avec de la frustration du côté des habitants des cités qui ont perdu l'accès à cet espace.
(…)
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A l'été 2017, cette même Elisabeth Dorier avait déjà participé à une (très intéressante) série d'articles sur ce phénomène pour Marsactu, intitulée "Petites histoires de résidences fermées" et encore trouvable en ligne : https://marsactu.fr/dossier/serie-petit … s-fermees/.
De mémoire il en ressortait qu'au-delà des éléments avancés dans l'article du Figaro (sécurité, propreté...), il était aussi question parfois de sanctuariser des places de stationnement. Avec une résidence clôturée, le résident a peu ou prou la certitude d'avoir sa place au pied de son immeuble, et de ne pas se la faire piquer par un estranger.
Du reste, s'il y a parfois des cas très emblématiques et très problématiques, par exemple les détours dingues faits par des enfants sur le chemin de l'école, ou le report de plein de bagnoles sur la seule voirie ouverte et donc congestionnée, les articles sur le sujet font quand même parfois bien fi de l'éreintement de certains copropriétaires qui conduit à la fermeture. Quand tu subis cent fois des dégradations, que cent fois tu les répares à tes frais, et que les coupables ne craignent et ne craindront jamais rien, à termes le calcul est vite fait, un investissement ponctuel te revient moins cher que cent réparations - et à ce moment-là tu commences à perdre de vue l'intérêt collectif de résidences ouvertes, le fonctionnement urbain dans son ensemble, etc.
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Fracasse a écrit:
Du reste, s'il y a parfois des cas très emblématiques et très problématiques, par exemple les détours dingues faits par des enfants sur le chemin de l'école, ou le report de plein de bagnoles sur la seule voirie ouverte et donc congestionnée, les articles sur le sujet font quand même parfois bien fi de l'éreintement de certains copropriétaires qui conduit à la fermeture. Quand tu subis cent fois des dégradations, que cent fois tu les répares à tes frais, et que les coupables ne craignent et ne craindront jamais rien, à termes le calcul est vite fait, un investissement ponctuel te revient moins cher que cent réparations - et à ce moment-là tu commences à perdre de vue l'intérêt collectif de résidences ouvertes, le fonctionnement urbain dans son ensemble, etc.
J'habite dans une des nombreuses impasses privées du 9ème du coté de ste marguerite, et c'est une des dernières à ne pas avoir de portail.
Et bien nous allons en mettre un dès que possible. L'entretien de la voirie est à notre charge, nous payons des impôts sur ce foncier, et tout le monde ignore joyeusement les nombreux panneaux "interdiction de stationner" et autre "voie privée".
Évidemment le but est de pouvoir se garer devant la maison, mais ce terrain nous appartient donc il ne me semble pas choquant de vouloir en profiter...
Pour info, pour une voiture stationnée sur une voie privée, le seul recours c'est d'envoyer au propriétaire une mise en demeure au bout de 7 jours...
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C'est marrant que l'article du Figaro mentionne "Les Terrasses de la Méditerranée". Il y a 40% de logements sociaux dedans et pour les proprios on est à 3000€ du m2.
Sinon le problème est dans les 2 sens. J'imagine sans problème que pour les habitants des quartiers pauvres, c'est un peu violent de voir une rue devenir privée pour y mettre des logements un peu mieux. L'exemple du triptyque Cravache > Sévigné > Coin Joli est d'ailleurs emblématique tant on assiste à un mouvement de population tous les matins à cause de simples portails.
Mais pour les habitants des classes moyennes, c'est aussi violent d'avoir sa voiture ou sa boite aux lettres déglinguée et se dire que l'investissement d'une vie est gâchée.
Il y a quand même un vrai problème de gestion de la petite insécurité dans ce pays et au final les gens s'organisent eux même pour être peinard parce que l’État est défaillant.
Dernière modification par Nguyom (01-09-2021 11:00:47)
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Nguyom a écrit:
Sinon le problème est dans les 2 sens. J'imagine sans problème que pour les habitants des quartiers pauvres, c'est un peu violent de voir une rue devenir privée pour y mettre des logements un peu mieux. L'exemple du triptyque Cravache > Sévigné > Coin Joli est d'ailleurs emblématique tant un assiste à un mouvement de population tous les matins à cause de simple portails.
Mais pour les habitants des classes moyennes, c'est aussi violent d'avoir sa voiture ou sa boite aux lettres déglinguée et se dire que l'investissement d'une vie est gâchée.
Il y a quand même un vrai problème de gestion de la petite insécurité dans ce pays et au final les gens s'organisent eux même pour être peinard parce que l’État est défaillant.
C'est en effet un peu con d'obliger les gens à faire des détours improbables, mais le problème de fond reste l'absence de voies publiques, ou le fait que la mairie ait souhaité s'en débarrasser.
Sans parler de voiture ou de boite à lettre déglinguée, on peut parler d'incivilité de base: si tu ouvres aux piétons, tu vas te retrouver avec des papiers, et mégots, des canettes etc... par terre. S'agissant de voies privées c'est au propriétaire de ramasser...
Il faudrait juste un minimum de respect, mais comme ça n'est pas possible et qu'en effet les incivilités et la petite insécurité ne sont absolument pas traitées, ça ne peut que dériver.
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jesuralem a écrit:
C'est en effet un peu con d'obliger les gens à faire des détours improbables, mais le problème de fond reste l'absence de voies publiques, ou le fait que la mairie ait souhaité s'en débarrasser.
Ce problème est pris en compte par la municipalité. Elle profite actuellement de la procédure de modification du PLUI en cours pour résoudre à terme les zones les plus problématiques (le 9e arrdt est d'ailleurs concerné pour l'accès aux écoles et à l'extension du tramway). L'enquête publique se déroulera au début de l'année prochaine.
Dernière modification par ju2mars (01-09-2021 10:52:51)
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ju2mars a écrit:
jesuralem a écrit:
C'est en effet un peu con d'obliger les gens à faire des détours improbables, mais le problème de fond reste l'absence de voies publiques, ou le fait que la mairie ait souhaité s'en débarrasser.
Ce problème est pris en compte par la municipalité. Elle profite actuellement de la procédure de modification du PLUI en cours pour résoudre à terme les zones les plus problématiques (le 9e arrdt est d'ailleurs concerné pour l'accès aux écoles et à l'extension du tramway). L'enquête publique se déroulera au début de l'année prochaine.
J'aimerai bien en savoir plus. Je ne vois pas trop comment la mairie pourrait contraindre des résidences privées a laisser passer des gens sur leur terrain.
Sauf a exproprier mais ca veut dire DUP etc... ca me semble un peu surdimensionné.
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À Marseille, le prix de l’immobilier a augmenté de 7 % en 1 an
https://madeinmarseille.net/98307-a-mar … 7-en-1-an/
Parmi les plus prisés, on retrouve le 4e, le 6e, le 8e et le 9e arrondissement, dont le prix au m² a bondi de plus de 12 % en un an. À l’inverse, la tendance est très nettement en baisse dans les 3e (- 9,7 % sur 1 an), 12e (- 7,2 % sur 1 an) et 14 e arrondissements (- 11,4 % sur 1 an).
C'est dingue des évolutions pareilles, à la hausse comme à la baisse, en seulement un an. Bulle effet Covid, ou bien tendance à long-terme / rattrapage vous pensez ? Assez surpris aussi du chiffre sur le douzième arrondissement.
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Bulle effet covid et surtout taux encore très bas, ça ne sera certainement pas durable...
On voit que le 1er passe devant le 12ème, je pense que le 1er va malheureusement très vite exploser avec toute la chirurgie poussive et minérale qu'ils font dans l'hypercentre...
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Après si c'est une bulle Covid temporaire, on devrait observer les même tendances dans d'autres villes à peu près similaires, que ce soit en matière de taille, de géographie, etc. Est-ce le cas, si quelqu'un a les chiffres ?
Dernière modification par Fracasse (13-09-2021 21:46:05)
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jesuralem a écrit:
ju2mars a écrit:
jesuralem a écrit:
C'est en effet un peu con d'obliger les gens à faire des détours improbables, mais le problème de fond reste l'absence de voies publiques, ou le fait que la mairie ait souhaité s'en débarrasser.
Ce problème est pris en compte par la municipalité. Elle profite actuellement de la procédure de modification du PLUI en cours pour résoudre à terme les zones les plus problématiques (le 9e arrdt est d'ailleurs concerné pour l'accès aux écoles et à l'extension du tramway). L'enquête publique se déroulera au début de l'année prochaine.
J'aimerai bien en savoir plus. Je ne vois pas trop comment la mairie pourrait contraindre des résidences privées a laisser passer des gens sur leur terrain.
Sauf a exproprier mais ca veut dire DUP etc... ca me semble un peu surdimensionné.
C'est le but oui, récupération de maitrise foncière par DUP.
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Marseille. Contraints de rénover leurs biens immobiliers, le coup de colère des propriétaires marseillais
Par Arthur Sabatier - 1er décembre 2021
La nouvelle loi "climat et résilience" pose de nouvelles obligations pour les propriétaires. Ces derniers s'en sont plaints hier lors d'une conférence de presse.
(…)
Avec ses trois fenêtres, trois à quatre étages, sa cave et ses combles, l’immeuble marseillais typique est assez reconnaissable. Il arbore une façade relativement sobre, le but était de favoriser la qualité de l’intérieur plutôt que l’extérieur.
(…)
Mais aujourd’hui, beaucoup constatent que le plancher se met à fléchir dangereusement. En cause, souvent : la surcharge, mais aussi les problèmes d’humidité. En général, cela se termine par des situations d’insalubrité ou de péril, et exige des rénovations très onéreuses.
Mais en plus de la question de la sureté de ces immeubles, s’ajoute un autre problème de taille : l’isolement. Ces biens sont devenus aujourd’hui de véritables « passoires thermiques ».
(…)
Faute de travaux, les propriétaires des biens classés G, F puis E seront donc obligés de retirer leurs logements du marché immobilier.
Le problème pointé hier par UNIS Marseille Provence Corse, c’est que « cette loi ne concerne pas les locations de courtes durées » que l’on retrouve, le plus souvent, sur des plateformes telles qu’Airbnb.
(…)
Le marché de l’immobilier à Marseille est déjà très tendu depuis deux ans et la tendance ne va pas en s’améliorant. Aujourd’hui, le taux de rotation locative, soit la fréquence à laquelle les locataires changent de résidence dans un parc immobilier, est de 3% en 2021 à Marseille. En 2018, il était égal à 10% dans la ville et s’élevait à 31,6% sur l’ensemble du territoire français (selon une étude de 2018 de Statista). Conclusion, il est difficile de changer ou trouver un logement, le marché manque de flexibilité.
(…)
Logement social : une loi SRU par arrondissement pour Marseille, Paris et Lyon ?
(…)
"Il ne s’agit pas seulement de faire Marseille en grand, mais aussi Marseille ensemble", indique le parlementaire. À Marseille où les disparités sont fortes entre le Nord et le Sud, y compris sur le taux de logements sociaux, il vise un "taux plancher", soit une obligation minimale allant de 10 à 15% dans chaque arrondissement. Le tout serait coordonné via un contrat entre l’État et les collectivités locales.
(…)
La production HLM toujours en souffrance en Paca
Publié le 29 novembre 2021 à 14h10, William Allaire
(…)
Aix-Marseille-Provence à la traîne
Sur le plan territorial, la métropole marseillaise connait de sérieux retards à l’allumage : au 15 novembre, Aix-Marseille-Provence (AMP) n’a obtenu des financements que pour... 185 logements (dont 80 PLAI) sur un objectif de production de 4 712 HLM en 2021, soit un taux d’exécution maigrichon de 3,9%.
Avec un taux d’exécution de 31,4%, Nice-Côte d’Azur (NCA) fait nettement mieux que sa voisine phocéenne, recensant 541 logements pour un objectif annuel de 1 721 HLM.
En chiffres sonnants et trébuchants, ce retard est encore plus parlant : AMP n’a consommé que 585 000 euros de son enveloppe de financement annuelle de 17 millions d’euros (3,4%). Et sur NCA, l’engagement financier se monte à 1,39 million d’euros pour une enveloppe annuelle de 6,2 millions d’euros (22,4%).
(…)
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pastis a écrit:
Mais en plus de la question de la sureté de ces immeubles, s’ajoute un autre problème de taille : l’isolement. Ces biens sont devenus aujourd’hui de véritables « passoires thermiques ».
(…)
Personnellement j'ai un peu du mal à accorder du crédit a un journaliste qui prétend parler d'immobilier et qui confond isolement et isolation...
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Tu fais bien de corriger mais on peut se montrer indulgent avec un média qui propose gratuitement ses articles. De même que tolérer l’utilisation d’un terme impropre ou une méconnaissance du sujet (pour un média généraliste) tant que le journaliste en question ne transmet pas son opinion par un édito ou prise de position entre les lignes.
Dans le cas de cet article il se borne à donner des statistiques sourcées et retranscrire les réactions de professionnels face à une nouvelle loi.
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Mathilde Chaboche : « Un permis de construire, ce n’est pas un cadeau mais du service public ! »
Le 22 novembre 2021 - William ALLAIRE
Mathilde Chaboche, adjointe à l’urbanisme et au développement harmonieux de la ville, défend la « charte de la construction durable », dont elle est l'origine et adoptée par la Ville de Marseille le 1er octobre.
TPBM : Pourquoi une charte de la construction durable ?
Mathilde Chaboche : Il s’agit de poser un socle commun qui recense les exigences de la ville en matière de construction. Les dix enjeux de la charte n’ont rien de révolutionnaires : la mixité, la densité, l’architecture bioclimatique, la qualité environnementale, la flexibilité, l’insertion dans le contexte… autant d’enjeux qui découlent simplement du bon sens urbain adapté à la ville du XXIe siècle.
(…)
Le Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) ne suffit pas ?
Le PLUi fixe de grands partis-pris. Mais il ne descend pas dans la texture de la maille urbaine : il ne parle pas des usages ou des spécificités locales. Ou alors de manière très générale. Prenez l’exemple d’un arbre centenaire planté au milieu d’une parcelle : le projet devra composer avec cette présence. Un chêne centenaire, ça ne se compense pas.
(…)
Outre le foncier, c’est la pénurie de permis de construire qui taraude aujourd’hui les acteurs de l’immobilier…
Mi-septembre, nous avions autorisé quelque 2 000 logements dont 470 logements locatifs sociaux, soit un ratio de près de 25 %, deux fois plus élevé qu’auparavant. Cela n’empêche pas l’exigence : j’assume complètement le fait d’être très vigilante sur la qualité et la régularité des projets. Sans cela, c’est la porte ouverte aux recours qui paralysent la chaîne de production des logements. J’invite les promoteurs à venir nous voir en amont des demandes de permis, dès la phase d’Avant-projet (AVP). Ils sont d’ailleurs nombreux à le faire. On évite les projets qui s’embarquent dans les mauvaises directions. Le PLUi est récent[il a été voté en décembre 2019, NDLR] et suscite énormément de problèmes d’appropriation. On a par exemple des soucis avec la profondeur de certains balcons. On a dû refuser des dossiers car ils ne respectaient pas les dimensions requises dans le PLUi. C’est un peu absurde mais c’était ça ou prendre le risque de voir le permis attaqué.
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Insoupçonné et insoupçonnable à cet endroit :
https://www.lux-residence.com/fr/vente/ … utm_term=x
Dernière modification par osin13 (08-12-2021 15:00:23)
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C'est vraiment très beau, cela prouve bien que Marseille a tout de même un patrimoine historique remarquable et intéressant. Nous le voyons bien dès lors que l'appartement est correctement entretenu.
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Certes, mais pour le même prix tu as le même genre d'appartement rue paradis coté prado dans un quartier quand même plus calme.
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Fracasse a écrit:
À Marseille, le prix de l’immobilier a augmenté de 7 % en 1 an
https://madeinmarseille.net/98307-a-mar … 7-en-1-an/Parmi les plus prisés, on retrouve le 4e, le 6e, le 8e et le 9e arrondissement, dont le prix au m² a bondi de plus de 12 % en un an. À l’inverse, la tendance est très nettement en baisse dans les 3e (- 9,7 % sur 1 an), 12e (- 7,2 % sur 1 an) et 14 e arrondissements (- 11,4 % sur 1 an).
C'est dingue des évolutions pareilles, à la hausse comme à la baisse, en seulement un an. Bulle effet Covid, ou bien tendance à long-terme / rattrapage vous pensez ? Assez surpris aussi du chiffre sur le douzième arrondissement.
Il y a un problème là . Le 12ème qui perdrait de sa valeur alors que des villas à la fourragère auraient connu une augmentation de 20%
Et le 7ème pas pris en compte dans les arrondissements cotés?
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Le 7eeme pas pris en compte et quand ils généralisent pour le 8eme c est surtout dans le neuf et les résidences sur la corniche les prix +++ car dans les résidences des années 60-70-80 avec chauffage collectif et fortes charges même dans le fameux " carré d'or" les prix ne sont pas si chers pour un "carré d or". Ces analyses générales ne valent pas grand chose ce sont des moyennes alors que chaque bien et chaque résidence est différente.
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ju2mars a écrit:
jesuralem a écrit:
ju2mars a écrit:
Ce problème est pris en compte par la municipalité. Elle profite actuellement de la procédure de modification du PLUI en cours pour résoudre à terme les zones les plus problématiques (le 9e arrdt est d'ailleurs concerné pour l'accès aux écoles et à l'extension du tramway). L'enquête publique se déroulera au début de l'année prochaine.
J'aimerai bien en savoir plus. Je ne vois pas trop comment la mairie pourrait contraindre des résidences privées a laisser passer des gens sur leur terrain.
Sauf a exproprier mais ca veut dire DUP etc... ca me semble un peu surdimensionné.C'est le but oui, récupération de maitrise foncière par DUP.
Le projet de cheminements piétons entre la copropriété la Cravache et le groupe scolaire Coin Joli sera le premier à être à l'étude.
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https://www.youtube.com/watch?v=ZM0AoRDgQuU
Retour sur 10ans de travaux à Marseille
Dernière modification par Dilomar (20-01-2022 08:54:32)
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ju2mars a écrit:
Le projet de cheminements piétons entre la copropriété la Cravache et le groupe scolaire Coin Joli sera le premier à être à l'étude.
Sans parler du bien fondé . Il y a un risque juridique que ce type de projet n'aboutisse pas non ?
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En effet oui...
La première étape se déroule actuellement dans le cadre de la 2e modification du PLUI Marseille Provence. La Métropole a déjà refusé d'inscrire cet emplacement réservé sans justification. Encore une fois, que l'on adhère ou non à la politique de la nouvelle majorité, l'EPCI ne peut pas ignorer le projet de développement urbain porté par la Mairie.
Les conclusions du Commissaire enquêteur à ce sujet vont être intéressantes, une fois de plus...
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