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buenosayeres a écrit:
Marseille est la deuxième ville de France, elle est en train de devenir l'une des principales destinations touristiques urbaines du pays et pourtant il manque des restaurants, des bars, des musées, des cinémas. Tout ce dont la ville a besoin pour dynamiser le centre-ville fait défaut. Les restaurateurs du Vieux-Port se plaignent d'une baisse de fréquentation alors qu'un cinéma installé rue de la République aurait attiré de la clientèle toute la journée. Le centre-ville pourrait être animé si les infrastructures culturelles étaient adaptées à la taille de la ville : le centre aurait besoin de plusieurs multiplexes (un sur la Canebière, un rue de la République, un place Castellane). Le projet MK2 annoncé pour la Canebière prévoyait quatorze salles, cela laissait la place à un cinéma de même dimension rue de la République (exploité par UGC par exemple) et au multiplexe d'Euroméditerranée (quatorze salles prévues également).
Les changements (ouverture des cinémas Artplexe et EuropaCorp) interviendront trop tard et ne seront pas suffisants pour modifier favorablement le visage du centre-ville. Le multiplexe d'Euromed Center est situé trop loin du centre pour contribuer réellement à son développement, les spectateurs se cantonneront aux Docks. Le cinéma de la Canebière sera quant à lui trop petit (sept salles) pour rayonner au-delà du haut de la Canebière. Ce sera une amélioration comparativement à la situation existante mais ce n'est pas réellement réjouissant à l'échelle de l'hypercentre.
...Si tant est que le projet de cinéma annoncé par madame Bernasconi voit le jour, cette personne semble rêver éveillée et prendre ses désirs pour des réalités, ce n'est pas elle qui décide in fine et au-delà des effets d'annonce rien n'est acté aujourd'hui...
Tout çà pour dire que l'on en revient toujours au même problème, l'apathie du centre ville marseillais tient essentiellement à l'absence de projet global porté par les élus (et le premier d'entre eux) pour en assurer le développement. Par manque de volonté ou volonté délibérée, "on" préfère s'intéresser à d'autres lieux.
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Marsiglia a écrit:
La différence c'est que dans des villes comme Rouen, Tours, ou Nancy, les étudiants sont en centre ville alors qu'à Marseille ils sont à l'autre bout de la ville à St Jérome ou Luminy. Rapatriez tous ces étudiants en centre ville, vous verrez si l'offre de ciné, de lieux de sortie ou autre complexe ne pousseront pas rapidement.
Ca n'explique pas tout et je pense que l'éloignement de certains campus est finalement un faux problème. On compte tout de même plus de 15 000 étudiants dans le centre entre la fac St-Charles, la Timone et le pôle Canebière/Colbert sans parler du nombre de jeunes logeant dans ce secteur populaire de Marseille.
Le souci, comme pour le manque d'attractivité commerciale et notamment d'intérêt en soirée pour toutes les classes d'âges, est que le centre souffre d'aménagements mal pensés pour retenir les étudiants sur place, en capter d'autres issus des campus extérieurs et la jeunesse en général.
Gaudin estimait qu'il suffisait d'installer une grande annexe sur la Canebière, drainant 3000 étudiants ou encore implanter la plus importante bibliothèque de la région pour redonner vie à la zone. Il n'en est rien parce que les jeunes ne restent dans le quartier que pour leurs activités estudiantines faute d'un environnement agréable.
Heureusement pour Marseille qu'il existe le campus de Luminy dont le cadre séduit les étudiants et chercheurs. Le point négatif demeure le manque de TCSP performant pour éviter son enclavement mais là aussi, la mauvaise mobilité touche la majorité des Marseillais avec un impact sur l'économie et la cohésion sociale.
Il est à présent question de rassembler des milliers d'étudiants sur la Porte d'Aix, ce qui pourrait certes donner une taille critique à l'ensemble en faisant trait d'union entre les pôles de St-Charles et Canebière. Cependant, si le secteur n'incite pas à y pratiquer ses loisirs, les étudiants prendront la poudre d'escampette dès la fin des cours. Il sera alors difficile d'espérer une émulation avec une offre commerçante originale venant rendre le quartier véritablement séduisant, en "quartier latin" évoqué par les élus.
Les politiques ne doivent pas se contenter de créer des amphis et de signer des permis de centres commerciaux. Ils doivent penser la ville par les TC et modes doux, les espaces verts, l'aménagement commerçant de chaque quartier ou noyau villageois, créer des équipements de proximité. Par exemple, le parc de la Porte d'Aix est une bonne chose dans ce secteur totalement bétonné pour espérer retenir les étudiants contrairement à l'annulation du projet de gymnase et au manque d'ambition quant à la redynamisation commerciale de la zone (pas de projet culturel du type cinéma, permis délivrés pour des immeubles sans locaux commerciaux avec l'incertitude de l'attractivité du futur mail piétonnier, pas de mise en valeur de l'axe commerçant Pelletan/Bon Pasteur par la création d'un vrai marché oriental...
On peut noter que l'extension de la gare St-Charles par une halle ouverte sur le quartier et commerçante a pour effet de retenir pas mal d'étudiants, de riverains et de voyageurs. Je me dis qu'un projet de prolongement jusqu'à l'entrée de la fac en ferait un véritable pôle de loisir à l'instar des Docks de la Joliette et rendrait l'environnement du campus plus agréable.
Bref, la problématique est la même pour les actifs. On compte des dizaines de milliers d'emplois dans le centre entre la Joliette et le Prado et pourtant le dynamisme commercial n'est pas au niveau de ce potentiel. On ne trouve en particulier plus grand monde dans les rues après 19h. En favorisant par facilité l'implantation de centres commerciaux dans l'idée de répondre immédiatement à cette demande, les élus tendent à annuler leurs maigres efforts de redynamisation des artères du centre, à l'instar de la rue de la République fortement concurrencée par le c.c des Terrasses, le tram censé la rendre plus attractive, renforçant au contraire son rôle de simple voie d'accès au pôle d'affaire et commercial de la Joliette.
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Un documentaire intéressant de Arte sur Marseille (issue de la série sur 5 métropoles portuaires à travers la planète) avec notamment une présentation de la cité radieuse: Aux portes de la mer
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Le site officiel de la ville de Marseille a fait peau neuve. Certains vont être contents !
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L'exposition Aux Tableaux fait parler d'elle
http://www.hookedblog.co.uk/2015/10/aux … ct-in.html
The Guardian parle de la nouvelle Marseille
http://www.theguardian.com/cities/2015/ … are_btn_tw
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http://madeinmarseille.net/11749-sondag … rseillais/
Je trouvait le site Made In Marseille vraiment sympa à ses débuts mais depuis quelques temps il me fout la gerbe. Même sur le site officiel de la ville ils ne font pas autant de lèche à l'équipe municipale.
Le site se veut positif ok mais là on n'est plus dans le positif, c'est carrément du déni.
Sur leur page facebook, les auteurs de critiques négatives se font séverement recadrés. Et sur le site les commentaires sont carrément effacés, voire non publiés.
Mais bon....peut-être que les efforts de sa créatrice seront récompensés dans quelques temps et qu'elle obtiendra le poste de chargée en communication de la ville. Ça lui ira comme un gant.
Dernière modification par osin13 (10-02-2016 00:01:21)
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Et bien, oui, selon les élus, MadeInMarseille, et les 40% de débiles qui ont (re)voté pour Gaudin aux élections municipales de 2014, il semblerait que le fait d'avoir du soleil, la mer et Les Calanques soit suffisant à leurs yeux pour être dans la plus belle ville du monde....
Si ridicule et pourtant tellement triste....
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Le Nouvel Obs a publié un entretien avec le journaliste Philippe Pujol, à l'occasion de la sortie de son livre "Le monstre". Extraits choisis :
Qu'un média national ('Libération') titre "La honte de la République" place les politiques face à leur inconséquence. Ici, ils ne fonctionnent qu'à l'image. Ils ont même inventé l'expression 'Marseille bashing'.
L’autosatisafction des élus locaux est insupportable. Le clientélisme a été mis en place dans les années 1930. Puis n'a fait que se développer, se perfectionner. Il est aujourd'hui à son paroxysme. (...) Il y a plusieurs clientélismes, qui se nourrissent les uns des autres. Le plus puissant pour moi est le clientélisme immobilier, celui qui détruit le plus la ville et qui fait que les autres peuvent exister. On est en train de reconstruire une ville par-dessus une ville existante, au mépris total des habitants actuels et de ceux qu’on espère mettre à la place. La plupart des résidences qu'on crée actuellement seront les cités dans 20 ans. Du fait de cahiers des charges peu contraignants, elles se dégraderont vite. Les gens en partiront donc tout aussi vite dès qu'ils le pourront, et ceux qui ne pourront pas resteront. Avant que ne se mettent en place tous les systèmes de survie des lieux paupérisés.
On pourrait imaginer toute une série d’améliorations. Plein de gens ont des idées, des solutions. Elles sont toujours proposées mais totalement ignorées.
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La bouillante Marseille
La plus vieille ville de France connaît un nouvel élan touristique
http://www.ledevoir.com/plaisirs/voyage … -marseille
Un article de promotion sur un site canadien ne peut que faire du bien....
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Dossier "Marseille" sur 20 minutes: http://focus.20minutes.fr/marseille/
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"Héroïne de la culture rap français des années 90, galvanisée par la Coupe d’Europe 1993, parfois décriée et victime du « Marseille Bashing », la cité phocéenne bouillonne depuis toujours d'énergie et ne laisse pas indifférent. Depuis qu’elle fut sacrée Capitale de la culture en 2013, la maison mère de l’OM est devenue une destination à la mode, berceau d'une nouvelle movida arty, street, pop.
Depuis 20 ans, des initiatives marquantes ont vu le jour comme la naissance du festival Marsatac ou encore la création de la marque Kulte en 1998.
À l’occasion de la 18ème édition du festival, qui se tenait au sein de la résidence d’artistes de la Friche de la Belle de Mai, BETC POP est allée prendre la température de cette ville sans pareil et a retranscrit son expérience dans un documentaire de 20 minutes, une première pour une agence de publicité qui souligne la volonté de BETC POP de se faire une vraie place dans le paysage de l’Entertainment avec des contenus exclusifs et de qualité.
Des personnages historiques (DJ DJEL, fondateur du groupe hip hop FONKY FAMILY) croisent des nouveaux collectifs (HOOSKY duo fondateur du label NOWADAYS RECORDS et membre de LA FINE ÉQUIPE, le collectif UN AIR D’ÉTÉ organisateur de soirées alternatives, le disquaire EXTEND & PLAY, le producteur de musique JO.Z, le label D-MOOD RECORDS) mais aussi des peintres (NUSHKA, HIPPOLYTE REININGER), plasticiens ou photographes (WILLIAM BUNEL) pour qu’ils nous livrent leurs visions de leur ville. Ce film montre, à travers leurs témoignages, le visage de cette ville créative et charismatique, une manière de comprendre l’engouement qu’elle suscite."
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Cinq lieux insolites à Marseille
1 • La cascade des Aygalades
Dans les quartiers nord, trop souvent montrés du doigt pour de mauvaises raisons, se cache la cascade des Aygalades, l’une des plus jolies du Sud de la France. Autrefois fréquentée par la bourgeoisie en quête de fraîcheur, elle était située sur la propriété du Château Falque qui fut démolie pour construire la fameuse Nationale 7… La cascade qui projetait une chute d’eau de neuf mètres de haut, ne fut bientôt plus qu’un vague souvenir dans l’esprit des plus vieux Marseillais. Réhabilitée depuis 2008 par les artistes de la Cité des Arts de la Rue et les agents d’aménagement paysager, elle retrouvera bientôt tout son panache…
(...)
https://www.mariefrance.fr/evasion/perm … 97233.html
Sympa cette cascade (je ne connaissais pas)
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Hélas trop éloignée du projet de parc urbain pour envisager de l'intégrer
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Article paru sur Mediapart, mais malheureusement à contre-courant de ce que (personnellement) j'attends d'un media de ce type....
https://blogs.mediapart.fr/edition/visa … le-bashing
J'en viens même à me demander combien la bande de mafiosi locaux en carton ont pu lui proposer pour pondre ça....
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On ne le répètera jamais assez : quitte à faire des comparaisons, toujours regarder vers le haut du panier. En être réduit à se comparer à Détroit (qui, même si on caricature souvent, est effectivement un trou à rats) c'est tout simplement pitoyable.
Aussi, je note le passage "La ville compte aujourd'hui parmi les meilleurs centres d’affaires européens pour les entreprises de service.". Alors, autant je suis confiant (peut-être à tort, mais on verra) en ce qui concerne le potentiel d'Euroméd et de Marseille en général en tant que destination business, il faut tout de même garder les pieds sur terre et se rendre compte qu'on est encore très loin de cet état de fait. Actuellement, Marseille patauge plutôt niveau économie tertiaire, portée surtout et toujours par l'industrie (au sens large) et la fonction publique, et arrive à peine à assumer son rôle de centralisateur à l'échelle de sa métropole (malgré tous les projets d'Euroméd, Aix arrive à performer aussi bien que Marseille niveau bureaux).
Ce n'est pas parce qu'on est meilleur que le pire élève de la classe qu'on est automatiquement bon élève.
Ce n'est pas parce que le "Marseille bashing" existe effectivement que l'on doit se sentir obliger de défendre tout ce qui est critiqué en bloc, sans faire de distinction entre les vrais critiques soulevant défauts et problèmes réels, et les fausses critiques utilisées par de la presse torchon écrite pour faire vendre au premier poisson rouge venu.
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Très surpris par la teneur de cet article qui semble bien éloigné de la réalité quotidienne et de la réelle attractivité de la ville (le coup du soleil et des calanques çà fait un peu gaudinerie tout çà).
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Les Inrocks ont publié un très bel article sur l'industrie de la mode à Marseille.
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Un très bon article du Guardian sur la situation marseillaise: Corrupt, dangerous and brutal to its poor - but is Marseille the future of France ?
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Marsiglia fa spettacolo con film, serie tv e libri
Marseille : Un vrai décor de polar
Publié le 28/07/2017
Entre guerres de pouvoir et trafics en tout genre, les histoires de la cité phocéenne fascinent les écrivains et les réalisateurs.
(...)
“Marseille est dévorée par une corruption vorace et un clientélisme protéiforme”,explique Philippe Pujol à L’Espresso. Il n’y a pas encore à Marseille de mafia au sens strict, mais un système, que l’on pourrait définir comme “une pieuvre sans tête”,poursuit-il. Un puzzle compliqué, qui attire les écrivains et les scénaristes. Que pense-t-il des films et des romans inspirés de l’actualité ? “C’est une bonne chose. Marseille est fascinante et incompréhensible. La fiction, au-delà de ses distorsions, peut raconter la réalité.”
(...)
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Je vous partage un article qui évoque très succinctement un phénomène qui s'observe depuis 3-4 ans : l'arrivée exponentielle de jeunes artistes à Marseille.
Ils sont en effet de plus en plus nombreux à s'installer ici, à la recherche d'une ville moins lisse que Paris, moins grise que Bruxelles, moins tentatrice que Berlin, moins chère surtout et avec un vivier d'ateliers spacieux et très peu chers par rapport à ceux de Montreuil par exemple, qui est depuis un moment l'endroit à la mode dans le milieu, mais qui arrive à saturation.
Le mouvement émane en majeure partie d'Île de France et des écoles d'art du pays mais aussi de l'étranger (Villa Arson à Nice, Beaux-Arts de Paris et Lyon, l'Ensci, l'Ensad, Parsons, Saint-Luc Bruxelles, la Cambre, UdK Berlin etc.). Dans leur sillage arrivent aussi réalisateurs, chorégraphes, set designers puis en ce moment quelques galeristes, curateurs et critiques d'art qui commencent à voir la ville d'un autre œil. On murmure dans le milieu que Marseille est le nouveau L.A. et beaucoup cherchent à acheter ateliers et appartements.
A noter :
-Café x Café, un lieu qui va bientôt ouvrir au 2 rue Fontage par l'artiste Cyril Verde.
-Sans titre 2016, une galerie itinérante qui vient d'ouvrir au 3 rue des Pénitents Bleus par la commissaire Marie Madec. C'est sa première proposition en dehors de Paris et elle souhaite renouveler l'expérience étant donné son succès.
https://www.grazia.fr/news-et-societe/n … dec-812309
http://lecafematinal.com/marie-madec-titre-2016
Bref, ce n'est pas un énorme phénomène, ça concerne quelques dizaines de personnes pour le moment, mais la gentrification commence souvent avec ce genre de "défricheurs".
Voici l'article en question :
Marseille, nouvel eldorado pour les jeunes artistes
Forte de ses résidences d’artistes mises en place par Triangle ou Astérides, et de son réseau des Ecoles du Sud, Marseille bénéficie d’un rapport privilégié avec les jeunes artistes. Cette année, même le commissaire Gaël Charbau est invité à s’en mêler.
Parallèlement au Prix Révélation Emerige, à la Fondation Hermès ou encore aux Audi Talents – au sein desquels il chapeaute les relations avec la jeune création – le commissaire dont les parisiens connaissent déjà trop bien le nom, vient révéler le talent des diplômés des écoles d’art de la Région PACA.
http://hashtagart.fr/travel/art-o-rama-marseille-2017/
Dernière modification par Abomey (31-08-2017 15:51:10)
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Article sur ce sujet dans le Monde aujourd'hui (ou hier) également.
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Même jusqu'au New York Times il est relaté les manquements aux missions premières de Gaudin...
Public Pools in Southern France Become a Measure of Inequality
(...)
In Marseille, a city of nearly 860,000 that stretches over 35 miles of coastline, a record-high number of children cannot swim. The lack of pools in good condition, combined with an atrophied public transportation network and the dominance of other sports — especially soccer — has the city lagging behind the rest of the country.
While the phenomenon affects the whole of Marseille, the more underprivileged, northern neighborhoods, the “Quartiers Nords,” suffer the most.
(...)
According to local authorities in Marseille, an average 47 percent of children from the Quartiers Nords entering sixth grade fail a mandatory swimming test, compared with 27 percent in the rest of the city.
(...)
About 10 years ago, Richard Miron, the deputy mayor for sports, announced a plan for 250 million euros, or about $295 million, to renovate and build 10 pools across Marseille. Little has come to fruition.
(...)
New York Times
Mister Mayor répondra que c'est du bashing puisqu'on a Florent Manaudou à Marseille !
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Certains spectacles comico-tragiques ont du succès outre-atlantique...
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Usbek & Rica 30/10/2018 13:00 #Ville #Science-Fiction
« Plus nous serons marseillais, plus nous serons humains »
Cédric Fabre
Des « utopîles » où l'on vit en harmonie malgré le culte d'une abominable pieuvre cosmique, la Bonne Mère sous globe, le pétro-pastis qui devient la principale source d’énergie et de paix sociale... Au fil de nouvelles qui flirtent avec le steampunk, l’anticipation ou la fantasy, le futur de Marseille est décliné par treize auteurs dans une anthologie déjantée et inspirée, intitulée Marseille, An 3013, qui vient de sortir aux Éditions Gaussen. Intérêt majeur de cette littérature exploratoire : révéler les « permanences » de cette grande cité si complexe et insaisissable, sinon pour des auteurs de fiction qui en dressent ici une magistrale et originale monographie (presque) imaginaire.
...
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