Marseille 11ème - La Pomme / St-Menet / La Valentine / Les Camoins ...

Et il y a un méga projet juste à côté de la ZAC Baudouin. Je vous en dirai plus dès que j'aurai 5 minutes.

Bakou a écrit:

Et il y a un méga projet juste à côté de la ZAC Baudouin. Je vous en dirai plus dès que j'aurai 5 minutes.

Salut Bakou; as-tu plus d'infos sur ce projet?

Le parc Valentine Vallée Verte poursuit son expansion


Avec l’aménagement par le promoteur Goodman d’un nouvel immeuble de bureaux sur le site de Valentine Vallée Verte, Marseille accentue son développement vers l’Est.

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Le développement du site Valentine Vallée Verte s’inscrit dans la logique plus large du développement de Marseille vers l’est pour équilibrer l’aménagement actuel vers le nord au travers de l’établissement public Euroméditerranée. Cette reconquête de l’est marseillais, qui se déploie depuis le parc du 26e centenaire et le nouveau palais omnisports jusqu’à la zone commerciale de La Valentine, prévoit l’aménagement de plusieurs zones d’activités dont celle détenue par Goodman.

Après la réhabilitation de deux bâtiments (Moka – 11 630 m2 et Skybury – 6 300 m2), aujourd’hui totalement loués à quatre sociétés (La Poste, Hom, AFM 13 et Mistral Service), le promoteur international basé en Australie entend concentrer ses efforts sur la commercialisation du bâtiment Bourbon dont il vient d’achever la réhabilitation, sur 13 750 m2.

Un parc de bureaux qui intègre des services publics

Deux sociétés sont déjà installées dans ce bâtiment, Orkyn-Pharma Dom, qui appartient au groupe Air Liquide, et la direction régionale de Saretec, bureau d’études construction et spécialiste du diagnostic immobilier. Hors Norme, société de communication, vient tout juste de les rejoindre.
Le groupe Goodman a investi 17 millions d’euros dans la réhabilitation de ce bâtiment et propose, uniquement à la location, des superficies qui s’échelonnent de 300 à 2 700 m2 d’un seul tenant. A l’image des campus universitaires anglo-saxons, le groupe veut faire de Valentine Vallée Verte un "Business Park" à l’anglaise qui intègre un ensemble de services et de commodités. En charge de l’exploitation et du développement du "Park", Goodman reste fidèle ici à Marseille à sa devise de base : "Own, develop, manage", ce qui veut dire ""détenir, développer, manager" . La partie nord du "Park", pour l’instant encore à l’état de friche et qui sera réhabilitée dans les mois qui viennent, constituera un parc d’affaires à dominante tertiaire qui intègrera, outre des bureaux, un restaurant, une crèche et un centre de remise en forme.

Roland Blum s’est félicité qu’on ait pu retrouver sur le site le niveau de 400 emplois, atteint par Nestlé à l’époque où la multinationale n’avait pas encore fermé son usine et il s’est dit heureux que de véritables synergies de redéveloppement apparaissent sur le quartier. "Notre volonté est de rendre encore plus attractive la zone commerciale toute proche de La Valentine, explique l'élu. Plusieurs projets d’aménagement et d’implantations nouvelles sont en cours. Mais, il faudra auparavant résoudre avec nos partenaires concernés, l’Etat et le Conseil général, le casse-tête de la circulation automobile aux alentours".

Source: Une vidéo est disponible sur le lien ci-dessous.

http://www.marseille.fr/sitevdm/jsp/sit … rtlet_id=8

Mais, il faudra auparavant résoudre avec nos partenaires concernés, l’Etat et le Conseil général, le casse-tête de la circulation automobile aux alentours".

Blum peut toujours parler des TC... Rien n'a été prévu au PDU pour desservir la Valentine. Même pas une ligne de busway à long terme pouvant irriguer ce secteur en pleine croissance à partir d'une des gares TER de la future ligne cadencée Marseille-Aubagne.

Oui Bakou, à la limite pas besoin de retranscrire l'article. Tu peux juste évoquer de quoi il s'agit en quelques mots si tu n'as pas le temps

Des Australiens pour dynamiser la vallée verte
28-05-2010 - La Marseillaise

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« Notre objectif, a déclaré le directeur général Jean-François Mounic, est de faire du site, le centre d’activités majeur de l’Est marseillais », notamment pour des prix au mètre carré plus intéressants que ceux pratiqués sur Euroméditerranée par exemple. 
Pour réussir ce pari, les commerciaux du groupe espèrent rendre attractif l’endroit en jouant sur l’espace paysager de la vallée de l’Huveaune, mais aussi sur des structures démantelées puis remaniées en gardant certains éléments de l’architecture Pouillon.

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A ce jour, l’investissement financier de Goodman avoisine les 50 millions d’euros en comprenant la création de nouvelles infrastructures routes, réseaux et bassins de rétention ainsi que la réalisation d’opérations neuves et de réhabilitation. Cela en partenariat avec Marseille Aménagement.
La prochaine société à s’implanter le 1er juin, Hors normes, est une société de communication portant à 23% la surface déjà louée. A terme, près de 450 personnes pourraient y travailler.

STEPHANE REVEL

http://www.lamarseillaise.fr/soci-t-qua … verte.html

En quête d’un nouveau souffle
20-05-2010 - La Marseillaise

Air Bel. La cité de la Pomme tarde à sortir de l’ornière. Chômage record, jeunesse oisive, seuls le dynamisme associatif et l’arrivée du tramway ont apporté une bouffée d’air. Etat des lieux.

Et si la cité d’Air Bel finissait par bien porter son nom ? Pour ceux qui ne voient d’elle que quatre tours émergeant des pins, cette cité paraît champêtre. Sous la futaie c’est quelque 1 200 logements HLM qui sont répartis entre barres et tours, et accueillent près de 6 000 habitants. Une vraie petite ville sans vraie vie économique et sociale.

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Le cadre de vie a beau être agréable, les appartements grands, les immeubles moins abîmés qu’ailleurs, les jeunes tournent en rond dans ce labyrinthe d’arcades, de cours intérieures et de passages souterrains. Conçue autour de placettes octogonales, Air Bel est un vrai dédale pour ceux qui s’y rendent, favorisant ainsi la délinquance de rue.

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Pour l’élu de secteur, la solution passe par une plus grande ouverture de la cité sur le quartier et du quartier sur la ville. Mais l’ouverture ne fait pas tout. Il faut ici de l’activité Au final, les habitants d’Air Bel n’auront jamais connu autre chose que la crise depuis l’inauguration de la cité en 1973.
Il est loin le passé industrieux de la vallée de l’Huveaune. L’une après l’autre, les usines ont fermé sans être remplacées. Même le projet récent de relance économique du site de Nestlé, Valentine vallée verte, n’a pas apporté les fruits espérés.

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STEPHANE REVEL ET BENOIT GILLES

http://www.lamarseillaise.fr/agora-des- … uffle.html

Pour les riverains de l’usine Arkema à Marseille, l’Etat alourdit la triple peine
Par Julien VINZENT le 15 décembre 2010

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« A Saint-Menet, ce seraient surtout des salles de confinement dans les maisons, ce qui peut coûter 15 000 euros. Quant aux vitres de protection, il faut compter 1 500 euros le m2″

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je crains que la population demande le départ de l’usine », regrette Myriam Janin, présidente du CIQ La Millière. Même si Arkema emploie localement environ 300 personnes.

Pour France Nature Environnement, les riverains subissent la triple peine : « ils supportent au quotidien toutes les nuisances d’un site industriel dangereux. Ils vivent avec la menace d’une catastrophe industrielle. Ils doivent désormais payer pour se protéger du risque. » Dans l’enthousiasme du Grenelle, le Parlement avait voté comme un seul homme le passage de 15% à 40% du crédit d’impôt pour les travaux.

Mais la mesure n’a pas échappé au coup de rabot de 10% sur les niches fiscales du gouvernement, soit 36%. Pire, les députés ont voté dans le budget 2011 le retour à 15%.

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De son côté, France Nature Environnement demandait à l’Etat « de se prononcer clairement sur la portée et le mécanisme du financement des travaux pour l’habitat social, très présent autour des sites Seveso ». Myriam Janin confirme : « sur le boulevard de la Solitude, le HLM des Escourtines compte pas loin de 300 logements ».

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Marsactu

http://www.marsactu.fr/2010/12/15/river … ple-peine/

Le projet « top secret » de village de marques
Dernière mise à jour : ( 01-04-2011 )

Un spécialiste du magasin d’usines souhaiterait installer à l’est de Marseille un site de vente à prix cassés. Ce projet concurrence directement les commerces du centre-ville.

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Selon l’élue, le village s’implanterait sur deux sites : le premier de 14 000 m2 et le second de 26 750 m2. Les deux sites proposeraient du prêt-à-porter, des produits de maison et des produits culturels. Certains parlent d’un investissement colossal de 100 millions d’euros.

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« Avec 850 000 habitants, nous avons la légitimité pour accueillir ce type de projet, estime Solange Biaggi. Dans une ville désindustrialisée où le chômage reste élevé, nous avons l’ambition de créer des emplois. » Pas sûr que les commerçants du centre-ville l’entendent de cette oreille.

BENOIT GILLES

La Marseillaise

Sans vouloir relancer le débat, ça va vraiment faire beaucoup de projets de zones ou centres commerciaux livrés d'ici quelques années alors que pas grand chose n'est fait pour donner de l'attractivité aux commerces du centre (en dehors de la rue de la République)... L'élue estime que "la concurrence appelle la concurrence" mais dans les années 1990 l'ouverture du mastodonte Grand Littoral et les nombreuses extensions de la Valentine ont plutôt contribué à rendre désuète l'offre commerçante d'un centre ville mal préparé à cette concurrence agressive.

Espérons qu'une croissance soutenue revienne d'ici là pour que tout le monde s'y retrouve.

Espérons qu'une croissance soutenue revienne d'ici là pour que tout le monde s'y retrouve.

Je suis d'accord avec toi. Il est clair que les très/ trop nombreux projets commerciaux de la ville ne seront viables qu'à condition d'une croissance démographique et économique soutenue. Cela a été le cas ces dix dernières années mais la croissance s'est apparemment arrêtée depuis un ou deux ans, ce qui pourrait rendre périlleuse la rentabilité d'un des centres commerciaux prévus.

Y-a-t'il de la la place pour deux villages de marques dans les Bouches du Rhône ?
Car un autre projet, bien avancé, est prévu sur Miramas et cause pas mal de grincements de dents à l'ouest de l'étang de Berre...

http://www.laprovence.com/article/salon … ce-dit-non

En fait il y a trois promoteurs différents dans les starting blocks sur trois sites différents :
- Mcarthur Glen, le numéro 2 du marché en France avec déjà des "villages de marque" à Roubaix et à Troyes a un projet de village à Miramas.
- Marques Avenue, le numéro 1, qui a déjà des villages à Troyes (le plus important je crois) et à Romans dans la Drôme à effectivement un projet aux Pennes-Mirabeau. Au fait à propos de Romans on n'est pas en zone quasi rurale mais dans une agglomération de 55 000 hab. et une région urbaine de plus de 250 000 hab. (avec notamment l'agglo de Valence qui fait 120 000 hab. est qui est distante d'à peine 18 km).
- Est immo, situé sur le Prado (quelqu'un connaît ?) associé au cabinet d'architectes Archimed serait le porteur du projet de la Valentine.

Quant à l'intérêt d'une telle implantation à la Valentine... Les décideurs de cette ville n'ont-ils pour seule politique de développement que le tourisme et l'implantation quasi frénétique de centres commerciaux ? Parce que sans cohérence le gain en terme d'emplois est loin d'être évident (voir les pertes d'emplois très nombreuses dans les petits commerces à Roubaix par exemple), sans transports en commun ça va vite être invivable et sans qualité des espaces urbains ni propreté le gain en terme d'image pour la ville sera nul voire négatif si en plus le centre-ville en pâtit.

Quand je pense au slogans type "la qualité de vie partagée" (au milieu des déchets et des gaz d'échappement) ou "ma ville accélère" (au centre commercial le plus proche)... Je n'en peux plus de cette équipe municipale (je radote mais là ça devient viscéral !). Tant d'amateurisme, d'incompétence sont indignes d'une métropole et lorsqu'on compare à Lille ou Lyon on a envie de pleurer. Plongez-y quelqu'un de sérieux et de compétent comme Latarjet et voyez ce que ça donne. Y'a qu'à lire Boulesteix, le pauvre, il n'en peut plus non plus (http://boulesteix.blog.lemonde.fr/2011/ … ns-pilote/). On devrait tous nous envoyer en "stage" dans ces deux villes avant les prochaines municipales. Tout n'y est pas parfait mais beaucoup de gens verraient peut-être alors la médiocrité de ce qu'on leur propose et le foutage de gueule auquel on a droit.

Dernière modification par Didou78 (11-04-2011 23:15:34)

Merci pour l'info. L'amateurisme est bien de rigueur. 
On en revient toujours au même souci : manque de TCSP !  

Dans l'idéal il faudrait par exemple que le secteur soit desservi par le métro 2 prolongé depuis Ste Marguerite via St Loup et par le Tram depuis son terminus actuel des Caillols. Un projet qui aboutira certainement vers 2060...