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Bon j'ouvre ce thread pour parler de la candidature de la "Capitale des Alpes" aux Jeux Olympique d'hiver de 2018.
En France les autres villes candidates sont (depuis le retrait de Gap) Annecy et Nice.
Le choix de la ville candidate française se fera début 2009 et le lieu de la compétition sera choisi en 2011 à Durban. Munich est le ville favorite...
En 2018 ce sera le 50ème anniversaire des Jeux de Grenoble 1968.
Pour le moment, a vrai dire les infos ne sont pas légion...
La population est majoritairement favorable à cette candidature (+75%) et au niveau des politiques il n'y a que les Verts qui soient contre.
Pro JO 2018 : le monde économique grenoblois veut les jeux de 2018
La Chambre de commerce et d'industrie de Grenoble va créer une association, Pro JO Grenoble 2018, pour apporter le soutien du monde économique à la candidature de Grenoble aux Jeux Olympiques d'hiver de 2018, 50 ans après les jeux de 68.
http://www.enviscope.com/15672-JO-Greno … iques.html
JO 2018: Sous l'impulsion de la CCI : Les entreprises déjà dans les starting-blocks
À la Chambre de commerce et d'industrie (CCI), le compte à rebours a commencé. Les JO d'hiver à Grenoble en 2018, c'est déjà une réalité. Voire : une nécessité, tant "l'organisation d'un tel événement créerait un enthousiasme collectif énorme, auprès de toutes les entreprises du département", dixit Gilles Dumolard. Dans cette optique, le président de la CCI a annoncé hier (mardi 9 septembre) la création de l'association "Pro JO Grenoble 2018". Le but de celle-ci est de "mobiliser les acteurs économiques de la région grenobloise" en vue de "soutenir la Ville dans sa candidature".
La date de cette annonce ne doit rien au hasard : c'est en ce moment que se joue la candidature française pour l'organisation de l'événement (voir "Repères").
[...]
http://www.ledauphine.com/jo-2018-les-a … icle=53342
La CCI de Grenoble a lancé l'association "Pro JO Grenoble 2018":
http://www.projogrenoble2018.fr/
Le blog du maire de Grenoble, Michel Destot:
http://micheldestot.blogs.com/le_blog_d … s-off.html
Un ancien député (UMP) de l'Isère:
http://www.richardcazenave.com/?2005/07 … urquoi-pas
Article sur les Verts à propos des JO:
http://www.grenews.com/actu/politique/l … iques.html
Dernière modification par marco (26-09-2008 14:27:56)
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JO-2018 - Grenoble mise sur son histoire olympique selon son maire
Michel Destot, député-maire de Grenoble, ville candidate à l'organisation des jeux Olympiques d'hiver en 2018, a mis en avant mercredi l'atout historique pour être retenu en mars 2009 par le Comité olympique français (CNOSF).
"Grenoble a une histoire olympique. Elle a organisé les 10e Jeux d'hiver en 1968 et elle a gardé la foi olympique", a plaidé M. Destot lors d'une conférence de presse à Paris après l'annonce de M. Sérandour, président du CNOSF, que la France serait candidate à l'organisation des JO-2018.
"La décision du CNOSF n'est pas une très grande surprise mais une très bonne nouvelle que nous attendons depuis deux ans", a indiqué le député-maire.
Pour lancer officiellement sa candidature, M. Destot était accompagné du député de l'Isère Didier Migaud (PS), de la skieuse Florence Masnada, double médaillée olympique et triple médaillée du monde, et de la championne olympique 2002 de snowboard, Isabelle Blanc.
"Grenoble est la plus grande agglomération au coeur des Alpes", a souligné M. Destot qui compte s'appuyer sur des installations déjà existantes comme la patinoire, et qui devront être complétées.
La ville iséroise devra en revanche régler "un certain nombre de problèmes en matières d'infrastructures, de logement". "Oui, nous voulons un véritable TGV. Nous devrons compléter notre capacité hotelière. Ce sera l'occasion d'un véritable +booster+", a poursuivi le maire.
La candidature de la ville de Grenoble sera ratifiée de manière officielle lors d'un conseil municipal extraordinaire le 6 octobre.
[...]
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« Avec les Jeux, on gagne vingt ans »
Cinquante ans après ses Jeux de 1968, la capitale iséroise se verrait bien accueillir les JO d’hiver 2018. Son député et maire Michel Destot nous dit pourquoi.
Quarante ans après les exploits de Jean-Claude Killy et des soeurs Goitschel, Grenoble aimerait bien se trouver de nouveaux héros. La ville iséroise s’est donc lancée hier dans la course à l’accueil des jeux Olympiques d’hiver 2018. En lice avec Nice, Annecy et une candidature « Alpes du Sud » autour d’Embrun ou Briançon, elle a dévoilé hier un projet qu’elle mûrit depuis deux ans.
Est-ce la fête autour du quarantième anniversaire de Grenoble 1968 qui vous a donné l’envie de lancer votre ville à l’assaut des JO d’hiver 2018 ?
Michel Destot. L’héritage des Jeux de 1968 est très vivace. L’événement a fait connaître Grenoble aux quatre coins du monde. Chez nous, il y a une passion pour l’olympisme. On l’a mesurée en février quand 40 000 personnes ont fêté l’anniversaire autour de l’anneau de vitesse. Mais il s’agit d’une candidature d’avenir. Nous pouvons booster le développement de la ville, sportivement, mais aussi économiquement, socialement et environnementalement. Des sondages montrent que trois quarts de la population sont enthousiastes vis-à-vis de ce projet.
Quels sont les points forts de votre candidature ?
Michel Destot. Grenoble est un emblème en termes d’innovations technologique, sociale et environnementale, avec le tramway, notre qualité de vie. C’est une agglomération internationale et multiculturelle, une terre d’accueil. En cela, nous sommes en phase avec l’idéal olympique. Et puis notre ville est au coeur des montagnes, à proximité des stations de ski. Nous possédons un nouveau stade, une patinoire d’une belle capacité. Nous sommes capables d’accueillir un grand événement.
Grenoble a déjà eu sa part en 1968. Place aux autres ?
Michel Destot. Les JO de 1968, c’était il y a quarante ans. Là, nous parlons d’une candidature d’avenir. Les Jeux nous permettraient de corriger deux retards. Nous avons un déficit en logements. Le cahier des charges du CIO prévoit l’accueil de trente mille personnes durant la quinzaine des Jeux. Il nous aidera pour améliorer nos capacités hôtelières. Mais le village olympique pourrait renforcer notre parc de logement social. Deuxième retard : notre desserte. Les JO, c’est trente minutes de gagné vers Lyon et Paris, grâce à une nouvelle ligne TGV, des liaisons améliorées avec Chambéry et les stations. Avec les Jeux, on gagne vingt ans.
En quoi la candidature de Grenoble est-elle mieux placée que celle d’Annecy ou de Nice ?
Michel Destot. Grenoble a la taille critique pour accueillir des Jeux. Cinq cent mille habitants. Annecy, c’est cinq fois moins. Or les désignations de Turin 2006, Vancouver en 2010 ou Sotchi pour 2014, montrent où le CIO place le curseur. Quant à Nice, il faudra que l’on sache s’il s’agit d’une ville pour accueillir des JO d’été ou d’hiver.
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Grenoble, favorite des Français pour les JO d'hiver de 2018
Henri Séradour, le président du Comité national olympique et sportif (CNOSF), a annoncé que la France serait bien candidate à l'organisation des jeux Olympiques d'hiver de 2018. Un appel à candidature va être lancé auprès des villes intéressées dans les prochains jours. Le représentant français sera choisi en mars 2009. Les villes de Grenoble, Annecy et Nice ont confirmé qu'elles se portaient candidates. Gap et les Alpes du Sud s'étaient retirées de la course mardi dernier. Selon un sondage effectué par le magazine Sport auprès de 500 personnes et publié demain vendredi 26 septembre, 59% des Français auraient préféré que la France soit candidate à l'organisation des JO d'été. 47% des personnes interrogées pensent que cette candidature compromet les chances de la France d'organiser des Jeux d'été. A la question de savoir qui d'Annecy, Grenoble ou Nice serait la mieux qualifiée pour recevoir ces Jeux d'hiver, la capitale des Alpes sort largement en tête avec 49% des suffrages.
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La candidature de la ville de Grenoble sera ratifiée de manière officielle lors d'un conseil municipal extraordinaire le 6 octobre.
Peut-être que l'on en sera plus à ce moment là.
En tout cas, la concurrence va être rude !!
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Jeux Olympiques 2018 : Conseil municipal exceptionnel le 6 octobre
Le 24 septembre dernier, le conseil d'administration du Comité National Olympique et Sportif Français (CNOSF) a validé le principe d'une candidature française pour les Jeux Olympiques d'hiver de 2018.
Fort de son héritage olympique et avec le soutien de Grenoble-Alpes Métropole et du Département de l'Isère, Grenoble a l'ambition de renouer avec l'aventure olympique en portant un projet fédérateur et durable partagé par le plus grand nombre.
Après avoir été très largement associé au passage de la flamme olympique des Jeux de Turin, puis à la célébration du 40ème anniversaire des Jeux d'hiver de 1968, les Grenoblois sont invités à venir assister à la séance du Conseil Municipal extraordinaire au cours de laquelle sera présentée la décision de déposer auprès du CNOSF la candidature de la Ville de Grenoble pour l'organisation des XXIIIe Jeux Olympiques et Paralympiques d'hiver de 2018 :
le lundi 6 octobre à 19h30 à la Halle Clémenceau (40, boulevard Clémenceau)
Au cœur d'un site emblématique des Jeux de 1968, entre la vasque olympique et l'anneau de vitesse qui accueillera les 4, 5 et 6 décembre la première édition des Jeux de Neige, la Halle Clémenceau accueillera les représentants des collectivités territoriales partenaires de la candidature grenobloise, ainsi que les acteurs sportifs, économiques et culturels qui porteront le projet Grenoble – Isère 2018.
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Venez tous soutenir la candidature de Grenoble
http://grenoble2018.fr/
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Le logo de la candidature de Grenoble Isère dévoilé : les espoirs d'un flocon olympique
C'est un flocon. Un flocon matérialisé par des personnages vert, bleu, blanc qui se donnent la main. Tout un symbole. Le logo de la candidature de Grenoble et de l'Isère aux Jeux olympiques de 2018 a été dévoilé hier sur les pistes enneigées de la station des Deux Alpes qui vibrait déjà depuis vendredi pour le Mondial du snowboard (lire ci-contre). Pour l'occasion, de nombreux représentants du monde politique et sportif avaient fait le déplacement pour assister à cette présentation. « Pourquoi un flocon ? Tout simplement parce que cela symbolise la montagne », explique Michel Destot, le député-maire de Grenoble, banderole à la main. « Regardez l'arc alpin. Grenoble est la seule ville qui est située au coeur de la montagne », continue-t-il.
http://www.ledauphine.com/jo-2018-hier- … icle=68796
Dernière modification par marco (22-03-2017 14:46:39)
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Un flocon octogonal ? c'est innovant, au moins.
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La face cachée de la candidature de Grenoble aux JO d’hiver de 2018:
http://grenoble-ecologie-solidarite.fr/ … article475
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Dans Grenoble et moi :
Le principe retenu dans la capitale des Alpes est celui d'un coeur et de deux noyaux d'altitude. Grenoble et Chamrousse seraient le coeur urbain, lieu d'organisation des épreuves de glace et de freestyle. Un premier lieu d'altitude serait situé dans le Vercors, pour les épreuves de ski nordique. Et le second serait dans l'Oisans, pour les épreuves de ski alpin.
Tout serait donc très compac à l'exception de lapistede bobsleigh. Grenoble a choisi de proposer l'utilisation de la piste de la Plagne.
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Quelques soutiens sportifs de la candidature grenobloise:
Florence Masnada
Carole Montillet
Alain Penz
Isabelle Blanc
Jackson Richardson
David Smetanine
Bruno Saby
le GF38
le FCG
ou encore Michel Destot
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Grenoble et moi a écrit:
Le principe retenu dans la capitale des Alpes est celui d'un coeur et de deux noyaux d'altitude. Grenoble et Chamrousse seraient le coeur urbain, lieu d'organisation des épreuves de glace et de freestyle. Un premier lieu d'altitude serait situé dans le Vercors, pour les épreuves de ski nordique. Et le second serait dans l'Oisans, pour les épreuves de ski alpin.
Tout serait donc très compac à l'exception de lapistede bobsleigh. Grenoble a choisi de proposer l'utilisation de la piste de la Plagne.
Et le tremplin olympique de Courchevel !? Je n'imagine même pas que l'on puisse en construire un autre...
Dernière modification par marco (08-12-2008 16:46:28)
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Grenoble, une passion jamais éteinte, un avenir à illuminer
La «capitale des Alpes» œuvre depuis trois ans sur un projet bâti autour de l'héritage que laisserait l'organisation de l'événement. Comme en 1968.
L'histoire, un lien fort. Le 6 février 2006, la flamme olympique en route vers Turin, s'offrait en France un crochet symbolique et acclamé à Grenoble. Le 6 février dernier, Grenoble célébrait avec émotion les quarante ans d'inoubliables JO. Ceux de Jean-Claude Killy et de la patineuse américaine Peggy Fleming. Grenoble repart en campagne. Une passion jamais éteinte, une flamme toujours prête à réchauffer les souvenirs et, aujourd'hui, à illuminer l'avenir. Une précandidature approuvée en octobre dernier par un conseil municipal délocalisé pour l'occasion dans la halle Clemenceau, patinoire des Jeux de 1968.
[...]
http://www.lefigaro.fr/sport/2008/12/16 … miner-.php
PS: il me semble que la halle Clémenceau (2500 places) était simplement la patinoire annexe (utilisée par la suite comme patinoire principale par les hockeyeurs des Bruleurs de Loups). La "vraie" patinoire était le Stade de Glace plus connu aujourd'hui comme le Palais des Sports (12000 places à l'époque).
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Oui tu as raison
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Le Dauphiné:
Hier soir à Paris, Grenoble a affirmé sur la scène de Bobino devant un parterre de personnalités son ambition olympique.
[...]
Comme nous vous l'annoncions en exclusivité dans notre édition d'hier, les Deux Alpes (ski alpin), l'Alpe d'Huez (ski alpin, snowboard et ski-cross), Méaudre et Autrans pour les disciplines nordiques, Chamrousse (freestyle et half-pipe), La Plagne (luge, bobsleigh, skeleton) et, bien entendu, Grenoble pour les sports de glace, sont les têtes de pont de la candidature du département.
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Le plan des sites retenus dans le dossier de candidature des Jeux Olympiques "Grenoble - Isère 2018":
http://www.greblog.net/grenoble/post/20 … 18-devoile
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Pour ceux qui ne le savait pas encore, Grenoble a passé son Grand Oral devant le CNOSF et a présenté son projet Grenoble 2018.
Voici le lien pour voir la présentation grenobloise (et les 3 autres). Je dois dire que j'ai été très agréablement surpris .
http://www.franceolympique.com/art/538- … tml#para_2
Le projet me semble solide et cohérent. J'apprécie particulièrement le projet dans sa partie sud et la requalification de l'anneau de vitesse aurait une certaine allure (même si je reste dubitatif sur une reconversion en piscine).
Un projet qui me semble cependant assez farfelu, celui du "transport par cable" entre Grenoble et Chamrousse d'un part, et entre Bourg d'Oisans et l'Alpe d'Huez d'autre part. Ce projet de téléphérique ne semble donc pas abandonné .
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Je n'ai pas eu le temps de regarder la video mais je dirais à propos de ces téléphériques:
Concernant celui de Chamrousse, je trouvais à l'époque des premiers projets (2004) qu'il était disproportionné, "pharaonique" et très coûteux (50 Meuros) par rapport à ce qui s'était déjà fait. A l'époque j'avais pris l'exemple de la télécabine d'Orelle qui était lors de sa construction en 1995 la plus longue de France/Europe/Monde (?) et le téléphérique de l'aiguille du Midi.
Orelle:
Denivelée : 1480m (2360 - 880)
Longueur : 5120m
Debit : 1500 pers/h
Aiguille du midi:
Denivelée : 2765m (3795 - 1030 en 2 tronçons)
Longueur : 4600m (2150 + 2450)
Gières-Chamrousse:
Denivelée : 1430m (1650 - 220 en 2 tronçons)
Longueur : 14000m (estimation)
Debit : 4500 pers/h
Le problème ne vient pas trop du dénivellée mais de la longueur développée. Un point positif, c'est que la gare de Gières (ligne Grenoble-Chambéry et tram ligne B) ne serait pas loin de la gare aval de ce téléphérique (environ 500m).
Concernant le téléphérique de l'Alpe d'Huez, je trouve le projet plus pertinant. L'Alpe d'Huez est une plus grande station que Chamrousse et donc le potentiel de clientelle "locale" (Lyon/Grenoble) est en comparaison plus important pour les skieurs à la journée. Lorsque je vais à l'Alpe d'Huez, je prends la télécabine d'Oz (à 1350m d'altitude) et cela m'évite toute la montée de l'Alpe. Les 2 Alpes ont également une remontée de ce type, celle de Vénosc. Après faut voir s'il n'y a pas moyen de reprendre l'ancienne ligne de tramway Grenoble-Bourg d'Oisans pour y amener des trains.
Bourg d'Oisans-L'Alpe d'Huez:
Denivelée : 1100m (1800 - 700)
Longueur : 4000m (estimation)
En comparaison avec celle de Vénosc
Vénosc-Les 2 Alpes:
Denivelée : 670m (1650 - 980)
Longueur : 1810m
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Moi aussi j'alalis à Oz pour aller à L'Alpe d'Huez mais un transport direct du fond de la vallée serait pertinent (terrains vastes et plats).
Sinon, je ne veux pas lancer la discution sur toutes les liaisons basse vallée/ stations mais on peut aussi mentionner le télécabine en 3 étapes Brides-les-bains / Méribel qui est très longue et qui a été liée au JO de 1992.
L'Olympe (c'est son nom) fait plus de 6500m pour 800m de dénivelé (610m - 1100m - 1340m - 1430m).
Une remontée Gières/Chamrousse via Uriage ou StMartin en deux tronçons ne me paraît pas si farfelue (techniquement) que cela, surtout qu'en mesurant (à plat mais ça joue peu), je trouve un peu moins de 10km.
edit : orthographe, précisions et au fait, merci pour ce thread Marco
Dernière modification par Garagnat (27-01-2009 18:15:05)
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C'est les étudiants du campus qui vont être heureux - et leur profs un peu moins !
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Pendant une semaine je me suis tapé le télécabine de l'Olympa à Bride, c'est franchement horrible, plus de 30min de montée, il y a des améliorations à porter sur la vitesse avant de penser à lalongueur je pense.
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Très intéressant le reportage sur la télécabine d'Oz. Merci pour le lien Marco.
Maintenant on croise les doigts pour que la candidature de Grenoble l'emporte.
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Très intéressant en effet ces projets de téléphériques pour relier le fond de vallée aux stations. Je suis d'ailleurs tomber sur un article relatant la "conquête du marché des villes" par Poma (Pomagalski), la fameuse entreprise iséroise.
Poma, histoires urbaines
Par Didier Durand
Tous les skieurs connaissent Pomagalski, ou plutôt sa marque Poma : la société de Voreppe (Isère) a construit et installé près de 60 % des remontées mécaniques en activité dans les stations d’hiver françaises. Mais Pomagalski ne travaille pas seulement en montagne. Elle réalise même de plus en plus de chantiers en plaine, en ville, voire le long de la mer, qui représentent aujourd’hui près du quart de son activité. Peu coûteuse par rapport à une route ou un pont, peu polluante grâce à son énergie électrique, la télécabine séduit les gestionnaires de sites touristiques et autres autorités en charge des transports...
Source : http://www.brefonline.com/bref_edito.asp
Hormis le fait que je soutienne indéniablement Grenoble pour les JO, il me semble important de souligner tout l'attrait post-JO qu'auraient des téléphériques vers les stations de ski du Vercors ou du massif de Belledonne. L'article mentionné ci-dessus décrit bien la nouvelle tendance qu'auraient les villes de montagne à promouvoir ce moyen de déplacement comme moyen de transport à part entière. Ceci étant, l'essentiel de la ville de Grenoble est plate contrairement à Medellin en Colombie dont les coteaux sont urbanisés. Mais quel atout touristique et économique pour une grande cité d'avoir un accès direct, toute l'année, à des paysages grandioses et une qualité de vie exceptionnel. C'est également valable pour Annecy ou Saint-Etienne dans la région Rhône-Alpes.
Dernière modification par BoibZ (27-01-2009 22:49:35)
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