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Le Nouveau Projet de Rénovation Urbaine phase 2 va être délibéré.
Pour rappel, la première phase l'avait été l'année dernière.
MEL : https://youtu.be/yb1uDEZSsYM
Dernière modification par RZA (18-12-2020 09:07:32)
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Immobilier: les prix continuent de grimper à Lille ... et c'est une exception en France
Le baromètre national des prix de l’immobilier de Meilleurs Agents vient de paraître.
Les prix se stabilisent sous l'effet covid, mais Lille, Nantes et Strasbourg continuent de voir leurs prix grimper:
Si Paris ni aucune des dix plus grandes villes de France ne semblent pouvoir échapper à la phase de stabilisation des prix constatée depuis la rentrée, certaines villes résistent néanmoins mieux que d’autres et devraient continuer à le faire en 2021. À l’image de Lille (+3,7% en un an), Strasbourg (+4,2%) et Nantes (+5,5%). Fortes d’une demande toujours soutenue (12 acheteurs pour 10 vendeurs à Lille et Strasbourg et 11 pour 10 à Nantes), ces trois métropoles présentent pour Meilleurs Agents la capacité de résilience la plus forte du marché immobilier.
Une hausse continue qui s'explique par le tissu économique de Lille et la proximité de Paris:
À commencer par Lille dont le tissu économique, avec la présence du 3e quartier d’affaires français, apparaît encore préservé de la crise. « Lille est au cœur de l’économie européenne, beaucoup de Parisiens en quête d’espace viennent s’y installer », explique Sébastien Fauqueux de l’agence LogeHome. Plus attractif encore pour les particuliers : la capitale des Flandres est la seule grande ville de France où la surface à l’achat est comparable à la location (52 m²). Autrement dit où, à mensualité égale, passer du statut de locataire à celui de propriétaire ne fait pas perdre de mètre carré.
https://www.meilleursagents.com/wikimmo … ives-2021/
Constat intéressant, mais pas forcément réjouissant pour les acquéreurs
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Bonjour,
Un bon article sur la métropolisation et des effets néfastes dans le nord : https://www.20minutes.fr/lille/2945267- … -geographe
Dernière modification par tanaka59 (05-01-2021 22:34:00)
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je viens de le lire... mouais... pas convaincu par son discours, mais le sujet est intéressant.
Il oppose le "dynamisme" démographique de l'AAV lilloise (pas non plus extraordinaire quand on regarde les autres métropoles) à la stagnation ou baisse du reste du département: ça c'est un fait.
Il souligne par ailleurs le recul de l'emploi industriel dans la métropole, plutôt tournée vers le tertiaire. (l'emploi industriel de la métropole est passé de 12,9% en 2007 à 9,6% en 2017)
Sa thèse est qu'il faudrait rééquilibrer les autres villes, car "Plus on s’éloigne de la métropole, plus la démographie baisse à cause du manque d’emplois".
"Cela pose question sur la politique de métropolisation. Cette théorie dominante d’inspiration néolibérale voudrait que, lorsque les grandes villes atteignent un seuil critique, elles provoquent le ruissellement de la population. Ruissellement qu’on attend toujours."
Il voudrait qu'on réimplante des emplois industriels dans ces villes qui ont perdu en attractivité (" La relocalisation d’activités industrielles pourrait être une solution")
Mais dans son schéma:
- je ne vois pas en quoi Lille "prend" des emplois industriels sur les autres villes, elle en perd elle-même.
- les mots utilisés ("inspiration néolibérale", "ruissellement") sentent bon l'orientation politique assumée (pourquoi pas?) mais en l'occurrence que faudrait-il? Je n'ai pas l'impression que ce soit l'Etat qui investisse massivement à Lille et pas ailleurs. Il y a plutôt une dynamique lilloise propre, comme dans toutes les métropoles.
J'ai même l'impression qu'il avance des arguments qui peuvent se contredire.
Ainsi il dit:
"Les métropoles françaises sont moins peuplées et moins puissantes que Turin, Milan ou Barcelone, par exemple. La zone d’influence reste donc très limitée. A Lille, par exemple, le ruissellement ne fonctionne plus au-delà de 30 km." ça peut au contraire plaider pour un renforcement des métropoles, pour leur faire atteindre une taille critique suffisante.
Au final, je ne vois pas comment on peut opposer métropolisation et maintien ou soutien à l'industrialisation des villes moyennes, surtout à Lille. Est-ce en affaiblissant Lille qu'on renforcera les autres villes? Mais je ne suis pas Docteur en géographie, peut-être n'ai-je pas tous les éléments.
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Entièrement d'accord, j'ai du mal à comprendre où il veut en venir sauf s'il sous-entend que Lille vampirise les emplois des villes moyennes autour.
C'est à ma connaissance pas le cas, et si Lille reste dynamique n'est-ce pas justement grâce à sa relative grande taille par rapport aux villes de la région?
A l'inverse, Lyon, qui a un taille équivalente à Turin, on voit que son rayonnement fonctionne dans le reste de la région au point où ça en est réciproque. Sinon comment expliquer que la ville la plus dynamique (emploi/habitant) de Bourgogne est Mâcon (100k dans agglo et +8% d'hab)?
Ce qui est important c'est de ne pas déshabiller Paul pour habiller Jacques. Mais je pense que Lille tient son dynamisme à bout de bras également.
Pareil, je suis pas géographe, aménageur ou autre, mais une réindustrialisation est nécessaire, c'est le cas en Belgique, alors pourquoi pas chez nous?
Mais également le tourisme sur la côte pourrait être développé, idem pour la logistique.
Pourquoi Rotterdam et Anvers ont réussi à être n°1 et n°2 et Boulogne/Calais rien du tout?
Je ne suis également pas convaincu par son discours et de manière générale, j'ai du mal avec tous les reportage qui vantent sans cesse la ruralité depuis la déconfinement comme si la ville était responsable de tout. Alors, certes, il y aurait des choses à refaire pour la qualité de vie en ville, mais encore une fois, c'est pas en déplaçant des emplois qui étaient en ville vers la campagne que ça va fonctionner.
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encadrement des loyers à Lille: les prix de référence pour 2021
actu.fr publie une carte des secteurs lillois et donne quelques exemples de loyers:
- Le loyer d’un deux pièces non meublé rue des Postes (en zone 2) construit entre 1971 et 1990 ne pourra excéder 15,1€ du m²
- Le loyer d’un studio meublé rue Basse (en zone 1) construit avant 1946 ne pourra excéder 22,8€ du m²
- Le loyer d’un trois pièces non meublé avenue Roger-Salengro (en zone 4) construit après 1990 ne pourra excéder 12,8€
Le site d'information en ligne précise que la hausse avait été de 70% entre 2000 et 2012.
https://actu.fr/hauts-de-france/lille_5 … 73373.html
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Une belle machine à gaz en somme... autant je comprends très bien l’idée politique, autant je ne comprends pas le manque de vision. En gros, n’essayez même de faire quelque chose de bien de votre investissement locatif boulevard Victor Hugo car il rapportera toujours moins qu’un taudis rue de la Barre.
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A étudier car la taxe fonciere doit être nettement plus élevé dans le VL. Mais c’est hallucinant cet encadrement... en gros ça fait quand même 1000 € par mois pour un 45 m2 !!
Dernière modification par dadolovitch (28-02-2021 09:33:29)
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Immobilier : la ville de Lille est particulièrement prisée
L’immobilier ne semble pas connaître pas la crise. En 2020, les ventes de maisons et d’appartements ont atteint un très haut niveau. Lille (Nord) fait d’ailleurs partie des villes les plus dynamiques.
Peu de vendeurs, beaucoup d'acheteurs, y compris en provenance de Paris, les prix vont donc continuer à grimper.
https://www.francetvinfo.fr/economie/im … 17057.html
Ce phénomène parisien est réel, les navetteurs TGV sont très nombreux.
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Peu de vendeurs, beaucoup d'acheteurs, y compris en provenance de Paris, les prix vont donc continuer à grimper.
J'en témoigne, je suis moi-même Lillois d'origine et Parisien d'adoption depuis plusieurs années. J'ai toujours voulu revenir vivre à Lille à moyen terme, mais le confinement a précipité les choses. Nous venons d'acheter à Lille et continuerons à bosser à Paris où les salaires nous permettent de nous offrir une vraie qualité de vie.... mais ailleurs qu'à Paris (où c'est devenu inaccessible).
Je pense que le confinement et le télétravail ont poussé beaucoup de gens comme nous à quitter leur toute petite surface de Paris pour avoir un peu de verdure à Lille, à Nantes, à Bordeaux pour le même prix...
Sur le bien que nous avons la chance d'avoir pu acheter, il y a eu 6 visites, 4 offres au prix et la maison a été vendue en 4h.... je ne pensais pas que le marché puisse être tendu à ce point.
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dimimouse a écrit:
Sur le bien que nous avons la chance d'avoir pu acheter, il y a eu 6 visites, 4 offres au prix et la maison a été vendue en 4h.... je ne pensais pas que le marché puisse être tendu à ce point.
J'ai aussi acheté en 2020 sur la MEL (signature aurait du avoir lieu fin mars .... raté) et le marché etait deja tres tendu, la maison n'avait pas été remise sur le marché (non obtention du pret des premiers acheteurs) que nous l'achetions dans la même semaine !
Depuis ya eu la pandemie, et pendant que nous faisions les travaux, plusieurs agents immobilier nous ont directement démarché en proposant jusque +20 % ! Preuve que le marché est devenu encore plus compétitif !
La demande immobilière a explosé avec l'arrivée de télétravail, et navetteurs semi occasionnel vers Paris, donc tout ce qui est a 1h de Paris deviens intéressant !
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C'est comme ça depuis l'arrivée du TGV avec d'un côté un marché immobilier (location / achat) très tendu entre nouveaux arrivants et étudiants en surnombre, des logements sociaux en surnombre mais inaccessibles pour la toute petite classe moyenne qui en aurait bien besoin, des aides à l'achat ou la location inexistantes pour la classe moyenne qui elle aussi en aurait bien besoin et jusqu'à aujourd'hui on continue dans la lancée, une ville-centre CSP+ et étudiants, concernant à l'origine uniquement le Centre et Vieux-Lille mais on voit progressivement ce phénomène s'étendre aux autres quartier, quelques rares faubourgs restés plus ou moins inchangés (Loos, Ronchin) le tout enrobé d'une ceinture de HLM et des classes moyennes (petites et sup) qui sont partis depuis longtemps vivre dans la banlieue pavillonnaire.
Dernière modification par arflha (03-03-2021 10:29:09)
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enquête intéressante de Médiacités sur l'encadrement des loyers à Lille:
les-nombreuses failles de l'encadrement des loyers à lille/
Si Lille et la MEL ont toutes les 2, après Paris, le loyer médian le plus élevé de toutes les villes-centre des métropoles de plus de 500 000 habitants, les critères d'encadrement peuvent effectivement poser problème pour les propriétaires.
Il n'y a pas que l'emplacement, le nombre de m2, le nombre de pièces et la date de construction - les 4 critères retenus pour l'encadrement - qui jouent sur la valeur d'un bien. A l'achat, ça se verrait tout de suite: luminosité, réfection à neuf ou taudis, hauteur sous plafond, disposition des pièces, étage, isolation, équipement, parking ou non, etc. tout ça joue énormément. Pour la location, ce devrait être pareil. Mais alors, comme le dit piotr, ce serait encore plus une usine à gaz.
Reste que le rapport de force joue en faveur des propriétaires, qui ne respectent donc pas tous l'encadrement.
Difficile équation...
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pour reprendre le sujet Paris-Lille, je viens de tomber sur ce site, qui organise l'achat d'un appart à Lille et la vente simultanée à Paris pour ceux qui veulent déménager dans le Nord:
https://www.lion-lille.fr/paris
C'est bien le signe qu'il y a un marché
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dans la continuité des posts précédents
Immobilier: quand Lille devient la banlieue de Paris… et vice-versa
Sous l’effet du confinement post-Covid et l’avènement du télétravail, de plus en plus d’actifs parisiens décident d’investir et de déménager en province. Lille et sa métropole arrivent en tête des villes favorites.
quelques exemples plus tard:
ils sont nombreux, ces actifs parisiens, fatigués du stress de la capitale, à choisir de venir vivre dans la métropole lilloise.
Nous avons trois à quatre fois plus de demandes pour des résidences principales, alors qu’avant il s’agissait surtout d’investissements locatifs », constate Yannick Legros
https://www.nordeclair.fr/1016469/artic … vice-versa
Avec le télétravail, c'est certain qu'habiter à Paris devient moins une nécessité, je pense que c'est un mouvement de fond qui va perdurer, mais avec une hausse des prix à prévoir sans doute.
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Médiacité publie une enquête sur les villes de la MEL qui ne sont pas au niveau des 25% de logements sociaux et qui le paient cher.
L'article rappelle que 60% de la population de la MEL est éligible au logement social.
La MEL n'est pas loin du seuil minimal exigé, mais la loi s'applique au niveau des communes
Plus de 53 000 ! C’est le nombre de demandes de logement social en attente dans la Métropole européenne de Lille (MEL) en 2019. Pourtant, avec 130 000 logements sociaux sur un total de 543 000, l’agglomération n’est qu’à un point du taux de 25 % qui est, depuis 2013, le nouvel objectif pour les zones tendues de la loi SRU
L'objectif de 25% pour 2025 est loin d'être atteint pour plusieurs communes.
9 d’entre elles ont plus de 10 points de pourcentage à rattraper en cinq ans. Et 11 entre 5 et 10 points.
25 communes sont en dessous de 25%, dont 17 ont un taux inférieur à 19%, soit 6 points d'écart avec les attendus.
Dans l'ordre croissant:
Sequedin (6,33% de logements sociaux)
Sainghin-en-Weppes
Santes
Baisieux
Hallennes-lez-Haubourdin
Neuville-en-Ferrain
Bondues
Mouvaux
Bousbecque
Houplines
Lambersart
Pérenchies
Erquinghem-Lys
Faches-Thumesnil
Roncq
Leers
Quesnoy-sur-Deûle (18,71%)
Lambersart a ainsi dû payer 166.000 euros de pénalités en 2020.
En cumul, cela finit par faire beaucoup.
Ainsi:
plus de 400 000 euros de pénalités en 10 ans pour Santes, Leers et Sequedin
[Santes] a dû payer au total plus de 540 000 euros de pénalités. Soit l’équivalent de la dotation globale de fonctionnement (DGF) versée par l’État pour l’année 2019 !
Médiacités précise toutefois que la MEL s'en sort mieux que beaucoup d'autres régions, région parisienne et sud en tête.
Enquête réalisée par Yves Adaken
https://www.mediacites.fr/decryptage/li … s-sociaux/
Dernière modification par Yoda59 (09-07-2021 17:34:49)
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Je suis étonné de ne pas voir Lannoy et ... Roubaix !
Pourtant on frise les 95 à 99% de taux d'occupation des sols !
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Il s'agit de pourcentages, ça n'a rien à voir avec la densité d'occupation des sols.
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La MEL va investir deux milliards d’euros pour rénover 14 quartiers populaires dans les prochaines années
La métropole de Lille a signé, ce mardi, avec différents partenaires, la seconde phase du nouveau programme de renouvellement urbain pour les quartiers populaires
Près de 3.900 logements sociaux doivent être démolis et reconstruits, 3.400 doivent être réhabilités et 4.000 verront leurs abords réaménagés. Il est également prévu de rénover ou de construire une soixantaine d’équipements de proximité, ainsi que de réaliser de nouveaux aménagements et espaces publics.
https://www.20minutes.fr/lille/3185851- … nes-annees
Quartiers concernés:
- les « Aviateurs » aux Bois-Blancs
- Wazemmes
- Moulins
- Concorde
- Lille Sud
- l’Alma
- l’Epeule
- le Pile
- les 3 Ponts
- Lionderie-Trois Baudets (Hem)
- le nouveau Mons
- les Oliveaux
- les Villas (Wattrelos)
- la Bourgogne
- le Blanc Riez (Wattignies)
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En complément du post de Yoda59.
Ces quartiers de la métropole de Lille sur le point d'être métamorphosés
Fin novembre 2021, la deuxième phase du Nouveau programme de renouvellement urbain de la MEL a été lancée. Elle concerne plus particulièrement Lille et Roubaix. Précisions.
[...]
Démolition, réhabilitation, aménagement…
La deuxième phase, dont la convention a été signée en cette fin novembre, cible plus particulièrement six quartiers de Lille et Roubaix, parmi lesquels les Aviateurs, Concorde, Moulins, l’Alma, l’Épeule, le Pile…
Au total, sur l’ensemble des sites concernés, la MEL prévoit : 1200 logements démolis et reconstruits, 785 logements réhabilités, 520 logements réaménagés, 11 équipements rénovés ou construits, la création de commerces et services et des aménagements d’espace publics.
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En complément sur la synthèse du NPRU.
https://youtu.be/yb1uDEZSsYM
Déjà envoyé mais je trouve qu'elle résume bien les choses
La vidéo doit être complété du coup, mais je ne l'ai pas encore retrouvé...
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quel est le profil des locataires à Lille?
Flatlooker a réalisé une enquête auprès de 8000 locataires lillois.
son portrait robot:
- âge: 27 ans
- occupe 23 m2
- dépense 33% de ses revenus ou plus pour le loyer
l’âge médian des locataires est de 27 ans. Une tranche d’âge plutôt jeune qui peut s’expliquer notamment par le fait que 33% des locataires sont des étudiants. 53% sont des salariés en CDD ou CDI.
L’étude relève également que les Lillois sont 54% à louer seuls. Ce qui veut dire que 46% sont au moins deux à occuper le logement loué, ce que Flatlooker explique par « le prix élevé des logements » à Lille.
Par ailleurs, le locataire lillois occupe une surface médiane de 23m² et utilise pas moins de 33% de son budget pour sa location.
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À Lille, les prix de l'immobilier ont augmenté de 246 % en 20 ans
Ce chiffre vient d’être révélé par une étude de Meilleurs Agents. On y apprend ainsi que le prix au m² dans la capitale des Flandres est passé de 933 à 3 228 euros.
Au début des années 2000, selon cette étude, un jeune adulte pouvait ainsi s’acheter un bien de 59 m² à Lille. Une surface aujourd’hui réduite à 37 m².
Petite éclaircie malgré tout : la situation s’est améliorée dans les dix dernières années. [...] "Depuis 10 ans, nous constatons un regain en termes de pouvoir d’achat immobilier (+5 m² en moyenne) dans l’ensemble des métropoles françaises"
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Gens du voyage : Lille, Lomme et Hellemmes ont opté pour des logements adaptés
Dans le cadre du nouveau schéma métropolitain, Lille a fait le choix d’un programme d’habitat adapté pour répondre au phénomène de sédentarisation observé sur les terrains existants. Une approche plus humanisante.
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Les demandes de logement social en attente à Lille se montent à 21.500, ce qui fait 40% de toutes les demandes de la métropole.
Pour faire face, la ville de Lille a approuvé lors du dernier conseil municipal le 3ème PLH de la MEL, qui prévoit pour Lille 10.850 nouveaux logements dont 3255 logements sociaux d'ici 2028.
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