Reims - Cathédrale Notre-Dame

En parlant du palais du Tau... une brève lue dans la presse locale...

Record d’affluence au Palais du Tau pour l’exposition sur les sacres

L’exposition « Sacres royaux, de Louis XIII à Charles X », présentée au Palais du Tau par le Centre des monuments nationaux et le château de Versailles, a battu un record d’affluence en accueillant, du 28 mai au 2 novembre, un total de 57 895 visiteurs. L’an dernier, sur la même période, seuls 32 378 entrées avaient été enregistrées.

Source : article du journal l'Union du 04/11/2014

Petit reportage de France 3 Champagne-Ardenne qui fait le point sur les travaux de la façade occidentale qui devraient se terminer en octobre 2016.

Ici et pas ailleurs du 7 septembre 2015

Et au passage une petite photo de l'ensemble bibliothèque Carnegie, Palais du Tau, Chapelle palatine et Cathédrale.


© Durocorter

On attend toujours la piscine au pied de ce beau plongeoir

Est-ce qu'on a une idée de la date de démontage de l’échafaudage de la façade?
Ça ne devrait plus tarder 

J'en parlais précédemment, les échafaudages ont commencé à être démonté. 

Les échafaudages commencent à disparaître devant la cathédrale de Reims.

La façade rénovée de la cathédrale se dévoile peu à peu ; elle devrait être entièrement dégagée pour le 11 novembre.

L'Union, 14 Octobre 2016.

Dernière modification par shacko51 (15-10-2016 16:40:51)

L'échafaudage a entièrement disparu !     La Grande Rose se dévoile enfin, quel travail remarquable !



Bon d'accord j'ai menti, il reste encore la base mais elle devrait pas tarder à partir. 

Le chassé-croisé des échafaudages :

Les échafaudages sont partis à la cathédrale de Reims, ils reviendront



Après trois ans de restauration, l’échafaudage qui masque la façade de la cathédrale vient de disparaître. Un siècle après l’incendie de 1914, la cathédrale retrouve enfin sa façade telle qu’elle était en 1906. La restauration portait sur les six statues et le Pèlerin de la voussure gauche et les huit statues et sculptures des scènes de combat de David et Goliath, au-dessus de la Rose. Les Amis de la cathédrale ont financé la restauration de la Grande Rose à hauteur d’1 million d’euros, soit 30 % du budget global. Pour financer cette restauration, ils avaient lancé un appel aux dons. Le CIVC a abondé à hauteur de 30 %. Près de 100 000 euros ont été apportés par 45 donateurs privés, 190 000 euros sur les réserves parlementaires (Catherine Vautrin, Arnaud Robinet, Jean-Claude Thomas). Des échafaudages vont revenir cependant dès la mi-janvier. Cette fois, il s’agira de restaurer l’un des derniers vestiges de la guerre : le portail de la façade. Noirci par l’incendie, le portail va être dépoussiéré, notamment ses statues du XIII e  siècle qui se délitent depuis des années. Un appel d’offres va être lancé. L’échafaudage, moins imposant que l’actuel, sera monté à l’intérieur du portail central. Une étude préalable sera faite sur des traces de polychromie trouvées sur place. Les voussures seront dépoussiérées, ainsi que les statues situées sur les bandes d’ébrasement, notamment celles de l’Annonciation et de la Visitation. Elles seront restaurées sur place, car il n’y a ni le financement pour les remplacer par des copies, ni le lieu pour les stocker. Cette nouvelle restauration est programmée sur trois ans. Ne restera plus que la restauration des rois, mais là, plus besoin d’échafaudage ! Après cette intervention, les Rémois et les visiteurs bénéficieront d’une façade libre de tout échafaudage… pour de nombreuses années.

l'Union 4/11/16

Pour être complet, voici un petit point sur les travaux en cours. Côté Cours Anatole France, la toiture de la Cathédrale est en rénovation, on en a déjà parlé. Mais à présent, la toiture de la chapelle palatine est elle aussi en travaux, pour les mêmes raisons je pense.
Nous avons donc droit à de belles toitures blanches. 

Le portail central de la cathédrale de Reims bientôt restauré

Encore quelques semaines de répit avant qu’un nouvel échafaudage ne prenne place devant le portail principal de la cathédrale de Reims, l’un des derniers vestiges de la Première Guerre mondiale. Bien loin d’être aussi impressionnant que la précédente plate-forme qui grimpait à plus de 40 mètres de hauteur, il restera néanmoins trois ans, le temps de parfaire l’achèvement de la restauration de la dernière partie de la cathédrale à n’avoir pas retrouvé son lustre depuis le fameux incendie du 19 septembre 1914.

Si l’on peut aujourd’hui mesurer le travail accompli après l’exceptionnelle restauration qu’a été celle de la Grande Rose, reste encore à dépoussiérer ce portail, ses 81 sculptures apposées sous les voussures et ses 8 statues des ébrasements impliquées dans une scénographie dédiée à Marie.


Une cartographie de la polychromie
La décision, poussée par la société des Amis de la cathédrale de Reims, a été prise en novembre dernier, par la Direction régionale des affaires culturelles de Champagne-Ardenne, de s’attaquer dans la foulée à cette partie de la cathédrale, « afin d’en finir une bonne fois pour toutes avec les échafaudages sur la façade de la cathédrale… même s’il restera encore cette galerie des Rois », précise Bernard Poret, président de l’association. Les travaux, prévus en deux temps, vont s’étaler sur trois années, de 2017 à 2019. « Il va falloir dépoussiérer les voussures et surtout stabiliser les sculptures des ébrasements, car la pierre de Courville est en piteux état. [...]»
Il va ainsi falloir tenir compte des traces de polychromie récemment découvertes sur les statues des ébrasements, notamment sur les statues de l’Annonciation. Des traces de couleur verte sont en effet visibles sur l’aile de l’ange de l’Annonciation, ainsi que sur le buste de Marie. De même que sur les colonnes des ébrasements.

[...] En lien avec le laboratoire de recherches des Monuments historiques de Champs-sur-Marne et l’Institut national du patrimoine (qui forme les futurs restaurateurs), il a été décidé de faire de cette restauration à venir un chantier école. Fin juin, une équipe de 7 étudiants de 3e année à l’INP va s’attaquer à la réalisation d’une cartographie de la polychromie. De gros moyens vont être déployés afin d’appréhender les différentes couches. « Le but est de faire une stratigraphie afin d’aller chercher avec des moyens spectrométriques ce qu’il se cache derrière la crasse », détaille Bernard Poret.

[...] Financièrement bien moins lourd que le coût de la Grande Rose (3,3 millions d’euros), la restauration du portail central est évaluée à 800 000 euros dont 30 % seront pris en charge par les amis de la cathédrale via un nouvel appel aux dons.

« Le portail central restauré, on pourra alors redécouvrir une cathédrale telle que personne ne l’a jamais vue », annonce Bernard Poret. « Le chantier aura été long, titanesque mais il s’agit là de l’une des plus belles façades gothiques existantes. » Le portail central restauré, la façade de la cathédrale – en chantier depuis le milieu des années 1980 – devrait être pour un long moment débarrassée de ses échafaudages. Rendez-vous en 2019.

Notra Dame, hier.

A noter que la bâche sur la toiture se fond particulièrement bien dans ce ciel bien gris.


https://www.flickr.com/photos/133488996@N08/32837390625

Il était question d'un commencement début 2017. Mais je n'ai pas plus d'infos à ce sujet. 

Les échafaudages ont disparu du portail central de la façade!
Ça ne devait pas durer 3 ans?

Cathédrale de Reims, chantier éternel

Débutés en 2022, les travaux de restauration d'une partie du chevet de Notre-Dame s'achèvent. Financée par l'État, cette opération aura nécessité un budget de 3,66 M€.


Les sculpteurs sont encore à l'ouvrage. (© l'Hebdo du Vendredi)


Martin Vanbremeersch, architecte des monuments nationaux, montre la pierre restaurée. (© l'Hebdo du Vendredi)


Autrefois décapité, l'ange aux ailes déployés a retrouvé sa tête. (© l'Hebdo du Vendredi)


L'immense échafaudage est en cours de démontage. (© l'Hebdo du Vendredi)

L'immense échafaudage culminant à près de 50 mètres de hauteur et posé dans le jardin Henri-Deneux est en cours de démontage. Depuis plusieurs jours, les ouvriers sont à pied d'œuvre pour mettre à terre une structure composée de plusieurs milliers d'éléments en métal. L'ensemble devrait avoir disparu d'ici la fin du mois de février, offrant alors aux yeux des badauds une cathédrale de Reims comme ils ne l'ont jamais vu. [...]
Ce chantier d'exception s'est déroulé en deux tranches. La première, de janvier 2022 à janvier 2023, a concerné les parties hautes et la seconde, de février 2023 à maintenant, la partie basse et une des cinq chapelles. L'intervention, placée sous la maîtrise d'ouvrage de la direction régionale des affaires culturelles, a consisté à améliorer l'état sanitaire général de l'édifice, notamment par la réfection des couvertures en plomb et de la restauration des vitraux et de la statuaire. Les éléments composant cette dernière, hier noircis, ont retrouvé leur éclat et parfois bien plus, à l'image de cette statue d'ange de plus de 3 mètres de hauteur. « C'est l'un des symboles de ce chantier », indique Martin Vanbremeersch, collaborateur de l'architecte en chef des monuments nationaux Suzanne Ponthaud. Avant la restauration, il n'était en effet plus qu'une immense pierre défraîchie, sans bras ni tête, dont on devinait à peine les ailes. Désormais, à défaut d'avoir retrouvé ses membres supérieurs, il a de nouveau un visage. « La tête est tombée dans les années 1990 et on l'a retrouvé par hasard dans les réserves du Palais du Tau. En s'appuyant sur une photo ancienne, on a ainsi pu faire réaliser une copie au plus proche de l'origine. »
La fin d'un chantier sur un édifice tel que la cathédrale de Reims signifie le début d'un autre. Très prochainement, une armure de métal va donc de nouveau grimper sur le monument. Cette fois, ce sera sur la façade principale, afin de restaurer le portail central, dissimulé sous une bâche depuis plusieurs années.

Source : l'Hebdo du Vendredi