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http://www.ladepeche.fr/article/2009/05 … piste.html
Base aérienne de Francazal : quatre projets en piste :
Urbanisme. L'avenir de ces terrains militaires a fait débat avec les élus à la préfecture hier. Réponse le 15 mai.
Architectes, urbanistes, paysagistes, management d'entreprises, groupements de collectivités, spécialistes des eaux… le tout imbriqué. Quatre bureaux d'étude associés, un cinquième ayant déclaré forfait, étaient en lice hier matin à la préfecture de la Haute-Garonne avec leur avant-projet sur le devenir de la base militaire de Francazal : les cabinets associés Deviller, ASAA, Reichen § Robert et KPMG.
DEUX PROJETS FAVORIS
L'attention des élus aurait été toutefois retenue par deux projets qui se dégagent résolument du lot.
L'idée d'amener sur Francazal une activité économique liée à l'aéronautique, comme la création d'un pôle d'activités d'affaires, voire de conserver la piste de 1,8 km actuelle pour de l'aviation d'affaires, avec de l'urbanisme périphérique, irait davantage dans le sens des attentes de ces municipalités qui comptent ce réservoir foncier de 292 hectares sur leur territoire.
J'ouvre ce sujet qui va le 15 mai donner une idée du projet urbain et de l'orientation des 292 hectares de l'emprise à cheval sur Toulouse, Cugnaux et Portet sur Garonne.
Le consensus porte sur un projet urbain mixant toutes les fonctions (habitat-activités) et pas seulement habitat.
Une sorte de ZAC Montaudran-Aérospace Campus n°2 en plus grand apparemment.
Pour l'instant c'est l'Etat qui est décisionnaire. Une future OIN dans le premier grand projet urbain de la toute nouvelle Communauté Urbaine?
Le maitre d'ouvrage de la consultation pour définir les urbanistes-architectes du concours d'urbanisme est le ministère de la défense (Mission pour la Réalisation des Actifs Immobiliers).
L'Objet du marché est : Etude de reconversion Base Aérienne 101 Toulouse-Francazal
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Insertion urbaine dans le Sud-Ouest de l'agglomération toulousaine
Insertion urbaine à cheval sur les territoires communaux de Toulouse, Cugnaux et Portet sur Garonne.
http://www.ladepeche.fr/article/2009/05 … piste.html
.../Comme nous l'avions précédemment indiqué, « le tout pour l'urbanisation », avec l'arrivée d'une nouvelle concentration de logements dans ce secteur déjà très enclavé (entre Colomiers et le Mirail), n'a pas la faveur des élu . Les trois communes concernées affichent un consensus sur ce point.
L'idée d'amener sur Francazal une activité économique liée à l'aéronautique, comme la création d'un pôle d'activités d'affaires, voire de conserver la piste de 1,8 km actuelle pour de l'aviation d'affaires, avec de l'urbanisme périphérique, irait davantage dans le sens des attentes de ces municipalités qui comptent ce réservoir foncier de 292 hectares sur leur territoire/...
j'ai un peu peur qu'on se disperse et que ça fasse doublon avec la zone aérospace campus.
Déjà que la tour, n'aurait pas de locataire, pas moi qui le dit, si en plus on crée une zone dans le même but, on va avoir du mal à remplir.
per tolosa totjorn mai
Aeroclubs, écoles de pilotage, aviation d'affaire avec compagnies d'avions taxi, ateliers de vente et réparation d'avions de tourisme ou d'affaire, c'est aussi un pole économique aéronautique, aucun rapport avec la recherche à Aerospace Campus.
Diagonal a écrit:
Aeroclubs, écoles de pilotage, aviation d'affaire avec compagnies d'avions taxi, ateliers de vente et réparation d'avions de tourisme ou d'affaire, c'est aussi un pole économique aéronautique, aucun rapport avec la recherche à Aerospace Campus.
bien sûr, donc à suivre.
per tolosa totjorn mai
Je rejoins entièrement l'analyse de Diagonal. Aérospace Campus est tourné sur la recherche et le tertiaire.
Francazal peut être tourné sur l'aviation d'affaires, un pôle de conception annexe à St Martin du Touch etc etc
N'oubliez qu'à proximité de Francazal va être lancé l'écopole Toulousain ... si ca marche bien, pourquoi ne pas l'étendre sur une partie de Francazal.
Autre chose à préciser, il y a des dizaines d'hectares non militaires (dans l'axe de la piste) qui peuvent devenir constructible si plus aucun avion ne décollent et attérissent.
Il y a une énorme potentialité foncière à exploiter sur ce secteur.
Cugnaux et Portet peuvent prendre une ampleur urbaine et économique sans précédent.
côté autoroute, une bonne partie, sont d'anciennes carrières comblées
per tolosa totjorn mai
Et entre le bloc urbain Plaisance du Touch, Tournefeuille et celui de Frouzins, Villeneuve Tolosane, Cugnaux, c'est une immense disponibilité fonciére déjà mitée par çi par là avec des terrains mal drainés de fossées plein d'eau.
L'existence du couloir aérien est au contraire un frein pour attenuer la dispersion, l'étalement urbain sur ce territoire.
Il faut savoir si vous voulez de la densité, de la ville ou une immensité de logements à 100 000 euros sur des terrains qui ne seront même pas viabilisés ...
Je ne comprends pas le sens de ta dernière phrase !
Et bien le couloir de nuisances aérienne de Francazal limite l'extension de l'étalement urbain dans le secteur.
Oui, jusqu'à présent et après ?
Diagonal
je te suis pas bien, ou est le rapport en étalement et couloir aérien?
per tolosa totjorn mai
Et bien l'existence du couloir de nuisances aérienne limite l'étalement urbain entre Tournefeuille / Cugnaux .
C'est simple à comprendre.
il y a le couloir de Lasbordes qui a le même effet à l'Est, et là il est souhaitable de le faire disparaitre pour favoriser l'urbanisation de tout les espaces résiduels entre Balma / Quint Fonsegrives / St Orens / Toulouse Montaudran.
Diagonal a écrit:
Et bien l'existence du couloir de nuisances aérienne limite l'étalement urbain entre Tournefeuille / Cugnaux .
C'est simple à comprendre.
il y a le couloir de Lasbordes qui a le même effet à l'Est, et là il est souhaitable de le faire disparaitre pour favoriser l'urbanisation de tout les espaces résiduels entre Balma / Quint Fonsegrives / St Orens / Toulouse Montaudran.
Oui je comprendrai le résonnement si on était à 30km de toulouse, mais là on est en partie sur toulouse, donc ce qui se construit là, se construit plus loin.
Finalement j'ai plus l'impression que ce couloir aérien favorise plus l'étalement qu'il ne le freine.
Par contre j'ai un peu de doute sur une utilisation des piste dans la mesure, ou déjà avec l'armée et blagnac on était dans des couloirs très proche, qui posent un peu de problème.
A moins de transformer le site en musée aéronautique.
per tolosa totjorn mai
Vous n'avez pas répondu à ma question : Jusqu'à présent c'est un aérodrome qui sert à la base aérienne, et une fois la base fermée, si cet aérodrome est également inutilisé qu'est ce qui empêchera l'urbanisation sur le futur ex-couloir aérien ?
Biensur la question ne se posera pas de la sorte si un aérodrome d'affaires venait à utiliser les pistes actuelles en relation avec le nouveau développement urbain du site à vocation aéronautique .
D'ailleurs il est bien spécifié sur l'article que l'urbanisation devrait être un "urbanisme périphérique" donc sûrement autour des pistes.
Liquider une piste de cette qualité et en plus historique, serait contre productif pour une ville aussi impliquée dans le domaine aéronautique.
C'est le site idéal pour aviation d'affaire et de loisir (piste en dur + herbe)
Utiliser le site comme musée aéronautique ne me parait pas l'idéal, mais y avoir des locaux de conservation et de restauration d'avions anciens (du type de la Collection Ailes anciennes) pourquoi pas.
La piste de Francazal est à 8,7 Km du Capitole, et celle de Blagnac à moins de 5 Km.
Densifier, l'agglomération c'est construire de préférence à l'intérieur de ces rayons, ce n'est pas les terrains ou les reconversions qui manquent, pas besoin des axes de pistes de Francazal.
Je sais que Francazal n'est pas un site annodin. On sait tous que c'est un plateau mais on ne sait pas tous que ce plateau est atmsphériquement protégé par la forêt de boucônne. Je ne saurais pas expliquer le phénomène, mais je sais que les intempéries y sont plus modérées que sur le reste de l'agglomération.
Les intempéries, c'est plutôt au nord de Toulouse, plus sec.
Pour le brouillard, la terrasse est intéressante, mais l'urbanisation fait beaucoup dans sa dissipation.
La forêt de Bouconne peut avoir une influence dans les courants d'airs, l'on a fait des études de ces courants liés à des massifs forrestiers importants autour des villes suite aux mesures de pollution des agglomérations.
De toute façon, la réponse sera apportée le 15 mai. Attendons déjà de voir ce qui sera proposé plutôt que de se faire des films .
urbatoulousain31 a écrit:
De toute façon, la réponse sera apportée le 15 mai. Attendons déjà de voir ce qui sera proposé plutôt que de se faire des films .
parole de sage
per tolosa totjorn mai
Il n'y avait pas quelques espions à la prefecture pour savoir quel était le projet favori ?
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