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Nom | Fonction(s) | Hauteur | Niveaux | Année |
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Santé | 10.00 m | R+1 | |
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Bureaux | 9.00 m | R+2 | |
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Commerces et activités, Logements, Parking public | 26.00 m | R+6 | 2026 |
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Logements, Culture | 21.50 m | R+5 | 2025 |
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Logements, Administration | 22.50 m | R+6 | 2025 |
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Logements, Commerces et activités | 16.84 m | R+4 | 2023 |
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Logements, Commerces et activités | 20.80 m | R+6 | 2023 |
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Bureaux, Logements, Commerces et activités | 22.40 m | R+6 | 2023 |
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Logements | 28.67 m | R+8 | 2023 |
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Logements | 18.00 m | R+5 | 2021 |
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Logements | 15.00 m | R+4 | 2021 |
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Logements | 21.00 m | R+6 | 2021 |
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Commerces et activités, Logements | 12.00 m | R+3 | 2020 |
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Parking public | 4.53 m | 1988 | |
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Culture, Éducation | 23.00 m | R+7 | 1985 |
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Commerces et activités | 25.00 m | R+4 | 1951 |
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Logements, Commerces et activités | 12.00 m | R+3 | 1930 |
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Logements | 7.96 m | R+1 | 1880 |
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Commerces et activités | 15.00 m | R+1 | 1872 |
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Commerces et activités, Bureaux | 12.00 m | R+1 | 1860 |
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Bureaux | 12.00 m | R+2 | 1859 |
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Hôtel | 8.00 m | R+1 | 1836 |
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Commerces et activités, Logements | 20.00 m | R+3 | 1450 |
Nantes44 a écrit:
https://x.com/telenantesinfo/status/1830959418336330153
Je pensais pourtant que Nantes n'était plus attractif pour les étudiants ?
Comme quoi, d'un reportage à un autre, d'un journaliste à un autre, on fait bien dire ce qu'on veut pour faire passer un message.
Ca c est sur, les journalistes passent le message qu ils veulent, on l a vu fin 2022 avec l insécurité à Nantes qui était relayée sur toutes les chaînes. Rien de mieux que d être sur le terrain pour se faire son propre avis et se rendre compte de la réalité...
C'est l'expérience d'une personne....
https://www.leparisien.fr/etudiant/vie- … 3RYX5I.php
Sur ce site on voit la tension locative par ville : Nantes n'est pas vraiment sous tension : là où c'est le plus tendu c'est Lyon et rennes : extrait "rennes arrive juste après Lyon dans le classement, avec environ 4 fois plus de candidats étudiants que de biens disponibles"
C'est pour cela que l'on construit moins de logements étudiants à Nantes!!
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Je travaille dans l immobilier donc je te confirme que la tension locative est bien plus élevées à Rennes et Lyon qu à Nantes
La cour du château de Nantes se transforme, donnez votre avis !
Une démarche de dialogue citoyen débute en septembre 2024. Objectif : impliquer les habitants et les visiteurs dans le réaménagement du site nantais.
(...) L’ambition ? Donner davantage à la cour une dimension de « place publique » afin d’en faire un « lieu du quotidien ». Car si elle est très fréquentée, le site présente aujourd’hui de nombreuses problématiques liées aux revêtements (poussière, boue, entretien fréquent…) ou encore à l'accessibilité. C’est aussi un véritable îlot de chaleur urbain : en été, la différence de température entre la cour et les douves arborées peut s’élever à 10°C !
Certains logements du centre ville de Nantes seraient vide et à l'abandon ?
Illustration 87 Quai de la Fosse
Spécialiste en effondrements, liquidations...
Un chantier récent (traces au sol) de remplacement des parties hautes (led ?) des lampadaires d'éclairage publique dans le secteur Feydeau : Allée Duguay Trouin...
Spécialiste en effondrements, liquidations...
Hôtel de Bourgogne, le 08/10/2024 : Rajiv
Rajiv
Rajiv
Rajiv
C'est quand même bien dommage de ne pas s'être aligné sur la hauteur du voisin
Ville de Nantes
Église Saint-Clément - Restauration de la façade Occidentale intégrant le clocher, sécurité incendie, mise aux normes électriques et accessibilité.
44 - NANTES
Mise en ligne : 20/10/2024
Limite de réponse : 29/11/2024
Spécialiste en effondrements, liquidations...
Nantais_Vintage44 a écrit:
L’équipe de paysagiste a revu la végétation de la place Commerce. Début des travaux au printemps 2025.
Nantais_Vintage44 a écrit:
Ce parking vas devenir un square
Des arbres verdiront bientôt la critiquée place du Commerce de Nantes
Critiqué, l’aménagement de la place du Commerce à Nantes a été amendé. Des arbres seront plantés aux abords des fontaines installées en 2023 sur la promenade Feydeau-Commerce en réponse aux nombreuses critiques qui ont accompagné cette partie de l’aménagement.
Presse Océan R.C.
Publié le 28/11/2024 à 13h38
...
La place Commerce de Nantes avant et après sa transformation
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Un nouveau jardin devant l’hôtel de ville
Johanna Rolland et son équipe ont également présenté la préfiguration de ce que sera, demain, la place de la Petite-Hollande. Mais aussi la végétalisation des abords de l’hôtel de ville avec la transformation d’un petit parking en jardin, la piétonnisation de la rue de la Commune et l’extension du square Halgan.
Spécialiste en effondrements, liquidations...
Voici le lien en question concernant la végétalisation de la place de l'Hôtel de Ville.
https://metropole.nantes.fr/actualites/ … l-de-ville
À Nantes, le végétal s’invite sur la place de l’Hôtel-de-Ville
Dès 2025, la nature va remplacer le bitume pour transformer cet espace aujourd’hui austère et disparate en un chapelet de jardins, planté d’arbres, de massifs et de bosquets fleuris, où il fera bon se poser à l’entrée du centre historique.
Il faut un peu d’imagination pour oublier le bitume et voir, à la place, se dessiner des jardins. « Aujourd’hui, la place de l’hôtel de ville est un lieu très routier, où les stationnements prennent toute la place », explique Cécile Bir, adjointe à la maire de Nantes déléguée aux parcs et jardins. « Cet espace, lâche et disparate, est assez difficile à lire, poursuit Olivier Baert, paysagiste de l’agence MAP Paysagistes chargée de sa transformation. L’histoire de ce site a été effacée par les bombardements de 1943 et il est resté quasiment en l’état depuis la guerre. »
Un jardin à la place du parking de la Commune
Du côté de l’Hôtel-de-Ville, plutôt qu’une reconfiguration urbaine, longue et coûteuse, la municipalité a opté pour une transformation sobre et progressive, en deux temps. « L’idée est de recomposer l’espace grâce au végétal, éclaire Olivier Baert. Les îlots plantés proposeront de nouvelles volumétries naturelles, là où aujourd’hui tout semble tenu à distance. » Dès 2025, le parking de la mairie, situé rue de la Commune, disparaîtra pour créer « un salon extérieur végétalisé et fleuri, où l’on pourra se poser et partager des moments conviviaux lors des cérémonies de mariage », indique Johanna Rolland. « Les magnolias existants constituent déjà un beau couvert végétal, note Nolwenn Le Mevel, à la direction Nature et jardins. Il suffit de peu de choses pour en faire un jardin frais et agréable. » En février, l’enrobé sera retiré pour retrouver un sol perméable et créer une allée en sable qui permettra de jouer aux boules ou aux palets, et d’améliorer l’accès des personnes à mobilité réduite (PMR). Des massifs fleuris seront également plantés avant l’été et des bancs installés à l’ombre des arbres.
Deuxième acte en 2027
Cette renaturation n’est qu’un avant-goût ! En 2027, les sols seront réaménagés de façon pérenne et les arrêts de bus déplacés pour faciliter les traversées piétonnes. Cette deuxième étape du projet englobera la reprise des rues du Moulin et Hôtel-de-Ville, la piétonisation et la reconfiguration de la rue Fanny-Peccot, ainsi que la végétalisation de la cour Rosmadec, aujourd’hui bitumée et encombrée par les voitures de service, dans l’enceinte de la mairie. À terme, ce sont 1500 m² qui seront ainsi rendus aux piétons et 1914 m² végétalisés avec la plantation de 71 arbres (18 dès 2025). « L’avant-après est très parlant, apprécie Cécile Bir. L’ambition est d’offrir demain aux habitants et aux visiteurs, un chapelet de jardins qui permettront de rejoindre Decré et le centre historique depuis la mairie de manière agréable, en échappant à la circulation et à la chaleur de la ville.»
Cette végétalisation et la reconfiguration des rues (piétonisation) sont bien évidemment bienvenues. Mais je m'interroge sur le futur de cette place. Dans le PSMV, une OAP prévoyait la construction de bâtiments au niveau des pignons aveugles pour créer une véritable place animée. À la lecture de l'article ci-dessus, j'ai l'impression que ce principe a été annulé. C'est fort dommage.
L ambition d avant n est plus. On s arrête à la restauration des lieux sans un veritable développement notamment commercial du secteur, c est dommage
Merci pour le relais des informations concernant le projet de réaménagement du secteur Decré / Mairie. Pour ma part c’est la grosse déception. Et ce pour plusieurs raisons.
On dit souvent que le centre-ville de Nantes est trop petit, en manque de dynamisme, à tord ou à raison. Toujours est il que depuis plus de 10ans maintenant, le centre ville ne se développe plus, et surtout ne se projette plus sous l’impulsion de la politique publique. Au rayon des rares avancées on peut noter le réaménagement profond du secteur Commerce/ Flesselle / Bouffay ( qui est un gros investissement pour le coup, que nous pouvons saluer) sur un axe Est-Ouest bien défini et la rue Voltaire. Hormis cela, c’est le calme plat et il est difficile d’imaginer le centre dans 10/20ans, si ce n’est autour de la future place Gloriette, dont on fini par être las des rebondissements et de ses inflexions. Sans compter sur le temps de conception et la réalisation (cela fait plus de 20ans que l’on parle de se réaménagement > il sera livré dans 5ans)
Pourtant, la ville dispose d’un potentiel de refonte à la hauteur des besoins, non seulement autour de l’ancien lit de la Loire (cf. PSMV) mais bien sur l’ensemble de son maillage. Le secteur Decré en fait pleinement parti. Ce secteur est une pièce maîtresse, par sa capacité à renforcer l’offre commerciale, également par sa position stratégique permettant une liaison vers le Nord et le débouché de l’Erdre.
Depuis de nombreuses années, la mairie annonce lancer des études sur la réhabilitation de l’école des beaux arts et sur la refonte du secteur de la mairie. Les premiers chiffres faisaient état d’une centaine de logements neufs et commerces pour le secteur (comprenant l’îlot St-Vincent). On pouvait se faire à l’idée d’un réaménagement mêlant une recomposition urbaine profonde par la définition de nouveaux îlots, une reprise des îlots existants (pignons etc). Et non, sous couvert du refus d’un projet urbain « long et coûteux », on nous propose un aménagement paysager qui pour le coup n’est pas à la hauteur du site, ni de l’événement. Les images (bien qu’elles soient sommaires) en disent beaucoup finalement, pour un projet qui ne dit pas grand chose. On dirait un traitement de paysager sommaire - petites bandes plantées et suppressions de clôtures - on a connu mieux.
Si le traitement paysager est essentiel et est incontournable dans le renouveau de nos cœurs de ville, on ne peut pas seulement s’appuyer là dessus pour faire projet, surtout quand le dit traitement paysager est comme celui annoncé dans le cadre de ce projet. Il est temps pour la municipalité ( débat hors champ J.Rolland ) et sa structure établit depuis un moment, de reconsidérer également l’architecture, au même titre que le « paysage » comme étant une solution, ayant une place dans le renouveau du centre-ville. Car petit à petit, nous sommes entrain de tomber dans une opposition nette entre ce qui est considéré comme naturel et ce qui ne l’est pas (dont l’architecture et l’urbanisme traditionnel semble faire partie). Ou plutôt ce qui s’inscrit dans la bifurcation, ce qui ne l’est pas. La plantation d’arbres ne peut pas tout résoudre, tout comme la seule implantation de commerces non plus. C’est un équilibre à trouver, une justesse dans le traitement et dans les réponses apportées aux différents secteurs du centre-ville. Pour le cas de ce secteur, il est évident que le tissu architectural et le maillage urbain est accidenté, et nécessite un travail en profondeur, ce qui est clairement refusé dans l’article.
Honnêtement, je pense que la mairie est entrain de prendre sa propre bifurcation vers un chemin qui rendra bientôt irréalisable (tant philosophiquement que économiquement) des projets urbains sur fonds publics intégrant architecture et paysage. Des projets à même de redorer ce beau centre-ville en mal de renouveau.
"Une ville achevée est une ville morte"
Drey a écrit:
Merci pour le relais des informations concernant le projet de réaménagement du secteur Decré / Mairie. Pour ma part c’est la grosse déception. Et ce pour plusieurs raisons.
On dit souvent que le centre-ville de Nantes est trop petit, en manque de dynamisme, à tord ou à raison. Toujours est il que depuis plus de 10ans maintenant, le centre ville ne se développe plus, et surtout ne se projette plus sous l’impulsion de la politique publique. Au rayon des rares avancées on peut noter le réaménagement profond du secteur Commerce/ Flesselle / Bouffay ( qui est un gros investissement pour le coup, que nous pouvons saluer) sur un axe Est-Ouest bien défini et la rue Voltaire. Hormis cela, c’est le calme plat et il est difficile d’imaginer le centre dans 10/20ans, si ce n’est autour de la future place Gloriette, dont on fini par être las des rebondissements et de ses inflexions. Sans compter sur le temps de conception et la réalisation (cela fait plus de 20ans que l’on parle de se réaménagement > il sera livré dans 5ans)
Pourtant, la ville dispose d’un potentiel de refonte à la hauteur des besoins, non seulement autour de l’ancien lit de la Loire (cf. PSMV) mais bien sur l’ensemble de son maillage. Le secteur Decré en fait pleinement parti. Ce secteur est une pièce maîtresse, par sa capacité à renforcer l’offre commerciale, également par sa position stratégique permettant une liaison vers le Nord et le débouché de l’Erdre.
Depuis de nombreuses années, la mairie annonce lancer des études sur la réhabilitation de l’école des beaux arts et sur la refonte du secteur de la mairie. Les premiers chiffres faisaient état d’une centaine de logements neufs et commerces pour le secteur (comprenant l’îlot St-Vincent). On pouvait se faire à l’idée d’un réaménagement mêlant une recomposition urbaine profonde par la définition de nouveaux îlots, une reprise des îlots existants (pignons etc). Et non, sous couvert du refus d’un projet urbain « long et coûteux », on nous propose un aménagement paysager qui pour le coup n’est pas à la hauteur du site, ni de l’événement. Les images (bien qu’elles soient sommaires) en disent beaucoup finalement, pour un projet qui ne dit pas grand chose. On dirait un traitement de paysager sommaire - petites bandes plantées et suppressions de clôtures - on a connu mieux.
Si le traitement paysager est essentiel et est incontournable dans le renouveau de nos cœurs de ville, on ne peut pas seulement s’appuyer là dessus pour faire projet, surtout quand le dit traitement paysager est comme celui annoncé dans le cadre de ce projet. Il est temps pour la municipalité ( débat hors champ J.Rolland ) et sa structure établit depuis un moment, de reconsidérer également l’architecture, au même titre que le « paysage » comme étant une solution, ayant une place dans le renouveau du centre-ville. Car petit à petit, nous sommes entrain de tomber dans une opposition nette entre ce qui est considéré comme naturel et ce qui ne l’est pas (dont l’architecture et l’urbanisme traditionnel semble faire partie). Ou plutôt ce qui s’inscrit dans la bifurcation, ce qui ne l’est pas. La plantation d’arbres ne peut pas tout résoudre, tout comme la seule implantation de commerces non plus. C’est un équilibre à trouver, une justesse dans le traitement et dans les réponses apportées aux différents secteurs du centre-ville. Pour le cas de ce secteur, il est évident que le tissu architectural et le maillage urbain est accidenté, et nécessite un travail en profondeur, ce qui est clairement refusé dans l’article.
Honnêtement, je pense que la mairie est entrain de prendre sa propre bifurcation vers un chemin qui rendra bientôt irréalisable (tant philosophiquement que économiquement) des projets urbains sur fonds publics intégrant architecture et paysage. Des projets à même de redorer ce beau centre-ville en mal de renouveau.
Une ambition de sous-préfecture.
Ce message n’avait pas pour but de catégoriser l’ensemble des actions en cours de la ville, ni de tomber dans des conclusions caricaturales que l’on entendait déjà il y a 15-20ans. Il s’agissait bien de souligner qu’un certain dogmatisme peut amener la municipalité vers des impasses dès que les enjeux urbains nécessites des réponses architecturales et programmatiques « lourdes » Le seul traitement paysager ne peut pas tout résoudre, tout comme le seul traitement architectural non plus. Dans le cas présent, il y a probablement des questions économiques derrière cette proposition d’aménagement.
C’est à travers ces nuances et les avis partagés que le forum se construit et peut perdurer. C’est ce qui fait d’ailleurs la force du forum Nantais, que je trouve globalement bien tenu et mesuré.
"Une ville achevée est une ville morte"
Le programme Biloba Plaza [4 208 m² de commerces + 3 230 m² de logements] n'est peut-être (et même sans doute) pas abandonné, puisque son PC a enregistré une modification en mars dernier : Rajiv
Je redécouvre d'ailleurs les derniers rendus (source : Ouest France du 14/07/2022) :
Vue depuis la rue Jean de La Fontaine. | DR
Vue depuis la rue du Chapeau-rouge. | DR
Vue depuis la rue Préaubert. | DR
Une fois entièrement détruit, le site comprendra deux immeubles, reliés par Les halles de Graslin, lieu de rencontre gourmand avec traiteurs et étals de producteurs. La passerelle donnera sur une terrasse garnie de plantes en pot.
(...)
Les façades en béton préfabriqué, couleur pierre, feront la part belle aux baies vitrées. Sous les toits de zinc et d’acier, on trouvera 284 m² de bureaux.
(...)
La place sera refaçonnée, mise au même niveau six mètres de dénivelé aujourd’hui) et rendue piétonne tout autour [de l'actuel] rond-point.
Et le plan de masse / circulations (accès au parking Graslin par sa façade nord) :
J'ai eu l'opportunité d'évoquer ce sujet avec Bati Nantes ; le processus est en cours, mais des recours de riverains sont en instance.
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