Publicité
Par curiosité, j'ai transposé les résultats des dernières législatives pour chaque secteur. Personnellement je ne pense pas qu'ils auront le temps de réformer la loi PLM d'ici-là, sans compter le fait que la gauche parisienne n'est pas très pour, et représente un certain nombre de députés. Le mode de scrutin semble maintenant plutôt favorable à la gauche marseillaise, qui n'aurait rien à y gagner à presser pour le changer. Cela donne ça :
— Secteur I (1/7 arr.) : Acquis à la gauche
— Secteur II : (2/3 arr.) : Acquis à la gauche
— Secteur III (4/5 arr.) : Acquis à la gauche
— Secteur IV (6/8 arr.) : extrêmement indécis
— Secteur V (9/10 arr.) : Enclin au RN
— Secteur VI (11/12 arr.) : RN probable
— Secteur VII (13/14 arr.) : Enclin à la gauche
— Secteur VIII (15/16 arr.) : Acquis à la gauche
(Acquis à = +de 50% au 1er tour ou +60 au 2nd tour ; probable = + de 55% au 2nd tour ; enclin à +52% au 2nd tour)
Plusieurs limites malgré tout. Des législatives ne sont pas des municipales. Une grande partie de l'électorat de droite traditionnelle s'est manifestement tourné vers le RN, et la droite locale bénéficiera peut-être d'une prime au sortant, Vassal étant à la métropole et au département. De plus, les catégories votant LFI tendent à se mobiliser moins pour les municipales (cas notamment du secteur VII où Ravier a fait 49% aux dernières municipales face à la droite, et où le RN ne fait pourtant "que" 45% aux dernières législatives au 2nd tour face à LFI aux législatives de 2024). Les autres secteurs sont clairement acquis à la gauche (I, II, III, VIII). Il y aura sans doute une liste pro-Payan et une liste LFI, qui ne devrait pas affecter la conservation de ces 4 secteurs imperdables, le VIIe étant moins sûr.
Le secteur IV est très indécis entre ENS/RN/GAUCHE, notamment au 1er tour, qui entrenerait désistement pour le 3e.
Les secteurs V et VI sont pour leur part imprenables pour la gauche et une conquête par le RN est plus que possible. Le RN y était déjà relativement fort en 2020 (22/23%), et entre les législatives 2022 et 2024 gagne près de 15/18 points de pourcentage au premier tour entre les deux élections…
En ne considérant que les secteurs acquis, tous à la gauche, cela donne 36 des 101 sièges pour la gauche, 5 pour le RN, 1 pour Ensemble. En considérant les secteurs favorables et enclins, cela donne 54 sièges pour la gauche, 31 pour le RN, 1 pour Ensemble ; soit déjà la majorité absolue des sièges sans même la répartition des sièges du 4e secteur.
Bref, la gauche marseillaise n'est pas encore morte. Reste à savoir quelle gauche. Dans les secteurs acquis à la gauche, la LFI de Delogu me semble largement favorite face à Payan à en voir les résultats des dernières européennes. La campagne a déjà commencé avec l'annonce d'une candidature LFI.
En attendant la Métropole AMP vient de sortir son 1er numéro : La Métropole le mag
C'est un début mais cela manque de consistance pour une métropole si étendue de 92 communes.
Publicité
Rien à voir avec la discussion actuelle mais je vous conseille ce magnifique documentaire sur les habitants de la rue d'Aubagne disponible en replay sur France TV.
https://www.france.tv/france-3/ma-rue-c … tion-about
Bon visionnage !
La chambre régionale a réalisé des travaux importants sur "Marseille en grand" qui n’ont pas encore été publiés, dans le contexte d’instabilité politique que nous avons connu. Ce travail sera présenté dans le courant du mois d’octobre, avec d’autres travaux, comme un rapport sur la préfecture de police de Marseille.
La Provence — Pierre Moscovici évoque le rapport sur Marseille en grand : "Nous dirons ce qui marche et ce qui ne marche pas"
Un énième rapport qui pointera en partie sans doute les mêmes problèmes que les précédents, notamment au niveau de la gestion financière
Il y a comme un air de campagne qui s'ouvre deux ans avant le scrutin.
— Marseille : Sébastien Delogu candidat à la mairie ? « J’y réfléchis [déjà] », déclare le député LFI
— Marseille : la droite explose à la mairie des 11e et 12e, 7 élus s'allient au RN
Benoît Payan veut interdire aux propriétaires de louer leur résidence secondaire sur Airbnb
https://marsactu.fr/bref/benoit-payan-v … ur-airbnb/
Vaste problème aux solutions complexes.
En complément :
Marseille détaille son futur règlement Airbnb : « on ne pourra louer que son logement principal »
https://madeinmarseille.net/168793-mars … principal/
C'est plutôt une bonne chose bien que la poire aurait pu être coupée en 2 dans un 1er temps en tolérant une résidence secondaire (par rapport aux abus d'investisseurs qui achètent des immeubles entiers pour les transformer en hôtels Airbnb).
A voir cependant si ça sera appliquable et on peut de toute façon facilement imaginer que beaucoup et notamment les vrais escrocs passeront par des prête-noms.
Il y a comme toujours une part de fond légitime, et un enrobage politique. On se doute qu'en vue de 2026, il y a bien plus intérêt à défendre les dizaines de milliers de marseillais mal-logés que les quelques milliers de propriétaires Airbnb dont apparemment une bonne part ne votent même pas ici.
Airbnb a doublement bon dos : d'une part de prêter par raccourci son nom comme épouvantail au concept de meublé touristique, d'autre part d'occuper dans certains discours la place de cause principale voire unique de la crise du logement traversée à Marseille, et dans tout le pays.
Originaire d'une ville où les deux tiers des logements sont des résidences secondaires, je suis convaincu depuis mon plus jeune âge de la difficulté engendrée sur les territoires par les dérives de certaines pratiques. Pour autant, bien avant la popularisation du concept d'AirBnb, t'avais déjà des zones à l'immobilier hyper-tendu du fait de la masse de résidences secondaires, elles étaient simplement vides au lieu d'être louées en courte durée mais le résultats était identique. Par ailleurs ça répond vraisemblablement à une demande, donc pointer la cause, le tourisme, paraîtrait plus sensé que pointer la conséquence - de mon côté j'avoue qu'en voyage avec des gamins en bas âge, j'ai toujours recours à ce type de logements, mille fois plus pratiques que des hôtels voire appart'hôtels, et pareillement quand je reçois des amis avec leurs minots sur Marseille.
En somme je trouve qu'une limitation stricte, en nombre de logements par foyer fiscal, aurait dans un premier temps pu être tenté plutôt qu'une interdiction ferme. Parmi les quelques personnes que je connaisse à louer ainsi l'un de leurs biens, c'est assez partagé : tu as à la fois le couple offrant un seul appart' à côté de chez eux pour se faire un complément de salaire, et le process quasi-industriel avec des dizaines d'appartements en stock, stock qui ne cesse de s'accroitre grâce aux revenus des précédents, boîte à clef impersonnelle, etc.
Bon de toutes façons comme tu dis je doute fort de l'effectivité de cette règle. A la limite en terme d'applicabilité, t'as la solution new-yorkaise je crois, où c'est tellement strict que le contrôle en est grandement facilité.
Fracasse a écrit:
Par ailleurs ça répond vraisemblablement à une demande, donc pointer la cause, le tourisme, paraîtrait plus sensé que pointer la conséquence - de mon côté j'avoue qu'en voyage avec des gamins en bas âge, j'ai toujours recours à ce type de logements, mille fois plus pratiques que des hôtels voire appart'hôtels, et pareillement quand je reçois des amis avec leurs minots sur Marseille.
Le fond du problème est là, il y a une évolution de la demande des gens qui pour une bonne partie n'ont plus forcément envie de voyager dans des hotels. Les raisons sont multiples et pas forcément économiques.
La problèmatique est très complexe, il y a plein d'endroits qui vivent du tourisme qui ne survivraient pas a une disparition des meublés de tourisme, ca reste une activité commerciale qui contribue aux finances de la ville.
Par ailleurs ca draine pas mal d'emplois de concierge, ménage, et même de la rénovation...
Madame et moi sommes proprio d'un petit studio à Aix qu'on a acheté car cela avait été plus simple à l'époque d'acheter plutôt que de louer pour qu'elle puisse terminer ses études (et ça c'est une honte). Par la suite, on a eu la volonté de le mettre dans le circuit locatif traditionnel pour justement ne pas plomber le marché et permettre à des étudiants de se loger à un prix correct, chose qui avait été très difficile pour elle.
Et franchement... Même si on passe par une agence, c'est quand même très compliqué d'avoir à gérer un mauvais payeur et qui n'est pas précautionneux (ça nous arrive en ce moment même, jusqu'alors les locataires étaient au top). On est totalement démuni et impuissant avec une ardoise qui s'accumule et des dégradations qui s’enchaînent sans que nous ayons la possibilité de faire quoi que ce soit.
Je suis persuadé que si les propriétaires avaient un peu plus de leviers d'action, on n'aurait pas cette tendance à l'investissement dans la location saisonnière qui, même si elle peut être soumise à des débordements des voyageurs de passage, reste mois contraignante dans la durée.
Quelques précisions puisque visiblement tout le monde n'est pas au courant (et il est vrai que les articles de la presse ne sont pas clairs):
La règle actuelle à Marseille, c'est autorisation de louer sa résidence principale (dans la limite de 120j/an) et une seule résidence secondaire (dans la limite de 8 mois par an), à condition de faire une demande de changement d'usage valable 4 ans
https://www.marseille.fr/logement-urban … ts-d-usage
Payan veut donc mettre fin à l'autorisation de location de la RS sans compensation. C'est déjà la règle à Paris, donc on sait que c'est possible (parce qu'évidemment la droite marseillaise a déjà prétendu que ça ne serait pas légal)
https://www.paris.fr/pages/meubles-touristiques-3637
Important: il sera toujours possible pour un particulier de louer un meublé de tourisme, à condition de mettre sur le marché de la location classique un logement similaire.
Perso je trouve que ça va dans le bon sens, même si c'est assez radical. En particulier on peut effectivement objecter qu'une RS qui reste vide ça n'est pas mieux qu'une RS louée à des touristes. D'un autre côté, je ne suis pas certain que beaucoup de "vraies" RS (i.e. celles qui sont effectivement utilisées par leurs propriétaires pour leurs vacances) soient fréquemment louées en meublés de tourisme, notamment dans les grandes villes.
Mais le vrai problème c'est le contrôle. On sait déjà que les règles actuelles ne sont pas respectées, avec des particuliers qui mettent sur AirBnb plusieurs RS et donc qui ont en fait une activité d'investisseur professionnel. L'interdiction pure et simple permet de mieux contrôler le marché, et j'imagine que c'est la vraie motivation de la mairie. Il y a aussi quantité de meublés disponibles par des moyens plus discrets qu'AirBnb, et qui échappent donc à tout contrôle.
Quant à AirBnb devenu synonyme négatif de "meublé de tourisme", ça n'est qu'un juste retour de bâton: la plateforme prend des commissions délirantes sur les locations (*), alors qu'elle ne fait littéralement RIEN, à part publier l'annonce (sur un site qui, reconnaissons-le, est bien foutu). Ils vont jusqu'à demander aux locataires de vérifier si le logement est conforme à l'annonce... A comparer par exemple avec la plateforme historique Gîtes de France qui, moyennant des commissions nettement inférieures, fournit un vrai travail de contrôle, de classification et d'amélioration des meublés.
Bref AirBnb à la base c'est une bonne idée vertueuse (proposer quand c'est possible son logement à des visiteurs de passage, qui sinon resterait inutilement vide), complètement pervertie par la logique du profit.
(*) Astuces pour les voyageurs:
- AirBnb n'a pas l'exclusivité des offres; quand on trouve un logement qui plaît, on peut toujours le rechercher en location directe (ou sur des plateformes concurrentes) avec quelques mots clés bien choisis. C'est en général beaucoup moins cher
- les gîtes de Gîtes de France ont deux contraintes: peu fréquents en ville (voire totalement absents), et location en général obligatoire du samedi au samedi (pratique obsolète qui est l'une des causes majeures des embouteillages estivaux, mais c'est un autre débat); quand on passe ces contraintes, un gîte GdF a en général un rapport Q/P bien meilleur qu'un meublé AirBnb
- en ville, ne pas oublier de chercher aussi les chambres d'hôtes (sur GdF ou autres plateformes): de plus en plus proposent une cuisine et/ou une pièce commune en plus de la chambre privative, et là aussi c'est en général bien plus convivial et confortable qu'un meublé AirBnb décoré chez Maisons du monde avec sa boîte à clés Master Lock...
Marseille change... ou pas.
Merci pour ces précisions.
Nguyom a écrit:
Je suis persuadé que si les propriétaires avaient un peu plus de leviers d'action, on n'aurait pas cette tendance à l'investissement dans la location saisonnière qui, même si elle peut être soumise à des débordements des voyageurs de passage, reste mois contraignante dans la durée.
Je suis totalement d'accord, sortir un locataire de manière légale est un vrai parcours du combattant qui peut décourager totalement de la mise en location d'un bien. Dans les exemples autour de moi :
- une personne qui a vendu un bien occupé par un mauvais payeur a 50% de sa valeur pour arrêter de gérer la galère de la situation et de continuer a rembourser un crédit. Avec en plus un locataire assez fin pour payer un peu de temps en temps histoire de faire courir les délais.
- un pote qui a hérité d'un bien de son père qui était squatté. Quand il est allé porté plainte les policiers lui ont dit "prenez des potes, allez-y avec des battes de baseball et des cagoules et foutez les dehors. S'ils viennent porter plainte on les recevra."
Dans les deux cas on parle de gens qui n'ont pas forcément d'énorme moyen, en tout cas très loin de l'image du riche multipropriétaire.
De plus les barrières à la sortie qui ont été instaurées pour sécuriser les locataires se transforment en plus en barrières à l'entrée pour ce qui auraient le plus besoin d’être aidés.
Le propriétaire se retrouve a prendre une GLI qui impose des critères sur la situation et les ressources du locataire, ce qui génère un énorme difficulté à se loger pour toute une partie de la population.
Je connais des pays où quelqu'un qui arrive trouve à se loger en moins de 2j sans aucune référence. Juste s'il paie pas il part en 2 jours également (même dans des pays communistes :) ).
Quand on voit les chiffres de logements vacants, il y a probablement un gisement intéressant à exploiter.
Dernier conseil métropolitain, Vassal :
Nous avons bati une métropole qui est une métropole stratégique, qui a donné aux communes la liberté d'exercer leurs compétences de proximité lorsqu'elles le souhaitaient et nous nous sommes toujours tenus au coté de ces communes, et surtout des plus petites, pour les protéger des tracas financiers en maintenant les attributions de compensation et les DLC, et ce même si le déficit public de la France est élevé et que les collectivités locales vont etre les premières concernées. La métropole est parvenue à réduire son endettement grace à ses dépenses maîtrisés et sa bonne gestion.
Elle se félicite que la métropole se désendette, pendant qu'elle passe son temps à demander à l'État de l'argent, qui lui s'endette pour qu'elle n'ait pas à réformer ses AC, ce que lui demande l'État .
La réforme de la loi PLM est de retour et ça ne plait pas à tout le monde
On sent l'arrière pensée électoraliste, de tous les bords, qui est palpable avec les dissenssions entre macronistes marseillais et parisiens.
Ceux qui auraient le plus à perdre à Marseille, c'est le RN et LFI, qui peuvent conquérir leurs secteurs "fiefs", respectivement à l'Est et au Nord/Centre nord, mais qui n'arriveraient à rassembler que contre eux lors du second tour. Par contre, si lors du deuxième tour l'on se retrouve avec un duel RN-LFI…
Apprenant que ce projet qu'il pensait abandonné revenait par la fenêtre, qui plus est via un membre de son parti, Renaud Muselier a poussé une " gueulante", le 10 octobre, au bureau exécutif de Renaissance, selon Libération. " Vous auriez dû m'en parler, vous allez donner la ville à Delogu…
AZ a écrit:
On sent l'arrière pensée électoraliste, de tous les bords
Alors que le principe d'avoir une circonscription unique et non des secteurs est le plus démocratique qui soit.
AZ a écrit:
Ceux qui auraient le plus à perdre à Marseille, c'est le RN et LFI
N'ayant jamais eu le pouvoir, c'est plutôt ceux qui ont le plus à gagner, c'est bien pour cela que Muselier s'agite.
Avatar : Rame CAF Urbos 3 sur le pont Battant à Besançon du réseau Ginko
Lien du site internet sur la chronologie des TCSP en France sauf Paris :
https://chronologie-tcsp-france.fr/
Alors que le principe d'avoir une circonscription unique et non des secteurs est le plus démocratique qui soit.
Oui enfin, on pourrait aussi dire qu'avoir une circonscription unique sur toute la métropole Aix-Marseille est le plus démocratique qui soit. Pour moi, les municipalités français, petites, sont tout aussi impertinentes que les secteurs.
Il n'y a pas de "meilleur" système démocratique. Tous ceux qui existent ont leurs défauts (voir paradoxe de Condorcet, théorème d'impossibilité d'Arrow, théorème de Gibbard-Satterthwaite: qui sont des problèmes indépendants du découpage par secteurs, mais que ce dernier amplifie). C'est d'ailleurs l'un des problèmes très concret de nos dernières législatives.
Par contre on peut probablement dire sans trop de risque de se tromper que le scrutin des municipales dans les communes PLM est l'un des pires qui soient en fonctionnement dans les démocraties . Avec tout de même moins de conséquences que le scrutin à la présidentielle américaine.
Marseille change... ou pas.
Un vote par arrondissement ou secteur fait sens si la mairie d'arrondissement ou de secteur bénéficie de compétences réglementaires réelles et d'une autonomie certaine. J'ignore ce qu'il en est à Paris et Lyon, mais à Marseille c'est bien l'absurdité du système, on vote juste pour des types dont la raison d'être est de tenir les murs de Bagatelle ou Maison Blanche, et éventuellement organiser deux trois concertations pour la beauté du geste.
Le systeme Vassal...
https://www.laprovence.com/article/regi … -metropole
Fracasse a écrit:
Un vote par arrondissement ou secteur fait sens si la mairie d'arrondissement ou de secteur bénéficie de compétences réglementaires réelles et d'une autonomie certaine. J'ignore ce qu'il en est à Paris et Lyon, mais à Marseille c'est bien l'absurdité du système, on vote juste pour des types dont la raison d'être est de tenir les murs de Bagatelle ou Maison Blanche, et éventuellement organiser deux trois concertations pour la beauté du geste.
Oui c'est une évidence, mais curieusement personne ne la rappelle: le vote n'a de sens que si les gens pour qui on vote ont un vrai pouvoir.
Marseille change... ou pas.
oui enfin la mairie n'est pas non plus la dernière a faire de l'opposition systématique à tous les projets de la métropole (tramway au 4 septembre, BUS, on peut en trouver des dizaines).
Sur ce sujet Payan et Vassal sont clairement à mettre dans le même bateau...
jesuralem a écrit:
oui enfin la mairie n'est pas non plus la dernière a faire de l'opposition systématique à tous les projets de la métropole (tramway au 4 septembre, BUS, on peut en trouver des dizaines).
Sur ce sujet Payan et Vassal sont clairement à mettre dans le même bateau...
La science et les faits objectifs donnent tort à une bonne partie des projets de la métropole.
(NB: ça n'implique pas que les mêmes donnent raison aux projets de la mairie, d'ailleurs je les cherche encore)
Marseille change... ou pas.
Publicité