Architecture parisienne insolite

Une cote de maille retisse les liens de la Culture

En février 2005, le ministère de la Culture et de la Communication regroupera 17 de ses services sur un seul site de 28.600 m2, à proximité de la rue de Valois. Symbole de la réunification dans l’immeuble des «Bons Enfants» : le déploiement d’une résille métallique en façade. [...]

Miléna Chessa

(Batiactu 21/12/2004 )

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Edité le 28/12/2004 à 08:01 par MyNight

Le Monde grave une page de son histoire dans le verre

Le quotidien français «Le Monde» fête ses 60 ans en changeant de siège social. L’inauguration de ce bâtiment de 18.000 m2, réhabilité par les époux Portzamparc, s’est déroulée jeudi soir, avec comme point d’orgue le dévoilement de sa façade en verre sérigraphié. [...]

Miléna Chessa

(Batiactu  16/12/2004 )

Voici l'adresse d'un site particulièrement sympa qui, à travers des photos commentées, permet de se balader dans le Paris insolite. Le tout est très bien documenté 

http://www.road75.com/mcq.htm#

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Edité le 29/12/2004 à 23:19 par MyNight

Le Parisien, 30/12/2004

Un écrin d'acier et de béton pour les Arts primitifs
Voulu par le président Chirac, le futur musée du quai Branly sera terminé dans un an. Visite guidée en avant-première du site, qui prend forme à vitesse grand V et accueillera des collections d'objets rapportés du bout du monde. [...]

http://www.leparisien.com/search/articl … primitifs'

Voici l'adresse d'un site particulièrement sympa qui, à travers des photos commentées, permet de se balader dans le Paris insolite. Le tout est très bien documenté 

http://www.road75.com/mcq.htm#

En effet super site, merci pour ce lien 

La glorification du monde du travail

Cherchant un symbole marquant pour l’Exposition universelle de 1900, Armand Dayot eut l’idée d’un monument au travail. Le sujet était « dans l’air », comme l’avait noté Jules Dalou en 1897 : « L’avenir est là, c’est le culte appelé à remplacer les mythologies passées. » Avec Dalou et Constantin Meunier, le paysan puis l’ouvrier, longtemps réduits au rôle d’allégories secondaires, avaient en effet conquis peu à peu le droit à être reconnus et représentés en tant que tels. Jusqu’alors la figure traditionnelle du travail, qui a traversé les siècles, était Héphaïstos, le dieu grec du feu et des métaux (Vulcain chez les Romains).

Des sources multiples

Rodin se mit au travail avec enthousiasme et fut bientôt en mesure de présenter une maquette qui fut exposée dans le cadre de l’exposition Rodin de 1900. Il avait adopté la forme de la colonne mais, pour rendre accessible le message du monument, il imagina de fixer un chemin en spirale autour d’un tronc orné de bas-reliefs et d’enfermer le tout dans une tour ajourée laissant pénétrer largement la lumière. Rappelant « la ruche et le phare », inspiré à la fois de la colonne Trajane et de la colonne Vendôme, de la tour de Pise et de l’escalier du château de Blois, l’ensemble est placé sur un soubassement flanqué des figures du Jour et de la Nuit. Celui-ci abrite une crypte où devaient être représentés « la vie des mineurs, des scaphandriers, les sombres et pénibles labeurs de la terre et de la mer. Puis l’ascension commence… A mesure que l’on monte le travail s’affine, les métiers sont moins grossiers, l’esprit y prend plus de part. […] Au sommet c’est la pensée pure qui réside, le métier le plus noble représenté par l’artiste, le poète, le philosophe. Puis, couronnant le monument en plein ciel, posés sur l’extrémité de la colonne qui, maintenant dégagée de la tour, s’élance vers l’azur, deux génies versant sur le travail l’Amour et la Joie, car c’est d’amour et de joie, malgré toutes les douleurs et toutes les haines, qu’est fait le Travail ». Ce groupe connut ensuite une existence indépendante sous le titre de Bénédictions.

Un projet utopique

« L’homme aime autant travailler bien que travailler mal, disait Rodin ; je crois même que la première manière lui sourit davantage, comme plus conforme à sa nature. Mais il écoute tantôt les bons, tantôt les mauvais conseils ; et c’est actuellement aux mauvais qu’il accorde la préférence. Et, pourtant, combien l’humanité serait plus heureuse, si le travail, au lieu d’être pour elle la rançon de l’existence, en était le but ! » Comme pour lui donner raison, le financement de la tour ne fut jamais trouvé et, quoique la réalisation en eût été relancée à plusieurs reprises, elle demeura à l’état d’utopie comme les projets contemporains ou très légèrement postérieurs de Jules Dalou, Constantin Meunier (réalisé en 1931 sous une forme différente), Charles Van der Stappen ou Henri Bouchard.


Auteur : Antoinette LE NORMAND ROMAIN

http://www.histoire-image.org/photo/ful … r_001z.jpg

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Cette première commande publique de Dubuffet est la figure de proue du parc de l'île Saint-Germain. On la repère de loin avec ses couleurs bleu, blanc, rouge rehaussées de noir. Normal, car elle s'élève à 24 m de hauteur avec une largeur de 12 m.
Ses fondations, elles, s'enfoncent jusqu'à 35 m sous terre. Cette tour fait partie du cycle de l'Hourloupe, un monde utopique conçu par le peintre et caractérisé par la prolifération de lignes sinueuses. A partir de la fin des années 1960, il décide de réaliser des « sites habitables » comme celui-ci. Si, de l'extérieur, on a l'impression d'un bloc monolithique, l'intérieur s'avère quant à lui bien plus baroque. Un escalier permet l'escalade de ses entrailles tordues, sorte de dédale imaginaire qui invite à un voyage au centre même de la peinture. Les enfants adorent y faire les fous. Et les adultes se croient dans un film expressionniste allemand tant tout y est de guingois. Pas de risque cependant que l'édifice s'écroule puisque sa structure est en béton armé et sa coque en verre époxy. PRATIQUE « La Tour aux figures ». Parc de l'île Saint-Germain, 170, quai de Stalingrad, 92130 Issy-les-Moulineaux. Tél. 01.41.23.87.00.

Nouvel Obs

Art contemporain : les deux îles au trésor

Ce n’est pas une vraie compétition mais ça y ressemble un peu. En attendant l’ouverture de la géante fondation Pinault sur l’île Seguin à Boulogne-Billancourt, lecentre d’art de l’île Saint-Germain, à Issy-les-Moulineaux, montre déjà le bout de son nez. Paris n’a qu’à bien se tenir ! [...]

Céline Cabourg

http://www.saintjalmes.net/lqh/img/5.jpg

Voir ici pour en savoir plus :
http://194.254.135.72/parcs/parcs/germain/germain.htm

Le Figaroscope 04-05-2005 a écrit:

20 façades parisiennes à sauvegarder

Eric BIETRY, Photo Martine Archambault et Alain Aubert,
mercredi 4 mail 2005

Faut-il tout conserver dans Paris ? Que garder ou qu’oublier dans cette ville bâtie depuis le Moyen Âge ? Le Figaroscope a repéré vingt bâtiments dignes d’être préservés au nom du nouveau label Protections Ville de Paris. [...]

http://www.figaroscope.fr/site/dossiers … index.html

MyNight a écrit:

Voici l'adresse d'un site particulièrement sympa qui, à travers des photos commentées, permet de se balader dans le Paris insolite. Le tout est très bien documenté 
http://www.road75.com/mcq.htm

Merci pour ce lien, très intéressant et bien documenté pour mon quartier. Ils n'ont toutefois pas fait la photo suivante, qui pour moi résume le 13ème arrondissement : hétéroclite et sans complexe.

Le Monde, 1/06/2005

http://medias.lemonde.fr/mmpub/edt/ill/ … p1_ori.jpg

Le futur musée du quai Branly commence à émerger de son chantier
LE MONDE | 01.06.05 | 13h34  •  Mis à jour le 01.06.05 | 13h34 

PHILIPPE CHANCEL
La maquette du futur musée du quai Branly à Paris.

Le premier catalogue raisonné du futur musée du quai Branly vient de paraître. Il est consacré à ses collections de sculptures aztèques. Ses auteurs, Marie-France Fauvet-Berthelot, ancienne responsable des collections américaines du Musée de l'homme, et Leonardo Lopez Lujan, directeur d'étude à l'Institut national d'anthropologie et d'histoire du Mexique, l'ont présenté le 1er juin. Il devrait être suivi de beaucoup d'autres : les collections de l'établissement comptent environ 300 000 objets, et près de 4 000 d'entre eux seront exposés de manière permanente au moment de son ouverture. Reste à savoir quand elle aura lieu. [...]

il va etre super dans son environnement ce musée

20 minutes, 10/06/2005

Les maisons d’architectes ouvrent leurs décors de rêve
Vendredi 10 juin 2005

Elles se planquent au fond des ruelles, se calfeutrent à l’abri des haies, s’exposent dans les magazines, servent de décors de cinéma et font à ce point fantasmer qu’on pourrait se demander si elles ont bien une autre fonction. Ce week-end et le week-end prochain, 300 maisons d’architectes ouvrent leurs portes au public dans toute la France, dont une soixantaine en région parisienne. [...]

G. M.

http://www.maisonscontemporaines.com