Rennes et Ille-et-Vilaine - Démographie

N'importe quoi je n'ai même pas fait attention. Desolé ...

Je corrige

Edit : sans parler de ça ...

Depuis 2012, l’Ille-et-Vilaine est donc passé de 1 007 900 habitants à 1 051 779 habitants, soit plus de 50 000 habitants

Floch PC 11 a écrit:

184 000 habitants en plus en Ille et Vilaine entre 1999 et 2016.

Le departement a gagné un peu plus de 50 000 habitants entre 2011 et 2016. Rennes a elle gagnée 8 000 habitants passant de 208 000 à 216 000 hbts.

Franchement, pour Rennes, je trouve la progression démographique décevante, je ne m'attendais pas à une Toulousaine mais 8 000 habitants (même si 8 000 ç'est pas mal) en 6 ans pour une ville qui construit des logements partout, déception, le français est décidément attacher à sa maison et à son jardin.

Pour la métropole, je trouve un total de 443192 soit une petite hausse de 0.99% (4345 habitants) paer rapport à 2015. Cesson et Chantepie perdent des habitants entre 2015 et 2016.

Je ne comprends pas non plus comment une ville qui construit autant (des nouveaux immeubles PAR-TOUT) a une evolution démographique aussi faible sur le papier. Ça devrait tourner a +2 000 par an tous les ans minimum.

Ou alors l'augmentation de 1 000 nouveaux étudiants par an biaise les chiffres car trop de petits logements à Rennes. Mais comment fait Montpellier ?

Ces chiffres sont datés au 1er Janvier 2016 et je crois qu'il s'agit en fait d'une moyenne entre les chiffres de 2104 et ceux de 2018 (reprenez moi si je me trompe.)

Erwann a écrit:

Franchement, pour Rennes, je trouve la progression démographique décevante, je ne m'attendais pas à une Toulousaine mais 8 000 habitants (même si 8 000 ç'est pas mal) en 6 ans pour une ville qui construit des logements partout, déception, le français est décidément attacher à sa maison et à son jardin.

C'est surtout lié à la décohabitation, elle-même liée à l'évolution des modes de vie et au vieillissement de la population :

- Rennes 1975 = 198 305 habitants pour 73 650 logements = 2,7 humains/logement
- Rennes 2015 = 215 366 habitants pour 122 764 logements = 1,8

C'est globalement le même scénario dans toutes les métropoles françaises : les villes centres et assimilées (Cesson, Saint-Herblain, Mondeville, Trélazé...) sont de plus en plus peuplées de foyers ne comportant qu'une personne. Ce n'est pas la même logique dans le périurbain.

Floch PC 11 a écrit:

Mais comment fait Montpellier ?

Pas mieux que Rennes :

- 1975 : 191 354 habitants et 75 144 logements -> 2,5 humains/logement
- 2015 : 277 369 habitants et 162 668 (!) logements -> 1,7

Merci pour tes chiffres. Si, en l'occurrence elle construit plus sur son territoire urbain que Rennes (+ 87 000 logements + 86 000 habitants) la ou Rennes plafonne a + 50 000 logements pour seulement 17 000 habitants en plus ???

La commune de Montpellier est un peu plus vaste (57 vs 50 km²) et un coup d'oeil comparatif à la photo aérienne me laisse penser que Rennes a préservé davantage de zones vertes (Etangs d'Apigné, Lande du Breil, Saint-Sulpice, bref tout ce qui est extra rocade). J'ai l'impression que Montpellier est donc plus urbanisée que Rennes, à la fois en surface mais aussi en densité.

Il faut aussi retenir que la population a pris 75% dans l'Hérault entre 1975 et 2015 (648 k -> 1120 k) là où celle du département de l'Ille-et-Vilaine n'a pris "que" 50% (702 -> 1042 k) : le sud de la France attire naturellement sans doute davantage que la Bretagne.

Dans les deux cas le phénomène de décohabitation que j'indiquais plus haut est globalement le même. Il n'est pas impossible que ça s'accélère, et là en défaveur de Montpellier, la population étant globalement plus âgée dans le sud (10 points d'écart dans l'indice de vieillissement entre Montpellier Métropole et Rennes Métropole).

L'évolution comparative des logements montre que Montpellier a cru quasiment au même rythme ces 40 dernières années alors que Rennes a connu des périodes plus calmes. Peut-être est-ce dû à la politique d'urbanisation de l'agglomération ?

ZenA4 a écrit:

La commune de Montpellier est un peu plus vaste (57 vs 50 km²) et un coup d'oeil comparatif à la photo aérienne me laisse penser que Rennes a préservé davantage de zones vertes (Etangs d'Apigné, Lande du Breil, Saint-Sulpice, bref tout ce qui est extra rocade). J'ai l'impression que Montpellier est donc plus urbanisée que Rennes, à la fois en surface mais aussi en densité.

Il faut aussi retenir que la population a pris 75% dans l'Hérault entre 1975 et 2015 (648 k -> 1120 k) là où celle du département de l'Ille-et-Vilaine n'a pris "que" 50% (702 -> 1042 k) : le sud de la France attire naturellement sans doute davantage que la Bretagne.

Dans les deux cas le phénomène de décohabitation que j'indiquais plus haut est globalement le même. Il n'est pas impossible que ça s'accélère, et là en défaveur de Montpellier, la population étant globalement plus âgée dans le sud (10 points d'écart dans l'indice de vieillissement entre Montpellier Métropole et Rennes Métropole).

La municipalité voulait arrêter de construire à l'extérieur du périphérique mais pour combien de temps, plus la ville voudra attirer d'habitants, plus il faudra des logements et donc il faudra reprendre les constructions à l'extérieur.
Pour moi, je l'ai toujours dit, la ceinture verte c'est une bêtise, Nantes, ville la plus comparable à Rennes à proximité n'en a pas (bien qu'il y ait une énorme coulée verte qui traverse l'agglomération du centre-ville aux banlieues à l'ouest) et ça ne l'empêche pas d'être une ville verte avec tous ces parcs donc Nantes urbanise de plus en plus la tout son espace, ça lui permet de construire plus de logements et d'attirer plus d'habitants.
Ce que fait la ville de Rennes a par contre un avantage (qui ne plait pas à tout le monde, c'est un facteur qui fait que certains voudrons une ville à taille plus humaine et partirons peut-être), c'est qu'elle doit construire plus haut pour compenser l'inutilisation de tout l'espace disponible.

C'est ça le problème qui va falloir regler. Si les villes archipel doivent rester, la ceinture verte doit petit a petit servir de foncier a certains endroits au risque de betonner une ville deja bien dense dans le centre et sur les boulevards et qui a deja du mal a accueillir plus de 1 000 habitants par an.
Nantes est un peu plus verte que Rennes, c'est ce qui se dit partout et pourtant elle n'a pas de ceinture verte. St Herblain et Rezé par ex soulagent Nantes qui peut garder plus de dent vertes en pleine ville.

Il faudra y songer un jour. Sinon c'est gévezé ou Breal qui capteront plus d'habitants que Chabtepie ou St-Grégoire. = une vraie catastrophe en matiere d'urbanisme a l'echelle métropolitaine...

Floch PC 11 a écrit:

Il faudra y songer un jour. Sinon c'est gévezé ou Breal qui capteront plus d'habitants que Chabtepie ou St-Grégoire. = une vraie catastrophe en matiere d'urbanisme a l'echelle métropolitaine...

La situation sur Rennes et ses alentours, regarde le péri-urbain grand gagnant de la démographie en expansion (les communes qui ont le plus gagnés sont pour la plupart en lointaine banlieue), je suis étonné que Bruz n'ait pas plus gagnée en habitant.



PS: La population de Cesson-Sévigné n'a pas baissée comme il a été dit, c'est en tout cas ce que montre la carte.

L'unité urbaine de Rennes a gagné près de 20 000 habitants sur les 5 ans soit + 1,2% par an (de 313 559 à 333 099).

J'ajoute à cette unité urbaine celle de Le Rheu qui compte Vezin en son sein, commune qui a été arbitrairement séparée de l'UU rennaise en 2010. Cette UU rheusoise a connu une croissance impressionnante passant de 18122 habitants à 20699 habitants en cinq ans.

En additionnant les deux on obtient 353 798 habitants dans l'UU "officieuse" de Rennes, +22 187 habitants en 5 ans et une croissance annuelle de + 1,3%


PS: Je rappelle que les évolutions doivent être calculées sur une période quinquennale et non annuelle, je pense que c'est pour cette raison qu'il y a cette contradiction sur Cesson-Sévigné... Une évolution annuelle (n-1=>n) n'a aucune pertinence statistique avec la nouvelle méthode de recensement de l'Insee (qui est déja utilisée depuis pas mal d'année maintenant).

Rennes a gagné plus de 8 000 nouveaux habitants en cinq ans

Dans le détail, les villes de l'aire urbaine les plus dynamiques entre 2011 & 2016, en pop° :


Rennes :            + 8 235
St-Jacques :       + 2 205    (3,8% par an !!!)
Cesson :            + 1 958
Bruz :                + 1 482
Pacé :                + 1 276
Betton :             + 1 137
Thorigné-F :       + 1 132
Chateaugiron :   + 1 122
Vezin :               + 1 000   (4% par an !!!)
St-Grégoire :         + 941
Saint-Gilles :         + 900
Gévezé :               + 900   (4% par an !!!)
Le Rheu :              + 875
Breal s M :            + 837
Melesse :              + 704
Laillé :                  + 666
La Chapelle F :      + 662
Pont-Péan :           + 520
La Mezière :          + 508

Le record en % : Mouazé + 5,7% par an (+ 363 habitants de 1 120 habitants à 1 500 en 5 ans !!!)

2 remarques :
- confirmation du regain de la 1ère couronne en volume, même si c'est encore trop juste.
- le nord et le ouest de l'agglo est un secteur ultra dynamique, de Liffré/Thorigné au Rheu en passant par St-Gilles et Gévezé.

Les déceptions : Chantepie, Vern, St-Armel, Mordelles, Chartres, St-Sulpice

Il manque Châteaubourg, avec +795 habitants en 5 ans ;)

Merci pour Chateaubourg !


J'ai calculé rapidement les chiffres des pop°2016 de Rennes Métropole et Grenoble Métropole et il me semble que pour 2016, Rennes, avec 443 192 habitants, est passée juste devant la capitale des Alpes et ses 443 123 habitants. Rennes serait maintenant 12ème interco française. C'est anecdotique mais surtout surprenant dans la mesure où Grenoble comptait 445 516 en 2015. Comme son AU, Grenoble semble avoir eu un fort rééquilibrage de l'INSEE vers le bas.

Je vous invite à recalculer quand même je ne suis pas très bon en math.


Et bonne année à tous !

Je tombe exactement sur les même chiffres que toi Floch.
Du coup j'ai téléchargé le fichier 2011 : Rennes Métro a gagne en un an ce que Grenoble Métro gagne en 5 ans  (+29 239 contre +5887 sur ces cinq années) !

Une progression de + 7,1% pour Rennes Métro (soit 1,37% annuels)

Plus localement et à titre de comparaison Saint-Malo Agglo gagne +3,6% sur ces cinq années, Vitré Communauté +4,3 %.
Concernant les EPCI en Ille-et-Vilaine, il me semble que c'est la CC de Chateaugiron qui montre la plus forte évolution : + 10,0%

Floch PC 11 a écrit:

Merci pour Chateaubourg !


J'ai calculé rapidement les chiffres des pop°2016 de Rennes Métropole et Grenoble Métropole et il me semble que pour 2016, Rennes, avec 443 192 habitants, est passée juste devant la capitale des Alpes et ses 443 123 habitants. Rennes serait maintenant 12ème interco française. C'est anecdotique mais surtout surprenant dans la mesure où Grenoble comptait 445 516 en 2015. Comme son AU, Grenoble semble avoir eu un fort rééquilibrage de l'INSEE vers le bas.

Je vous invite à recalculer quand même je ne suis pas très bon en math.


Et bonne année à tous !

Tes calculs sont exacts Floch; les chiffres pour Grenoble sont très mauvais et même inquiétants pour l'avenir. Malheureusement pour la région (et contrairement à Rennes) l'aire urbaine, l'unité urbaine et même l'agglomération sont en décroissance démographique puisqu'elle a été amorcée depuis trois ans déjà et à la hauteur d'une perte de plus de 3 000 habitants en un an entre 2015 et 2016.

Contrairement au département qui lui en avait gagné près de 1 000  , en fait il s'agit principalement de la commune centre qui perd ses habitants soulignant une baisse d'attractivité et de l'agglomération plus généralement.

Les causes principales sont certainement à aller rechercher dans l'insécurité, la pollution et les axes urbains sous dimensionnés des années 80 et saturés la plupart du temps; mais aussi la culpabilisation systématique du bagnolard responsable de tous les maux d'où les contraintes imposées aux déplacements et notamment pour aller travailler...

Je trouve ça bizarre que Grenoble baisse autant quand même car c'est une ville assez dynamique et qui aura tendance a etre de plus en plus apaisée avec la mairie verte.

Ce qui semble être sûr c'esr qu'aujourd'hui, il n' y a plus 100 habitants d'écart entre les 2 métropoles mais plutot 10 000 environ si les evolutions sont restées telles quelle. Rappelons que 5 500 logements ont été livrés a Rennes M en 2018.

Les chiffres de l'INSEE 2020 pour 2017 sont sortis.

L'Ille-et-Vilaine passe de 1 051 779 habitants en 2016 à 1 060 199 en 2017 soit +8420 habs

La croissance démographique du département ralentit depuis quelques années. Il semblerait que cela soit dû à une baisse du solde naturel qui est observé un peu partout en France. Cependant, les quatre arrondissements du département gagne des habitants, y compris ceux de Saint-Malo et Fougères-Vitré.

Selon mes calculs (qui sont rendus compliqués avec les quelques fusions de communes observées en 2017), l'aire urbaine de Rennes a gagné 8289 habitants entre 2016 et 2017 pour atteindre 734 483 habitants soit un TCAM de 1,14%. Attention cependant à la fusion de la commune de Saint-Jean-sur-Couesnon le 1er janvier 2017 avec trois autres communes ne faisant pas partie de l'aire urbaine rennaise délimitation 2010. J'ai donc été obligé d'ajouter uniquement les habitants de l'ancienne commune avec les chiffres de 2016, sans la mise à jour 2017 donc. Cela ne devrait pas changer grand chose cependant étant donné que la commune était peu peuplée.
De toute façon, les nouvelles délimitations de l'INSEE, qui devraient sortir début 2020, vont faciliter les calculs dans l'avenir.

Rennes : 216 815 +547 0,25% 

Unité urbaine de Rennes : 335 092 +1993 0,59%
Bruz : 18 266 + 172
Cesson : 17 526  + 155
Chantepie : 10 435 + 56
Chartres-de-Bzh : 7 800 + 222 (Chartres de Bretagne confirme sa reprise après plusieurs années de stagnation)
Melesse : 6 576 + 230
Montgermont : 3 364 + 68
Noyal-chatillon : 6 919 + 4
Pacé : 11 739 - 25 (?) (Coup d'arrêt pour Pacé, sans doute un réajustement INSEE avant que ça ne reparte)
Pont-Péan : 4 463 + 238  (Pont-Péan a gagné seulement moitié moins d'habitants que Rennes en une année)
Saint-Grégoire : 9 639 + 118
Saint-Jacques : 13 087 + 170
Thorigné-Fouillard : 8 463 + 38

Métropole de Rennes : 447 429 + 4237 0,96%. Je n'ai pas fait le calcul pour les 31 communes de la métropole rennaise hors UU mais les écarts de dynamisme démographique entre ville centre et métropole hors UU sont immenses.

Alors bien évidemment, pour comprendre ces chiffres, il faut les prendre sur une période de cinq ans minimum afin de gommer les réajustements apportés par l'INSEE. Cependant, les années passent et se ressemblent. Les deux dernières années sont même assez inquiétantes compte tenu de l'amélioration observée au début des années 2010. L'intra-périphérique gagne peu voire très peu d'habitants. Les communes de la métropole hors UU et les communes de l'AU hors UU sont bien plus dynamiques que l'UU elle-même. La faute en premier lieu selon moi à Rennes et Cesson-Sévigné.

Quand on compare les chiffres des villes centres des autres grandes métropoles, on se demande ce qui se passe à Rennes. Le phénomène de décohabitation y est-il beaucoup plus important ? Ou alors Nantes centre, Montpellier centre ou Bordeaux centre construisent-elles 3 à 4x plus de logements que Rennes ?! Ou alors l'INSEE n'arrive pas à calculer le nombre d'habitants dans Rennes centre, comme l'ancien maire Daniel Delaveau l'avait dit ?

Pour Cesson-Sévigné, l'augmentation est quasi nulle puisqu'elle gagne 200 habitants en moyenne par an alors qu'elle comporte le plus de terrains à urbaniser en intra-rocade... On ne va pas revenir sur la décision de la municipalité de réduire le projet Via Silva mais ce n'est pas demain la veille que Ouest-France risque d'arrêter de publier des articles sur le malheur des automobilistes rennais dans les embouteillages 

En effet Rennes intra muros a construit très très peu jusqu'à 2015. Nantes en comparaison entre parenthèses produit 2 fois plus. La pire année pour Nantes est tout de même supérieure à la meilleure année de Rennes :
2015 : 1 695 (3 647)
2014 : 1 545 (3 205)
2013 : 1 516 (1 993)
2012 : 1 657 (2 348)
2011 : 1 627 (2 995)
2010 : 1 439 (3 664)
2009 : 1 226 (2 182)
2008 : 1 078 (1 797)

total =  11 783 (1 473/an)   21 831 (2 729/an)

Mais très bonne nouvelle pour Rennes les chiffres sont bien plus forts depuis 2016, sans pour autant que les chiffres augmentent à l'échelle du département, signe que l'étalement urbain va enfin ralentir. Cela devrait commencer à se voir dès les chiffres démographiques de 2018, avec une parution dans un an donc.

2016 : 3 239 (4 117)
2017 : 2 404 (3 654)
2018 : 2 371 (3 194)
total = 8 014 (2 671/an)     10 965 (3 655/an)

Merci pour ces analyses très professionnelles, synthétiques et parlantes.
Comme tu le dis c'est à la fois fou et consternant de voir que le développement démographique de la région rennaise repose essentiellement sur l'utilisation de la voiture. Plus on s’éloigne de Rennes, plus les croissances sont fortes! Les embouteillages et la qualité de l'air ne sont pas prêts de s'améliorer. 

On a quasiment plus de terrains constructibles à Rennes intra-Muros et on cède aux caprices des anti-tours mais heureusement la voiture est là pour rentrer à la maison 15 kilomètres plus loin.

Ca sent pas bon quand même ce désamour de l'intra muros. Comme cette impression que Rennes a 215 000 habitants depuis 20 ans...

A trop vouloir sanctuariser la ceinture verte, on en arrive à des aberrations de ce genre. + 500 hbts pour Rennes en 1 an, sacrée baisse. En même temps à force de faire des logements que pour étudiants...