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NÎMES Le pacte qui relie la cité au Département
Le contrat territorial qui lie le Département du Gard à la commune de Nîmes a été signé par Denis Bouad et Jean-Paul Fournier. Pour mettre en valeur cet accord, quel meilleur symbole que le musée de la Romanité? Le pacte pour les Gardois 2016-2021 est lancé.
"Nous avons le devoir que nos coopérations apportent bonheur et richesse". Les mots sont forts et prennent une autre tournure quand on connaît le rapprochement des échéances électorales. Les mots sont surtout sortis de la bouche de Denis Bouad, Président du Conseil départemental du Gard qui désire que les enjeux territoriaux prennent le dessus sur les querelles de clochers.
Comme dans tous contrats, on peut y lire l'ensemble des actions du Département en faveur de Nîmes entre... 2012 et 2016! Un contrat signé qui n'est déjà plus en vigueur. Mais les fonds alloués, eux, l'ont été durant la période, en tout, plus de 360 millions d'euros sont allés dans les caisses nîmoises pour financer divers projets allant de l'équipement à l'éducation en passant par la solidarité, le sport ou encore l'environnement ou la culture. Pour preuve, l'édification du Musée de la Romanité qui devient le fil conducteur du contrat. En 2018 et 2019, le Cd30 va donner près de deux millions d'euros pour compléter les 60 que nécessite la construction.
Pour Jean-Paul Fournier, sénateur-maire de Nîmes, heureux de voir que le Musée de la Romanité sera achevé dans quatre mois (mais ouvert au public plus d'un an après), "Nous remarquons ici toute l'importance que le Département attache à ce projet et ça n'a pas toujours été le cas par le passé... Avec Denis Bouad, nous renforçons notre organisation pour optimiser le tourisme et avec le Patrick Malavieille, le président de l'EPCC du Pont-du-Gard, nous sommes en train d'organiser une billetterie commune aux deux visites".
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Nîmes : l'architecte Gilles Gal veille sur le musée de la Romanité
Gilles Gal, cabinet A + Architecture, associé à Elisabeth et Christian De Portzamparc au musée de la Romanité.
?Comment réagissez-vous à l'annonce du soutien et de la participation financière du Département à la réalisation du musée de la Romanité ? C'est une très bonne chose. Je suis très heureux de voir le Département du Gard et la Ville de Nîmes unis sur ce magnifique projet. Cette entente est très importante pour les Nîmois et les Gardois. Mais je retiens surtout l'idée d'une billetterie commune entre le Pont du Gard et le futur musée de la Romanité. C'est une idée particulièrement pertinente, car cela marque la volonté des deux collectivités de tout faire pour garder les touristes une ou deux nuits à Nîmes et plus généralement dans le Gard. C'est ce qui manque à ce jour. ?Votre cabinet d'architectes est associé à celui d'Élisabe...
►À quatre mois de la livraison du bâtiment, où en est le chantier et tiendrez-vous les délais ?
Oui, nous tiendrons les délais, il le faut. La période est évidemment autant passionnante que stressante. Aujourd'hui 120 à 130 personnes travaillent tous les jours sur le chantier. À l'intérieur du bâtiment, nous en sommes aux travaux de revêtement, à la réalisation des sols, des peintures, des faux plafonds... Ce qui est actuellement le plus complexe, c'est la façade en verre car sa mise en œuvre réclame beaucoup d'interfaces sur le bâtiment. Et c'est un travail colossal pour "calepiner" une à une chaque lame de verre. La gestion de la partie gros œuvre a également été compliquée avec beaucoup de contraintes, notamment liées à l'obligation de conserver la façade initiale sur la rue de la République.
►La démolition de l'hôpital Ruffy puis les fouilles ont retardé le lancement des travaux du jardin, pourra-t-il être livré en même temps que le musée ?
Le jardin sera implanté sur 3 400 m² à l'emplacement de l'ancien hôpital Ruffy et c'est vrai que lors du démarrage des travaux du musée, le foncier n'était pas acquis. Avant de démarrer, il a donc fallu attendre l'acquisition puis le transfert des patients, la démolition du bâtiment et surtout, ensuite, la période de fouilles archéologiques. Mais tout était planifié et comme le rapport de fouilles a été rendu, les travaux peuvent désormais commencer. Ils seront achevés en février 2018, ça coïncidera avec la fin des travaux muséographiques. Pour la partie fouilles, il s'agissait surtout d'enregistrer les éléments mis au jour et qui étaient déjà connus.
►Le futur jardin se présentera sous forme thématique à plusieurs niveaux, comment va-t-il s'organiser ?
En fait, il existe un dénivelé de 6 mètres entre la rue Ducros et le rez-de-jardin du musée où sont implantés les salles d'expositions temporaires et l'auditorium. On va donc descendre progressivement, en passant par trois univers différents qui respecteront, en fonction des plantations, les époques gauloise, romaine et contemporaine. Par ailleurs, ce jardin valorisera une portion assez bien conservée de l'enceinte romaine qui conduit à la tour qui sera elle-même restaurée.
Dernière modification par dalco (27-03-2017 13:46:29)
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TOURISME Nîmes et Saint-Gilles toujours dans le coup…
Bien que la compétence tourisme est échappée aux communes, les maires de Nîmes et de Saint-Gilles continuent de mener des actions pour l’attractivité de leur territoire.
Cette semaine, les conseils municipaux de Saint-Gilles et de Nîmes acteront la création d’une « SPL Culture et Patrimoine ». Une Société Publique Locale* dont la première mission consistera à « assurer la gestion du Musée de la Romanité ». D’un montant total de 60 M, l’édifice ouvrira en 2018. « Un projet de vie », pour le maire (LR) de Nîmes, Jean-Paul Fournier, et ancien adjoint à l’urbanisme de Jean Bousquet. ...
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