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Le tracé du tram devient un véritable "boulevard de l'habitat"
L’énorme chantier du tram E génère des dizaines d’autres chantiers : près de 2 000 nouveaux logements verront ainsi le jour entre 2010 et 2015 à proximité immédiate du tracé du futur tram.
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Alors, si les travaux du tram E font désormais partie du paysage quotidien des habitants de l’agglo depuis près d’un an, les chantiers immobiliers poussent également comme des champignons. Avec une mention particulière pour Saint-Martin-le-Vinoux, qui a intégré très en amont l’arrivée du tram en lançant ses premiers projets bien avant la validation de la ligne de tram E. Sur cette petite commune, on peut vraiment décrire la RD 1075 comme un “boulevard de l’habitat”. La remarque sera prochainement valable pour Saint-Égrève, et il faudra attendre encore un peu pour Le Fontanil.
La transformation sera sans doute moins frappante pour Grenoble, déjà fortement urbanisée. Et, s’agissant des deux gros chantiers, en cours pour Jean-Macé et à venir pour l’Esplanade, « on les aurait faits même sans le tram, car on a besoin de logements, mais c’est vrai que la présence du tram ne fait que renforcer la cohérence du projet de l’Esplanade », note Philippe de Longevialle, adjoint au maire de Grenoble chargé de l’urbanisme. Une remarque qu’auraient sans doute pu faire à l’identique les maires des trois autres villes.
Les contre-allées du cours Jean-Jaurès ressembleront à ça !
Les futures contre-allées du cours Jean-Jaurès seront agréables pour les piétons et les vélos. Et un peu moins pour l’automobiliste qui veut se garer. Mais vu qu’il prendra le tram…
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“Nous avons souhaité, explique encore Michel Destot, que cette unité entre les déplacements et l’urbanisme réponde à trois objectifs qui sont l’embellissement, un meilleur partage des espaces publics et une réintégration de la nature en ville”. Le projet (6,57 millions d’euros HT) est présenté en conseil municipal lundi 25 juin. Livraison, si tout va bien, fin 2014.
© Grenews
Un axe plus vert et aéré en 2014
L'arrivée de la nouvelle ligne E du tram, fin 2014, va remodeler en profondeur les abords du tracé. Elle s'accompagnera ainsi d'un projet d'aménagement des contre-allées et trottoirs des cours Jean-Jaurès et Libération, soumis au vote du conseil municipal du lundi 25 juin. Celui-ci se fixe trois objectifs, selon Michel Destot : « Embellir, mieux partager l'espace public et réintégrer la nature en ville ». « Le but est de rendre les trottoirs aux gens et aux commerces », résume Alain Pillard, adjoint aux droits de voirie et aux travaux.
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Les contre-allées du cours Jean-Jaurès seront redessinées ainsi : un terre-plein entièrement végétalisé, accueillant les platanes ; une contre-allée déplacée le long des platanes sur 3,50 m de large (empruntable par les cyclistes, qui bénéficieront de pistes cyclables près des carrefours) ; stationnement des voitures le long du trottoir et divisé par deux (180 places contre 400 aujourd'hui) ; des trottoirs élargis à 2,30 m ; un espace d'1,90 m au pied des façades, qui permettra aux commerces de créer ou d'agrandir leurs terrasses.
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Cinéma: Le Méliès renaît en beauté
Les nouveaux locaux ont rouvert samedi à la Caserne de Bonne.
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A l'étroit dans sa petite salle de 96 places, rue de Strasbourg, occupée depuis 1967, le Méliès se cherchait des locaux à la hauteur de ses ambitions. Pari tenu à en juger par son nouvel équipement, diablement séduisant. Au rez-de-chaussée : trois salles, d'une capacité totale de 540 places, décorées chacune aux couleurs d'un film dont elles portent le nom (Le Voyage dans la Lune, de Georges Méliès, Le Nouveau Monde, de Terrence Malick, et En attendant le bonheur, d'Abderrahmane Sissako), une librairie et un café-restauration, qui ouvrira dans les prochains jours. A l'étage : deux salles multimédias, destinées à former adultes et enfants à la pratique du cinéma et à accueillir des artistes en résidence. Cinéma de la Ligue de l'enseignement, le Méliès garde sa « vocation de cinéma associatif, classé art et essai, avec des films d'auteur, des documentaires, du cinéma militant. »
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Juste pour dire que les vues aériennes de Grenoble ont été mises à jour récemment sur Google Maps. Je dirais qu'elles datent de juillet dernier.
La ville s'enrichie également d'une vue à 45° !
Par contre les vues de Google Street datent encore de 2008.
Pour StreetView il y a quelques mises à jour 2011 notamment sur Berriat du côté du parc Valérien Perrin et de l'opération T2A. après ce qui est marrant c'est de faire la comparaion entre ls vues à 45° entre Gmaps et Bing, genre avant/après sur De Bonne, Beauvert, Teisseire JO, Bouchayer, Quai de la Graille notamment. Intéressant de voir le renouvellement urbain à l'oeuvre.
Architecte et urbaniste, bref, citoyen !
Le Grand Hôtel à Grenoble : quatre étoiles, et bientôt cinq ?
http://www.ledauphine.com/isere-sud/201 … BDE469779A
Plus de 1 500 logements potentiels
Alors que mardi, le Sénat commençait juste à étudier le projet de loi de cession à bas prix de terrains de l'Etat pour favoriser la construction de logements, notamment sociaux, les services de la ville de Grenoble s'étaient déjà attelés à repérer ces «cadeaux» potentiels. Une première liste, élaborée en avril 2012 par le ministère mais mise en ligne le 5 septembre, s'est vite avérée incomplète et obsolète.
«Nous avons identifié des tènements mobilisables à court terme et d'autres à moyen terme, annonce Jérôme Safar, premier adjoint au maire de Grenoble. Les premiers pourraient accueillir 750 logements d'ici à 5 ans et les seconds 750 également à 10 ans».
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© 20minutes.fr
Comme dans beaucoup d'autres villes, cette liste de terrains disponibles était partiellement fausse.
Pour Grenoble, il s'agissait de récupérer l'immeuble de l'Institut de Géographie Alpine (ouvert en 1961, désaffecté en 2001) que l'on voit à droite sur la photo de 20minutes (en partie coupé, juste à gauche il s'agit de l'Institut Dolomieu ; on voit la Cité U du Rabot un peu plus haut sur la gauche) ; or ce bâtiment a été vendu aux enchères il y a plus d'1 an.
Etrange et inquiétant ce que j'ai vu cette après-midi au parc Paul Mistral :
des barrières anti-émeute formaient un grand cercle autour de la tour Perret, d'un rayon équivalent à la hauteur de la tour ! Les barrières étaient ouvertes au niveau des allées, mais à part un périmètre de sécurité, je ne vois vraiment pas à quoi elles pourraient servir d'autre. Vu l'état de délabrement dans lequel est cette pauvre tour, ce ne serait pas étonnant, à moins que ça n'ait rien à voir...
A ma connaissance - très éloignée du sossir, soit dit en passant -, les études de rénovation n'en finissent pas d'être étudiées, faute de financement réel pour les travaux en eux-mêmes.
Architecte et urbaniste, bref, citoyen !
Concernant la Tour Perret, je suis passé aujourd'hui par le parc Paul Mistral, plus de trace de barrières autres que la classique clôture, fichée dans le sol depuis des lustre à une petite dizaine de mètres de l'édifice.
Architecte et urbaniste, bref, citoyen !
Tant mieux ! Mais j'aurais bien aimé savoir la raison de ces barrières... peut être des abattages d'arbres ?
Le stade Lesdiguières se modernise
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La première étape de cette rénovation est la construction d’une nouvelle tribune Ouest, en lieu et place de la tribune Finet actuelle. Cette tribune se conçoit comme un outil multiusage, conçu par et pour le club, qui accueillera :
- Plus de 4.000 places assises et couvertes
- Deux Bodegas Grand Public abritées des intempéries
- Un Centre de Performance et d’Entraînement à destination de l’équipe professionnelle et du centre de formation agréé du FCG
- Les locaux de l’Association support FCG
- Une Aire Régie dédiée et sécurisée pour les équipes de production Médias
- Trois salons VIP
Le FC Grenoble Rugby a également pour but de construire une infrastructure intégrant un ambitieux dispositif Développement Durable (éco-conception et éco-exploitation, dispositif accessibilité et handicap, déplacements en transport doux, contrôle des nuisances sonores, réductions et recyclage des déchets,…)
Les travaux, financés majoritairement par le FCG, devraient débuter durant l’intersaison 2013-2014.
bonjour,
je suis étudiant à Grenoble et dans ce cadre, j'ai décidé d'étudier de plus près les grands boulevards. Cette période m'intéressse beaucoup, et je travaille actuellement sur mon exposé.
je sais déjà beaucoup de choses sur l'histoire des boulevards, en partie grâce à votre site, auriez-vous des informations précises sur certains immeubles ?
(je pense notamment à celui de la place Gustave rivet dont je passe la photo prochainement)
merci à vous tous, je vous ferais part de mes travaux quand j'aurais fini ma présentation.
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Bonjour et bienvenu Dauphinoix, le mieux est d'aller sur la base de données de PSS où tu trouveras près de 40 000 fiches d'immeubles, dont un certain nombre concernant les Grands Boulevards grenoblois - forcément. Plusieurs méthodes de recherches, la meilleurs étant probablement par la carte : https://www.pss-archi.eu/google_maps.html
Sinon, tu peux interroger en MP moi ou Marco, principaux contributeurs sur Grenoble et - humblement - pas trop mauvais connaisseurs de l'urbanisme de cette ville.
En outre et comme cette base de données est construite sur un mode collaboratif, toutes les informations que tu pourras apporter au site seront les bienvenues. Ne te prive pas pour compléter ou ammender des fiches existantes, voire pour en créer des nouvelles.
Au plaisir de lire ton travail
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je compte prochainement me promener dans Grenoble pour prendre des photos, j'en profiterai ainsi pour vous les partager avec plaisir; peut-être même je crééerais un topic sur ce forum quant aux grands boulevards, sur lesquels on a parlé sans rentrer en profondeur véritablement.
sur la base de données on retrouve les Diables Bleus, un des plus majestueux des grands boulevards. Quand j'aurais ramassé assez d'informations sur les immeubles que je veux présenter, je rajouterai les immeubles.
quant à la tour Perret, et ben ça craint de traiter un monument historique de cette manière. Entourée de barrières par sécurité: combien d’œuvres majeures de l'histoire sont ainsi traitées?
c'est à se
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Sujet chaud-bouillant que la tour Perret. Réhab envisagée, mais trop chère pour être de suite engagée.
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voici une partie de mes photos, j'en ai 200, c'est dur de sélectionner. voici par exemple un bloc de logements situé rue Félix Viallet, devant l'arrêt de bus 3 Dauphins. ils doivent dater des années 39-40 vu le style, et manquent pour la plupart d'un simple coup de pinceau. on ne voit pas à gauche pour cause de luminosité mais une partie est ravalée.
les portes d'entrées, toujours magestueuses
on peut remarquer le style "paquebot", avec les balcons arrondis et les ferronneries rondes, les toits-terrasses acessibles "en escalier" sur les 3 derniers niveaux ou encore les angles arrondis ouverts pour laisser entrer la lumière toute la journée.
celui-ci mériterait bien une isolation par l'extérieur et un traitement des bétons
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Je me permets de rediriger ton message (et ma réponse) dans un thread à mon sens plus approprié, Grenoble au passé
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Le site de la ville de Grenoble a récemment fait peau neuve.
A l'occasion, la municipalité nous propose un petit récapitulatif des principales réalisations urbaines de cette dernière décennie et des projets à venir à horizon 2025.
http://www.grenoble.fr/589-les-grands-projets.htm
Pour info, je ne sais pas si vous êtes au courant mais dans la dernière version de Google Earth, Grenoble est intégralement en 3D (arbres inclus). Un petit régal ! Et une façon de redécouvrir la ville.
Tour Perret, un poisson d’avril utile
Le 1er avril a circulé une information, selon laquelle la partie haute de la Tour Perret s’était écroulée. Heureusement ce n’était qu’un poisson d’avril.
Néanmoins c’est bien là un scénario qui pourrait être vécu tant la structure de la tour Perret se désagrège au fils du temps sans que les décideurs décident de son sort. En la laissant en l’état elle finira par tomber d’elle-même. Est-ce là le but caché ? Si cet évènement venait à se produire, il coûterait très cher à la collectivité, pour terminer le travail de démolition, recycler les matériaux, les évacuer, etc… et au bout du compte plus rien. Fin du dernier vestige de l’Exposition Internationale de la Houille Blanche et du Tourisme de 1925, fin de cette partie du patrimoine grenoblois pourtant classée au titre des Monuments Historiques en 1998, fin de la première tour en béton armé construite dans le monde, prouesse technique à l’époque, fin du symbole d’une tradition cimentière précoce dans notre région.
Et pourtant, la délibération intitulée : « Restauration de la tour Perret – Approbation de l’étude préalable (1) et commande d’études complémentaires » a été présentée par la Direction du Patrimoine Urbain en conseil municipal le 22 février 2010.
c'est le monument historique le plus délabré de France, si je ne m'abuse. La tour en béton la plus haute des années 20 mérite bien mieux que cela je pense.
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Visite du chantier de "La Belle Electrique"...
très belle salle. et le nom est plutôt bien trouvé dans le pays de la houille blanche...
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Le nom a fait l'objet d'un concours où tout un chacun pouvait participer.
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