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Architecture – Urbanisme – Aménagement du territoire
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" Extension XXL du plateau technique de l’hôpital"
Sur le terrain, depuis juillet 2011, un bâtiment de plus de 3 000 m2 dessine ses contours. Il s’agit là d’une extension du plateau technique dont le coût s’élève à 14 M€. Objectif : libérer de la place dans le bâtiment existant (qui date de 1985) tout en maintenant le lien entre les deux entités. Ce sont donc quatre étages qui sont actuellement en train de sortir de terre...Tous ces travaux de construction, de rénovation et de réhabilitation constituent la dite “première phase” qui laissera place à une seconde tranche de travaux dès 2014. C’est là le cœur de l’hôpital, soit le bloc opératoire, qui subira les interventions les plus lourdes. L’acquisition du terrain Rouane pourrait à ce moment-là permettre de rallonger certaines ailes de l’hôpital actuel.
"Une vigne, située en pleine ville, va laisser place à des logements"
Le site des Vignaux, un terrain viticole de plus de 16 000 m² situé en plein centre-ville de Frontignan, vient d’être classé constructible dans le cadre du nouveau plan local d’urbanisme...cette vigne devrait bientôt laisser place à un projet d’urbanisme avec au moins 25 % de logements sociaux, des pavillons et du petit collectif...
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"Centre Grains inaugure son terminal agro-industriel"
Une nouvelle installation qui devrait contribuer à l’augmentation du trafic du port puisque la charge des navires de céréales peut atteindre jusqu’à 25 000 tonnes. L’objectif de trafic, fixé par Centre Grains, s’élève à 800 000 tonnes par an...
Le terminal agro-industriel représente un investissement de 38,5 M€. Le Conseil régional a participé à hauteur de 12 M€ pour l’allongement du quai J et les infrastructures routières.
"Bateaux de plaisance : cap sur les 2 000 anneaux/b]"
...la Région et son bras armé, l’EPR (établissement public régional) Port-Sud de France, ont décidé d’investir 300 M€ sur dix ans pour rendre le port de Sète-Frontignan "plus attractif, plus fiable, plus compétitif", le “capitaine” du Languedoc-Roussillon a fixé le cap à suivre dans deux domaines. D’abord le développement des infrastructures du port de commerce (lire ci-dessous). Ensuite celui de la plaisance, avec l’objectif de passer de 468 anneaux aujourd’hui à 2 000 d’ici 2020...
Concernant le centre-ville, rien de très nouveau. On sait que l’EPR a d’abord réaménagé le quai d’Orient (bornes d’eau, d’électricité, caméras de vidéo-surveillance) pour accueillir des yachts. Longs de 18 à 52 m, huit y stationnent déjà à l’année. Au printemps 2013, 117 emplacements seront disponibles sur le bassin du Midi nord. Le chantier en cours consiste à créer un espace clôturé et éclairé, doté de points d’eau, d’électricité, de collecte des déchets, de sanitaires ainsi que d’un parking.
L’an prochain, ce sera au tour du Môle Saint-Louis où un réaménagement total est programmé, avec notamment changement des pontons et installation d’une nouvelle capitainerie. Ce qui fait que d’ici deux ans, 1 000 anneaux au total seraient disponibles. Montant estimé des différents investissements : 13 M€. Enfin, un “plan voile” de 4 M€ est annoncé à la base Tabarly pour y réaliser un "espace énévementiel pour les régates et autres courses" et favoriser l’amarrage de multicoques...
le projet de pôle nautique sur la Zifmar (zone industrielle fluvio-maritime), située entre le port de commerce et le port de pêche de Frontignan. Il consistera, moyennant 37 M€, à le doter également de mille emplacements, pour la plaisance et la grande plaisance, y compris pour l’hivernage.
Une zone technico-commerciale de 20 000 m² "unique dans la région" et un nouveau bassin pour la pêche verront également le jour...
Midi Libre 20/11/2012
"[b]Port de commerce : Bourquin fixe le cap à 9 M de tonnes de marchandises"
...Bien qu’il soit mis en service depuis plusieurs mois, c’est par l’inauguration du quai J qu’a débuté l’escapade sétoise du président Bourquin. Un quai qui a en fait été prolongé (de 143 m, pour 22 m de large) pour pouvoir accueillir les navires et l’outillage nécessaires à l’exploitation des nouvelles installations du pôle agro-industriel formé par Centre Grains (céréales) et Saipol (huile, tourteaux, diester).
Maritime à l'ouest, fluvial à l'est
Autre avantage : il offre un double-poste, maritime à l’ouest pour les navires de 20 000 tonnes, 120 m de long et 10 m de tirant d’eau, et fluvial à l’est (via le canal du Rhône à Sète) pour les péniches de 2 500 tonnes et de 100 m de long. Une partie du trafic bénéficiera aussi d’un accès ferroviaire...
Pour favoriser le transport fluvial, la Région s’engage aussi à poursuivre la rénovation du canal du Rhône à Sète (30 M € pour VNF, Voies navigables de France) : "Le port de Sète-Frontignan pourra ainsi étendre sa zone de chalandise sur 600 km jusqu’à la Saône et la Bourgogne"...
"Dans la zone de danger de GDH de Frontignan, il ne reste plus qu’une seule maison"
C’est officiel et entériné depuis la réunion du Comité local d’information et de concertation (Clic) le 26 novembre dernier : la zone d’aléas, concernée par un éventuel accident industriel au dépôt d’hydrocarbures GDH, ne retient plus qu’une seule maison.
"Quand on pense qu’au départ 1 500 habitations et bâtiments publics étaient situés dans la zone de danger, on mesure le chemin parcouru"...
"Du théâtre Molière aux halles, une année de grands travaux"
Plusieurs chantiers d’importance seront livrés cette année.
L’un va (enfin) s’achever, l’autre (enfin) démarrer. Lancé en septembre 2011, le chantier de la rénovation du Théâtre Molière entre dans sa dernière ligne droite. Les travaux (17 M€, dont 12,3 à la charge de Thau agglo) devraient être terminés avant l’été. Les spectacles de la Scène nationale y seront de retour en octobre.
Quant à la réhabilitation des Halles, qui avait été repoussée, elle devrait commencer au printemps. En mars-avril, les toilettes et des casiers pour les commerçants seront installés sous l’escalier monumental. Après Pâques, un quart des halles sera fermé chaque semaine le temps de refaire les pafonds. Les façades extérieures seront “attaquées” à la même période.
Aux Salins (500 logements à terme), les deux premières résidences, La Canalette (27 logements de l’OPH de Sète) et Thaléa (45 logements d’Optimo promotion), devraient être livrées d’ici la fin de l’année. Pour l’AmeriK’club, la démolition des infrastructures est annoncée pour les prochains mois. Mais il faudra attendre 2015, selon la Ville, pour que le site soit réaménagé et redevenu accessible au public.
Sur les bords de l’étang, à Balaruc, les travaux de construction des nouveaux thermes doivent se poursuivre pour une livraison en 2015. A moins que la justice, saisie par des opposants au projet, décide de retoquer le permis de construire.
Enfin, du côté des chantiers routiers, la sécurisation de la RD 613 va se poursuivre avec l’aménagement de deux nouveaux giratoires, l’un à l’entrée Ouest de Bouzigues, le second près de la pépinière Filippi, près de Mèze. Seront également réalisés une contre-allée de Mèze à Bouzigues, au sud, qui desservira les mas conchylicoles...
"Le sable de l’Espiguette au secours du lido de Frontignan"
L’avant projet de protection et d’aménagement durable des 8 km du lido de Frontignan sera présenté lundi 21 février aux habitants lors d’une réunion publique.
Il s’agit de protéger les habitations, préserver la RD 60 et de sauvegarder la plage, le cordon dunaire et le trait de côte notamment par des rechargements en sable prélevés à l’Espiguette.
Piloté par Thau agglo, cet ambitieux programme de 16,4 M€ démarrera en 2014 par le secteur fortement érodé des Aresquiers...
"Bassin de Thau : un Scot et des couacs"
C’est la feuille de route du bassin de Thau pour les vingt ans à venir. Ce document - Schéma de cohérence territoriale, Scot pour les intimes - organise l’urbanisation, les transports, les équipements, l’activité économique ou agricole en tenant compte de la volonté politique des élus et des différentes lois en vigueur...
Las, emmenés par Pierre Bouldoire, les élus de Vic, Mireval, Balaruc (les Bains et le Vieux), et Gigean (soit la majorité de Pierre Bouldoire à Thau agglo), ont voté contre ce Scot. Sur le fond, les élus sans remettre en cause "la volonté générale qu’exprime le schéma" ont dénoncé le classement de certaines zones en rupture d’urbanisation (imposées par la loi Littoral) à Balaruc, Vic ou Mireval. "L’État nous demande de prévoir ces zones de rupture mais l’État n’argumente pas. Nous nous avons des arguments pour refuser ces zones, faisons-les entendre", a réclamé Pierre Bouldoire qui, dans le même temps, a plaidé pour le classement en catégorie “renouvellement urbain” des terrains proches du dépôt de carburant jusque-là classés en site industrialo-portuaire.
L’Hinterland ou la ligne LGV ont également été évoqués. "On a besoin de concertation complémentaire. Il faut consolider ce Scot, ont exigé les élus contestataires. Et prendre en compte les remarques que nous avons émises précédemment." Du côté du syndicat mixte, on a failli s’étrangler, tant les techniciens du SMBT ont la certitude d’être allés au bout du bout de la concertation et d’avoir intégré les demandes de chacun dans le cadre imposé par la loi.
Scot finalement approuvé
"Tous les problèmes évoqués par Pierre Bouldoire et ses amis ont été tranchés et validés en commission des maires. Nous disposons de tous les procès-verbaux de ces réunions"...
Midi Libre 07/02/2013
"Croisières : le port de Sète monte en puissance"
Cette année, 33 escales sont prévues dans le port de Sète soit 14 de plus qu’en 2012.
Sète est certes loin d’être en passe de détrôner Marseille, premier port français de croisières, qui devrait franchir le cap du million de passagers en 2013 avec 430 escales. Mais l’île singulière a le vent en poupe...
Le bilan 2012 a toutefois été très encourageant, selon les données présentées mardi lors de l’assemblée générale du Club Croisières. Sur les 8 190 passagers “descendus” à Sète, 30 % ont participé à une excursion dans la région : à Montpellier (33 %), Carcassonne (23 %), Aigues-Mortes (21 %), Sète et le Bassin de Thau (17 %) et sur le canal du Midi (6 %). La plupart des 70 % restants sont allés faire un tour en ville...
Cette clientèle est en nette majorité américaine (à 60 %, pour 24 % de Britanniques, 7 % d’Allemands et 10 % d’ailleurs)...
"Balaruc-les-Bains peut espérer avoir sa gendarmerie"
Officiellement annoncée en 2000, l’installation d’une brigade de gendarmerie à Balaruc-les-Bains vient de recevoir l’agrément du ministère de l’Intérieur. La mairie travaille donc désormais au projet de construction des bâtiments de ce futur poste de gendarmerie qui devrait être bâti dans le secteur de la Despensière, à la sortie de la cité thermale, sur la route reliant les deux Balaruc (Les-Bains et Le Vieux)...
Midi Libre 07/02/2013
"SETOM/Veolia va rénover l’U.V.E. de Thau Agglo"
L’UVE, construite en 1991, avait déjà fait l’objet d’une opération de modernisation en 2006, à hauteur de 9 M€ (dont 1 M€ apporté par le Conseil général de l’Hérault).
Le marché de la rénovation, attribué pour huit ans, est estimé à 47,5 M€, soit 42,2 M€ pour l’exploitation, et 3,5 M€ pour l’optimisation du bâti et des équipements...
« Avec les travaux sur les lidos et la préparation de la nouvelle station d’épuration, la modernisation de l’UVE fait partie de nos grands chantiers environnementaux, indique Pierre Bouldoire, président de Thau Agglo. Nous vivons sur un éco-territoire où la bonne gestion des déchets est essentielle car la population ne cesse d’augmenter. Avec la nouvelle UVE, nous faisons d’une pierre deux coups : nous continuons à assurer notre indépendance et nous trouvons un équilibre entre une amélioration technique performante et la prise en compte des échéances à venir. »
L’optimisation de la chaudière permettra à l’UVE de porter sa capacité de traitement à 42,5 tonnes (+ 5 %) et de réduire son coût de fonctionnement de 800 000 € par an en 2013.
La vapeur produite valorisable sera multipliée par 3, avec un objectif à terme évalué à
60 % de vapeur recyclée et valorisée.
L’UVE traite les déchets des 8 communes du territoire de Thau Agglo...
"Musée de la Mer à Sète : c’est parti pour un an de travaux"
l’ancien bâtiment de l’Ifremer (Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer) est en travaux.
Pas trop tôt : cela faisait bien une bonne douzaine d’années qu’il était désaffecté. Qu’il avait été livré aux squatteurs. Et qu’il faisait la joie des taggeurs. C’était une immonde verrue qui gâchait sérieusement ce paysage immaculé, le “triangle d’or” formé par le théâtre de la Mer en contrebas, le cimetière marin et le musée Paul-Valéry en surplomb...
D’ici un peu plus d’un an, au printemps 2014 si tout va bien, l’ex-Ifremer laissera place au Musée de la Mer et à un pôle abritant différents services municipaux. Le tout “emballé” dans le projet architectural du réputé tandem nîmois “C + D”...
Le futur édifice s’étendra sur trois niveaux totalisant 600 m2. Au rez-de-chaussée (350 m2) : le Musée de la Mer proprement dit (collection de maquettes de bateaux d’Aversa, pavois, etc). Au premier niveau : les services de la culture et de l’animation. Au second : le service communication...
Effectivement, ce bâtiment IFREMER faisait tâche alors que le lieu a beaucoup de potentiel.
Après, construire (encore) un musée alors alors qu'il y a le musée Paul Valéry juste au-dessus, c'est moyen. Vous allez me dire que ça donne naissance à un quartier culturel avec en plus le théâtre de la Mer en face mais perso, je préfère mettre les musées aux quatre coins de la ville pour que tout le monde en profite plutôt que tous les regrouper et que les touristes qui viennent aillent juste dans un quartier et ne voient que très peu du reste de la ville.
Pour nuancer, je reconnais que l'emplacement, s'il offre un beau panorama, reste difficilement adapté pour un bâtiment à vocation commerciale donc, en dehors de logements, il n'y avait pas grand chose d'autre de possible qu'un musée.
Par contre, y mettre aussi les bureaux municipaux, je trouve que cela incarne assez la gabegie des collectivités locales, qui investissent certes à tour de bras mais pas toujours à bon escient. En quoi y a-t-il besoin d'installer là ces services et de construire un bâtiment tout neuf pour eux ? Aucune rationalisation (si ce n'est un mini-regroupement), aucun rapprochement d'autres services. Et puis tout le second étage pour la communication ! WTF 
En plus, ça me donne assez l'image du "je me sers : on prend les étages supérieurs qui ont vu sur la mer, le cimetière marin, le St-Clair, et puis au RdC, comme on sait pas trop quoi mettre, ben, on va y caser un musée, euh, voyons voir, de quoi ? Tiens, y a la mer pas loin et le théâtre de la Mer en face, donc disons un musée de la Mer !"
Bref, la fin du statu quo, c'est 
. L'installation de bureaux muncipaux, c'est 
. Mais ce n'est que mon avis.
"voilà le bâtiment qui abritera bientôt la CCI"
On le sait, la Région est parvenue à récupérer un bâtiment ô combien emblématique qu’elle convoitait depuis pas mal de temps : le Palais consulaire du quai Philippe-Régy. Et les équipes de la Chambre de commerce de Sète-Frontignan-Mèze devront avoir bouclé leurs valises dès le mois de décembre, destination le parc aquatechnique...
Dès le mois de septembre 2013 en effet, la première pierre d’un nouvel ensemble immobilier sera posée avenue Maréchal-Juin, entre l’Hôtel des Impôts et l’Etap Hôtel. Un immeuble d’assez belle allure où la Chambre devrait occuper quelque 1 000 m2 partagés entre bureaux, amphithéâtre et, peut-être (un dossier de demande de subventions a été adressé en ce sens à l’Europe), pépinière d’entreprises.
Mais la CCI ne sera pas seule dans ce bâtiment (dont les niveaux supérieurs seront occupés par des appartements) puisqu’y seront aussi logés le Centre communal d’action sociale, Pôle emploi ainsi que le tribunal d’instance...
"le projet de miniplexe reçoit le feu vert"
Le projet d'installer un nouveau cinéma de six salles et 981 places dans les anciens chais Botta, sur le quai Voltaire, vient de recevoir le feu vert de la Commission départementale d'aménagement cinématographique (CDAC)...
Cette belle unanimité s'explique par la relation de qualité qui existe entre l'expoitant (Jacques Font de CinéMovida), la Ville et les spectateurs qui, rappelons-le, ont été 1 685 à signer une motion de soutien...
"Sète dans le top des destinations touristiques mondiales !"
Ce n’est pas nous qui l’affirmons, c’est le site web du National Geographic, qui le dit.
Chaque semaine, en effet, la prestigieuse revue américaine sélectionne, à travers le monde, ses destinations préférées. Et l’île singulière figure donc au palmarès ces jours-ci.
Le National Geographic conseille de s’y rendre pendant la Saint-Louis, de loger au Grand-hôtel, de déjeuner au restaurant “Terre et Mer”... Mais aussi de regarder avant de partir “De vrais mensonges”, le film de Pierre Salvadori, tourné à Sète...
"L'hinterland du port de Sète à Poussan a-t-il du plomb dans l'aile ?"
La commission d'enquête a émis un avis favorable au Schéma de cohérence territoriale du bassin de Thau. Mais avec quelques réserves, dont une souligne que les terrains de la Condamine, à Poussan, sont inappropriés pour recevoir la base logistique du port de Sète...
Prévue à Poussan depuis une décision Etat-Région ayant donné lieu à la délimitation d'une ZAD (zone d'aménagement différé), la localisation de cet "hinterland" a suscité de nombreuses réactions...
Ces derniers dénonçaient en effet l'aberration d'implanter une base logistique sur cette zone agricole si proche de l'étang. Des pétitions ont d'ailleurs circulé, réunissant plusieurs milliers de signatures. Et les conchyliculteurs eux, désignaient déjà la zone proche de la digue Zifmar, à Frontignan, comme étant plus appropriée.
Et bien la commission d'enquête publique semble leur avoir donné raison, estimant la zone des Condamines, à Poussan, inappropriée pour ce type de projet...
Midi Libre 08/09/2013
Il reste beaucoup de foncier près du port et des voies ferrées... mais il faudrait doubler la liaison routière avec l'A9. Personellement, si c'est techniquement possible et économiquement viable, je préfère qu'on ne fragmente pas trop le complexe industrialo-portuaire.
"un multiplexe à Sète en avril 2015"
...évalué à 6 millions d'euros...Huit ou neuf salles devraient composer ce futur ensemble, aménagé à proximité du pont Sadi-Carnot, au bout du quai de Bosc. Un parking de 300 places et des commerces de restauration devraient compléter l'installation...
stoker a écrit:
"Sète, futur port d’attache pour les yachts de luxe"
Attention les yeux. A l’instar du Girhamar et du Fantasy, les premiers arrivés au quai d’Orient, les bateaux de 30, voire 50 m de long, qui vont affluer dans les prochains mois à Sète ne sont pas destinés à de petites promenades en famille sur les canaux ou au large. Plus habitués à fréquenter le “Triangle d’Or”, San Remo-Monaco-Saint Tropez, ils viennent d’un autre monde. D’un univers d’opulence qui se rit de la crise.
Valant plusieurs millions d’euros, souvent plus de dix, ces yachts de luxe se louent jusqu’à 100 000 € la semaine. Leurs très fortunés propriétaires sont pour beaucoup des Suisses, qui en ont confié l’entretien et la gestion à Yachting Lodge. Une société basée au Cap d’Agde ainsi qu’à Malaga, mais dont Sète va devenir le nouveau port d’attache...
C’est la première étape d’une implantation progressive qui verra Yachting Lodge ouvrir des bureaux quai Maillol, mais surtout créer un chantier naval à “la Glacière” puis stocker ses yachts dans la future zone de plaisance du bassin du Midi...
"Balaruc, port d’attache de catamarans de luxe"
Pas tous les jours qu’une entreprise haut de gamme se délocalise de Turquie en France. Plus exactement de la “Riviera turque” aux bords de l’étang de Thau. C’est en effet dans les anciens hangars de Sud Composites, à Balaruc-les-Bains, que Swiss Catamaran a choisi de transférer dès cet été la construction de ses bateaux, jusqu’ici fabriqués à Antalya depuis sa création, voici cinq ans.
La société helvète n’a pas pris sa décision en coup de vent. L’un de ses administrateurs avait racheté voici plusieurs années déjà le site (4 000 m2) balarucois...
la volonté de s’implanter sur le pourtour méditerranéen français, notamment pour jouir d’une plus grande notoriété. Bien que disposant d’un bureau commercial à Hyères (Var), Swiss Catamaran était confrontée, entre Marseille et Nice, à un handicap : la difficulté de s’implanter sur une Côte d’Azur saturée sur le plan foncier.Elle s’est donc rabattue sur le Languedoc-Roussillon où ses dirigeants estiment avoir "une grosse carte à jouer" dans un créneau étroit mais en expansion...
Le premier “bébé” de Swiss Catamaran qui naîtra dans son chantier naval balarucois (baptisé SCC, pour Société de construction composite) est le S2C 45, l’une des vedettes du dernier salon de la Grande-Motte...
Nous comptons embaucher dans un premier temps une douzaine de personnes en CDI...
Au-delà des seules créations d’emploi, la société helvète souhaite s’investir dans la vie nautique locale : « Nous comptons organiser des journées portes ouvertes, des régates, accueillir des scolaires, préparer à des compétitions... Nous attendons l’appui des collectivités en particulier, de la commune de Balaruc-les-Bains, pour pouvoir construire un ponton sur le domaine public maritime. » ...
Une filière nautique (salons internationaux, conception/construction/entretien, plaisance...) haut de gamme se développe rapidement sur le littoral régional, principalement autour de quatre pôles, que sont: Sète/Balaruc/Frontignan, Agde/Marseillan, Carnon/Grande-Motte/Grau-Du-Roi et Canet/Argelès. Cette dynamique actuelle tire sa source de la combinaison de plusieurs facteurs plus ou moins anciens, tels que la Mission Racine (aménagement urbain et touristique du littoral languedocien, années 60 et 70), la saturation foncière de la côte d'azur, la "montée en gamme" récente du tourisme régional, auparavant quasi exclusivement "populaire", etc...
Sète, c'est bien thau Bysance 
http://www.midilibre.fr/2014/09/01/des- … 044528.php
L'activité croisière se développe :
La porte d'entrée de la ville
Depuis le début du mois de juin, ce quai du port de commerce - ancien site ayant délimité le bassin aux pétroles puis transformé en espace privilégié pour le trafic de grains - se prépare à devenir la porte d'entrée de la ville pour les passagers.
"THAU AGGLO VA INVESTIR 14 M€ DANS LA REQUALIFICATION DE SES ZONES D’ACTIVITÉS"
La communauté d'agglomération de Sète reprend la main en matière d’aménagement, d’entretien et de gestion des 18 ZAE communales...
"58 M€ investis dans la modernisation du port de Sète-Frontignan"
Propriétaire du port de Sète-Frontignan depuis 2007, la Région a engagé la réhabilitation du môle Masselin, sur le site anciennement occupé par le terminal céréalier, afin d'accroître le trafic et d'améliorer l'accueil des ferries.
Le port de Sète-Frontignan, qui est déjà le 1er port français de passagers vers le Maroc, affichait en 2013 un trafic de 171 000 passagers (129 000 en 2012) sur les ferries reliant Sète à Tanger et Nador, et de 22 160 passagers en 28 escales sur les navires de croisières (16 200 passagers pour 19 escales en 2012)...
Le montant des travaux s'élève à 14,2 M€, financés pour moitié pour la Région, et pour moitié par l'Europe (fonds FEDER). Les travaux, réalisés par Bouygues Travaux Publics, dureront dix mois. Dans le même temps, les aménagements terrestres, dont une nouvelle gare maritime, font l'objet d'un concours d'architecte.
Le môle Masselin devrait être livré en mai 2015...
Par ailleurs, les travaux de construction du quai H (470 m de linéaire), qui ont démarré en septembre dernier, compteront neuf phases jusqu'à la mi-juillet 2016, date prévue de sa livraison.
Le nouveau quai permettra d'accueillir des navires, des péniches et des porte-conteneurs pouvant aller jusqu'à 260 m x 32 m. Ainsi que le trafic lié à l'entreprise Lafarge...
La construction de ce nouvel équipement représente près 44 M€ d'investissement, que la Région finance à hauteur de 85 % et l'Europe de 15 % (fonds FEDER)...
Cécile Chaigneau
"Port de Sète : le cabinet J. Ferrier choisi pour la gare maritime"
Le Conseil régional Languedoc-Roussillon, propriétaire du port de Sète-Frontignan, a entamé en juillet et septembre dernier la modernisation du site (58 M€) avec la réhabilitation du môle Masselin afin d'accroître le trafic et d'améliorer l'accueil des ferries, et la construction du quai H pour accueillir des navires, des péniches et des porte-conteneurs pouvant aller jusqu'à 260 m x 32 m.
En parallèle, il avait lancé un concours de maîtrise d'œuvre destiné à sélectionner un candidat pour la construction d'une nouvelle gare maritime, l'aménagement du pôle passagers et de la nouvelle entrée du port. Soit un investissement de 40 M€ avec pour objectif de développer l'activité passagers sur le port de Sète...
"UNE MAISON RÉGIONALE DE LA MER DANS L’ANCIEN PALAIS CONSULAIRE"
Le président du conseil régional, Damien Alary, annonce l’installation d’une « Maison régionale de la Mer » dans l’ancien palais consulaire...
LaLettreM 16/12/2014
"SAIPOL INVESTIT 30 M€ SUR LE PORT DE SÈTE"
Le site sétois Saipol, propriété du groupe Sofiprotéol (CA : 7 Md€, 8 240 salariés), s’enrichit de deux nouvelles unités industrielles. Près de 30 M€ sont engagés dans la construction d’une chaudière (...)
Le groupe Capelle prend position sur le port de Sète
L a société gardoise développe un projet ambitieux qui doit conduire, dans un premier temps, à la création de 50 emplois. Et à un trafic de 100 000 tonnes.
...
4. Pourquoi Sète ?
par les possibilités de transport multimodal, maritime, routier (vers A9 et A75), ferroviaire et fluvial et par le climat social stable qui prévaut sur l'enceinte portuaire.
Port de Sète : « Le soutien des chargeurs locaux est primordial
http://statique.lamarseillaise.fr/media … 605_XL.jpg
Une nouvelle ligne container pourrait voir le jour courant 2015. Il ne reste plus qu’à inciter les entreprises locales à faire partir leurs marchandises de Sète.
Il ne manque plus que l’implication des partenaires locaux. Ces derniers doivent en premier lieu influencer leurs transitaires pour transiter via Sète. Avoir une infrastructure de proximité comme la nôtre et ne pas l’utiliser, c’est un manque à gagner pour l’économie locale et régionale. »
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