Nantes/Saint-Nazaire - Économie

👀 📰 ⚠� 🚧 "#Amazon devrait ouvrir 50 000 mètres carrés en Sud Loire. Si cela est confirmé, ..."#Nantes via @infojud44 https://t.co/YEJBPerb2c pic.twitter.com/em9GvGZ7Z1

— Nantes hypeâ„¢ ☆ (@Nanteshype) April 24, 2020

« Le centre-ville est un bien commun »

Covid-19, rumeur persistante de l’arrivée d’Amazon sur le territoire, extension des centres commerciaux Atlantis et Paridis : le ciel au-dessus du commerce du centre-ville nantais est des plus menaçants. Président de l’association Plein Centre depuis trois ans, Olivier Dardé devait initialement clore son mandat en mai. Au vu des circonstances exceptionnelles, celui-ci pourrait être rallongé d’un an... Entretien.
Propos recueillis par Nelly Lambert - 24 avril 2020
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Je milite pour monter un Amazon local. Plein Centre travaillait depuis un an déjà sur cette idée de market place. Puis il y a eu une dynamique des acteurs économiques et politiques locaux, avec le lancement de Mavillemonshopping.fr.
Il a fallu aller vite à cause du Covid-19 afin de mettre en avant les commerces ouverts, valoriser les circuits courts… On s’est greffé. Si je fais une market place Plein Centre, je vais dans le mur. Si elle est plus large, elle prend forcément une autre dimension. Mais du coup, il faut qu’on aille vite. Pour que cette plateforme soit crédible, il faut un maximum de commerçants dessus.
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Pour moi, il est essentiel qu’on ait une market place solide. D’autant plus qu’Amazon devrait ouvrir 50 000 mètres carrés en Sud Loire. Si cela est confirmé, ça va nous obliger à nous bouger car cela veut dire qu’ils vont livrer de l’alimentaire et du non-alimentaire en deux heures et ce, 7 jours sur 7. On doit être capable de faire cette offre nous aussi, mais avec des valeurs derrière. Il faut qu’on s’adapte au consommateur qui veut pouvoir commander le dimanche depuis son canapé.
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La market place d’aujourd’hui est une première étape. À terme, pour moi, elle doit avoir trois niveaux. En plus du site Internet, le deuxième, c’est de pouvoir proposer des chèques cadeaux bénéficiant au commerce physique de centre-ville, donc à l’économie et à l’emploi locaux et non des chèques cadeaux qui bénéficient à Amazon… Enfin, la troisième brique concerne la logistique urbaine. Il faut qu’on aille plus loin que d’acheter sur cette market place puis de se faire livrer.

Qu’imaginez-vous ?

Aujourd’hui, il y a des drive Leclerc en centre-ville : ils ont tout compris. On doit être capable de faire un drive commerce physique nous aussi. Il faut donner la possibilité au consommateur, quand il va faire ses emplettes, de laisser ses paquets à un endroit dans le centre-ville et de se faire livrer à 20 h le soir.

Dans ce local, qui pourrait être une conciergerie Plein Centre et qui serait aussi le dépôt d’un service drive, on proposerait également des services, avec une personne qui orienterait les consommateurs vers les boutiques en fonction de ce qu’ils recherchent, présenterait les animations, vendrait des chèques cadeaux. J’ai demandé à la Région un budget là-dessus au titre du dispositif Commerce du futur** et nous avons le soutien de la Métropole qui trouve l’idée intéressante.
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https://informateurjudiciaire.fr

Procédure de sauvegarde le 04-05-2020 : ACB, 27 Rue Ranzai, 44300 Nantes
Fabrication et négoce de machines-outils,
https://www.acb-ps.com/fr

ACB, l'entreprise nantaise qui fait voler tous les avions du monde
ACB fabrique des machines spéciales pour l'industrie aéronautique, un marché de niche qui en fait un champion à l'exportation
Par Christophe Turgis Publié le 03/10/2012 à 17:32
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L'entreprise réalise 90% de son chiffre d'affaire (45 millions d'euros) à l'export....

https://france3-regions.francetvinfo.fr

On sait dans quel quartier/immeuble Doctolib va s'installer ?

Suis surpris, mais tant mieux - j'ai l'impression de voir toujours des locaux vides dans Nantes

⚠�#StartUpNation. Après l'explosion du #télétravail...🔥entre 30 et 40% des emplois qualifiés pourraient être délocalisés.� via @franceinfo pic.twitter.com/DoSBps9MBr

— Nantes hypeâ„¢ ☆ (@Nanteshype) May 26, 2020

Nantes, deuxième front des start-up parisiennes

Dans la foulée de l'arrivée de Doctolib, la sixième ville de France se place en antichambre des start-up parisiennes cherchant un deuxième bassin de recrutement. Le tissu économique diversifié garde aussi du ressort pour faire émerger des projets endogènes.

https://www.lesechos.fr/tech-medias/hig … es-1217991

Nantes. Le milieu de l’hôtellerie crie son besoin de l’Arbre aux hérons

C’est presque un appel au secours de l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie de Loire-Atlantique (Umih 44). La principale organisation professionnelle crie son besoin de l’Arbre aux hérons, projet culturo-touristique envisagé en bord de Loire, dans la carrière Misery à Nantes.

https://www.ouest-france.fr/pays-de-la- … ns-6881114

Le chiffre est moins désastreux que les 3 600 emplois à Toulouse mais tout de même.

En nombre c'est clair, par contre je ne suis pas sur en % des sites. Le site de Nantes perd beaucoup de monde sur un site de "seulement" 2650 salariés quand Saint Nazaire en à 3300. A comparé avec Toulouse (aucune idée combien il y a de salariés).

Daher, un sous traitant va largement taillé dans ces effectifs :

Pour la Loire-Atlantique, où Daher possède des implantations à Saint-Nazaire, Saint-Aignan, Malville, Saint-Hilaire-de-Chaléons, il se traduit par 336 suppressions de postes en CDI "auxquelles, il faut ajouter 650 intérimaires", relève Bertrand Bauny, délégué central FO.

"Il y avait 1 800 salariés fin février dans le département, on va tomber à 800. C’est un véritable tsunami !".

https://www.ouest-france.fr/pays-de-la- … a3a43fbc35

Oui saint nazaire est plus fragile et aura plus de difficulté que Nantes afin de surmonter ces pertes d'emplois. Les chantiers de l'atlantique vont pouvoir quand même s'appuyer sur les commandes militaires récentes (voir poste du 18-05) pour passer le cap. A voir si ca prend du retard, mais on devait aussi rentré dans la phase de fabrications / montage des éoliennes au large de saint nazaire avec pas mal d'emploi à la clé.

Airbus. Suppressions de postes : la répartition cols bleus/cols blancs à Nantes et Saint-Nazaire
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Presse Océan Publié le 03/07/2020 à 11h02


Ce vendredi matin, les syndicats ont de nouveau rendez-vous avec la direction lors d’un CSE (Comité social et économique) pour connaître plus en détail les modalités des suppressions de postes, à Saint-Nazaire comme à Nantes (484 à Nantes, 386 à Saint-Nazaire et 201 chez Stelia). Selon nos informations, ces suppressions de postes se répartiraient de la façon suivante : 367 cols bleus et 117 cols blancs à Nantes ; 262 cols bleus et 124 cols blancs à Saint-Nazaire ; 115 cols bleus et 86 cols blancs. Les chiffres sont clairs et ce sont bien les ouvriers qui sont le plus plus impactés par ce plan.

www.ouest-france.fr

Face à la crise, les anciens piliers d'Airbus signent un retour en force au chevet de l'aéronautique

Par Vincent Lamigeon le 04.06.2020 à 15h25 Abonnés

Pour aider la filière aéronautique à affronter la crise, plusieurs anciens piliers d'Airbus sous l'ère Enders-Brégier sont sortis de leur retraite, comme Tom Williams et Didier Evrard. L'ex-numéro deux d'Airbus Marwan Lahoud est aussi à la manœuvre.

La "dream team" est de retour, ou du moins une partie. Face à la crise la plus violente de l'histoire de l'aéronautique, plusieurs piliers d'Airbus sous l'ère Enders-Brégier sont sortis de leur retraite pour aider l'industrie européenne à affronter le choc...

www.challenges.fr

Gouvernance: Airbus vole sans pilote
Par Olivier James Airbus , Airbus Helicopters , Airbus Defence and Space , Airbus Group , Aviation civile

Publié le 01/03/2018 À 10H00
Enquête L’avionneur Airbus traverse une période critique de son histoire, lesté par les affaires et une crise managériale profonde. La nouvelle équipe dirigeante doit fixer un nouveau cap. Notre enquête.
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Des départs concomitants de figures historiques, avec pour toile de fond une multiplication des affaires – avec soupçons de corruption et d’irrégularités – faisant courir le risque de lourdes amendes. En 2017, la branche civile d’Airbus a vécu une série noire, aggravée par le recrutement raté de Paul Eremenko, ce directeur de la technologie parti à la fin de l’année et qui s’est mis à dos une bonne partie des équipes de recherches, aujourd’hui déboussolées. "On observe une dissension des avis dans les différentes structures, une difficulté à arbitrer des décisions claires, commente le dirigeant d’un grand fournisseur d’Airbus. Cette crise affecte de plus en plus le fonctionnement de l’entreprise." Crise, le mot est lâché. En quelque mois, l’icône industrielle européenne sans cesse prise en exemple par les politiques français a chancelé.
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www.usinenouvelle.com

Airbus : comment la crise a dégénéré en guerre des chefs
Anne Bauer Le 12/12/2017 à 20:47

La crise de confiance s'est amplifiée depuis cet automne. L'Allemagne a signé la fin des spéculations sur le départ rapide de Tom Enders.

Chez Airbus, le poison des affaires sera lent à produire ses effets. Mais si le temps de la justice est déconnecté de celui du business, les juges n'en détiennent pas moins en partie les clefs de l'avenir de l'entreprise franco-allemande. Une situation qui a fait peu à peu dégénérer la crise en guerre des chefs depuis cet automne. Rappel des étapes clef.

Alerté par des irrégularités dans un certain nombre de contrats, Tom Enders prend en 2015 la décision avec le soutien du conseil d'administration de les signaler en Grande-Bretagne. Ce qui déclenche en août 2016 une enquête du Serious Fraud Office , du type de celle qui était en cours chez Rolls-Royce. Après l'adoption de la loi Sapin, qui introduit en France la procédure du plaider-coupable, le Parquet national financier embraye. Sur ce front, Airbus a achevé cet été l'essentiel des enquêtes qui ont tant déstabilisé les cadres en interne, et les cabinets d'avocats doivent transmettre leurs conclusions aux justices britannique et française. Reste maintenant à attendre… Les analystes parient sur une amende de 1 à 6 milliards d'euros.
Enders envisage son départ

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business.lesechos.fr

Dernière modification par Vincent GACHE (05-07-2020 13:38:10)

Bénéteau : nouveau plan stratégique, les capacités de production vont être réduites
09/07/2020 18:24 |

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Bénéteau projette donc de réduire sensiblement ses capacités de production dans les mois à venir, parallèlement à une réduction de l'ensemble de ses coûts fixes. Des discussions sont initiées en ce sens avec les partenaires sociaux, tant en France qu'à l'étranger.
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www.boursedirect.fr

Nantes. Grâce à une start-up, cet étudiant trouve des petits boulots bien payés

La start-up StaffMe met en relation des entreprises avec des jeunes de 18 à 30 ans. L’occasion pour eux de trouver des petits boulots bien payés. L’inconvénient : ils doivent s’inscrire comme autoentrepreneurs. Timothée, Nantais de 21 ans, a testé.
| OUEST FRANCE
Ouest-France Nicolas BENOIT A LA GUILLAUME. Publié le 15/07/2020 à 09h00

À la recherche d’un complément de revenu pour l’été ? StaffMe met en relation des entreprises avec des jeunes de 18 à 30 ans, partout en France. « L’avantage, c’est la rémunération, on est jamais payés moins de 13,20 € de l’heure », se réjouit Timothée, 21 ans. Ce Nantais a découvert la start-up il y a six mois, « après être passé par plusieurs boîtes d’intérim ».

Ses missions : vendeur à la Mie Câline ou encore rédacteur de lettres de remerciement pour le site web de petites annonces Gens de confiance. « Des lettres manuscrites », précise-t-il.
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www.ouest-france.fr

Dernière modification par Vincent GACHE (15-07-2020 16:06:31)

Air France - Hop ! Plus de 200 postes supprimés à Nantes
Réservé aux abonnés
Ouest-France Marylise COURAUD. Publié le 20/07/2020 à 19h35
La facture s’annonce finalement assez lourde. Le groupe Air-France prévoit de gommer à Nantes plus de 200 postes. La compagnie ne desservira plus que Charles de Gaulle, laissant le tarmac de Nantes Atlantique aux compagnies low cost.

www.ouest-france.fr

Nantes-Saint-Nazaire. Malgré la crise, une trentaine de boîtes installées

L’agence de développement de Nantes-Saint-Nazaire fait un premier bilan de son activité depuis le début de l’année. En dépit de la crise, elle a accompagné l’installation de nouvelles boîtes qui envisagent de créer 900 emplois d’ici trois ans.

Certains ont préféré mettre au placard leur projet. Le Covid-19, le confinement et ses conséquences ont dissuadé quelques entreprises d’ouvrir des bureaux à Nantes, notamment dans l’immobilier ou le conseil. Mais finalement, « beaucoup de projets sont restés dans les tuyaux », se réjouit Nicolas Debon, directeur de l’agence Nantes Saint-Nazaire développement.

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Ouest-France
(article réservé aux abonnés)

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